Je mappelle Odile, jai 42 ans, je vis avec mes deux frères, qui sont jumeaux et deux ans de plus que moi, dans le Haut Jura.
Javais 12 ans, nous vivions dans une ferme, non pas que nos parents étaient agriculteur, ils avaient une exploitation forestière, mais nous avions quelques vaches comme beaucoup de gens dans notre région. Avec mes frères, nous avions toujours été complices et souvent, nous emmenions, lété, les vaches dans les prés.
Pendant que les vaches broutaient lherbe, mes frères et moi, nous nous mettions à labri du soleil sous un arbre et nos jeux étaient ceux de tous les gamins. En septembre, je devais partir en pension, puisque lécole de notre village sarrêtait à la sixième, je devais aller à Saint Claude, à une trentaine de kilomètres de la maison.
Mes frères étaient déjà en pension à Lons le Saunier et nous nous retrouvions quaux vacances.
En pension, malgré que celle-ci soit tenue par des religieuses, les histoires de garçons vont bon train et si je nai aucune expérience, certaines de mes copines ont pris pas mal davance, certaines ont déjà fait flirtées, dautres se sont faites caressées et une minorité ont fait lamour.
Chez mes parents, nous ne parlions pas beaucoup de ces choses là, et même pas du tout.
Aux vacances suivantes, je retrouve mes frères et nous nous faisons des confidences, rien de bien méchant, eux comme moi n’avions aucunes occasions de vérifier ce que nous avions entendu. Bien sûr, mes frères avaient des copains bien informés sur les choses du sexe, mais je dois dire, queux comme moi étions un peu perturbés.
Nous étions dans la grange, allongés dans le foin comme toujours et nous échangions nos « connaissances », mes frères, commençaient à me caresser la poitrine toute naissante à travers mon pull et comme me lavait dit mes amies de pension, mon entrejambe devint de plus en plus humide.
Mes frères soulevèrent mon pull pour laisser apparaître mes petits seins, et commencèrent à me les caresser, puis les embrasser. Cela me faisait beaucoup de bien, et je les laissais faire, et nous recommencions à chaque fois que nous pouvions en faisant bien attention que nos parents ne nous surprennent pas.
Un de mes frères, je ne me souviens plus lequel, membrassa sur la bouche et jentrouvris mes lèvres pour faire entrer sa langue à la recherche de la mienne, cétait mon premier baiser, puis je me tournais pour donner ma bouche à mon autre frère, mais là, cest moi qui mis ma langue dans sa bouche.
Les vacances se terminaient et il fallait rentrer à la pension. Je ne fis aucune allusion de la relation avec mes frères à mes copines, mais je comprenais mieux leurs récits et attendais avec impatience les prochaines vacances. De temps en temps, quand lenvie était trop forte, je me caressais doucement les seins et mon sexe en ne faisant pas de bruit, pour que mes copines et la surveillante ne mentendent pas.
Deux ans ont passés, et nos jeux devenaient de plus en plus intenses, je les laissais me sucer la chatte et mon petit trou, je suçais leurs queues bien dure et raide, mais je ne voulais pas faire lamour. Je jouissais sous leffet de leurs doigts, de leurs langues et ils jouissaient dans mes mains. Quelques fois, je suçais mes mains pour gouter à leurs semences.
Mes frères passèrent leur bac et ne voulant pas continuer leurs études, ils travaillèrent avec notre père à lexploitation forestière.
Deux ans après, je passais mon bac et décidais dapprendre loptique au centre de formation de Morez, tout ce passait bien, mes études marchaient bien et je pouvais rentrer tous les soirs à la maison, mes parents mavaient payé une petite voiture.
Tous les soirs je retrouvais mes frères, et je navais pas de petit copain, jétais amoureuse de mes frères et de leur coté, ils étaient amoureux de moi, mais nous ne pouvions pas faire lamour puisque nos parents étaient toujours présents.
Devant mes parents, pour donner le change, nous nous disputions toujours, mais dès que nous le pouvions, nous nous retrouvions pour nous câliner.
Javais maintenant 22 ans, toujours vierge et mes frères aussi, quand mes parents décèderent dans un accident de voiture, ils ont loupés un virage en revenant de Lons le Saunier et sont tombés dans le ravin.
Notre vie a complètement changé, après avoir passé plusieurs mois de chagrin, et nos jeux ont cessés, mes frères ont repris lexploitation de notre père et de mon coté, jai abandonné mes études pour me consacrer à la ferme.
Malgré mon travail à la ferme, le soir je me changeais, pour que mes frères soient fiers de moi et par mes tenues sexys, je voulais les exciter un peu.
Puis, nos jeux ont repris, mais là, nous allions jusquau bout. Je suçais leurs queues et eux me suçaient la chatte, souvent javalais leur sperme et eux buvaient ma cyprine. Je ne savais pas auquel donner la virginité, alors nous avons tiré à la courte paille, peu importe le résultat, puisque javais décidé que lun prendrait ma chatte et lautre mon cul, je perdis donc mes deux pucelages en même temps et ayant jouis une première fois, mes frère changèrent de place pour que lun et lautre me fasses jouir de chaque coté.
Jaimais sentir leur sexes dans ma chatte, ils senfonçaient en moi le plus loin possible et souvent je sentais leur bite bien au fond de mon vagin et jadorais quand leur sperme, sécoulait en moi.
Depuis quelques temps, je prenais la pilule pour ne pas être enceinte de mes frères.
Le plus souvent, quand nous faisions lamour à trois, un de mes frère sallongeait sur le dos, je prenais sa bite dans ma main et je menfonçais dessus, et lautre venait par derrière et rentrait dans mon cul après avoir passé un peu de gel, puis après avoir joui, nous restions les uns dans les autres pendant de longs moments.
Nous avons fait quelques aménagement de la ferme, afin que nous ayons chacun notre chambre, avant les jumeaux partageaient la même.
Joccupais lancienne chambre de mes parents, que régulièrement je partageais avec mes frères et les autres nuits, je rejoignais soit lun, soit lautre dans leur chambre. Notre vie était réglée et nous faisions attention que nos voisins ne saperçoivent pas de notre liaison.
Jaimais faire lamour avec mes deux frères, les préliminaires étaient supers, je suçais lun ou lautre, alors quils me suçaient la chatte ou le cul. Jaimais sentir leurs deux bites bien au fond de moi, et je ne pouvais pas ou ne voulais pas choisir entre lun et lautre.
Javais trente ans, et notre liaison continuait comme toujours, tous les soirs je faisais lamour avec lun ou lautre et souvent avec les deux. Alors que nous étions tous les trois, je leur demande de me faire un enfant, surpris de ma demande, ni lun ni lautre ne voulais me féconder en me disant quil y avait beaucoup de risque. Je ne voulais pas arrêter la pilule et tomber enceinte sans leurs accords.
Devant mes demandes répétées, au bout de quelques mois, ils me proposèrent de me faire féconder par un inconnu, leur proposition ma semblé farfelue, mais en y repensant, ça ma semblé la meilleure solution, je décidais donc de partir dans une grande ville ou nous nétions pas connus et me donner à un maximum dhommes, jusqu’à ce que je sois enceinte.
Jarrêtais la pilule et prenais une chambre dhôtel à Genève, la grande ville la plus proche, mes frères maccompagnèrent. Le soir même, au bar de lhôtel, je trouvais mon premier amant dun soir. Sans attendre, je lemmenais dans ma chambre, et sans préliminaire, je lui demande de me baiser et de ne pas mettre de préservatif. Un peu surpris de ma demande, je lui dis quil ne risquait rien et que je navais quun mari et quil était mon premier amant.
Il mintroduisit sa queue dans ma chatte, et après quelques allers et retours, je sentais son sperme sécouler dans ma chatte, je lui demandais darrêter et de partir, il fut tout étonné que je ne voulais pas jouir. Dès son départ, jappelais mes frères pour leur dire que javais commencé et que je pensais beaucoup à eux.
Pendant deux mois, mes frères venaient me voir souvent, mais nous ne faisions pas lamour puisque je nétais pas protégée et que je naimais pas les préservatifs, je les laissais jouir dans ma bouche et avalais tout leur sperme, et à chaque fois, je jouissais comme une folle.
Tous les soirs, je sortais au restaurant et en boite, pour trouver lamant dun soir et à chaque fois, je les laissais décharger au fond de mon vagin et les mettais dehors de suite.
Javais un peu de retard, et jallais chez le pharmacien pour acheter un test, et une fois dans ma chambre, javais la confirmation que jétais fécondée et que je ne savais pas par qui, ni quand.
Jattend quelques jours et effectue un nouveau test avant de prévenir mes frères, ceux-ci fous de joie, viennent me chercher tout de suite, et une fois à la maison, nous avons fait lamour tous les trois, mais se sont retirés pour ne pas mettre leur semence en moi.
Ma grossesse cest passée sans problèmes, et mes frères étaient très attentifs à mon égard, comme de futurs papas peuvent lêtre quand ils sont amoureux.
A ma deuxième échographie, jappris que jétais enceinte dune petit fille, mes frères étaient aux anges davoir une « petite nièce ».
Quelques mois après, je mettais au monde une belle petite fille que nous avons appelé Marie en mémoire de notre mère.
Maintenant Marie à 12 ans, elle connaît mes relations avec mes frères et les circonstances de sa création. Nous nous aimons tellement tous les trois que cela ne la perturbe pas, elle mélange souvent la façon dappeler mes frères, quelquefois « papa », quelquefois « tonton ».