Jai longtemps hésité avant de vous raconter cette histoire qui me perturbe depuis quelques temps.
Jai maintenant 40 ans, et à cette occasion, jai abusé de mes jumeaux. Jamais je naurais pensé un jour, que mon amour maternel puisse un jour devenir une telle frénésie sexuelle. Même si je me suis mariée très jeune, mon époux a toujours été un homme merveilleux et un amant très satisfaisant. Mon imagination a cependant toujours été très fertile. Et jai très vite eu le fantasme dêtre prise par deux hommes de couleur, jumeaux. Si mes fils nétaient pas sortis de mon ventre je naurais certainement pas cru quils étaient de moi. Si je suis blonde comme les blés et leur père métis, ils ont tous deux tout pris de leur grand père dorigine ivoirienne.
Je les voyais grandir près de moi, devenir des hommes très séduisants et mamusais même parfois à oublier quils étaient mes fils Pour mieux fantasmer
Jai franchi le pas, quelques jours après lanniversaire de mes 40 ans. A cette occasion mon époux mavait offert un voyage à l’ile de la Réunion. Mes fils, étudiants, nous avaient rejoints de façon tout à fait inattendue. Et à cette saison ils navaient pu avoir quune chambre. Étant très proches, cela ne leur causait aucun problème de partager le même lit. Et je vous avouerais que ce fait a été un élément déclencheur.
Jai donc profité dune soirée particulièrement arrosée pour droguer mes hommes. Ne connaissant pas lîle de la Réunion, javais pris soin de me constituer une trousse à pharmacie assez conséquente qui sest avérée parfaitement inutile.
Le soir avant daller nous coucher, nous avions pris lhabitude de boire un dernier verre sur les terrasses des bungalows, face à la mer. En vidant encore une fois le mini bar, javais pris soin de droguer les verres de mes fils et de mon mari.
Nous allâmes nous coucher. Jétais très nerveuse. Mon époux sest endormi très rapidement. Cétait loccasion de tester ma drogue. Pharmacienne, je connais très bien mes produits, mais je nai que très rarement loccasion de les voir à luvre. Je commençais donc par caresser mon mari. Il ne réagissait pas. Son sexe bandait. Je me disais que si je lui mordillais assez fort le gland et quil ne se réveillait pas, alors je pourrais aller voir mes fils. Je fus étonnée de pouvoir faire ce que je voulais de mon homme
Je me suis finalement habillée et pris le chemin du bungalow de mes fils. Mais je navais pas pensé à la porte dentrée, fermée !!! Quelle déception. Jai pris le parti de frapper à la porte. Jaurais bien trouvé un prétexte. Mais aucune réponse.
Jai presque ressenti une sensation de soulagement. De culpabilité. Prête à rejoindre mon époux je remarque alors une fenêtre entre ouverte. Je nai eu aucun mal à louvrir Après quelques hésitations, quelques sursauts, je passais par la fenêtre.
Je ne pouvais plus reculer. Ils étaient là, dans la pénombre, partageant le même lit. En slip.
Je ne me contrôlais plus. Mon cur battait à tout rompre. Je me suis glissée entre eux. A mon grand étonnement leurs sexes étaient quasiment en érection. Je les avais maintenant, tous deux dans chaque main. Strictement identiques. Terriblement excitants. Je les ai caressés longuement, longtemps avant de les mettre en bouche. Leurs gémissements mexcitaient au point de vouloir goûter à leurs semences. Mais jai eu bien trop peur de les réveiller
Je suis repartie discrètement. Et cest la semence de mon époux que jai bue. Il ne sétait pas réveillé. Jai ragé à lidée que jaurai pu aller jusquau bout avec mes fils.
Jai peut être raté une occasion unique.
