Bonjour, moi c’est Tom, j’ai 40 ans et je suis ce qu’on appelle un assoiffé de sexe, le vice et la luxure coulent dans mes veines.
Je vais commencer pas vous raconter comment à 16 ans j’ai eu mon premier rapport avec un chien, un colley…
Il faisait très chaud, c’était en été, en Bretagne. Dès qu’il fait chaud, l’air devient lourd, humide… Les vêtements collent à la peau et c’est parfois désagréable. Ce jour là, ma mère m’avait donné un short de foot, ceux en matière satinée des années 80 avec la bande blanche sur le coté. Il était trop grand et baillait largement quand je me posais les fesses quelque part, ce qui avait pour résultat de montrer mon slip (quand j’en portais) mais avec la chaleur, j’aimais être nu en dessous.
Je sortais donc ainsi, libre de mes mouvements, en jouant même mais de fausse façon innocente! La moindre occasion pour moi de me mettre accroupis, devant Sabine ma voisine de 25/30 ans, était devenu mon jeu de perversion préféré!
Elle était allongée sur le ventre à bronzer, seins nus mais de façon discrète. Car même si j’habitais en campagne, les maisons n’étaient pas si éloignées. Je me posais donc dans un transat de plage face à elle. Je portais des lunettes de soleil, et prétextant de m’endormir, j’écartais les jambes pour lui faire voir ma petit paire de couilles qui ne demandaient qu’à prendre un peu l’air. Je voyais du coin de l’oeil qu’elle se rinçait l’oeil… Elle fumait tranquillement une cigarette en lisant une revue de musique. Même si je voulais jouer l’innocence de mon exhibition, mon érection me trahissait. J’avais une gaule d’enfer! Même à 16 ans, j’étais déjà hors norme au niveau de la taille de mon sexe.
Son téléphone sonne… Mince elle rentre pour y répondre tout en cachant des seins avec son t-shirt posé à coté d’elle.
Après 15 ou 20 minutes d’attente, toujours personne. Je me lève donc et remarque son paquet de cigarettes ainsi que son briquet. Personne à l’horizon… Hop me voilà partis avec ses clopes.
Je connaissais un coin tranquille pour me pourrir les poumons sans être vu. Il y avait à proximité de chez moi un bâtiment abandonné où je me cachais pour lire les magasines porno que je volais à mon père. Il fallait juste faire attention de ne pas faire de bruit pour ne pas attirer le chien du fermier voisin, un colley. Il n’était pas méchant, bien au contraire, mais il aboyait au moindre bruit.
Je me glissais enfin dans ma cachette et j’allumais le fruit de mon vol. Pfff… "Dégueulasse ces clopes!" me disais-je… comme si je pouvais les comparer à d’autres cigarettes alors que je n’avais jamais fumé.
Sous le toit de tôle, il faisait trop chaud. je me mis donc nu pour ne pas tremper mes vêtements de ma transpiration. Et me voila à crapeauter ces satanées cigarette qui me faisaient plus tousser qu’autre chose.
— Mes clopes! Qui à pris mes clopes?
Mince, la voisine était revenue plus vite que prévu! je me mis à 4 pattes pour la regarder sous la porte du bâtiment qui donnait directement devant chez elle, à environ 20 mètres. Je ne voulais pas me faire attraper, surtout que mon père ne travaillait pas ce jour là… Même si la voisine allait le voir pour lui demander ou j’étais, mon père n’aurait su le dire, ne connaissant pas ma cachette. Je retenais ma respiration et surveillais sans bouger…
Quand soudain je sentis une truffe froide se poser sur mon anus! Je sursautais de surprise, c’était le chien du fermier. Je le repoussais et retournais à mon point de surveillance. Ma position attirait le colley (cul en l’air et visage au sol)
Ma voisine s’approchait d’où j’étais… ne pas bouger…
Le chien était revenu et recommença à coller son nez contre mon petit trou. Je n’osais bouger pour ne pas faire de bruit. Sa langue commença à me lécher lorifice de ses désirs. J’étais coincé. Je ne voulais pas me faire griller pas la voisine. Le chien s’activait et je me surpris de commencer à bander. Faut avouer que c’était agréable et excitant à la fois.
— Vous n’avez pas trouvé mon fils?
— Non, mais c’est peut être pas lui, je ne sais pas! je ne l’ai pas vu prendre mes cigarettes.
— Il en serait capable, je vais voir chez les voisins, restez ici, si vous le voyez, appelez moi!
— D’accord!
J’étais pris au piège, j’étais paralysé.
La langue du chien me faisait de plus en plus de bien, elle entrait carrément à l’intérieur de mon cul, c’était incroyable, mon érection le prouvait et commençait même à me faire mal. Mais je ne pouvais pas me branler car ça aurait fait du bruit pensais-je. Le chien s’activait et de la bave coulait sur mes cuisses. Il m’aspirait carrément l’anus et je ne pourrais longtemps retenir mes souffles de plaisir.
Visage toujours au sol, je pouvais voir les pieds de ma voisine.
Soudain, le chien me grimpa dessus et commença à donner des coup de reins. Je ne pouvais bouger mais la situation devenait critique! Je sentais son gland taper mes fesses, je paniquais un peu.
Mais à force de tâtonner de sa bite, il sentit la moiteur de mon trou et s’y plongea sans ménagement! Je me mis à mordre mon bras pour ne pas crier. Il me déchira littéralement. Des larmes me coulaient sur les joues. Sa pénétration me brûlait horriblement, mais je ne pouvais pas bouger…
La douleur passa relativement vite, à mon grand étonnement. Je sentais son sexe frapper dans mon ventre avec comme un liquide qui s’y déverser, j’appréciais enfin ce qui m’arrivait.
Il était déchaîné et me labourait comme si j’étais une chienne. La voisine s’éloignait enfin. je pouvais me branler… enfin…
Mais il me semblait que le sexe du chien continuait à grossir! Il devenait énorme, je n’en revenais pas et la douleur reprit place! Et je sentis comme une grosse boule entrer en moi, j’ignorais à l’époque ce que c’était, si j’avais su… Le chien s’immobilisait et se vidait en moi. Mes yeux étaient écarquillés par un mélange de douleur, d’intense plaisir, de honte et… de peur! J’avais déjà vu des chiens coincés les uns aux autres. Si je restais collé?
J’entendis des pas derrière moi… J’étais plaqué au sol par le poids du chien! C’était Sabine.
— Et bien Tom… te voila donc… Je peux t’aider?
— …
Oui dans ce genre de situation, on est très bavard…
— Je constate que tu as fait connaissance avec Rox?
— S’il te plaît, aide moi, il est coincé en moi, il me fait mal.
— Vu comment tu bandes, j’en doute un peu… tu sais que ton père te cherche? Un voleur ma pris mes cigarettes! (disait-elle en regardant son paquet au sol)
— Je ferais tout ce que tu veux mais aide moi s’il te plaît… je ne veux pas rester collé à ce chien!
— J’ai remarqué que tu avais une sacrée belle queue tout à l’heure, petit exhibitionniste, et j’ai bien envie d’en profiter un peu!
— Mais j’ai que 16 ans! tu n’as pas le droit!
— Vas te plaindre si tu veux! me disait-elle en saisissant ma bite à pleine main!
Il ne fallu pas beaucoup de va-et-vient pour que je lui éjacule dans les doigts. Elle les porta directement à ses lèvres qu’elle nettoya de sa langue.
— Mmmm… j’adore trop le goût de la semence des mâles!
Sous l’éjaculation, mon anus se dilata et éjecta dans un flop la bite du chien qui avait perdu de la vaillance.
Sabine se jeta sur mon cul pour boire ce qui en sortait… J’hallucinais de la voir dans cette état! Sa langue glissait sur mes muqueuses brûlante de lacharnement de Rox et mapaisait un peu.
Le chien partit en courant et disparu dans le champ de maïs qui était derrière la remise.
— Tiens, prends tes vêtements et rentre te nettoyer… j’ai avalé ce qui coulait, mais il en reste sûrement un peu ricana la fille en me tendant mon short.
— Comment connais tu ce chien?
— Mais ne crois pas qu’il est à son premier coup d’essais!
— Tu veux dire que…
— Que je le connais très bien oui
— Heu… pour les cigarettes, tu ne diras rien à mon père?
— Tu viens de te faire prendre divinement par Rox et tu ne penses qu’a mes clopes?
— Je ferais tout ce que tu veux!
— Mais j’y comptais bien…
Je remis mon short et sortis le la remise en jetant un dernier regard à ce qui deviendra mon initiatrice à la soumission, mais c’est une autre histoire…