Bonjour, je m’appelle Mat, j’ai 18 ans, je vais vous raconter ce qui m’est arrivé l’année dernière. Je suis un jeune mec hétéro, brun les yeux bleus, 1m75 70 kg, je suis assez timide et depuis peu je suis attiré par les hommes. Mais je ne savais à qui en parler, alors j’ai pris mon courage à deux mains et je suis allé acheter un magazine gay.
En rentrant à la maison, je m’allongeai sur mon lit et feuilletai le magazine, les photos de mecs musclés nus, ou en train de se caresser voire plus m’excitait alors je sortis mon sexe et je commençai à me masturber quand mon père entra dans ma chambre, je laissai le magazine tomber et me cachai sous ma couverture.
Jétais mort de honte, mon père m’avait vu en train de me branler, et pire, je me rendis compte qu’il avait pris mon magazine en sortant de ma chambre.
-Mat, descend. Vite !
-J’arrive papa.
Mon père avait la tête des mauvais jours.
-Tu faisais quoi dans ta chambre là?
-Rien, je te jure.
-Ne te fous pas de moi. alors?
-Je me masturbais.
-Ce n’est pas ça le problème, c’est que tu faisais ça devant un magazine de pédé!!!! Dis-moi que tu n’en ais pas un ?
-Bah, je ne sais pas trop, je me pose des questions.
-Je ne vais rien dire à ta mère si tu me promets de ne pas recommencer.
-Ok !
-Maintenant je vais te prendre en charge et tu vas faire des trucs de mecs, ok?
-Oui oui.
Mon père m’emmenait voir des matchs de foot, dès que lon croisait une fille il me disait, elle est bien hein?
Il croyait que j’allais redevenir hétéro en faisant des "trucs de mecs". Voire in macho, jusqu’au jour où il me dit:
-j’ai une surprise pour ce week-end.
-ah bon, quoi?
-tu vas aller à la chasse, au gabion avec tes deux oncles, un vrai truc de bonhomme. ça te fait plaisir?
-non pas vraiment.
-de toute façon tu n’as pas le choix.
Le samedi après-midi mes oncles arrivèrent pour venir me chercher habillés en kaki. Ce sont les frères de ma mère, les deux sont routiers.
Il y a Thierry, 1m80 90kg bedonnant, mal rasé et Michel 1m70 80kg, assez trapu chauve avec des moustaches. La classe quoi. Nous partons tous les trois pour deux heures de route avant d’arriver au gabion, au bout d’une heure on s’arrête pour une pause pipi. je partais pisser dans un coin quand Thierry me dit:
-viens pisser avec nous on ne va pas te manger. Jallais les rejoindre timidement, je ne les côtoyais pas beaucoup. On était en train de pisser côte à côte et j’avais envie de regarder leurs sexes mais je n’osai pas.
Une foi dans la voiture je m’en voulais de ne pas avoir tenté de voir leurs sexes, je n’ai jamais vu des sexes d’homme, mais que des petites bites de mes camarades de classe au collège. Nous arrivons au gabion, il faisait très froid, nous arrivâmes à l’intérieur, il y avait de petits lits, des toilettes cachées par une petite paroi avec un lavabo et un petit frigo pour leurs bières et c’est tout.
Le week-end allait être long.
Ils passèrent l’après-midi à chasser, enfin à essayer.
Vers 22 heures on se mit à table et on mangea vite fait, les blagues salaces n’arrêtaient pas de pleuvoir.
Mais qu’est ce que je fais là avec eux.
Après manger je leur dis que je vais me laver avant d’aller me coucher.
Jétais en train de me laver au lavabo quand mon Thierry arriva.
-ne t’arrêtes pas de te laver pour moi, je viens juste pour pisser.
Je mis une serviette autour de la taille et il me dit.
-pas la peine de te cacher, on est entre mecs, et en même temps il sortit sa bite et se mit à pisser. Il avait un gros sexe poilu, il n’attendit pas la dernière goutte et rangea son sexe. pendant que je m’essuyais je les entendis parler:
-il est pas mal le petit neveu, va voir.
-mon oncle Michel arriva et me demanda:
-ça va tu n’as pas froid?
-non non, merci. Je voyais bien qu’il me dévisageait.
Une foi sorti de la "salle de bains" pour leur dire bonne nuit, ils étaient tous les deux assis à table en train de m’attendre.
-viens là Mat, il faut que l’on discute.
-ah bon de quoi?
-ton père nous a parlé, et on sait pourquoi tu es là.
-vous aussi vous allez me faire la morale?
-au contraire si tu veux on peut te monter nos bites et tu pourras les toucher.
-non mais je ne suis pas homo, je me renseignais c’est tout. (je n’osai pas leur avouer)
-j’ai bien vu quand je pissais que tu regardais ma bite. n’est ce pas?
-oui peut être, c’est vrai.
-mais qu’est ce qui te plait dans les mecs?
-j’aimerai bien me sentir femme et plaire à un homme.
-et à deux?
-comment ça? Vous êtes mes oncles
-et alors ? Où est le problème ? Tu veux te sentir femme avec nous? Ce sera une première pour nous aussi tu sais. Allez mets toi tout nu pour nous monter ton petit corps de femelle.
Je n’étais pas très excité à l’idée de me mettre nu devant eux, ils ne sont pas attirants du tout et c’est quand même ma famille.
Je pris mon courage à deux mains et enlevai mon pyjama et je restai debout devant eux, gêné.
-approche viens nous voir. tu veux être notre petite femme?
-vous ne direz rien à mon père?
-non ne tinquiète pas. Michel me caressait les fesses pendant que Thierry m’embrassait, il puait la bière, il força ma bouche avec sa langue et je lui rendis son baiser. Tout dun coup je sentis une petite douleur, Michel me mit un doigt dans le cul et faisait des petits va-et-vient.
-tu aimes?
-oui mais ça fait un peu mal.
-tu veux voir nos bites?
-oui, j’ai déjà vu la tienne Thierry et j’aimerai bien voir les deux.
Ils se déshabillèrent tous les deux et ils étaient en slip.
-allez, fais ce que tu veux avec nos bites.
Je me mis à genoux devant Thierry et j’enlevai son slip pour laisser apparaitre l’objet de tous mes désirs, une belle bite, assez longue mais pas très grosse.
Je le masturbai un petit peu et enlevai le slip de Michel, elle était aussi longue mais assez large, j’étais impressionné.
Je pris Thierry en bouche en premier, son sexe sentait l’urine, je le suçai lentement et maladroitement tout en masturbant Michel.
-tu aimes ça sucer? Me demanda Michel
-oui, c’est bon
-à mon tour maintenant.
Je suçai Michel avec du mal, sa bite est vraiment grosse. Il mit ses mains sur ma tête et m’imposa le rythme. Ils se servaient de ma bouche comme d’une chatte et me parlaient crument, ce qui m’excitait beaucoup.
-petite salope, tu suces bien, mieux que ma femme me lança Michel.
-et tu sais ce que je rêve de faire à ma femme?
-non.
-c’est de l’enculer, mais elle ne veut pas.
-pourquoi?
-parce que c’est une conne, mais toi non, tu vas te laisser faire.
-oui, si tu veux tonton
Mon oncle Thierry lui était célibataire, alors il profitait un maximum de ma bouche, il était aux anges.
— allonge-toi sur la table, et écarte les jambes.
Je me sentais comme une petite pucelle les cuisses écartées qui allait être dépucelée. Michel me doigtait le cul pendant que je suçai Thierry.
Michel m’enfonça son sexe d’un coup qui me fit crier de douleur.
-arrête, arrête s’il te plait, ça fait trop mal.
-je vais te faire passer l’envie d’être pédé tu vas voir. Il donnait des petits coups de reins pour ne pas me déchirer non plus.
-t’aime ça hein ?
-non arrête !
-tu la sens ma grosse bite. Pour arrêter de me faire crier Thierry baisait ma bouche à nouveau et il se lâcha dans ma bouche en maintenant ma tête.
-ah c’est bon, avale tout petit pédé. Il m’avait forcé à avaler son sperme chaud et me fit lécher sa bite pour la nettoyer.
-allez Michel baise le bien, fait lui goûter à ton coup de reins légendaire.
Et Michel de baiser de plus en plus fort et s’arrêta d’un coup;
— mets-toi à quatre pattes comme une chienne.
Jétais soumis, Michel se plaça derrière moi et Thierry, comme un pervers s’asseyait sur une chaise face à moi pour voir ma tête.
-vas y défonce le. Michel me défonçait le cul, je n’étais qu’un tas de viande pour lui, il me mettait des grosses fessées ce qui faisait rire Thierry.
Tout dun coup il me prit par les hanches et me baisa d’une violence, je suffoquais, je sentais son ventre claquer contre mes fesses et il disait.
-oh putain, qu’est ce que l’on est bien dans ton cul, tu vas me faire jouir.
Il sortit sa bite de mon cul et lâcha tout son sperme sur mon visage.
-alors ça ta plu ou tu as changé d’avis?
-j’ai aimé vous être soumis, mais ça fait mal.
-mais tu aimes te faire défoncer le cul hein?
-oui c’était bon, merci les tontons.
Le lendemain, nous étions sur la route du retour et à 1 km de la maison Michel arrêta la voiture dans un petit chemin.
-pause pipi.
-mais on est à côté de la maison.
-écoute, ton père a voulu que l’on fasse de toi un mec ce week-end, et comme tu as été gentil, on te laisse nous sucer avant de rentrer voir papa.
-ça te dit?
-oui. Ils ouvrirent leur braguette et je suçais les deux bites avec fougue, ils se masturbaient en même temps de peur de se faire surprendre.
A quelques seconde près ils jouirent tous les deux dans ma bouche et j’avalai toute cette semence.
Ils m’embrassèrent tous les deux pour me remercier et me ramenèrent chez moi.
-bonjour papa
-bonjour mon fils, alors ce week-end, ça t’a plu?
-oui j’ai adoré
-il ne vous a pas embêté j’espère.
-non un vrai petit ange, il peut revenir quand il veut.
Mon père était ravi, s’il savait que c’est moi qui ai pris une cartouche il n’en serait pas de même.