Mais quest-ce que tu me dis là ? Tu es carrément en train de me dire daller draguer une autre fille !
Allons, ne sois pas vieux jeu ; tu sais bien que jai ce fantasme depuis longtemps : faire lamour à une fille devant toi, et après tu lui feras lamour avec ta belle queue.
Bon ! Ben, tu lauras voulu
Jean se leva, son début dérection à peine dissimulé dans son short de bain.
Il sapprocha de la brunette qui ne lavait pas quitté des yeux, puis il lui fit la conversation à loreille. Ils souriaient tous les deux. La brunette se leva et sapprocha de moi ; elle était toute menue : à peine 1m 65 et 50 kg, une poitrine sublime, un joli cul cambré. Elle devait avoir tout juste 18 ans, et son string blanc, quasi transparent, ne masquait rien de son anatomie ; elle semblait entièrement épilée.
Bonjour ; je mappelle Justine. Votre compagnon me plaît beaucoup, et jaimerais quil me fasse lamour devant vous ; il ma dit que vous aimeriez cela.
Cest vrai, mais à condition que lon fasse dabord lamour toutes les deux.
Tu es superbe, et jai très envie de toi ; enfin, si tu es daccord
Pas de problème : jaime bien faire lamour entre femmes.
Par contre, mon copain vient aussi. Je vais le chercher, il se baigne.
Elle revint avec un grand gaillard de presque 2 mètres, hyper baraqué. Je remarquai aussitôt lénorme bosse dans son maillot de bain.
Je vous présente Carl ; il est dorigine suédoise et il assume dêtre entièrement bi.
Jean, qui nous avait rejoints, décida daller dabord boire un verre au bar de la plage. On se retrouva tous autour dune table, à parler de choses et dautres.
Justine, qui sétait installée à côté de moi, avait posé sa main sur le haut de ma cuisse et me caressait doucement pendant que mon pied se posait sur la bosse du short de Carl. Je pouvais sentir son sexe grandir et durcir à mon contact ; il me sourit, dun sourire magnifique avec des dents superbes.
Jean, lui, observait sans rien dire.
Justine nous avoua quelle navait que 16 ans depuis quelques jours, quelle était très attirée par le sexe depuis quelque temps déjà, et quil ne se passait pas une journée sans quelle fasse lamour, et même plusieurs fois. Elle en avait besoin, et Carl lui donnait entière satisfaction avec son sexe de belle taille quasi infatigable.
Ce quelle aimait le plus, cest avoir plusieurs hommes en elle et les sentir jouir en même temps.
On pouvait deviner que, malgré son jeune âge, cétait une grosse cochonne rien quà son regard de braise qui devait mettre le feu partout où elle passait.
Même en étant avec nous, elle ne pouvait sempêcher dallumer chaque beau mec qui passait à proximité.
Sa technique était plutôt radicale : elle les regardait dans les yeux, leur souriait puis se passait la langue sur les lèvres en regardant du coté de leur slip de bain.
Son jeu mamusait beaucoup et mexcitait au plus haut point ; je sentais mon maillot de bain se tremper de plus en plus Elle me caressait entre les cuisses à présent, et elle posa un doigt sur mon clito en appuya fortement, ce qui me fit frémir aussitôt.
Puis on se leva et on prit la direction des dunes ; les quelques hommes qui nous suivirent furent tout de suite découragés par un geste très autoritaire de Carl.
Nous nous retrouvâmes sous un bosquet, bien dissimulés sous les branches et le feuillage épais.
Justine sapprocha de moi et me donna un baiser très langoureux ; je sentais sa langue experte chercher la mienne. Elle me caressait les seins dune manière très douce, me pinçant les tétons du bout de ses doigts. Je lui rendais ses caresses ; ses seins sans la moindre trace de maillot étaient très fermes, et je passais ma langue sur ses aréoles tout en les massant.
Je parcourais tout son corps ; ses courbes étaient magnifiques : pas le moindre défaut. Je décrochai son maillot qui tomba à ses pieds : aucun poil, sa chatte était entièrement épilée et très douce. Je la couchai sur une serviette et commençai à lui lécher le bord du sexe, puis son clitoris ; ses lèvres étaient entièrement ouvertes, et jintroduisis ma langue au plus profond. Elle gémissait, et sa respiration saccélérait de plus en plus.
En relevant la tête, je maperçus que nos hommes avaient sortit leur queue et se masturbaient lentement.
Carl ne quittait pas des yeux la bite de Jean, puis il tendit la main pour la saisir.
À ma grande surprise, Jean se laissa faire et Carl sagenouilla pour le sucer.
Cette scène très excitante marracha un orgasme violent ; Justine sétait installée entre mes cuisses et me léchait le clito tout en me branlant la chatte avec trois doigts.
Du coin de lil, japerçus la bite de Carl en érection : elle touchait son ventre et semblait très dure, dune longueur denviron 20 cm, mais très épaisse ; trop, presque.
Justine devait déguster avec cet engin
Je mimaginais sa petite chatte menue ouverte par ce pieu de chair ; ça devait quand même être très serré !
Jean était très excité ; je le vis jouir dans le sable, des grands jets encore plus puissants que lorsquil est avec moi. Il a dû prendre un pied terrible.
Justine me délaissa pour rejoindre Jean, elle avait déjà son sexe dans la gorge et il semblait reprendre de la vigueur.
Justine savait sy prendre avec une queue dans la bouche : Jean avait retrouvé son érection très rapidement. Il se pencha pour lui caresser les fesses et lui rentra un doigt, puis deux, dans lanus ; ça rentrait tout seul !
Il lui branlait le cul, ce qui arrachait des gémissements à Justine ; elle eut un orgasme très bruyant.
Jean la coucha sur le dos, lui releva les jambes et la pénétra sans autres préliminaires.
Carl sapproche de moi et me mit sa queue devant la bouche ; je ne pouvais prendre que le gland, alors je mappliquai du mieux que je pouvais.
Je sentais sa queue devenir très dure ; il se retira de ma bouche et sapprocha de ma chatte. Il poussa lentement et, à ma grande surprise, son sexe rentra sans effort sur toute sa longueur. Jen avais le souffle coupé ; son sexe me remplissait entièrement.
Il commença alors à bouger en moi ; jeus un orgasme immédiat, le corps secoué par des spasmes très intenses.
Je navais encore jamais joui comme ça, alors quil avait à peine commencé
Il me fit lamour dans toutes les positions, marrachant à chaque fois un orgasme.
Jean, lui, nétait pas en reste, et semblait passer un grand moment avec Justine, qui criait de toutes ses forces ; elle lui demanda de la sodomiser le plus fort quil pouvait. Bien sûr, à ce rythme, Jean jouit dans son cul après quelques minutes ; lorsquil se retira, sa rondelle resta béante. Carl me laissa et prit la place de Jean dans le cul de Justine ; je le vis jouir alors sur son cul et son dos. Justine se retourna pour recueillir les dernières gouttes dans sa bouche.
Tout ce petit monde tenta de reprendre son souffle avant de regagner la plage, chacun de son côté ; nous échangeâmes nos numéros de portables en nous promettant dessayer de nous revoir avant le fin des vacances.
Alors ma chérie, ça ta plu ?
Jai passé un très bon moment. Il faut que je te dise que si son sexe navait pas été aussi gros, je laurais laissé me baiser le cul.
Ah bon ? Comme ça, tu aimerais ça ? Eh bien, on essayera une fois pour voir !
À suivre