Chapitre 2 La veille de Noël :
Le jour tant attendu est enfin arrivé. Je ne peux plus tenir en place tellement je suis impatient de découvrir les tenues de mes cinq servantes. Je suis dans le salon sur mon canapé, où un grand sapin décoré se tient à côté de la cheminée, en train d’essayer de deviner qui porterait quoi. Pour l’occasion, je suis vêtu d’un costume complet noir, avec une cravate rouge. Je dis alors :
« – Sophie, entre ! »
Sophie ouvre la porte, habillée d’un kimono blanc décoré des fleurs de cerisiers. Le kimono, n’étant pas serré au maximum, laisse presque voir la poitrine de Sophie. À cette vue, je suis pris d’une forte érection. Sophie le remarque et laisse s’échapper un petit rire. Elle s’assoit alors à côté de moi.
« – Elle vous plaît Maître ?
-Oui, beaucoup, j’aime énormément ce style japonais. Tu as bien choisi.
-Merci Maître. »
Sophie étant assis, presque allongée sur moi, je ne peux alors pas être tenté de regarder sa poitrine, mais elle me remarque et dit :
« – Voyons Maître, attendez un peu. Je vous promets que vous la verrez d’ici peu » me dit-elle avec un sourire
Je lâche un soupir d’amusement, et dit :
« – Entre, Alexa »
Alexa entre dans le salon, avec une tenue de soubrette intégrale.
« -Tss
-Qu’y a-t-il Sophie ?
-Regardez Maître, cet accoutrement ne lui va pas du tout. Sa poitrine exubérante n’est pas adaptée avec une telle tenue. »
En effet, imaginer une soubrette avec une telle poitrine était un peu difficile, mais cela ne change pas le fait qu’Alexa est terriblement sexy.
« – Maître ? Cela ne correspond-il pas à vos goûts ? » dit-elle, déçue du peu de réaction que je fais apparaître.
« – Non non, loin de là. Je te trouve très belle dans cette tenue Alexa.
-Mais tu n’as pas honte de toi Alexa » dit Sophie
« – Comment ça ? Explique-toi Sophie.
— Regarde-toi, ce n’est pas adapté !
-Moi je pense plutôt que tu es jalouse de mes formes.
-Comment ?! Mais ce n’est pas vr
-Cela suffit ! Alexa est très bien dans sa tenue. Viens t’assoir Alexa.
-Oui Maître » dit-elle en tirant la langue contre Sophie
C’était la première fois que deux filles se disputaient devant moi. Je suis un peu choqué de leurs attitudes mais c’est de courte durée car on toque alors à la porte. J’entends la voix de Marine :
« – Tout va bien ?
-Oui oui, ne t’inquiètes pas. D’ailleurs, entre Marine »
Marine est habillée d’un chapeau rouge à pompon blanc, d’un veston rouge laine, d’une jupe courte aussi rouge et de ballerines blanches. Elle est habillée comme une Mère Noël très sexy. L’érection qui avait disparu pendant la précédente dispute revient alors immédiatement.
« – Eh bien Marine, tu es accordée au thème. »
Elle s’assoit sur un de mes genoux en souriant.
« – Entre, Aurora »
Aurora est celle que j’attends le plus en réalité, car j’ai vraiment hâte de savoir en quoi elle s’est déguisée pour s’accorder avec ses cheveux roses. Elle entre alors, vêtue d’un cosplay (déguisement de personnages de jeux vidéo, de film, ou de mangas) d’une magical girl ; c’est-à-dire, un serre-tête avec deux étoiles, une robe à paillettes rose, des chaussettes longues blanches et de petits souliers blancs.
« – Très beau cosplay Aurora ! J’adore !
-Vraiment Maître ? Super ! »
Aurora vient s’assoir sur mon autre genou, aux côtés de Marine.
« Viens nous rejoindre Natacha ! »
Natacha porte une robe mauve, des talons et s’est attaché les cheveux en queue de cheval pour la première fois. Elle est très élégante et gracieuse, ce qui met en valeur ses formes et son visage.
« – Levez-vous, et mettez-vous côte-à-côte que je puisse vous comparer les filles »
Sophie, Alexa, Marine, Aurora et Natacha s’alignent et je les examine. Après deux minutes, mon choix se porte sur Sophie et son kimono.
« – Je choisi Sophie ! »
Toutes les autres paraissent alors déçues tandis que Sophie jubile.
« – Vous êtes toutes belles, mais Sophie a un je-ne-sais-quoi de plus, c’est donc elle qui hérite d’une récompense. Sophie, tu seras la première à perdre ta virginité avec moi.
-Quoi ?! » crient toutes les autres.
« – Je suis honorée Maître, de pouvoir partager mon sexe avec le vôtre.
-Eh bien, rejoins-moi dans mon lit maintenant ! Les autres, vous pourrez regarder si vous avez envie. »
Je pars alors en direction de ma chambre, accompagné d’une Sophie toute souriante. J’ouvre la porte, prends Sophie dans mes bras et la jette sur mon lit. Étonnement, les autres filles nous suivent et restent sur le côté du lit. Je prends alors par précaution une pilule aphrodisiaque. Je commence alors à embrasser Sophie en la plaquant. Nos salives se mélangent et l’air commence alors à se réchauffer. Je défais le haut de son kimono, laissant apparaître sa petite poitrine que je commence à malaxer. Elle gémit et dit :
« – Maître, arrêtez, ça me gène.
-Mais tu aimes ça non ? Alors laisse-moi faire et profite »
Elle détourne son regard et rougit plus encore. Pendant plusieurs minutes, je pétris ses seins, tout en lui susurrant des mots doux. Je me mets à genoux et lui dit :
« – Maintenant, suce-moi !
-Oui, à vos ordres Maître. »
Elle se lève et commence par me branler, puis entame une lente et bonne fellation. Depuis la dernière fois, elle s’est nettement améliorée. Je ne tarde pas à jouir et lui dit :
« – Sophie, je vais jouir dans ta bouche ! Continue »
Cinq flots de spermes inondent la bouche de Sophie, qui l’avale dans plus attendre et tousse un peu à la fin. Malgré cela, elle sourit et me dit :
« – Pouvons-nous commencer Maître ? »
Elle se mit à quatre pattes et lève son petit cul. Je relève son kimono, descend sa petite culotte toute trempée, et insère d’abord mon doigt dans son vagin. Elle pousse un cri de plaisir. Je fais rentrer un deuxième doigt, puis un troisième. Je sens Sophie se contracter et trembler. Je lui dis :
« – Ça va Sophie ?
-Oui, Maître, veuillez continuer à me doigter ! » dit-elle en poussant des gémissements de plaisir. »
Je ne me fais pas prier. Je remarque que Sophie mouillait énormément, au point de laisser une grosse tâche de cyprine sur la couette du lit. Après une bonne dizaine de minutes de plaisir, je sors mes doigts tous trempés et les présente devant la bouche de Sophie. Elle comprend immédiatement et lèche mes doigts sans attendre. Sans la prévenir, j’insère mon pénis dans son vagin et elle pousse alors un cri de souffrance. Je vois alors que du sang coule et m’inquiète :
« – Est-ce que tout va bien Sophie ?
-Oui, Maître. Cela fait un peu mal mais me fait sentir extrêmement bien. Continuez s’il-vous-plaît. »
Je continue alors tout en poussant des râles de plaisir malgré le sang qui s’échappe de son vagin. Au bout de quelques minutes, je décharge ma semence dans son vagin. Sophie est alors exténuée, et a du mal à respirer. Mais je ne lui laisse pas de temps mort. Je la renverse et la prends en missionnaire. Elle continue de gémir avec plaisir pendant que je la pénètre. Elle dit alors :
« – Maître, je me sens bizarre. Je crois que je vais jouir !
-Moi aussi Sophie, je vais JOUIR ! »
Je jouis dans son vagin pendant qu’elle crie de plaisir. Nous sommes alors extrêmement fatigués et je me couche sur Sophie, mon pénis dans son vagin. Nous soufflons, visage contre visage, et nous nous embrassons encore une fois.
« – Ce fut incroyable Maître.
-Oui, Sophie, c’était incroyable »
Nous nous regardons, puis Sophie rougit en disant :
« – J’en ai encore envie, Maître Me feriez-vous l’honneur de recommencer ?
-Oui, recommençons Sophie. »
Grâce à la pilule aphrodisiaque précédemment consommé, mon pénis n’a rien perdu en vigueur. Je me remets sur mes bras, et pénètre Sophie de nouveau mais en augmentant la fréquence cette fois-ci. Mes lents va-et-vient deviennent de rapides pénétrations. J’entends de nouveau Sophie pousser de petits cris de plaisirs. Elle me sourit en me regardant et nous continuons pendant plusieurs minutes. Je la renverse de nouveau et la prends en levrette. Elle continue à pousser des cris et des gémissements pendant que je la pénètre. Je suis alors encore plus excité et je la prends par les cheveux. Je dis :
« – QUE C’EST BON, JE VAIS ENCORE JOUIR.
-Allez-y Maître, j’attends votre semence ! VENEZ EN MOI ! Je vais aussi JOUIR ! »
Je pousse un cri de plaisir tout en lâchant une quantité non-négligeable de sperme. Elle cria encore plus fort avec un visage satisfait et plein de plaisir. Le surplus de sperme sort alors de son vagin, tâchant toute la couverture. Mon pénis est alors toujours en érection. Je me déplace vers le visage de Sophie, et commence à me branler frénétiquement. Je termine alors par jouir sur son visage. Je le recouvre partiellement d’une semence chaude et épaisse. Elle sourit et lèche le sperme qu’elle peut.
Après cette baise longue et intense, je me relève et sans m’en rendre compte, me retrouve nu, devant les autres filles. J’avais, pendant la baise, totalement oublié leurs présences. Tandis que Marine et Aurora semble choquées, Alexa et Natacha étaient très intéressées par notre coït. Je rougis alors, très gêné, et dis :
« – Sortez les filles, vous en avez assez vu. Laissez-moi seul avec Sophie.
-Très bien, Maître »
Sophie, essoufflée, est toujours allongé sur le lit. À cause de la chaleur et de la baise, nous sommes tous deux fatigués et transpirent beaucoup, mais satisfaits. Je regarde l’horloge et voit que minuit approche. Je dis :
« – Sophie, va te laver et habille-toi. Nous allons fêter Noël avec les autres. Malheureusement, mes parents seront là. Il ne faudrait pas qu’ils nous remarquent dans ces tenues, n’est-ce pas ?
-Oui Maître. À plus tard. »
Je pars me doucher, et après une vingtaine de minutes, je ressors propre avec mon costard-cravate. Je vais dans la cuisine et voit les filles s’activer, préparant le repas de Noël. Seule Sophie manquait à l’appelle. Je les aide en mettant la table et entends la sonnerie. Je descends et accueille mes parents. Ils rentrent et m’embrassent. Nous nous dirigeons dans le salon pour parler. En vérité, je ne m’intéressais absolument pas à leurs affaires. Minuit arrive, et les cinq filles m’appellent. Nous allons dans la salle à manger, et j’installe mes parents. Les filles m’installent, puis s’asseyent à leur tour. Au fil de la soirée, tandis que les plats s’enchaînent, je remarque que Sophie se fait assaillir de questions et me regarde, gênée. Je comprends alors que les autres l’interrogeaient sur la baise entre moi et elle. Mes parents remarquent aussi la gêne de Sophie, mais ne comprennent pas. À la fin de la soirée, mes parents partent se coucher tandis que les filles retournent chacune dans leurs chambres. Je vais me coucher et m’endors. Pendant que je dors, un bruit trouble mon sommeil. Je me réveille et voit une silhouette sur moi. Je suis surpris, je sors de mon lit et allume la lumière. Je vois alors Sophie, sur mon lit, dormir paisiblement. Elle est toujours vêtue de son kimono, mais ses fesses ressortent et je vois sa culotte. Mon pénis se lève immédiatement à cette vue et je ne peux m’empêcher de fixer son cul. Je décide de me rendormir à ses côtés. Je la prends dans mes bras, et m’abandonne aux bras de Morphée.
