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Mes premiers congés payés – Chapitre 45

Mes premiers congés payés - Chapitre 45



Après son départ, je restais cinq bonnes minutes à savourer mon plaisir, sentant son sperme sécouler de mon cul et couler le long de mes cuisses, puis je redescendais sur terre, descendit de la table et allais me laver, laprès-midi sécoula très lentement alors que jattendais avec impatience le soir, mon anus me faisait un peu mal mais javais envie quil recommence.

Dans laprès-midi, le facteur passa, et je le vis qui descendait de son vélo, fit un tour sur lui-même comme pour vérifier quil ny avait personne, puis il se débraguetta sortit son sexe et se mit à uriner sur le parterre de fleurs devant la cuisine, je métais mis sur le côté et il ne pouvait pas me voir, par contre, moi javais une vue exceptionnelle sur ce quil faisait, il était jeune, pas trop mal foutu et avait un sexe de taille honorable, jeus même limpression quil était plus gros que celui de mon oncle, quand il eut fini de se vider la vessie, il secoua son sexe et le rangea, puis remontant sur son vélo, il repartit. De voir ce sexe mavais un peu échauffé, et je commençais à me caresser, et je finis par me faire jouir en titillant mon ptit bouton.

Une fois mon plaisir pris, jallais me laver et cest allongée, dans la cour, sur une chaise longue que jattendis le retour de mon oncle.

Lorsquil rentra, il sapprocha de la chaise longue et me dit « excuse-moi si je tai fait mal, mais javais trop envie de toi et il était hors de question que je te prenne autrement, tu dois garder ton pucelage pour celui qui sera ton mari, alors je navais que cette solution pour me contenter ».

Je me levais et lui sautais au cou en lui disant que même si javais eu un peu mal, javais aussi eu beaucoup de plaisir et que je voulais quil recommence, collée contre lui, je sentis son sexe qui commençait à gonfler, je maccroupis et commençais à ouvrir sa salopette, il me dit « mais pas ici, tu es folle », je nen continuais pas moins et une fois son sexe sortit, je le flattais et levant les yeux pour regarder mon oncle, je lui demandais « tu veux que jarrête ? », il soupira et dit simplement « bouffe-moi la queue ma ptite salope adorée, suce-moi bien » et en nièce très obéissante, je gobais sa bite et la faisait coulisser entre mes lèvres.

Je savais ce que je voulais, une fois que je le sentis bien dur, je me relevais, mappuyais un rebord de la fenêtre de la cuisine et lui demandais « sil te plaît mon tonton, mets la moi comme tout à lheure, viens au fond de mes fesses, et fais moi jouir », il sapprocha, glissa une main entre mes fesses, et avec un de ses doigts me titilla la pastille, il sapprocha de moi et me tirant par le bras me dit « à 4 pattes, petite salope, je vais te prendre comme une truie que tu es », je fis ce quil me demandait, une fois en position, il appuya son gland sur ma pastille, poussa un peu et le rentra dans mon anus, je criais car jeus un peu mal, il sarrêta et attendit quelques secondes, puis dun coup de reins il menfila, je sentis sa bite se frayer un chemin et glisser jusquau plus profond de moi, quand il y fut, il attendit à nouveau, puis quelques secondes plus tard commença à me limer le cul en me disant « tiens ma ptite salope, je tencule et je vais me vider les couilles dans ton cul de truie en chaleur », jétais en transe et quand il explosa au fond de mon cul, jexplosais de jouissance en même temps, il resta en moi, puis débandant, sa queue sortit de moi, il maida à me relever et me dit « tu sais ma chérie, jamais je naurais pensé un jour que je te ferais tout ça, et en plus tu es douée pour ton âge, tenculer est un vrai bonheur, jai limpression de glisser mon zob dans un morceau de velours », je le remerciais et allais me laver une nouvelle fois.

Après le dîner, tonton me dit « nous approchons de la fin de la semaine, demain cest vendredi, samedi, je mabsenterais le matin mais je resterais avec toi laprès-midi et je te raccompagnerais dimanche chez tes parents », je me rendis compte que la semaine avait passé trop vite et lui demandais si je pourrais revenir le voir plus souvent quavant, il me répondit que la maison métait grande ouverte et quil allait me laisser une clef au cas où il serait absent quand je viendrais, puis nous allâmes nous coucher. Le lendemain quand je me réveillais, plus tard que dhabitude il ny avait aucun bruit dans la maison.

Michèle regarda sa montre et me dit « putain il est tard, attends moi là, je vais payer la viande et nous rentrons » et elle se dirigea vers le fond de la porcherie, jétais dans tous mes états avec son histoire, et plutôt que de lattendre, je décidais de la suivre, je la vis rentrer dans la dernière stalle et mapprochant doucement, je regardais entre deux planches disjointes.

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