L’été dernier, nous étions tous invités chez tata Dominique et tonton Jacques, dans leur maison perdue dans la campagne. Nous ne nous sommes pas vus depuis pas mal d’années, séparés par la distance. Je venais d’apprendre dernièrement à ma famille que j’étais enceinte depuis plusieurs mois. C’était donc l’occasion de tous se revoir en week-end entier.
A cette époque, mon compagnon se montrait plutôt abstinent. Il avait un peu peur de me faire du mal pendant l’amour et de perdre le bébé. Dans sa tête, il était déjà devenu un papa sage et bien rangé. Quant à moi, au contraire, mes hormones étaient en feu et j’avais envie tout le temps de sexe. A l’approche de la trentaine, je redécouvrais les désirs de mon adolescence. J’avais envie que l’on malaxe mes seins devenus énormes avec des tétons bien noirs et que l’on me saillisse comme une petite chienne.
Il faisait ce jour-là très chaud, ce qui n’arrangeait pas mon envie de me faire prendre. Je portais une courte robe d’été bien décolletée et un string discret qui pouvait laisser penser que je n’avais pas de culotte. Avant le repas, j’avais tenté de chauffer un peu mon mec, pour qu’il me prenne dans un recoin de l’immense jardin de mon tonton. Mais rien n’y faisait : il était concentré sur son barbeuk, voulant absolument bien se faire voir de ma famille.
Tonton Jacques se tenait étrangement à l’écart, lui qui avait l’habitude de s’occuper de tout. Il avait l’air un peu bougon.
— Qu’est-ce qu’il y a tonton ? Tu n’as pas l’air très en forme… demandais-je.
— Non, c’est rien… dit-il en lançant un regard noir sur le père de mon futur enfant. Tu peux m’apporter une bière ma belle ?
— Eh ! Même si tu as un bidon aussi gros que le mien, c’est bien moi qui suis enceinte ! le taquinais-je.
— Ah oui, pardon Olivia, dit-il en se levant et m’embrassant sur la joue. Tu veux quelque chose ?
Tonton Jacques m’avait toujours beaucoup appréciée. J’étais sans aucun doute la préférée de ses nièces. Le quinquagénaire n’avait eu que tardivement des enfants et de surcroît que des garçons. Il s’était beaucoup occupé de moi avant mon adolescence. Le repas se déroula normalement, mais je remarquai que tonton Jacques, comme à son habitude faisait que de me reluquer les seins et plaisantait avec moi avec plein d’allusions sexuelles. Il lançait également énormément de piques à mon conjoint. Il ne manquait pas une occasion pour le rabaisser et l’alcool ne faisait qu’empirer les choses. Si mon mec ne prêtait pas attention à ces remarques, cela commençait à beaucoup m’irriter.
Après le repas, pendant que tout le monde était occupé à débarrasser, s’occuper des plus petits ou discuter. J’en profitais pour discuter avec tonton Jacques.
— J’ai l’impression que tu n’aimes pas trop mon compagnon. Qu’est-ce qui ne va pas avec lui ?
— Ce n’est pas lui en particulier… je n’ai jamais aimé tes copains. Tu me connais, j’ai toujours été trop protecteur avec toi. Je ne veux pas qu’il te fasse du mal.
— Oui, et bien, ce n’est plus la peine. Je suis bien avec lui depuis plusieurs années et maintenant on va avoir un enfant ensemble.
Jacques semblait surpris, comme s’il venait de découvrir que je n’étais plus la fillette innocente qu’il avait connue. D’un côté, ma petite gueule d’ange, ma fine chevelure brune, mes grands yeux noisette et mon petit gabarit ne devaient pas arranger les choses. Tonton n’était pas plus grand que la moyenne, mais il faisait deux têtes de plus que moi.
— Pour moi, tu resteras toujours ma petite princesse.
— Je ne suis plus une petite fille. Et des mecs j’en ai eu tout un tas et je m’en suis toujours très bien débrouillée toute seule, dis-je énervée.
— Je te demande pardon… En tout cas tu as le caractère bien trempé de ta mère, toi ! Et maintenant tu lui ressembles encore plus !
— Je vais prendre ça comme un compliment…
Tonton Jacques avait toujours eu une certaine attirance pour ma mère, Maria. En tout cas, sa façon d’agir et de lui parler laissait clairement entendre que Maria ne le laissait pas indifférent. Elle me ressemble beaucoup effectivement. Maman était encore un peu plus petite et beaucoup plus ronde mais avait de fesses et des seins plus gros que les miens.
— Heu… et tu en as eu beaucoup des garçons avant ?
— Un certain nombre, oui, dis-je avec un sourire en coin.
— Ah…
— Si tu veux savoir si c’est avec mon conjoint que je me suis fait déflorer, la réponse est non.
Jacques avait l’air désormais embarrassé.
— Ne fais pas cette tête, fallait bien que ça arrive un jour… Tu serais pas en fait jaloux tonton ?
— Mais pas du tout. C’est juste que dans ma tête tu seras toujours ma petite Olivia à moi.
— Je suis une grande maintenant ! En tout cas toi, tu es toujours mon tonton préféré, lui dis-je en lui faisant un câlin.
A ce moment, je remarquai qu’il reluquait bien mes gros seins plaqués contre lui. Je sentis également sa verge se dresser contre mon ventre déjà bien arrondi.
Tonton Jacques n’était pas particulièrement beau. Toutefois, sa carrure, ses cheveux et sa moustache grisonnante lui donnaient ce côté rassurant de figure paternelle. J’étais alors un peu confuse car je me sentais à la fois rassurée et choquée. J’étais à la fois dégoûtée et excitée.
Je me dégageai alors rapidement de tonton Jacques. Il était quant à lui encore plus gêné, car il a dû voir dans mon regard que j’avais remarqué sa belle trique.
— Bon ma belle, je vais ranger le barbeuk…
Il partit au moment où mon conjoint me rejoignit. Il vient pour m’annoncer qu’il allait profiter d’être dans la région pour passer la soirée avec des copains… Encore une soirée sans sexe, pensais-je immédiatement. J’acquiesçai sans broncher, puis le quittai dans la foulée. Je n’en pouvais plus de lui, qui me frustrait en permanence. J’allai alors rejoindre tonton Jacques dans la remise au fond du jardin.
— Tu as besoin d’un coup de main ? Demandais-je en prenant soin de bloquer la porte de l’intérieur
— Heu… non ça ira Olivia.
Je fis exprès de faire tomber un outil au sol. Je me penchai alors pour le ramasser, dos tourné à mon oncle, afin qu’il puisse entrevoir mon string. Je fis semblant d’avoir du mal à réaliser cette tâche à cause de mon ventre rebondi, afin qu’il puisse bien profiter du spectacle.
— Laisse, je vais le ramasser, dit-il en s’approchant.
J’en profitai pour me coller dos contre lui, en faisant mine de trébucher. Mes fesses se retrouvèrent au niveau de son entrejambe. Je commençai à me tortiller. Son sexe déjà mi-dur commença à bien se dresser.
— Pa… Pardon, dit-il en voulant s’écarter.
Je lui pris ses mains et les posai sur mon ventre, afin qu’il reste contre moi : Tu ne veux pas toucher mon petit bidon pour sentir le bébé ?
Il commença à caresser mon ventre. Toujours dos à lui, je profitai de ce câlin affectueux pendant quelques instants. Je sentis en moi l’excitation monter tout autant que ce sexe au garde à vous entre mes fesses. Je pris ses mains pour les remonter vers mes belles pommes.
— Non, ça va trop loin Olivia… tu vas être maman et tu te comportes comme une petite allumeuse, alors que tu as déjà un homme.
Je me contentai de lancer un regard coquin par-dessus mon épaule, laissant échapper un soupir sensuel.
— Mon mec me délaisse depuis ma grossesse, alors j’ai besoin d’un peu d’affection tonton, murmurai-je en tournant ma tête vers lui.
De ma main droite, je caressai sa queue à travers son pantalon. Elle n’était pas spécialement grosse, mais elle l’était suffisamment pour me satisfaire. Il ferma les yeux et se remit à malaxer mes obus, en profitant de mon massage.
Il me saisit ensuite la gorge pour m’embrasser à pleine bouche, fourrant sa langue dans la mienne. Il me mit son autre main dans mon string, pour caresser mon abricot déjà bien mouillé. Il essaya d’y mettre un doigt, puis un deuxième. Nous nous câlinâmes pendant quelques minutes, mais un invité s’approcha de la remise. Jacques se dégagea rapidement, alors que j’étais sur le point de jouir. La personne essaya d’ouvrir la porte, mais je l’avais bloquée. L’invité retenta sa chance, puis abandonna après quelques essais infructueux.
Au même moment, Tonton débanda complètement et s’écarta de moi. Il voulut partir par peur d’être découvert, par peur de montrer qu’il m’avait toujours désirée. Pris de panique, il confessa qu’il avait honte de ce qui venait d’arriver et qu’il regrettait son geste.
Il souhaita sortir de la remise en vitesse. Au même moment, je le retins assez longtemps pour lui glisser :
— Je serai seule ce soir, rejoins-moi dans ma chambre dès que tu peux…