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Mes premiers congés payés – Chapitre 14

Mes premiers congés payés - Chapitre 14



Micheline demanda comment cela se faisait que jétais ici, Marianne lui répondit en lui disant que la veille jétais venu tondre la pelouse et que le matin même alors que ma cousine était occupée à ses tâches ménagères, jétais venu aider à ranger le bois, Micheline me dit « mais cest super sympa, au fait tu as aimé venir à l’entraînement hier soir ? » Je lui répondis que oui puis Micheline prenant sa tasse dit à Marianne « je reprendrais bien un café maman sil te plaît », Marianne se leva et dès quelle fut rentré, Micheline posa sa main sur ma cuisse et me dit « tu viens aussi ce soir jespère, jai encore du classement à faire, wow cest pour moi ça ? » elle venait de poser sa main sur lérection qui déformait mon short, je mis une tape sur sa main en disant « peut-être mais pas ici ni maintenant en tout cas », elle retira sa main en disant « eh tu mas fait mal, mais je sais où on peut aller », au même moment Fernand arriva, un grand sourire lui barrait le visage, et discrètement il me fit un signe pouce levé, il embrassa Micheline et sassit alors que Marianne revenait avec la cafetière « ben tu en a mis du temps »

Fernand : « ben après avoir déposé Jeanine, jai croisé la ptite Brigitte, je lui ai proposé de la raccompagner mais elle avait une course à faire à la pharmacie, et il y avait du monde, du coup jai juste le temps de prendre un ptit café avec vous avant de repartir chercher Jeanine »

Moi : « ben je peux y aller si tu veux »

Fernand : « non, non, ça me fait du bien de bouger un peu »

Micheline : « ben en tout cas, la Brigitte, je lai aperçu hier soir, elle promet celle là, tu as vu comment elle shabille, elle sait quelle est mignonne et elle le montre à qui veut bien regarder »

Marianne : « oh je ten pris arrêtes un peu ça, cest une gamine et elle shabille comme toutes les gamines de son âge et cest tout »

Fernand se levant tout en vidant sa tasse : « bon allez, jy vais, le temps de faire la route et je reviens »

Micheline en me posant une main dans le dos : « au fait, vous lui avez montré ce que papa a fait au fond de terrain pour les enfants ? »

Marianne : « ben, non, tu vois on y a même pas pensé, mais tu peux lui montrer, si tu veux, moi je vais mallonger sur la terrasse pour faire une petite sieste »

Micheline se levant : « ben jte fais un bisou maintenant alors parce que jai les gamins à récupérer, donc je ne pourrais pas rester trop longtemps, la clef de la porte est toujours au même endroit ? »

Marianne : « oui, oui, toujours et noublies pas de refermer »

Micheline : « tinquiètes pas, je sais » puis se tournant vers moi et prenant ma main « allez viens tu vas voir, cest super ce que papa a fait », Marianne sinstallait dans sa chaise longue pendant que nous prenions lallée qui menait à la petite porte en bois au fond du jardin, Micheline me dit « jai hâte dêtre derrière cette porte, tu es content que ta grosse salope soit venue mon chéri ? »

Moi : « ben oui, tiens marches devant moi que je vois ton gros cul bouger au rythme de tes pas » et dune main sur les fesses, je la poussais devant moi, elle gloussa « il te plaît mon gros cul hein, mon ptit cochon, ça texcite de le regarder », arrivés devant la porte en bois, Micheline déplaça une petite pierre et récupéra la clef qui louvrait, une fois passé de lautre côté, je dis « wow, cest super » javais sous les yeux un espace engazonné dun vert parfait, avec une tonnelle sous laquelle il y avait une balancelle, un bac à sable et un portique, Micheline qui était derrière moi dit « attends je ferme la porte on sera tranquilles », je me retournais pour la regarder faire, une fois la porte fermée elle vint droit sur moi et avança les mains vers ma poitrine, je la laissait faire, elle titilla mes tétons déjà bien durs, puis ses mains glissèrent pour arriver à ma taille et saisirent lélastique de mon short, Micheline dit « enlèves ça, mon ptit cochon, on va samuser, jai trop envie de toi avec ce que tu mas fait hier soir, jen veux encore », de mes deux mains je claquais les siennes, elle les retira en disant « ben ça va pas tu mas fait mal »

Moi : « as-tu déjà visité une porcherie »

Micheline : « on sen fout, je te veux là maintenant »,

Moi : « réponds à ma question salope »

Micheline agacée : « oui et alors quest-ce que ça change, sort ta bite que je lui fasse un gros câlin »

Moi : « donc tu as déjà vu des porcs, des truies et des ptits cochons ? »

Micheline : « oui, mais quest ce que cest que ces questions à la con ? »

Moi : « as-tu déjà vu une truie avec une robe ? » Micheline compris où je voulais en venir et avec un grand sourire elle me répondit « non »

Moi : « alors enlèves la saloperie que tu as sur le dos et tout de suite »

Micheline en minaudant « tu veux voir ta grosse truie sans robe mon ptit cochon » elle défit rapidement les boutons et enleva sa robe se figeant devant moi avec son soutif et sa culotte les deux ayant du mal à contenir ce quils avaient à cacher, « comme ça, ça te va mon chéri, tu aimes ? »

Moi : « tu sais que les truies ont les mamelles à lair pour que les ptits cochons viennent les téter quand ils ont faim, alors enlèves cette merde, je veux voir tes mamelles pendre et enlèves aussi ta culotte, les truies ont toujours la chatte et le fion à lair pour se faire prendre à volonté par les porcs en rut », Micheline enleva son soutif et sa culotte, ses seins pendaient sur son ventre, je mapprochais et commençais à les triturer à pleines mains, je sentis les tétons se durcirent et gonfler, elle gémissait « oui, fais moi du bien, fais tout ce que tu veux de ta grosse truie », je pris ses tétons en bouche, les aspirant, les mordillant, puis je me reculais.

Micheline poussa un soupir de frustration « non, narrêtes pas, continues, bouffes mes mamelles de truie », je la regardais et lui dis « une truie ne marche pas sur ses pattes arrières, salope, mets-toi à 4 pattes et vite », Micheline se laissa tomber sur le sol à genoux, ses seins aux bouts dressés pendaient vers le sol, je lui dis « jai dis à 4 pattes, pas à genoux, c’est-à-dire sur tes pattes arrière et sur tes pattes avant », elle rectifia la position, elle gémit un peu car son surpoids lattirait vers le sol, ses jambes tremblaient, la graisse de ses cuisses suivait le mouvement et tout cela mexcitait fortement, je me dirigeais derrière elle et dis « voilà, comme ça tu es une vraie truie, la chatte et le fion offerts » et je glissais deux doigts dans sa chatte, elle était trempée, je commençais à la branler, Micheline gémissait « oui, fais moi du bien, branles ma chatte de truie en chaleur, baises moi sil te plaît mon ptit cochon, mets ta bite dans ta grosse truie », de ma main libre je lui claquais les fesses, elle poussa un ptit cri, je lui dis « tais-toi, une truie ne parle pas ».

Retirant mes doigts lubrifiés de sa chatte je les fourrais, doucement, dans son anus, une fois rentrés je commençais à lui branler le cul et lui disant alors quelle gémissait de plaisir « tu vois, maintenant tu es vraie truie, tu es entrain de te faire branler le fion, et ton jus coule de ta chatte comme si cétait une fontaine » effectivement, je pouvais voir son plaisir couler sur le sol, je la fis jouir deux fois avec mes doigts, la seconde fois elle me supplia « fourres moi ta bite dans le cul, sil te plaît, prends moi, défonces moi, je te veux au fond de mon cul, je veux sentir ta queue me ramoner le trou », jeus beaucoup de mal à résister, mais javais deux projets, le premier finir ce que javais commencer avec Marianne avant que Micheline narrive et le second, lavilir complètement, je retirais mes doigts et lui dis : « tu as vraiment envie de ma bite ma grosse salope et bien figures toi que chez les porcs quand la truie a envie de se faire monter elle choisit un porc et va lui passer la langue sur le cul, eh oui, elle lui bouffe les fion pour lui faire comprendre quelle a envie quil la prenne et jai très envie que tu me montres combien tu as envie de ma bite au fond de toi, mets toi sur le dos salope » Micheline se laissa tomber sur les genoux et se mis sur le dos, pendant quelle faisait ça, jenlevais mon short, puis le me mis jambes écartées au-dessus de sa figure et je lui dis « remontes tes genoux quils servent à quelques chose » elle fit ce que je lui demandais, me penchant en avant, je posais mes mains sur ses genoux puis je maccroupissais jusquà amener mes fesses au-dessus de sa figure et je lui dis « je vais descendre encore un peu et tu vas me montrer que tu es une bonne truie qui a très envie de moi, je veux sentir ta langue balayer ma raie et je veux que tu tappliques sinon ce soir je ne viendrais pas » puis je finis de maccroupir pour que ma raie soit à quelques centimètres de sa bouche, elle nhésita quune toute petite seconde et sortant sa langue commença à lécher ma raie, je sentais bien sa grosse langue mais ce nétait pas suffisant, je baissais mon cul à le poser sur sa bouche et lui dis « écartes mes fesses avec tes mains grosse truie que je sente mieux ta langue » Micheline gémit et fit ce que je lui demandais, puis je lui dis « je tai dit de me bouffer le cul, pas de nettoyer ma raie, alors bouffes, je veux sentir ta langue de salope me forcer le ptit trou et me faire comprendre que tu veux ma bite au fond de toi ».

Encore une fois, Micheline fit ce que je lui demandais et je crus que jallais jouir, je me retins de justesse et me relevais pour éviter lexplosion et encore une fois elle gémit de frustration « non, laisses moi continuer de te montrer que je te veux dans moi ».

Je me relevais et remettant mon short je lui dis «ce soir quand je vais arriver dans le bureau je te veux dans la position de tout à lheure, la robe relevée sur ton dos et le cul tourner vers la porte et bien sur sans culotte, tu nen mets plus, et si tu es une truie bien obéissante, je verrais pour faire ce que tu me demandes, rhabilles toi salope, ramasses ta culotte avec tes dents et apportes la moi » sur ces mots je me dirigeais vers la porte alors que Micheline poussait un « nonnnn, salaud, tas pas le droit de me laisser dans cet état », je me retournais et lui adressais mon plus beau sourire en lui disant « ben si tu vois bien, cest ce que je fais », elle ramassa sa culotte avec ses dents et me lapporta, la déposa dans ma main tendue, et retourna shabiller, lorsquelle me rejoint à la porte elle me dit « tu sais cest la première fois que je bouffe le cul dun mec et jai adoré ça, comme je navais jamais jouis aussi fort, je suis trempée, je sens que ça coule le long de mes cuisses » puis elle membrassa sauvagement, je la repoussais et lui dis « allez, va chercher tes gamins ma grosse pute, et prépares toi pour ce soir, peut-être que je tenfilerais si tu mexcites vraiment ».

Nous franchîmes la porte dans lautre sens et je dis à Micheline « marches devant moi que je vois ton gros cul, jadore le mater quand tu marches, elle fit ce que je lui demandais jusquà la terrasse et là, nous vîmes que Marianne était profondément endormie, Micheline sourit au bruit des ronflements et me dit doucement « et là cest rien, tu entendrais papa, cest une vrai turbine », puis prenant ma main « accompagnes moi à la voiture mon chéri », arrivés à la voiture, elle monta dedans et me dit « je suis trempé, les sièges vont lêtre aussi, tu mas mise dans un de ces états, je nai jamais mouillé autant » puis voyant la bosse qui déformait mon short « laisses moi te sucer avant de partir, je veux ton foutre dans ma bouche et je veux lavaler », je claquais la portière et lui dis « écoutes moi bien, je vais faire quelque chose pour ton envie, mais attention, je vais sortir ma bite et te la mettre devant la bouche, tu nas le droit quà un coup de langue sur mon méat et cest tout, tu lavales, tu la lèches plus ou nimporte quoi dautre et je ne viens pas ce soir » elle me regarda et dit simplement « salaud, tu es très dur » puis ouvrant la bouche « donnes la moi », ce que je fis, dès que je sentis sa langue, jeus envie de donner un coup de reins pour tout lui rentrer au fond de la gorge mais javais dans la tête une énorme envie de Marianne, alors je me reculais et dis « à ce soir ma grosse truie et noublies pas ce que je tai dis », puis me retournant sans attendre, je me dirigeais vers larrière de la maison, jentendis la voiture démarrer puis sortir de la cour et séloigner lorsque jarrivais sur la terrasse.

Je me dis que javais beaucoup de chance, même si Micheline, ne me tentait pas plus que ça, cétait très agréable de linsulter et den faire tout ce que je voulais.

Marianne dormait toujours aussi profondément, je mapprochais pour la contempler, elle dormait les bras posé sur les accoudoirs de la chaise longue, le visage offert, aux rayons de soleil, était calme et reposé, elle avait allongé ses jambes lune contre lautre et je la trouvais très belle à regarder.

Je magenouillais à ces côtés pour le contempler de plus près.

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