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Mes premiers congés payés – Chapitre 54

Mes premiers congés payés - Chapitre 54



Je rejoignis Brigitte dans sa chambre, elle était, comme à son habitude, vautrée sur son lit et la première chose à voir était son ptit cul, puisquelle sétait déshabillée pour se mettre en ptite tenue.

Quand je rentrais, elle tourna la tête pour voir qui arrivait, puis avec un grand sourire, elle se retourna pour me montrer le côté face de sa personne, ses ptits seins et elle écarta ses jambes pour que je ne rate rien, puis voyant la réaction au niveau de mon short, elle rigola et dit « dis-moi que tu nas pas envie, gros menteur », je souriais et le lui dis, elle fit la moue et jen profitais pour lui demander « alors, la journée sest bien passée ? »

Brigitte : « ben oui, comme dhab. »

Moi : « ah bon, parce que tu sèches les cours tous les jours pour aller au cinéma ? », Brigitte rougit et dit « quest-ce que tu racontes, je nai pas été au cinéma »

Moi : « ah bon et qui est-ce qui a taillé une pipe à Fernand au fond de la salle alors ? Il faudrait savoir ce que tu veux, tu veux aller chez Laurence ou continuer à sucer des bites ? » Brigitte devint écarlate, et bafouilla « comment sais-tu ça ? Qui te la dit ? »

Moi : « jai été faire des courses avec ta mère, et je alors que je lattendais, je tai vu passé et je tai suivi, quand jai vu que tu rentrais au ciné, jai attendu et jai pris une place pour voir ce que tu allais y faire, cest là que je tai vu avec Fernand, même quune belle salope vous a rejoint et si jai bien vu, elle ta dévoré le minou, pendant que tu faisais du bien à Fernand »

Brigitte : « tu nas rien dit à maman, jespère ? »

Moi : « tu me prends pour qui ? Non, je me suis contenté de regarder un peu cest tout »

Brigitte se passa un doigt sur la fente en disant « je ferais tout ce que tu voudras, mais ne dis rien stp », je sortais de la chambre en lui disant quelle navait pas à sinquiéter.

Jeanine était dans la cuisine entrain de préparer le repas, je me mis derrière elle et me frottais mon érection contre ses fesses, elle se cambra puis passant une main dans son dos attrapa mon sexe et commença à me caresser à travers mon short en disant « salaud, je vais être trempée et on ne peut rien faire, lautre con va arriver », au même moment la voiture de Bernard rentrait dans la cour, alors que je me reculais, Jeanine saccroupit rapidement, écarta mon short et attrapant mon sexe, elle lavala, le fit coulisser deux ou trois fois dans sa bouche et se relevant avec un grand sourire, me dit « cest toi qui a commencé », jétais dans un état quil était difficile de cacher, je lui répondis « tu es une salope, je fais quoi moi maintenant ? » elle souris puis pris un air sévère pour me répondre « je te punirais demain pour cette insulte, en attendant vas faire un tour pour te calmer, nous dînons vers 19h comme dhabitude », puis se retournant elle se remit à la préparation du repas alors que Bernard franchissait la porte dentrée. Je décidais daller faire un tour chez Marianne et Fernand, je le dis à Jeanine puis à Bernard lorsque je le croisais dans le couloir, celui-ci me dit « mais quest ce que tu peux bien trouver à ces deux vieux, perso, je les trouve emmerdant au possible », je le regardais et lui répondais assez fort avec un grand sourire « mais je les trouve adorable et très gentils, et puis ce sont les parents de Michèle, tu sais la maman du gamin du club de foot, celle que tu aimes bien », il me fusilla du regard en rentrant dans la cuisine et, alors que je sortais de la maison, jentendis Jeanine lui dire « alors comme ça tu aimes bien Michèle, cest vrai que cest une de tes ex, une de celles avec qui tu tamusais bien à lépoque », Bernard ronchonna « cest bon, y a prescription », je fermais la porte et me dirigeais vers la maison de mes nouveaux amis.

En arrivant, je passais directement par le côté pour me rendre sur la terrasse où je pensais les trouver.

Il ny avait que Fernand, et il ronflait comme un sonneur sur sa chaise-longue, juste vêtu dun short, je mapprochais doucement de la porte qui donnait sur la cuisine, rentrais et appelais « Marianne, tu es là », pas de réponse, elle avait dû sabsenter et Fernand en profitait pour faire une petite sieste, je ressortais et mapprochais de lui, tout doucement, pour ne pas le réveiller, allongé sur le dos, la toison blanche de sa poitrine exposée au rayons du soleil, ses jambes légèrement écartées, je le regardais quelques minutes, puis avec ma main jeffleurais sa toison blanche, un de mes doigts effleura aussi un téton et celui-ci réagit aussitôt en durcissant de manière suffisamment significative pour que je le vois.

Je constatais que le second avait la même réaction, alors avec mes deux mains, jeffleurais à nouveau ses deux petits morceaux de chair dressés, dans son sommeil Fernand sagita un peu, je stoppais, puis voyant quil ne bougeait pas, japprochais ma bouche dun des tétons et soufflais dessus, puis je me redressais, et là je vis quil ny avait pas que les tétons qui dressaient la tête, une bosse significative était entrain de se former dans le short de Fernand alors que celui-ci continuait à ronfler.

Je décidais daller un peu plus loin, je posais une main au niveau de son genoux gauche et en effleurant à peine sa peau, je remontais doucement, par lintérieur de sa cuisse jusquau bas de son short, la bosse gonflait au fur et à mesure que je montais, et une fois à la lisière du short elle avait presque atteint son maximum, le short était tendu comme un barnum de cirque, sauf que le mat qui le dressait était une colonne de chair chaude et bien dure, une colonne dont javais de plus en plus envie.

Le short de Fernand étant assez large, je passais ma main dessous et atteignis rapidement son sexe, et le pris à pleine main, de sentir ma main chaude lenvelopper, réveilla Fernand, il ouvrit les yeux, me vit et avec un sourire me dit « jadore ce tu me fais », je commençais à le branler doucement, en lui répondant : « jaime aussi te sentir bien dur dans ma main et te caresser », Fernand ferma les yeux quelques secondes puis les ouvrant à nouveau me demanda « tu ne veux pas faire comme lautre jour ? »,

Moi : « je ne vois pas ce que tu veux dire »

Fernand : « arrêtes, tu sais quand tu as montré à Marianne ou aussi quand après mavoir rasé »

Moi : « au fait Marianne nest pas là ? »

Fernand : « non, Michèle est venue la chercher pour quelle garde le gamin jusquà ce soir »

Moi : « Ah bon, alors maintenant dis moi ce que tu veux, jai envie de lentendre, ça ne va pas técorcher la bouche de le dire »

Fernand hésita puis se lança : « je veux que tu me suce la queue et que tu me bouffes les couilles, je veux que tu me fasses jouir avec ta bouche »

Moi : « ben voilà, tu vois ce nest pas dur à dire, par contre là on nest pas bien, viens sur la table comme lautre jour », Fernand se leva et nous fîmes les 2 ou 3 mètres qui nous séparaient de la table, Fernand sy appuya pendant que je prenais un fauteuil pour masseoir et faire en sorte que ma bouche se trouve juste à bonne hauteur, je posais mes mains sur ses hanches et saisis lélastique de son short que je baissais doucement, sa queue jaillit en jaillit lorsque je fus assez bas pour quelle se libère, je me penchais un peu en avant pour descendre le short jusquen bas et en profitais pour attraper son sexe avec ma bouche et commencer à le sucer, Fernand gémit « putain, que cest bon, tu le fais vraiment bien »

Moi lâchant le short et saisissant sa queue pour la sortir de ma bouche : « je fais bien quoi ? Dis le moi »

Fernand : « tu caresses et tu suces bien, jadore ce que tu me fais »,

Moi : « alors allonge-toi comme lautre jour et poses tes pieds sur les accoudoirs du fauteuil », Fernand fit ce que je lui demandais et se retrouva allongé sur la table, les cuisses écartées.

Javais sous les yeux et à portée de bouche, sa queue et ses couilles, mais dans cette position, javais aussi à portée des yeux, de mes mains et surtout de ma langue, ses fesses et son ptit trou. Avis de tempête force 7 dans mon short, je bandais comme un âne.

Je commençais par poser ma langue au niveau du genou, à lintérieur de sa cuisse et je descendais doucement ver son bas ventre, puis je recommençais avec lautre jambe et arrivé au niveau de ses couilles jen gobais une, laspirais et la léchais, puis je passais à lautre alors que Fernand gémissais de plus belle, puis javalais sa queue et la suçais avec gourmandise. Fernand était aux anges et il donnait de petits coups de reins pour senfoncer dans ma bouche, je voulu faire durer le plaisir et recommençais à faire glisser ma langue sur ses cuisses alors quen même temps je prenais son sexe en main et le masturbais doucement. Lorsque ma langue fut au niveau de son bas ventre, je déviais un peu et descendais sur ses fesses, jembrassais et léchais un des globes charnus puis en faisait de même à lautre, à chaque fois, je remontais avec ma langue pour marrêter juste sous ses couilles, dès le premier passage de ma langue sur ses fesses, Fernand sétait contracté, et javais senti sous ma langue ses muscles tendus. Je décidais dinsister pour voir comment il allait réagir.

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