Je m’appelle Axel, j’ai 18 ans et je suis en terminale. L’histoire est récente et date de quelques mois. Elle va être racontée au présent et à la première personne.
«Il faut tout d’abord mettre les bases de l’histoire, il y a 5 mois de cela, avec ma meilleure amie Elena, nous étions très proches et nous nous tournions autour sans cesse. Je lui ai donc proposé que nous nous mettions ensemble. Elle m’a alors demandé de lui laisser le temps de réfléchir, car elle ne voulait pas détruire notre complicité, ce qui était légitime. Après un mois de réflexion, elle m’a annoncé qu’elle voulait rester ma meilleure amie malgré les rapprochements. Je venais donc de me prendre une énorme friendzone. Je me suis mis en couple rapidement après sa réponse pour effacer mes sentiments pour elle au plus vite. Je vais maintenant pouvoir commencer l’histoire. Cela se passe un mois après ces événements. C’est un lundi après-midi, après une journée de cours assez courte, nous avons fini à 14h30. Elena étant dans ma classe, elle m’a proposé d’aller dans le parc en face du lycée pour discuter.
Il fait beau, nous sommes sur un banc au soleil, et nous parlons du bac qui arrive à grands pas et de nos projets perso pour les grandes vacances. Elle me parle avec envie de la colonie de vacances où elle va aller, mais s’arrête d’un coup, comme si quelque chose la travaillait.
Qu’est-ce qu’il t’arrive ?
Je peux te poser une question ? me demanda-t-elle, gênée.
Bien-sûr, tu sais que l’on peut tout se dire.
Nan, mais c’est une question… particulière, me dit-elle d’un ton plus bas qu’au début de notre conversation.
Arrête tes conneries, accouche Elena.
Non, mais je te parle sérieusement, promets-moi de ne pas me juger s’il te plaît.
Pfff.
Axel, s’il te plaît, je suis sérieuse.
Elle me regardait à la fois avec timidité et confiance en attendant ma promesse.
Promis.
Tu sais, je vais en colonie pour ces vacances et à 18 ans, on pense un peu tous à la même chose et il risque de s’y passer plein de choses.
Elle me jette des regards timides et insistants, sûrement pour trouver du réconfort et de la confiance dans le mien.
Elle continue :
On se connaît depuis longtemps et je te fais confiance comme à personne. C’était pour te demander de m’enlever ma virginité.
J’ai un moment de doute, mais non, elle m’a vraiment demandé de lui retirer sa virginité, car elle a confiance en moi tout en sachant que j’ai une copine, mais également, alors qu’elle m’avait FZ quelques semaines avant.
C’est délicat ce que tu me demandes, Elena, après ce que tu m’a dit, mais je suis d’accord, j’aimerais bien également faire ça avec toi, je t’avoue que c’était l’un de mes fantasmes.
Je crois que je rougis et que ça se voit vraiment beaucoup. On finit l’après-midi à parler de tout et rien. On se quitte et on rentre chez nous.
Le soir, on continue de parler et on revient sur le fait de lui retirer sa virginité.
Mes parents ne sont pas là ce week-end et ma sur dors chez sa pote vendredi soir, t’es dispo ?
Bien sûr, il y a besoin que je ramène des trucs ?
Non, j’ai tout prévu, ne t’inquiète pas, on commandera des pizzas. Mais Axel, il se trouve que je ne t’ai pas tout dit.
Oula, tu me fais peur. T’es un mec ??
Mais non, t’es con, mais ça fait quelques semaines que j’avais prévu de t’en parler en fait, et j’en avais déjà parlé à ML (Marie-Laure, une amie proche de nous deux de notre classe) justement et je veux toujours que tu m’enlèves ma virginité, mais…
Mais…?
Elle le veut aussi, elle veut que tu lui enlèves sa virginité et je me suis dit qu’un plan à 3, c’était le fantasme de tous les mecs et entre nous, ça pourrait être amusant.
Je ne sais plus quoi dire là, Elena.
Ta réponse ?
Je t’avoue que je ne peux pas refuser, c’est fou, j’ai l’impression que c’est une grosse blague, mais je kiffe grave cette situation que tu me proposes là.
La fin de la semaine arrive et on est tous les 3 à se jeter des regards pendant la journée comme pour se préparer à ce qu’il allait se passer ce soir.
On finit les cours à 17h30 et on a environ 20min de marche pour aller chez Elena. La route est très calme comme si on était en « date » et qu’on était timides. On savait ce qu’il allait se passer et que l’on allait plus être les mêmes après cette soirée.
On arrive aux alentours de 18h chez elle, plus aucun problème ou timidité, on retrouve des conversations à propos de tout, on se pose sur le canapé, on est sur nos téléphones. Je n’avais pas vu qu’Elena s’était levée. Elle a pris mon téléphone, me sortant de mes pensées, elle est debout en face de moi, elle est petite, mais parfaite, tout ce que j’aimais chez une fille. Et là, elle se penche vers moi pour m’embrasser, mais hésite et marque une pause lorsque nos lèvres se frôlent. Je sens sa respiration chaude qui s’accélère, puis je décide d’engager le pas et l’embrasse. Elle s’assied sur moi, alors que nos lèvres ne se décollaient pas une seule seconde. Elle passe ses mains chaudes sous mon tee-shirt et crée un frisson en moi.
Ça va, je vous dérange pas, j’espère *dis ML, pour nous séparer en rigolant* moi aussi je veux participer *continue-t-elle*
Quoi, t’ es jalouse ? *dis Elena*
Puis elle descend de mes genoux pour aller l’embrasser. Elles se chauffent et enlèvent leur jean. Elles sont maintenant à côté de moi en petite culotte et tee-shirt léger à cause de la chaleur des beaux jours.
Je les vois se chuchoter quelque chose et je les vois arriver vers mois avec un grand sourire. ML me prend les mains pour mettre debout et m’embrasser. Elle est un peu grande que Elena, mais reste plus petite que moi. Elle décide alors – elle aussi – de passer ses mains sous mon tee-shirt pour l’enlever
et Elena est derrière moi. Elle défait ma ceinture et fait tomber mon jean.
A ce moment-là, on est à égalité ou presque. On est là, debout à regarder le corps de l’autre. Elena porte une culotte en dentelle noire et un tee-shirt blanc qui laisse deviner son soutien-gorge du même ensemble. Quant à ML, elle porte une culotte grise C. Klein assez moulante et un tee-shirt gris.
Elena se met devant moi et se tourne, elle passe ses mains dans son dos et dégrafe son soutien-gorge, elle n’a plus que son tee-shirt pour cacher sa poitrine. Je décide de la prendre dans mes bras et poser mes mains sur son ventre pour doucement les remonter. ML est dans mon dos et je la sens qui me fait des bisous dans le dos. Je continue à parcourir le corps d’Elena avec mes mains, j’effleure l’un de ses tétons. Ils sont tout durs. Lorsque ce contact se produit, elle eut un tremblement et elle émit un petit gémissement. Je décide de repasser sur cette zone qui lui était sensible, elle eut d’autres gémissements.
D’un coup, on entend le bruit de la clé se tourner dans la serrure de la porte. On se regarde. On est tous en sous-vêtements dans son salon et une personne arrivera d’ici 15 secondes, pas le temps de réfléchir. Avec ML, on se saisit de nos affaires et on monte à l’étage dans la chambre d’Elena. C’est une petite chambre rose avec un lit au milieu et des photos accrochées au mur.
De l’étage, on entend tout ce qui se passe en bas, c’est sa sur.
Mais tu fous quoi ici toi ? dit Elena avec méfiance et peur à la fois.
J’ai oublié quelque chose, ça va, tu va avoir ta soirée toute seule, tu pourras t’amuser avec ton célibat.
Trop marrante, bon, t’as oublié quoi encore ?
Un truc dans ma chambre.
On entend des pas dans les escaliers, c’est sa sur qui monte. On ferme la porte de la chambre discrètement puis quelques secondes après, on l’entend redescendre. Je suis maintenant avec ML en boxer et elle, en sous-vêtements moulants. Elle avait les tétons qui pointaient et la culotte mouillée. Elle voit elle aussi la forme de mon sexe en érection dans mon boxer. Sans se parler, on se rapproche et on s’embrasse. On se laisse tomber sur le lit, je me retrouve au-dessus d’elle. Je commence à lui toucher la cuisse puis remonte ma main vers sa culotte de plus en plus mouillée par l’excitation de la situation. Je ressens ses frissons à chaque fois que je touche ses lèvres humides à travers sa culotte. Je sens en même temps sa main effleurer ma verge. J’ai décidé de remonter mes mains au niveau de ses seins et de lui enlever sa brassière C. Klein pour découvrir ses magnifiques seins. Elle doit faire un bonnet C, ils ont une forme de poire, mais assez ronds.
Elle a de jolis petits tétons rosés, car elle assez blanche de peau. Je décide d’approcher ma bouche de ses tétons et y mets des coups de langue, ce qui accentue ses frissons et lui fait faire des petits gémissements. J’ai donc maintenant dans une main l’un de ses seins et l’autre qui redescend pour lui toucher ses lèvres à travers la culotte. Elle a les mains posées sur ma tête comme pour me faire comprendre de ne pas arrêter les bisous sur sa poitrine. Sa culotte est de plus en plus mouillée, et je décide de passer la main de l’autre côté du tissu pour accentuer son plaisir. Ses lèvres sont humides et toutes chaudes. Je sentais ses mains se crisper au premier contact de mes doigts.
La porte de la chambre s’ouvre d’un coup, c’est Elena :
Eh les deux, ça fait 10 minutes que je vous appelle, mais à ce que je vois, vous vous amusez bien.
ML et moi sommes gênés comme deux gosses que l’on prend à faire une connerie.
On attendait que tu finisses avec ta sur, *dis ML*
Bah, t’attends quoi ? Rejoins-nous, *dis-je*
Elle sourit et se faufile entre nous deux. Elle se met sur le dos puis je décide de lui enlever son tee-shirt pour lui faire goûter à la même sensation que ML. Ses seins étaient plus ronds et légèrement écartés. Elle doit faire un bonnet D. Elle avait les tétons plus foncés que ML, elle était kabyle et avait une peau bronzée naturellement. ML prend alors un sein et moi l’autre. Je fais également descendre une main vers son entrejambe déjà bien humide. Elle devait se toucher en nous attendant. Après l’avoir masturbée quelques minutes à travers sa culotte, je décide de lui enlever sa culotte et engager un cunni. A chaque coup de langue, des gémissements de plus en plus forts et intenses se font entendre. ML, elle, se masturbe tout en léchant les tétons d’Elena.
On entend un téléphone sonner, ce qui nous fait nous arrêter. ML descend chercher son téléphone.
Il est 19h45 *nous dis ML*
Faut commander les pizzas, les filles, on va trop attendre après.
Vous voulez quoi ? Je commande ? *nous demande ML*
4 fromages *lui crie Elena*
Pour moi, c’est une Campagnarde stp.
OK, je commande *nous confirme ML*
Elena remet sa culotte et son tee-shirt et on décide de descendre. On met un film sur Netflix en attendant les pizzas.