Bon, après avoir lu vos histoires pendant longtemps, je pense que c’est à mon tour de vous raconter la mienne :)… Bonne lecture.
Je m’appelle Clément et j’ai presque la trentaine, ça va faire deux ans que je suis prof de sport dans un lycée en région parisienne. Il m’est déjà arrivé de fantasmer sur certaines de mes élèves les plus vieilles, je sais que je pourrai sans doute en séduire certaines, je suis assez bel homme, brun avec une mâchoire carrée et une barbe courte. Je m’entretiens plus que bien et je suis assez musclé en plus d’être grand de taille.
Mais je suis toujours resté professionnel, à la fois pour ne pas perdre mon job et d’un autre côté, à cause de la différence d’âge.
Mais cette année, je dois avouer que… j’ai du mal à me retenir. Dans une de mes classes, j’ai deux élèves de 18 ans qui sont de véritables bombasses. Ce sont deux copines qui traînent souvent ensemble et malheureusement, ce sont toutes les deux de bonnes élèves, c’est-à-dire qu’elles sont sages et ont une réputation de saintes.
La première s’appelle Elodie, sans doute la plus belle fille du lycée, elle possède une peau d’albâtre et des traits fins, un regard gris-vert encadré d’une cascade de cheveux roux orangés. Elle est grande et mince, avec un fessier superbement rebondi et de gros seins parfaitement ronds, elle pourrait facilement être modèle photo. J’ai souvent eu l’impression qu’elle me chauffait, contrairement à la seconde qui est beaucoup plus innocente.
La seconde en question c’est Claudia, une latina à la peau bronzée et aux cheveux châtains plus petite et plus pulpeuse, un ventre et des cuisses minces et musclées, mais des seins très imposants pour son âge, bref un petit corps compact fait pour être soulevé et secoué dans tous les sens. Elle a surtout un très gros cul comparé à son gabarit et à la finesse de sa taille, il est rebondi, ferme et rond à souhait. Elle a les traits moins fins qu’Elodie et ses joues rondes, ses lèvres pulpeuses et ses grands yeux clairs lui donnent un air innocent qui la rend vraiment mignonne. J’ai pu constater que je ne suis pas le seul prof à la mater, et il n’y a pas un seul homme au lycée qui ne se soit pas retourné sur son passage dans un couloir pour mater ses fesses de rêve moulées dans un jean serré.
J’entends souvent les élèves garçons parler de ces deux filles et je prête souvent une oreille attentive à ce qu’ils disent, en espérant découvrir qu’elles sont en réalité des petites coquines.
Mais avant d’entrer dans l’histoire elle-même, je vais vous parler d’un épisode qui m’a marqué : c’est le jour où j’ai découvert qu’elles n’étaient peut-être pas si innocentes que ça.
Mon souvenir, c’était pendant une séance d’athlétisme, j’avais emmené ma classe au stade pas loin du lycée pour courir. Il faisait beau et les filles étaient légèrement habillées. A un moment, Claudia est tombée par terre, apparemment victime d’une crampe à la cuisse. Je me suis approché d’elle pour l’aider, mais son ami Aristide était encore collé à elle. Aristide c’est le meilleur ami de Claudia, un garçon maigrichon avec des lunettes. Je le soupçonne d’être amoureux de Claudia vu comment il la suit partout comme un toutou. Mais il ne la mérite pas, elle mérite un homme, un vrai, qui sache rendre honneur à son corps de bombe sexuelle.
J’ai dit à Aristide de continuer à courir, et il est reparti en faisant la gueule. Une fois concentré à nouveau sur Claudia, j’ai eu du mal à me contrôler. Ses gros seins fermes et légèrement bronzés débordaient de sa brassière et surplombaient un ventre plat dont la peau semblait bien douce. Je l’ai emmenée sur le banc un peu plus loin.
Alors tu as mal où, avais-je demandé.
Ici Monsieur, m’a-t-elle répondu en pointant du doigt sa longue cuisse fuselée.
Voyant qu’elle me tendait la cuisse, attendant sans doute une solution miracle de ma part, je me suis mis à la masser, sa peau était lisse et chaude, elle avait l’air d’apprécier, car elle s’est vite détendue en fermant à moitié les paupières. A ce moment, j’ai glissé mes mains en direction de l’intérieur de sa cuisse et sa respiration s’est accélérée. On a échangé un regard et j’ai vu une lueur bizarre dans ses yeux bleus. Malheureusement, elle s’est vite tendue et a retiré sa cuisse de mes mains en voyant un élève s’approcher de nous pour voir comment elle allait. Cet élève, c’est Baptiste, un grand garçon musclé à la peau mat et aux yeux gris qui plaît pas mal aux filles de la classe. Je me suis levé pour rejoindre les autres en me demandant pourquoi Baptiste était venu voir Claudia. Derrière moi, je l’ai entendue le rassurer puis en me retournant, j’ai aperçu le métis en train de lui rouler une grosse pelle. Ça alors, elle n’est donc pas si innocente que ça !
Surtout que Claudia ne traîne pas trop avec le groupe des populaires de la classe, composé d’Elodie, Baptiste et de 2 ou 3 potes à lui.
Plus tard, pendant le même cours, mes élèves se sont amusés à s’asperger d’eau les uns les autres sous l’impulsion d’Elodie. D’habitude, j’aurais laissé couler ce genre de comportement surtout qu’il faisait chaud et qu’ils avaient bien travaillé. Mais un des jeunes a glissé sur le carrelage des vestiaires et s’est fait mal. Pour le coup, j’ai puni Elodie, en lui demandant de rester pour m’aider à ranger les plots, les chronomètres et les chasubles.
Dès que tous les élèves sont partis, je me suis dirigé vers la réserve du stade pendant que la jolie rousse récupérait tous les plots. Lorsqu’elle est revenue vers moi, j’ai marqué un temps d’arrêt, sa chasuble était complètement mouillée et il collait à sa poitrine généreuse (elle ne portait qu’une brassière en dessous).
Un problème Monsieur ? me demanda-t-elle en souriant, en voyant mon regard s’attarder sur son corps.
Hum, non rien, allez, entre et range tout… et arrête de sourire c’est une punition !
La diablesse gloussa puis commença à travailler. A un moment, je l’ai vue se pencher exagérément en avant, tendant son cul magnifiquement bien formé vers moi. A son sourire en coin, j’ai compris qu’elle faisait exprès.
Alors comme ça, Baptiste et Claudia sont en couple ? ai-je demandé sans réfléchir avant de me mordre la langue.
Oui, mais ils préfèrent garder ça secret, il n’y a que moi et quelques potes de Baptiste qui sont au courant… mais pourquoi vous me demandez ça Monsieur ? En général, les profs ne s’intéressent pas à ça, a-t-elle répliqué en riant.
Simple curiosité, j’étais élève au lycée y a pas si longtemps après tout, ai-je répondu.
J’imagine que vous aviez du succès avec les filles non ? Un peu comme votre frère ? a lancé Elodie en souriant.
Avant que je ne puisse répondre, la jeune fille rousse m’a demandé de venir l’aider pour poser quelque chose sur une étagère. Je me suis approché d’elle par-derrière et elle ne s’est pas déplacée. Du coup, je me suis retrouvé collé à elle, et je l’ai sentie bomber son joli cul contre moi. J’avais des doutes jusqu’à ce moment, mais cette petite salope était bien en train de me chauffer ! J’ai dû mobiliser toute ma volonté pour ne pas lui arracher son leggings et la baiser sur place. Mais comme elle venait de l’évoquer, j’ai un petit frère qui est dans une autre classe du lycée. Il s’appelle Ulysse et je sais qu’il est très intéressé par Elodie, et comme ce n’est clairement pas mon genre de tacler mon petit frère, je vais la lui laisser… qui sait, on pourra peut-être se la faire à deux.
Après cet épisode, j’ai laissé Elodie partir et je suis allé me branler dans mon bureau, avant de jouir dans la chasuble de cette chaudasse.
Mais revenons au présent, aujourd’hui, c’est samedi, alors je décide d’aller à la salle de sport, pas sur mon horaire habituel, mais sur une autre. Je salue les habitués que je connais même si je vois de nouvelles têtes… et une chevelure m’interpelle. Une jeune fille est postée à un appareil, dos à moi. Ces cheveux châtains… et ces fesses de rêves… Oui c’est Claudia. Elle est sur un vélo, en train de pédaler sur place. Je prends quelques secondes pour l’admirer, elle est odieusement sexy, tout son corps de rêve tendu en action, notamment son fessier qu’elle pointe vers moi. Je me dirige vers elle et lui pose une main sur la hanche en la saluant.
Claudia ? demandé-je en m’approchant.
Oh ! Bonjour Monsieur ! Qu’est-ce que vous faites là ? répond-elle en sursautant.
C’est ma salle, c’est plutôt à moi de te demander ce que tu fais là ?
Elle descend de l’appareil pour me faire face, elle porte un legging gris bien moulant et un débardeur qui lui malheureusement ne moule pas sa prodigieuse poitrine comme ses brassières habituelles.
Eh bien, je viens pour m’entretenir quoi, vous voyez ? dit-elle en souriant.
Oui je vois… très bien, tu as raison, c’est important d’entretenir une belle silhouette. Et tu peux me tutoyer, on est pas au lycée, appelle-moi Clément, pas Monsieur, réponds-je tout en laissant mes yeux se promener sur son corps, ce qu’elle semble remarquer.
Si vous… tu veux, me dit-elle.
Aristide n’est pas avec toi ?
Non.
.
En même temps, on est dans une salle de sport.
Monsieur ! Euh… je veux dire Clément, sois pas méchant avec lui, c’est un mec en or !
Je lui souris puis lui propose de s’entraîner avec moi. On enchaîne les appareils et exercices, en discutant de tout et de rien. Évidemment j’en profite pour la mater pas mal… notamment lorsqu’elle fait des squats, il faut dire qu’elle a un cul phénoménal. J’en profite évidemment pour l’aider, en lui montrant les gestes à faire, quitte à laisser mes mains traîner un peu.
Je ne tarde pas à remarquer qu’elle me mate aussi, ses yeux s’égarant sur mon corps bien dessiné.
Je la regarde en souriant alors qu’elle me reluque, se touchant la lèvre du bout de la langue et lorsqu’elle croise mon regard, elle rougit en tournant la tête. On se dirige vers l’appareil de leg curl allongé (un appareil où l’on doit tirer des poids en pliant les jambes tout en ayant les fesses en l’air.) Et je remarque une peluche de poussière sur les fesses rebondies de mon élève.
Attends, t’as quelque chose, lui dis-je.
Quoi ?
Bouge pas, je vais te l’enlever.
Quel gentleman ! dit-elle en souriant.
Je la retourne en la tenant par l’épaule, et lui donne une petite claque sur son fessier bien rond. Autant vous dire que je ne sais même pas si j’ai enlevé la poussière, c’était juste un prétexte pour pouvoir savourer un contact avec ce cul venu des cieux. Claudia lâche un petit cri et l’air de rien, je lance :
C’est bon, c’est retiré.
Ah bah, allez-y ! Enfin, vas-y, touche-moi les fesses, je te dirai rien, répond-elle, l’air faussement vexé.
Je la pousse un peu pour la rapprocher de l’appareil, toujours dans son dos. Je ne vois pas ses yeux, mais j’entraperçois son sourire en coin.
C’est pour rendre service, tu sais à quel point je suis serviable.
Mouais, on pourrait aussi qualifier ça de harcèlement venant de mon prof.
Je souris, puis me penche pour dire tout bas dans le creux de son oreille :
Non, le harcèlement, c’est quand la fille ne veut pas.
Elle ne répond rien, et se penche en avant pour poser sa serviette sur l’appareil. Ce faisant, on se retrouve en position de levrette, ses fesses frôlant mon entrejambe. Elle continue à se pencher en avant et… mon Dieu, cette cambrure, c’est moi ou elle fait exprès ? Elle finit par tourner légèrement la tête vers moi, ajustant une de ses mèches, et je vois son petit sourire. La garce.
Elle s’installe sur l’appareil et j’ai une superbe vue sur son boule bombé, son dos creux, ses courbes parfaites et ses seins qui dépassent sur les côtés de son débardeur, écrasés par son poids, tels deux globes prêts à éclater. Pendant qu’elle tire avec ses jambes sur les poids, j’en profite, sous prétexte de lui montrer quels muscles elle doit travailler, pour poser mes mains sur ses reins, en la massant légèrement. Puis je descends sur ses cuisses en frôlant ses fesses du bout des doigts. Je tire un peu sur son legging et le lui rentre un peu dans les fesses, j’ai maintenant une vision de rêve sous les yeux et je remarque que plusieurs mecs autour de nous se sont arrêtés pour mater son imposant postérieur superbement moulé. Je reviens vers le haut de son corps et lui pose une main sur l’épaule. Elle tourne la tête vers moi et… pose les yeux directement sur la bosse qui déforme mon jogging. Elle rougit à nouveau, mais ne détourne pas les yeux. Je me racle la gorge.
T’as encore une tâche, dis-je.
Hé bien… enlève-la, répond-elle en battant de ses longs cils.
Je lui tapote le cul à plusieurs reprises, mais cette fois, je m’attarde, l’agrippant presque les dernières fois, tout prêt de l’entrejambe. Claudia ne dit rien, mais je l’aperçois se mordre la lèvre. Elle se relève ensuite, l’air perturbé. Je décide de tâter un peu le terrain.
Bon, il est temps d’y aller, par contre, au lycée, lundi, ça redevient Monsieur pour toi compris ? lui dis-je en souriant.
Oh… déjà ?
Je sens une prise.
Enfin, je ne m’en vais pas tout de suite, je vais aller un peu profiter du sauna d’abord.
Ah je vois…
Tu veux venir ? Ça fait toujours du bien après une bonne séance de sport.
Elle semble hésiter quelques secondes puis accepte de me suivre. Bingo !
Quelques minutes plus tard, je suis installé dans le sauna, nu, une serviette autour du bas du corps. Quelqu’un toque et j’ouvre la porte. Claudia me sourit timidement et je la fais entrer, elle a retiré son débardeur et porte une brassière bleue prête à éclater. Elle a également une serviette autour du bas du corps. Ayant déjà fait chauffer les pierres à sauna, je jette de l’eau dessus et on s’assoit. L’un en face de l’autre, séparés par deux mètres emplis de vapeur sèche qui me gâche quelque peu la vue.
Alors ? Comment ça se passe au lycée ? demandé-je.
Dans l’ensemble, ça va… après j’ai foiré ton évaluation, j’ai peur de pas avoir la moyenne, répond-elle avec une moue boudeuse qui me donne envie de la bifler.
Oh je suis sûr qu’on trouvera un moyen de faire remonter ta note, pas vrai ? dis-je en souriant.
Elle rougit et je comprends qu’elle a compris le sous-entendu. Je m’installe plus confortablement en écartant les jambes et ferme à moitié les yeux. Je l’aperçois me reluquer de bas en haut maintenant que je suis à moitié nu. Ses yeux se perdent dans les ombres de ma serviette, entre mes jambes et je ne sais pas si elle peut voir ma demi-molle. La jeune latina tire un peu sur sa brassière en soufflant.
Ça va ? l’interrogé-je.
Oui, c’est juste qu’il fait très chaud.
Oui, normalement, on doit être nus, tu devrais retirer ta brassière, les fibres synthétiques vont t’irriter, ça serait dommage d’avoir des marques sur ta belle peau…
Retirer ma… t’es fou haha je vais pas te montrer mes… enfin c’est gênant, glousse-t-elle en s’agitant sur son siège.
Je commence à la cerner, elle ne fait pas semblant quand elle est gênée (enfin je crois ?), mais pourtant, elle aime bien chauffer. C’est probablement une allumeuse qui ne s’assume pas totalement. Elle joue l’innocente alors qu’elle a un esprit un peu coquin. Une potentielle salope à en devenir donc…
Et pourquoi pas ? Je suis ton prof de sport après tout, j’ai l’habitude de voir des corps féminins… en plus, c’est dans le règlement de la salle, on n’entre pas dans le sauna en portant des vêtements (je mens sur cette partie).
… Tu es sûr ?
Oui, t’inquiète, la rassuré-je.
Elle hésite, rougit violemment puis retire sa brassière par le haut, dans un geste précipité comme pour abréger ce moment. Sa vitesse d’exécution fait jaillir ses seins à l’air libre avec force et ils rebondissent joyeusement devant mes yeux écarquillés. Sa poitrine exposée devant moi est ahurissante, étourdissante, une des plus belles que j’ai vues. Deux globes massifs pointant fièrement en avant comme deux obus. Parfaitement ronds comme deux pêches géantes couvertes de miel. Ils sont royalement couronnés par des tétons roses, légèrement dressés. Mais cette vision ne dure qu’un instant. Claudia jette la brassière sur le côté et serre ses bras autour de ses seins, ce qui les fait gonfler davantage.
Inutile de faire la timide maintenant que je les ai vus, en plus dans cette position tu ne vas pas vraiment te détendre, dis-je l’air décontracté, en regardant ailleurs innocemment.
C’est pas faux, me répond-elle.
Elle me fixe quelques secondes puis libère à nouveau timidement sa poitrine. Je concentre aussitôt mon attention dessus. Elle a les yeux baissés, tournés sur le côté, les joues légèrement roses, ses gros pare-chocs couverts d’une légère pellicule de sueur. Quelle vision ! Je sens ma queue qui se réveille l,à en bas, et je m’imagine déjà la queue entre ses deux nichons, avec Claudia à genoux en train de baver abondamment sur mon gland, levant ses grands yeux de biche innocente vers moi…
Je vais te démonter toi…murmuré-je pour moi même.
Qu’est-ce que tu as dit ?me demande-t-elle.
Euh… j’ai dit Je vais te remonter ta note toi
Elle croise mon regard puis sourit, l’air de reprendre contenance, sa timidité vite envolée.
A,h parce que ça suffit à me valoir des points en plus ? me dit-elle en souriant.
Dans le même temps, elle pose ses bras en arrière sur le banc, s’étirant un peu en avant. Bombant son torse et projetant sa paire de meules vers moi. Ils sont aussi gros que ceux d’Elodie, mais ne donnent pas la même impression d’être gonflés, non ils dégagent plutôt une impression de lourdeur, de poids. Et pourtant, ils restent tendus droits devant elle, comme insensibles à la gravité. J’ai l’impression qu’ils m’appellent, d’ailleurs dans cette position on dirait qu’elle me les offre sur un plateau, prêts à être caressés, sucés, pétris… Mes yeux ne veulent pas s’en détacher, mais je fais un effort pour la regarder dans les yeux à nouveau et je vois à son air goguenard qu’elle a remarqué mon regard fixe.
Je sais apprécier les belles choses, rétorqué-je en souriant.
Oh je les trouverais plus beaux s’ils étaient un peu moins gros, je suis satisfaite de ma silhouette, mais parfois c’est chiant, dur de trouver un soutien-gorge à la bonne taille et ils font mal au dos parfois. C’est pas très pratique dans tes cours notamment. Et puis bon, j’aime pas les gros seins, explique-t-elle avec une moue boudeuse.
Pendant qu’elle m’explique tout ça, ses mains se posent sur ses seins, qu’elle malaxe rapidement avant de les soulever dans la paume de ses mains comme pour me les montrer mieux. Je déglutis, où est passée ma petite élève innocente et réservée ?
Oh tu ne devrais pas, ils sont superbes comme ça… leur seul défaut c’est qu’ils déconcentrent tes camarades et que je dois les rappeler à l’ordre haha… enfin il n’y a pas que tes camarades que tu déconcentres…Lui dis-je doucement.
Elle rougit puis se racle la gorge avant de changer de sujet, l’air de se rétracter comme si elle avait compris où cette conversation la mènerait.
En parlant de sport, c’était une sacrée séance, j’ai mal partout haha, glousse-t-elle.
Où en particulier ? dis-je, décidé à ne pas laisser la biche sortir de mon piège.
Bah ce qu’on a travaillé, mollets, cuisses, fessiers.
Attends je vais t’aider, comme en cours la dernière fois où tu t’es fait mal.
Elle paraît hésiter et sans lui laisser le temps de me répondre, je traverse la petite pièce, et me tiens debout devant elle en la regardant dans les yeux. Elle se cache les seins et fixe mon torse nu quelques secondes, puis ses yeux descendent sur la légère bosse de ma serviette. Elle inspire et me répond d’un petit d’accord. Je me mets à genoux et j’attrape une de ses chevilles avant de commencer à lui masser le mollet. Au début, je sens son regard sur moi, mais je lui dis de se détendre et elle penche la tête en arrière tout en laissant retomber ses mains sur le banc et en fermant les yeux. Je peux alors relever la tête et admirer ses nichons massifs de très près. Mais je dois me concentrer sur mon massage sans me laisser distraire. Sa respiration s’accélère un peu alors que, innocemment, je lui écarte un peu les jambes pour soi-disant avoir un meilleur accès à son mollet.
Comment ça se passe avec ton copain ?
Qu’est-ce qui vous… euh te fait dire que j’ai un copain, dit-elle en se raidissant légèrement.
Une fille aussi magnifique et populaire que toi en a forcément un…
Je la masse avec plus d’intensité et elle se détend à nouveau. Mais elle me regarde à nouveau et je ne peux plus la mater, je garde la tête baissée vers ses mollets. Puis je m’aperçois qu’en écartant les cuisses, je peux voir dans le trou de sa serviette. Au bout de ce couloir sombre, j’aperçois son joli entrejambe, parfaitement épilé.
Eh bien… y a un garçon avec qui… on va dire qu’on flirte parce que c’est pas encore officiel. Mais il… enfin il préfère les filles avec moins de formes il veut que je maigrisse.
Je glousse doucement, quel idiot ! Claudia n’est pas le genre de fille un peu enrobé ce qui lui donne des formes en trop. Elle est déjà mince, comme en témoignent son ventre plat et ses longues jambes. Mais elle a naturellement une silhouette en huit. En pensant à cela, je ne peux m’empêcher de jeter un coup d’il sur son imposante poitrine, elle me regarde toujours, mais elle doit avoir l’habitude d’être matée, quel homme pourrait s’en empêcher ? La nature l’a superbement bien dotée, ils sont bien formés, défiant les lois de la physique au-dessus d’une taille fine et des hanches délicieusement évasées. Elle a un corps naturellement sculpté pour plaire, impossible pour elle de le changer.
Ce garçon est un idiot alors, tu es… parfaite (lorsque je dis ces mots, je dévore son corps des yeux de manière assumée, alors qu’elle me regarde l’air de plus en plus troublé.) Et puis les garçons adorent les formes tu sais ?
Mon élève se lève soudainement et s’éloigne un peu du banc. Elle se cache à nouveau les seins avec les mains.
Je pense que le massage a suffi, ça va mieux, explique-t-elle nerveusement.
Je contiens ma déception et mon agacement puis décide de tenter une dernière fois.
Mais je n’avais pas fini Claudia, tu ne vas pas être totalement détendue, dis-je en me rapprochement tout près d’elle.
Elle recule et se retrouve dos au mur.
Oui, mais on ne devrait pas… commence-t-elle en baissant les yeux.
Je pose une main sur sa hanche.
On ne devrait pas quoi ? On a rien de fait de mal, je rétorque en souriant.
Je glisse mon autre main vers son épaule et commence à la masser là aussi.
Tu es mon prof… et en plus mon copain n’apprécierait pas que je me fasse masser comme ça…
Sa bouche tient un langage, son corps en tient un autre. En même temps qu’elle me parle, elle s’est elle aussi collée à moi, posant une de ses petites mains sur un de mes pectoraux. Elle cache toujours ses seins avec son autre bras, sinon ils seraient plaqués contre moi. Je l’entoure de mes bras, massant ses omoplates, puis son bas du dos et elle se cambre comme pour mieux apprécier. Je la tiens par la taille des deux mains et une de mes mains remonte jusqu’à ce que le dessous rebondi de son sein vienne remplir le creux entre mon pouce et mon index.
Ton copain n’en saura rien, et puis même s’il l’apprend qu’est-ce que tu veux qu’il dise ? Tu n’as commis aucun écart. Je crois que tu exagères, la situation est tout à fait normale, laisse-moi donc finir de m’occuper de toi…ça fait partie de mon rôle de professeur.
Elle reste impassible puis retire son bras, libérant ses deux torpilles d’albâtre qui viennent délicatement rebondir contre le haut de mon ventre, y laissant un contact chaud, doux et onctueux.
OK alors on finit juste le massage et on rentre… murmure-t-elle.
Bien sûr ! dis-je d’un ton enjoué.
Je me rassois et elle se tient debout devant moi, les bras autour de ses seins, je prends une de ses jambes et je la fais poser son pied sur le banc entre mes cuisses pour pouvoir lui masser le mollet.
Je disais donc… les garçons adorent les formes, tu ne devrais pas l’écouter…
Oh ça je le sais bien qu’ils les adorent, répond-elle.
Ah ? Et comment le sais-tu ?demandé-je sur un ton innocent.
Je vois bien leurs regards… et j’entends leurs commentaires…
Du style ?
Bah que je suis bonne, qu’ils veulent me déglinguer ou que j’attends que de me faire baiser…
Et tu fais rien pour qu’ils disent tout ça ? Ou tu les chauffes un peu volontairement ?…
Bah parfois… un peu, c’est marrant, explique-t-elle en rougissant.
Tiens, assieds-toi sur mes genoux, tu seras mieux que debout.
Elle obéit et pose son superbe cul enroulé dans sa serviette sur moi. Je recule un peu et masse son dos.
Et tu ne cèdes jamais à leurs avances ?
Huuumm… ils ont que de la gueule, c’est des gamins…
Et alors, comme si c’était naturel et que cela faisait partie du massage, je passe mes mains à l’avant et j’attrape ses seins d’un coup. Elle sursaute, pose ses mains sur les miennes, mais ne les retire pas. Je la sens qui respire fort alors que je commence à malaxer ses gros seins. Ils sont parfaits, lourds et ronds en main, doux et fermes…
Ouais, faut dire que t’es très mature pour ton âge, ils sont pas au même niveau.
Ahh… euh… oui… gémit-elle.
Elle remue un peu, les yeux fermés, je la serre contre moi et embrasse son cou. Mais soudain elle se retourne vers moi et me fixe. Je m’apprête à l’entendre me dire d’arrêter, mais… elle m’embrasse. Un peu surpris au début, je lui rends son baiser avec plaisir. Je la retourne vers moi et je continue à lui dévorer les lèvres en jouant avec ses tétons durs. On a largement dépassé la situation du massage ou la relation prof-élève. Jai une petite pointe de culpabilité, mais… putain elle est vraiment bonne quoi.
Très vite, la situation bascule et ma main se glisse sous sa serviette. Elle pousse des petits gémissements qui m’excitent alors que je lui caresse le clito en lui léchant les seins. Deux minutes plus tard, je me retrouve à genoux devant elle.
Qu’est-ce… qu’est-ce que tu fais, dit-elle en resserrant les cuisses.
On t’a jamais fait de cunni ?
Bah… non.
Alors, accroche-toi, tu vas adorer ça…
Sous mes caresses, elle obéit et me laisse lui retirer sa serviette. Elle a un bassin bien large, des cuisses dodues et au milieu, une petite chatte rose bien rasée. Un délice.
Elle frémit alors que je dépose des baisers sur ses cuisses, approchant mon souffle chaud de son entrejambe. Après quelques coups de langue qui la font s’agiter dans tous les sens, je me mets à lui bouffer la chatte avec envie. Jouant avec ma langue et mes doigts, je lui masse le clito et profite de ses petits gémissements. Elle mouille vraiment abondamment et le banc sous ses fesses est aussi trempé que mon visage.
Oooohhh… AAHH… Monsieur vous… tu… HHHUUUUMMMM…, gémit-elle en s’accrochant à mes cheveux.
Au bout de cinq minutes, je la sens jouir contre moi, elle resserre les cuisses autour de ma tête et elle se contracte en poussant un long râle de plaisir. Je souris, me relève et lui embrasse les seins en les malaxant. Ma bouche remonte vers la sienne et on s’unit à nouveau. Elle m’embrasse fougueusement cette fois, toute son inhibition mise de côté, je comprends que c’est vraiment une coquine malgré son absence d’expérience. Je fais glisser ma main entre ses cuisses pour la caresser encore, mais plus doucement cette fois et elle ne me repousse pas.
Bon maintenant à toi.
Hein ?me demande-t-elle en rougissant.
T’as très bien compris, t’es une fille intelligente.
Je m’assois sur le banc et lui indique du doigt le sol devant moi. Elle récupère sa serviette pour se cacher dans un geste de pudeur un peu inutile puis se met timidement à genoux devant moi. Ça m’excite qu’elle tente encore de se cacher alors que je l’ai vue entièrement nue. Et son regard… ses grands yeux bleus innocents où brille quand même une lueur de perversion.
Jenlève la serviette autour de ma taille, putain je bande comme un fou. Ma bite apparaît dans toute sa gloire et Claudia pousse un petit oh ! de surprise. Elle fait les gros yeux en se mordant la lèvre quand je l’invite à venir m’attraper.
Elle est… commence-t-elle.
Appétissante j’espère ?
… euh… j’allais dire grosse surtout.
Plus grosse que celle de Baptiste ?
J’ai jamais vu celle de… attends comment tu sais que ?…
Chuutt pas d’importance, concentre-toi, touche-la !
Elle la fixe, mi-inquiète mi intriguée puis la prend en main. Elle l’observe, la touchant des deux mains, comme si c’était sa première. Ah oui, c’est sa première.
Je pousse des petits grognements au moindre de ses gestes tellement je suis excité. Et ses petites mains douces qui soupèsent ma queue, la malaxent un peu, m’effleurent de tous les côtés… j’ai envie de la démonter.
Comme un robot, sans même s’en apercevoir, elle passe de réticente à hypnotisée et commence à me branler automatiquement. Quelle vision de rêve, Claudia, mon élève qui lâche sa serviette tellement elle est concentrée dans son travail et me dévoile son petit corps pulpeux à genoux entre mes cuisses, ses mains glissant le long de ma hampe. Sous ses caresses, je gonfle et grandis encore et ma bite se dresse fièrement.
Allez maintenant, ouvre la bouche, ordonné-je.
Mais… je sais pas si… huumm… hésite-t-elle.
Claudia. Regarde comme je bande, c’est toi qui me fais ça.
Elle me regarde dans les yeux, se penche en avant et embrasse ma queue. Puis elle la prend en bouche. e la vois remuer un peu, gênée, puis elle se met à baver un peu et au bout d’une vingtaine de secondes, guidée par mes conseils, elle se met à sucer doucement ma bite. Je bascule la tête en arrière en gémissant, profitant de sa bouche chaude. Je tiens ses cheveux en queue-de-cheval et je prends mon pied.
Ouais c’est bien petite cochonne, suce bien comme ça…
Elle ne répond pas, ne s’offusque pas. La situation a l’air de l’exciter parce que de son autre main elle a recommencé à se toucher.
C’est alors que j’entends une sonnerie. Je tourne la tête, c’est le téléphone de Claudia, rangé dans une petite pochette transparente imperméable avec mon propre téléphone. Malheureusement, elle l’entend et s’arrête aussitôt pour tendre le bras et saisir son téléphone.
Putain de merde ! Pourquoi maintenant ? J’avais gagné, elle était en train de m’astiquer doucement le chibre, la bouche autour de mon sexe et il a fallu que son foutu téléphone sonne ! Elle regarde l’écran, paraît hésiter. Son regard va de sa main droite qui tient son téléphone, à sa gauche qui tient encore ma bite. Puis à mon grand étonnement, elle décroche en continuant à me branler.
Oui allô papa ?
Oh putain la salope…
Oui je suis encore à la salle, mais…
…
Oui c’est plus tard que d’habitude, mais j’ai croisé mon prof de sport.
…
Oui il me fait un… cours particulier.
n disant ça, elle me regarde dans les yeux, sourit, puis dépose un baiser sur mon gland. Je suis sur le point d’exploser, je me mords la lèvre pour ne pas faire de bruit.
Tout le lycée se trompe, ce nest pas une sainte cette fille, mais une nana à foutre sur le trottoir !
La suite me fait encore plus halluciner. Elle vient mordiller mon gland tout en écoutant son père.
Hum… hum ? Ah… OK bisou papa à ce soir !
…
Oui t’inquiète, il va rien m’arriver, je suis ta petite fille à toi… tu veux lui parler ? OK.
Et elle me tend le téléphone en me faisant les gros yeux. Elle arrête de me sucer pour écouter la conversation, inquiète, mais dès que le téléphone est contre mon oreille, je lui attrape les cheveux et j’enfonce de force ma queue dans sa bouche.
Oui allô ? demandé-je.
Oui bonjour, c’est le père de Claudia, vous allez bien ? me répond une voix bourrue.
Pendant ce temps, j’agrippe toujours la tête de la jeune fille pour l’empaler sur ma bite. Je la vois, surprise, essayer de résister un peu puis céder et engloutir ma bite bien plus loin que depuis tout à l’heure. Elle devient rouge, ferme les yeux et elle s’avance d’elle même pour me prendre au fond de sa gorge.
hhhuumpp ggloorrppp ggooglloo…
Je… oui ça… hum… va très bien et vous Monsieur ?
Oui merci, ça se passe bien la muscu avec Claudia ?
GGLOOGGLOOO… HHUUMMFF.
Je relâche Claudia qui crache ma bite en toussant. Ma queue, encore reliée à ses lèvres pulpeuses par un filet de bave vient rebondir entre ses deux gros seins.
Oui ça se passe bien, elle est appliquée et obéissante.
Euh… je vois, écoutez, il est un peu tard et je voulais savoir si vous pouviez la raccompagner en voiture.
De l’autre côté, Claudia a repris son souffle, je l’attrape donc par la nuque pour la faire sucer à nouveau. Elle écarquille les yeux, choquée, mais se remet au travail sans rechigner.
Oui bien sûr, vous avez raison c’est plus prudent !
Vous me la passez ?
Oui, tenez…
Claudia reprend le téléphone en recrachant ma bite et prend une grande inspiration avant de répondre.
Aaahh… oui papa ?
…
Non je suis juste essoufflée parce que je fais un nouvel exercice… avec une nouvelle machine…
Tout en parlant à son père, elle me branle vigoureusement. Elle finit par me repasser son père et j’en profite pour reprendre possession de sa bouche.
Bon, du coup elle est d’accord, je vous laisse à votre séance Monsieur ! dit le père de Claudia sans se douter quelle est la nature de la séance qui attend sa fille…
Pas de problème, bonne soirée à vous !
Heureusement que son père raccroche parce qu’en face, Claudia est en train de devenir vraiment bruyante, elle produit des bruits de gorges et de succions et de mon côté, j’ai du mal à retenir mes grognements. Je finis par la lâcher à nouveau et elle reprend son souffle, ses jolies joues toutes rouges. Elle est surprise de découvrir le vrai moi, de voir que tous les hommes réagissent de la même manière face à une chienne pareille.
T’es vraiment une coquine toi… allez, sois une bonne fille bien élevée et pompe-moi, ton père m’a dit d’être dur avec toi, pas de favoritisme.
Hein ? Il a vraiment dit… GGHH GGLLOOOGLLOOO HHUMMPPFF.
Oh bordel, c’est magique, je lui baise la tête, profitant de sa petite bouche dans de rapides va-et-vient. Toujours en la tenant par les cheveux, je lui impose un rythme un peu moins soutenu, mais à sa manière de s’empaler seule sur ma queue je sens qu’elle adore être utilisée comme il me plaît. Elle lève ses grands yeux de biche, qui sont maintenant plutôt des yeux de chienne vers moi et je regarde avec satisfaction sa petite bouche déformée par ma grosse bite, ses lèvres pulpeuses écartées pour en faire le tour.
Ah putain, Claudia, t’es sûre que c’est ta première fellation… putain c’est trop bon !
C’est vrai ? Je fais ça bi… ggglluurrrppp hhuunnggfff gglurp.
Ta gueule et continue de me sucer.
Je ne me gêne pas pour envahir sa bouche, je lance quelques insultes et loin de s’en offusquer, ça semble l’exciter.
Oh tu suces comme une reine… t’es faite pour avoir une queue en bouche !
Mais je n’ai plus beaucoup de temps je dois la ramener chez elle. Mais avant ça, je dois entièrement la corrompre et faire d’elle ma petite soumise. Il faut qu’elle revienne vers moi d’elle-même, je ne me contenterais pas d’un one shot avec une bombasse pareille, et une énorme coquine à en devenir. Je retire ma queue de sa bouche.
Excuse-moi pour ma brutalité… ton coup de téléphone m’a vraiment trop excité.
Hhhaaaa… hhaaaa… bah c’était un peu le but, me dit-elle en souriant timidement.
Je me penche en avant et je la soulève d’un geste. Elle ne résiste pas et s’agrippe à mes épaules et m’embrassant. Je la pose allongée sur le banc, moi entre ses cuisses relevées. Gênée, elle cache son sexe d’une main et ses seins de l’autre. Je glousse en attrapant ma pochette imperméable, et mon portefeuille dedans.
Tututut, pas besoin de te cacher avec moi ma belle. Je te trouve parfaite.
Oui, mais là… tu veux faire quoi ?
A ton avis ? souris-je en sortant une capote de mon portefeuille.
Il y a un blanc alors que j’enfile la capote, mais elle reste allongée. Puis je l’entends dire tout bas.
Je sais pas trop… j’avais pas prévu de faire ça comme ça… avec mon prof en plus c’est mal et…
Chhuuttt… on le fait pas si tu veux pas. Mais je sais que t’en as envie, regarde comme tu m’as sucé !
Je…
N’essaie pas de le cacher, j’ai jamais vu quelqu’un mouiller autant. Si t’as aimé ce qu’il se passe depuis tout à l’heure alors tu vas kiffer que je te la mette bien au fond…
Elle hésite encore et pour la narguer, je dépose ma queue sur son ventre, la faisant rebondir doucement pour qu’elle ait une idée de ce qui va entrer en elle. Elle semble impressionnée. Je me penche vers elle, et suce ses tétons en la caressant. Elle se remet à gémir et sa peau se couvre de chair de poule alors que j’embrasse son cou.
J’ai trop envie de toi… et toi aussi… t’as qu’une envie c’est que je te démonte comme une petite chienne…
Ça…ça va me faire mal ?
Juste un peu au début.
Elle me fixe, puis enlève sa main de son sexe. Je souris en comprenant que victoire est mienne et je place mon gland à l’entrée de sa chatte lisse. Je pousse mon gland contre elle et j’entre doucement alors qu’elle lâche un long gémissement. Elle s’accroche à moi et je m’allonge sur elle, ses gros seins parfaits collés contre mon torse. Elle me mord l’épaule alors que je la fends en deux. Je glisse lentement dans son sexe qui est serré et brûlant. A chaque centimètre de plus ses gémissements s’accentuent et elle me griffe le dos au moment où je perce une résistance.
Ça y est, elle n’est plus vierge.
Claudia est une femme.
Elle a le souffle coupé, mais un sourire extatique flotte sur ses lèvres.
Ça va ? Pas trop mal ? demandé-je inquiet en voyant ses yeux révulsés.
Non… aaaannhhh… c’est trop bon… je te sens tout au fond…
Je me mets à rire et elle relève la tête, intriguée.
J’ai même pas mis la moitié ! C’est à peine plus qu’un doigt là !
Oh mon Dieu… murmure-t-elle en relevant la tête et en constatant que je ne suis pas encore au fond d’elle.
Bon… dis-je sans toutefois bouger.
Tu attends quoi ? demande-t-elle entre deux gémissements.
Que tu dises clairement ce que tu veux Claudia.
… Tes sérieux… euh… allez vas-y s’il te plaît…
Pas assez motivant.
Allez baise-moi Clément ! sexclame-t-elle impatiente.
Je ressors un peu pour prendre mon élan et commencer à sauter cette petite pute. Je vais lui faire vivre la meilleure baise de sa vie.
TOC TOC TOC !
Merde ! Quelqu’un toque à la porte du sauna.
On va fermer le sauna ! Sortez !
Bordel.
De.
Merde.
C’est une blague ?
Claudia me repousse aussitôt en arrière et se relève en gémissant. On échange un regard et je peux voir qu’elle est aussi frustrée que moi. Mais on na rien le temps de faire là.
J’ai l’impression de bouillir de l’intérieur, c’est dans un silence de mort qu’on prend nos affaires et qu’on sort du sauna. Le gars à l’extérieur me lance un regard méfiant, mais l’apparition de Claudia qui a remis sa petite brassière détourne aussitôt son attention. On part se rhabiller et furieux, je galère à remettre mes vêtements avec l’énorme trique que j’ai… j’étais à deux doigts de… sa cyprine couvre encore mon sexe.
Je sors de la salle et trouve Claudia habillée et coiffée en train de m’attendre. On monte dans ma voiture sans vraiment parler. Au cours du trajet, elle essaye d’animer la conversation en parlant du lycée. Ça me frustre qu’elle parle comme ça comme s’il ne s’était rien passé. Je finis par me garer devant chez elle, une petite maison dans un quartier résidentiel plongé dans l’ombre d’une cité HLM. Elle s’apprête à me dire au revoir, mais je l’arrête.
Tu veux faire comme si de rien n’était ?
Je pense que c’était une mauvaise idée… explique-t-elle en esquivant mon regard.
Je pose mon bras sur son appuie-tête et une main sur son genou. Elle ne me repousse pas.
Et donc ? Qu’est-ce qu’on fait ?
On ne recommencera plus et on revient à une relation prof élève normale, m’explique-t-elle l’air déterminé.
Elle est mignonne avec ses jolis sourcils froncés. Je me penche vers elle et l’embrasse.
Deux minutes après, j’ai la tête entre ses seins et une main dans sa culotte.
J’agite furieusement les doigts dans sa chatte et elle gémit comme une folle en s’agrippant à mes cheveux et à mes épaules. Pendant que je la doigte, elle gémit des propos sans queues ni tête c’est… hhuumm… la dernière fois… AAANNHH. Finalement, elle jouit violemment contre le tableau de bord et après avoir un peu soufflé, elle sort de la voiture. Elle fait le tour en boitant un peu, l’air exténué. Et je baisse ma vitre quand elle passe devant.
Alors cette séance de sport ? Tu en diras quoi à ton père ?
Que c’était exténuant, j’ai mal partout, réplique-t-elle sur un ton boudeur.
Elle se penche en avant, les coudes sur le rebord de ma vitre et je me demande si elle fait exprès de me montrer son décolleté comme ça.
Et du coup… ma note est remontée ? minaude-t-elle en souriant.
Bonne question, on va dire que oui, mais juste la moitié des points, tu auras l’autre moitié quand on ira au fond des choses.
Elle rougit et fronce les sourcils, mais avant qu’elle ne puisse protester, je dépose un baiser sur ses lèvres et je démarre. Dans le rétroviseur, je la vois faire volte-face pour rentrer chez elle et je la quitte sur une vision de son corps en sablier de dos, et son gros cul bombé que j’ai hâte de me faire.
Laissez un commentaire si vous avez aimé ! Je ferai peut-être une suite si j’ai assez de retours !