-Elle va te faire décoller ma grosse bite,dit il,tu vas prendre un pied comme tu n’en a encore jamais pris.
Je sentis le gland s’enfoncer lentement dans ma chatte,elle était si grosse que je crus qu’elle allait me déchirer. Pourtant mes chairs se dilatèrent et la colonne glissa doucement en moi. Une fois qu’elle fût bien à fond j’entourais les reins de l’homme avec mes jambes ce qui me fit encore mieux sentir son gros pieu. Je commençais à onduler du bassin,c’était vraiment extraordinaire de sentir cette énorme queue au fond de mon ventre,le gland touchait ma matrice.
-Tu vas jouir ma cochonne,me dit Sonia, c’est pas tous les jours qu’un engin pareil te perfore la chatte.
Je passais une main entre nous afin d’attraper ses testicules comme je massais doucement,à entendre les gémissements qu’il poussait cela avait l’air de lui plaire.
-Hummmm! oui caresse moi,tu sens comme elles sont bien pleine de bon jus,je vais tout t’envoyer et te noyer la chatte.
Sonia ,qui en voulait sa part également s’installa à califourchon sur ma bouche,les cuisses bien ouvertes elle descendit sa vulve au contact de ma bouche.
-Suce petite traînée,fais moi du bien avec ta langue. Allez vas y lèche !
La bite avait commencé à me labourer avec science. Elle entrait à fond,me défonçant le ventre pour ressortir presque entièrement,faisant racler son gland contre mes chairs.
-Ça te fait du bien ? me dit Adrien
’Oui,je vais exploser,aaahhhhhh je vais jouir,c’est si bon
-Attends moi,je veux jouir en même temps que toi,aaaahhhh ça y est je pars ! je t’envoie ma liqueur !
-Ouiiii, je sens tes jets de foutre,je jouiisss,continueeeee,envoie moi tout
Lorsque le mâle se fût complètement vidé en moi,il se retira. Sonia en profita pour sauter sur le sexe ramolli afin de le prendre en bouche pour lui pomper les restes de foutre et le nettoyer consciensement avec sa langue. Elle y mit tout son talent de suceuse,petit à petit la bite reprit de la consistance jusqu’à bander à nouveau fièrement. Satisfaite de son oeuvre elle dit à Adrien :
-Tu vas me sodomiser maintenant,tu veux bien ?
-Sûrement que je veux !Comment pourrais t’on refuser un fessier comme le tien,viens ici et met toi en levrette.
Elle s’exécuta ,prit la position en offrant sa rosette luisante,j’écartais les deux globes de mes mains pour faire bâiller encore plus l’oeillet frétillant,la bite à la main Adrien avança son gland vers l’orifice. Il n’y eu aucune pause,la queue entra lentement d’un trait et ne s’arrêta que lorsqu’elle fût au bout de sa longueur.
Sonia appréciée la pénétration vu les râles te gémissements qu’elle poussait.
-Je la sens bien,elle me monte dans l’intestin,c’est sublime ! Carole branle moi mon ,je veux jouir de la chatte et du cul en même temps. Je mis la main dans son entrecuisses,elle mouillait comme une fontaine,je pris son petit bouton entre deux doigts et le pincé tendrement.
-Ahhh c’est bon, vous me faites du bien tous les deux,je voudrais que le temps s’arrête maintenant,je suis tellement bien !
La bite entrait et sortait de la grotte à une vitesse vertigineuse,la femme,le visage contre le lit,les mains crochetées dans les draps,râlait de plaisir. Le spectacle était tellement jouissif que je me suis à me masturber ma fente encore pleine de semence.
-Alors ma salope,tu te régales ? rugit l’homme,je vais t’exploser les fesses,je ne tiens plus.
-Oh ouiii,vas y je n’attends que ça,remplis moi.
-Tiens voilà,grosse pute,voilà pour ton cul,tu sens ? Mon sperme coule en toi,chienne!
-Ouiiiiii,je le sens ,c’est chaud ,déverse moi ton foutre dans mes intestins,j’adoreeeeeeee!
Je gémissais moi aussi,ma main me faisait jouir.
Adrien partit enfin,vidé de toute sa semence,nous laissant toutes les deux assouvies. J’allais m’endormir quand Sonia me posa une question bizarre.
-As tu déjà eue une expérience sexuelle bizarre,genre gang-bang,sado-maso,uro,ou autres?
-Pourquoi cette question ? Non jamais.
-Moi,ma cocotte ça m’est déjà arrivé ,une histoire tellement incroyable que je ne l’ai même pas raconté à Daniel
-Ah bon! alors là tu m’intrigues et ça fait longtemps ?
-Non pas tant que ça,un mois ou deux,tu veux que je te raconte.
-Ah oui,raconte,j’adore les histoires de cul.
-Figure toi qu’un jour je devais aller voir mes parents qui habitent en province,trop crevée pour prendre la voiture j’ai optée pour le train. La chance voulut que je prenne place en fond de wagon en face d’un homme d’une trentaine d’années,bien physiquement et qui me plaisait énormément.Le train démarra,j’attendais désespérément qu’il commence à me baratiner car j’avais décider de me le faire. J’avais beau attendre,lui faire des petits sourires pour l’encourager,rien n’y faisait. Peu à peu cela m’excita et je me sentit toute mouillée,il fallait absolument que je trouve un moyen de le décoincer.
Brusquement il se leva pour regarder le paysage par la fenêtre,l’occasion était trop belle,j’avançai ma main et je la posée directement contre sa braguette. Au contact il eut un mouvement de recul de tout le corps,il tourna la tête vers moi et me dévisagea pendant un moment. Je n’avais pas retirée ma main ,lui ne faisait rien pour l’enlever,je commençais donc à lui malaxer le sexe qui ne mit pas longtemps à prendre un volume intéressant.
-J’ai comme l’impression que madame est en manque de quelque chose,me dit il avec un sourire
-Monsieur serait il tenté de me l’offrir , lui répondis je
-Cela pourrait être une éventualité
-Je serai comblée si cette éventualité pouvait finir entre mes cuisses.
Tout en lui disant cela j’avais ouvert la fermeture éclair de sa braguette ,écarté son slip et saisis sa queue chaude dans ma main.Il eut un petit sursaut du bassin quand j’ai empoignée son membre gonflé.Par chance il n’y avait personne sur la banquette de l’autre côté du couloir,il se tourna légèrement vers moi me présentant son chibre,j’ai englouti de suite son gland.
-Humm tu m’as l’air de pas avoir froid aux yeux,toi tu aimes la bite on dirait,me dit il
-S’il avait su à quel point j’aimais ça,il n’aurait pas était étonné, me dit Sonia
Je le pompais comme une malade quand,tout à coup,la porte du couloir à côté de nous s’est ouverte.
-Bonjour messieurs dames,contrôle des bil………….!
C’était le contrôleur,la phrase est resté en suspend dans sa bouche quand il a tourné la tête vers nous.Je l’ai regardé ,lui faisant mon plus beau sourire de salope.Il s’est placé devant moi,dos aux autres passagers
-Billet madame s’il vous plaît, m’a t il dit
Pour toute réponse j’ai écarté mes jambes et remonté ma jupe jusque sur mon ventre ,lui présentant ma chatte.En plus je n’avais pas de culotte,j’ai cru que les yeux allaient lui sortir de la tête.Pour corser l’affaire je me suis même mis un doigt dans le vagin.
-Je suis désolé madame mais votre billet n’est pas en règle,il va falloir me suivre,me dit alors le contrôleur
Je me suis donc levée et l’ai suivi,nous avons traversé deux wagons,puis il m’a fait entré dans le dernier ou il avait son petit bureau et ou sont entreposés diverse choses.