Histoires de sexe français Histoires de sexe lesbien

Mes premiers congés payés – Chapitre 20

Mes premiers congés payés - Chapitre 20



Une fois le téléphone raccrocher, Jeanine me dit « maintenant occupes toi de moi, mon poussin, fais moi du bien, comme tu veux, mais fais mois jouir, fais moi crier de plaisir » et elle se dirigea vers la terrasse au moment ou le téléphone sonnait à nouveau, Jeanine revint sur ses pas en disant « putain de bordel de merde, mais on ne va pas nous laisser baiser tranquillement » puis elle décrocha et dun ton très sec dit « allo », puis je lentendis dire « bonjour, oui il est à côté de moi je vous le passe », puis mettant une main sur le combiné, elle me dit « Martine, cest la salope dont tu mas parlé ? », je lui répondis oui, elle me dit « alors dépêches toi de lui répondre et de me rejoindre sinon, je prends lappareil et je lui dit ce que tu me fais depuis 4 jours », je pris le combiné alors que Jeanine allait sur la terrasse, doù jétais je la vis déplacer un fauteuil pour le mettre face à moi, sy asseoir et elle commença à se caresser la poitrine dune main alors que lautre allait entre ses cuisses caresser sa fente, elle était cuisses grandes ouvertes et je ne pouvais rien manquer du spectacle, je répondis « bonjour, comment vas-tu ? Maman ma dit que tu allais appeler mais sans me dire pourquoi ? On se voit toujours la semaine prochaine ? »

Martine « bonjour mon chéri, ça va, en fait ta maman sait très bien pourquoi je tappelle mais je lui ai dit de ne rien te dire, que je voulais tannoncer moi-même ce que je vais te dire maintenant »

Moi : « cest une surprise ? Cest quoi dis-moi ? Tu sais je passe de bonnes vacances mais tu me manques »

Martine : « laisses-moi parler mon chéri, voilà, je tappelle parce que je vais quitter la France, mon ex-mari a tenté denlever les enfants et jai obtenu, du juge, lautorisation de quitter le territoire, je pars avec Maman aussi », le ciel venait de me tomber sur la tête et avec plein de sanglots dans la voix je lui dis Moi des sanglots plein la voix : « mais pourquoi ? Tu pars quand ? On va se voir avant, si tu veux je rentre aujourdhui »

Martine : « non mon cur, tu restes où tu es, et ce nest pas plus mal, il va falloir que tu te changes les idées, je nai pas voulu tappeler avant exprès, je tappelle de laéroport de Nice où je suis venu chercher maman et nous notre avion part dans 2h, je ne te dis pas où, mais promis dès quon sera installé, je técrirais pour te donner des nouvelles, oh attends, oui cest ça, ils appellent les passagers de notre vol, je te laisse, saches que je taime très fort et que je ne toublierais jamais mon chéri, tu mas apporté beaucoup, et jespère que toi non plus tu ne nous oublieras pas, allez il faut que je te laisse, ne sois pas triste, on se reverra peut-être un jour » puis je restais lappareil collé à loreille alors quil ny avait plus que le bip-bip de fin de communication, Jeanine avait entendu que quelque chose nallait pas, elle se leva et sapprocha de moi, voyant les larmes couler sur mes joues elle minterrogea après sêtre assise et mavoir pris dans ses bras « quest-ce quil y a mon poussin ? Un problème, dis moi ? », je lui racontais la conversation que je venais davoir avec Martine, et éclatais en sanglots en me serrant contre sa poitrine nue, mes larmes coulaient sur elle. Jeanine me dit « allez, secoues toi un peu, ce nest pas la fin du monde, elle part daccord, mais elle ta dit quelle te donnerait des nouvelles et quelle taimait, il va falloir tourner cette page mon poussin, et puis tu rencontreras dautres femmes, tu verras, je suis bien placée pour te dire que tu sais faire du bien à une femme et ça cest très important, pour linstant tu vas aller prendre une bonne douche et essayer de dormir un peu, ensuite ce soir tu accompagneras Bernard et ton cousin au car et ensuite on va se faire une soirée ciné avec Brigitte, ou sans dailleurs, cest elle qui verra » comme je me levais pour aller à la douche,

Jeanine marrêta « attends et ce numéro que jai noté, cest quoi ? »je lui racontait ce que mavait dit ma mère, Jeanine me dit « alors appelle le tout de suite ce salopard sinon il va envoyer les photos cest sur, tu iras prendre ta douche après », elle se leva et me dit « allonges toi que je relise le numéro, je fis ce quelle me demandait et elle composa elle-même le numéro sur le cadran, puis me tendit lappareil en me faisant un clin dil dencouragement, je ne savais pas trop quoi dire, ni ce que Gaston allait me dire, jhésitais, mais je pensais surtout à Martine qui était en train de partir très loin de moi et je me demandais si jallais la revoir un jour, quand une voix répondit à lautre bout de la ligne : « allo, qui est à lappareil ? »

Moi : « cest Monsieur Albert ? »

Gaston : « oh mais cest ma ptite lopette, oui cest moi, je vois que tu as bien eu mon message et que tu las compris ma salope, alors comment se passent tes vacances, tu te fais pisser dessus tous les jours ou tu passes ton temps à bouffer des bites ? »

Moi : « quest ce que vous voulez, pourquoi voulez vous envoyer les photos à ma mère ? »

Lui : « ben pour quelle sache quel petit cochon tu es mon trésor, ou alors on se voit et je détruis les photos, si tu es très sage avec Germaine et moi, tu sais elle narrête pas de me demander quand est-ce quon va te revoir pour te pisser dessus à nouveau, et je ne peux rien lui refuser à ma ptite reine »

Moi : « si je vous revois, est-ce que vous me promettez de me donner toutes les photos ? »

Gaston : « mais bien sur ma lopette, tu auras tout ce que tu voudras si tu es très gentil avec nous, tu sais que depuis lundi, on narrête pas de penser à toi et automatiquement ça se termine en partie de jambes en lair, dailleurs je vais te passer Germaine, elle va te le dire aussi », Jeanine avait pris dautorité lécouteur, elle était assise sur le canapé à côté de moi, une jambe sous elle, ce qui me donnait une vue directe sur son sexe, qui maintenant bien rasé, me permettait de voir quelle commençait à prendre goût à la conversation, alors que Germaine disait « allo » Jeanine posa sa main libre sur sa fente et commença à se faire monter et descendre son majeur, sur sa fente qui souvrait doucement et qui commençait à suinter de plaisir.

Moi : « bonjour, Albert ma dit que vous vouliez me parler, je vous écoute »

Germaine : « bonjour mon chéri, tu vas bien ? »

Moi : « ça allait bien jusquà ce que jappelle ma mère et quelle me répète ce que Albert lui avait dit »

Germaine : « oh ne tinquiètes pas mon chéri, ce nest rien, il est plus bête que méchant, je suis sur quon va pouvoir sarranger, tu sais jai hâte de te revoir, Albert prends du plaisir, mais moi, ça faisait longtemps que je nen avais pas pris autant, aussi bien en te pissant dessus quen sentant ta langue me fouiller, cétait infernal, cest surtout pour ça quon veut te revoir, Albert sait très bien quil ne ma jamais donné vraiment beaucoup de plaisir, et le peu de fois ou il la fait, ce nétait rien du tout à côté de ce que tu mas donné, dailleurs quand on va se revoir, car je suis sur que tu vas dire oui, tu le suceras jusquà la limite de lexplosion, puis je prendrais sa lance à pleine main et je le branlerais jusquà ce quil explose, et je tarroserais avec son foutre, je veux ten mettre partout, y compris dans ta bouche, et ensuite je te nettoierais avec ma langue », malgré la triste nouvelle de la communication précédente, je recommençais à bander, Jeanine se branlait en face de moi, elle avait mis un doigt dans sa chatte et se faisait du bien en écoutant la conversation, elle posa lécouteur, et marracha presque le téléphone des mains.

Jeanine : « allo, bonjour, on ne se connait pas, je suis la cousine du dépravé que vous avez rencontré, et je suis au courant de ce quil sest passé sur laire dautoroute »

Ayant pris lécouteur, jentendis Germaine répondre « oh, euh, ben ce nest pas ce que vous croyez »

Jeanine éclata de rire : « je viens aussi dentendre votre conversation et pour info, le gamin est nu devant moi et il bande, javoue que lorsquil est arrivé, et que jai trouvé ses vêtements trempés, je lai obligé à me raconter ce quil sétait passé, ça ma tellement excité que jen ai profité, même si cest mon cousin, je men fou, cétait vraiment trop bon, et ce matin, au réveil, je lui ai fait ce que vous avez très envie de refaire, je me suis vidée complètement sur lui, dehors, dans le jardin et après il ma essuyé jusquà ce que je jouisse dans sa bouche »

Germaine : « mais vous êtes encore plus salope que nous, cest votre cousin, ceci dit dentendre que vous pouvez en profiter, vous, me rend jalouse, et mexcite »

Jeanine : « ben figurez vous que je viens de penser à quelque chose, cest moi qui ai fait votre numéro, quand sa mère lui a donné tout à lheure, on avait quun stylo, donc je lui ai écrit sur le ventre, apparemment au vu du numéro, vous nêtes pas très loin de chez moi ? »

Germaine : « nous sommes près de Fougères, pourquoi ? » je regardais Jeanine avec un regard interrogateur, elle répondit à Germaine,

Jeanine : « nous sommes seuls tous les deux à partir de samedi matin, et disons que si vous navez rien de spécial à faire, je vous inviterais volontiers à venir en fin de matinée, pour que nous passions une journée à samuser tous les 4, et je vais être franche, jai envie de voir de près une certaine lance évoquée tout à lheure et également ce que vous avez prévu de faire avec », je regardais Jeanine effaré, en faisant de grande signes non de la tête, mais cétait trop tard,

Germaine : « mais cest très gentil cette invitation, nous acceptons avec grand plaisir, je vais raconter tout ça à Gaston et nous serons là vers 11h, ça vous va ? »

Jeanine : « très bien, ça me laisse le temps de préparer à manger et de demander au gamin daccompagner ma fille au car qui doit laccompagner à son match de hand avec un retour vers 17h, alors je vous dis à samedi et bonne journée, je suis impatiente de faire votre connaissance à tous les deux », et sur ces mots elle raccrocha le combiné. Me regarda et dit « ben voilà, ça ne me déplaît pas de faire leur connaissance et je te promets que je ferais le nécessaire pour les photos ». Content et je dois le reconnaître, excité de voir ce qui allait se passer, je décidais de men remettre à Jeanine.

Il nétait pas loin de lheure à laquelle ma cousine devait rentrer des cours, Jeanine me dit daller prendre une bonne douche pendant quelle allait préparer le dîner. Alors que je me rinçais jentendis le téléphone sonner, et lorsque je sortis de la salle de bains, Jeanine me dit « ils sont bien gentils ces ptits vieux mais ils commencent à me faire chier, je pensais quon allait être tranquille demain et ben non, voilà que Fernand a beaucoup aimé le ptit bout de terrain que tu as défriché et quil veut en faire autant à un autre endroit, Marianne demande si demain matin tu peux venir aller lui donner un coup de main pour quil ne se fatigue pas à le faire tout seul », je souris, je compris immédiatement que Marianne avait convaincu Fernand et que le lendemain jallais défricher son ptit bout de terrain à lui et je reconnais que lidée me plaisait, je demandais à Jeanine à quelle heure je devais y aller, et elle me répondit en faisant la moue « comme ce matin », je lui dit alors que je me lèverais plus tôt pour quelle puisse satisfaire, de la même manière que le matin même, à ses besoins naturels, le sourire revint immédiatement sur son visage « cest vrai, tu vas faire ça ? Tu as aimé alors, tu es vraiment un vrai ptit cochon dévergondé, mais je reconnais que ça me plaît et que jen suis déjà tout excitée, tiens regardes » et soulevant la blouse quelle avait passé pour la fin de journée, je vis quelle était nue et se cambrant elle me dit « vas-y vérifies dans quel état tu me mets mon poussin », japprochais une main de sa fente et glissais un doigt dessus puis sans effort, mon doigt la pénétra, elle commençait à gémir quand la porte dentrée claqua, jeus juste le temps de retirer ma main et Jeanine de baisser sa blouse avant que Brigitte ne fasse son apparition, elle était habillée très court, comme dhabitude, nous fit la bise et alla dans sa chambre pour faire ses devoirs, une petite heure plus tard Bernard arriva et la soirée se passa très calmement. Nous discutâmes du match de foot à venir et du match de hand de ma cousine, et je confirmais à chacun que je serais disponible pour les accompagner à leur point de rdv tous les deux.

Au moment daller me coucher, Jeanine me dit « noublies pas que tu vas donner un coup de main à Fernand demain matin et quil faut que tu te lèves de bonne heure, on va sentraîner pour samedi mon poussin », je souris en lui répondant « oui, oui, promis » et devant le sourire quelle madressa je ne pus mempêcher de penser que si elle savait de quel coup de main il sagissait elle aurait peut-être voulu participer, mais je pensais aussi à ce qui allait se passer dès que je me réveillerais. Et cest avec une belle érection que je me couchais alors que dans la chambre dà côté, Bernard disait à Jeanine « jaimerais bien que tu me suces un peu avant que je te baise ma chérie » et Jeanine lui répondit « ben Môssieur est romantique ce soir, tu te fous de ma gueule, cest toujours quand toi tu veux, alors ce soir, tu te prends par la main et tu te démerdes, jai pas envie, dautant que si je te suce cest dans ma bouche que tu vas te vider car comme dhabitude tu ne pourras pas te retenir ».

Avant de mendormir, je repensais à Martine en route pour sa destination lointaine et au fait que je ne les reverrais certainement jamais Annick et elle, et cest en pleurant que je finis par mendormir.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire