A bientôt 35 ans, je nai jamais eu de relation féminine stable qui aurait pu me permettre de fonder un foyer. Pourtant, jai une bonne situation avec un poste à responsabilités dans une grande entreprise de location de camions frigorifiques de la région parisienne. Le salaire y est confortable et les avantages nombreux.
Chaque fois que je rencontrais une femme de mon âge avec qui jaurais pu mentendre, il y avait un obstacle : lune était mariée mais papillonnait allégrement mais ne voulait pas changer, lautre quittait définitivement la région, bref, à chaque fois que cela durait un peu, je devais déchanter rapidement. Jen étais réduit à la drague du samedi soir et aux coups vite faits dans une voiture ou une chambre dhôtel trouvée pour loccasion.
Jhabite dans une résidence récente à moins de 10mn de mon travail, ce qui en région parisienne est un sérieux avantage : échapper aux encombrements de la circulation et à la promiscuité des transports en commun, cela na pas de prix ! Cest ce qui a guidé mon choix lorsque jai fait lacquisition de ce logement. En plus, je suis au dernier étage avec une grande terrasse qui domine les immeubles avoisinants.
Amateur de naturisme, je peux avant la saison moffrir gratuitement de belles séances de bronzette lorsque le ciel veut bien se montrer clément et le soleil darder ses rayons. Lorsque je suis sur cette terrasse je pense uniquement à mes séances nues et jamais je nai jeté un coup dil vers les fenêtres des immeubles proches. Je ne suis pas dun naturel voyeur même si, comme tout homme normalement constitué, je ne dédaigne pas regarder une belle femme qui passe à proximité.
Ce que je vais vous raconter date du pont du 14 juillet de cette année. Il faisait assez beau et je métais mis en tenue dAdam pour vaquer à diverses occupations ménagères et me préparer à une séance de bronzage sur ma terrasse. Mon attention a été attirée par une scène se déroulant en contrebas dans un immeuble situé de lautre côté de la rue. Deux femmes se tenaient enlacés dans lentrebâillement de la fenêtre dune pièce pouvant être un salon. Je voyais aussi un fauteuil et langle dune table basse.
Je décidai pour une fois de jouer les voyeurs en voir comment ce baiser qui se prolongeait allait évoluer. Peut-être que les deux filles allaient en rester là ? Allaient t-elles continuer et moffrir un petit spectacle chaud ? Et bien, cest la seconde chose qui sest passée. Elles ont commencé à se déshabiller mutuellement mais jétais un peu loin pour distinguer les détails de leur anatomie. Elles semblaient jolies et bien roulées, jeunes et blondes autant que je suis brun et mat de peau Mais je nai rien vu de plus car elles ont disparu de mon champ de vision.
Lorsque jen ai eu terminé avec mes occupations, je me suis habillé légèrement et je suis allé voir dans lentrée de limmeuble où habitaient ces filles. A létage indiqué, il y avait plusieurs noms mais un seul semblait correspondre, il y avait deux prénoms féminins suivis de deux noms de famille. Je ne savais pas quoi penser après le spectacle que ces deux filles mavaient laissé entrevoir. Était-ce un couple de lesbiennes ou deux filles bi qui, outre le fait de partager une colocation, se donnaient du plaisir ?
Dès que je suis remonté dans mon appartement je me suis lancé à la recherche de renseignements, dabord lannuaire téléphonique puis les réseaux sociaux les plus connus et là jai trouvé ! Toutes les deux étaient inscrites sur le plus ancien des réseaux. Et jai envoyé une demande de contact avec un message en disant à mots couverts ce que javais pu observer le matin même.
Qui vivra verra ! Pensai-je en moi-même ! Si elles répondent, tant mieux, si cest un coup pour rien, ce petit show restera un joli souvenir.
Une semaine sest écoulée et le vendredi soir jai eu un message très laconique en réponse : « Ce soir 21 heures à la fenêtre. »
A lheure dite, je me suis posté sur mon balcon et je regardais vers la fenêtre de la salle de séjour de mes deux belles voisines : La baie est ouverte entièrement et comme la fois précédente, je vois une assez grande partie de la pièce.
Comme dans une sorte de ballet bien réglé, une des filles apparait, vêtue dune nuisette et de bas noirs. Elle ondule comme si elle suivait une mélopée langoureuse, se tournant tantôt vers moi, tantôt vers lintérieur de la pièce. Elle semblait vouloir attirer quelquun avec sa danse qui tournait à lérotisme car elle faisait courir ses mains le long de son corps, palpant les seins qui, de loin, me semblaient de bonne taille. Ou encore, elle glissait ses mains dans la fourche de ses jambes, remontait lentement jusque sur sa chatte. Il me semblait même quelle introduisait des doigts dans sa vulve ! Cétait chaud et je commençais à me sentir à létroit dans mon boxer.
Puis lautre fille est arrivée dans mon champ de vision. Elle ne portait quun soutif et un string de couleur mauve des plus réduits. Elle sest mise à onduler devant lautre avant de lenlacer et de lembrasser comme la semaine précédente. Oula ! Cétait de plus en plus chaud-chaud ! Ma bite était de plus en plus bandée à men faire mal tant elle était comprimée à létroit dans mon boxer surtout lorsquelles se sont déshabillées mutuellement. Avant de disparaitre de ma vue, elles mont fait comprendre de regarder mon ordinateur.
Javais un message via le réseau sur lequel je les avais contactées : « Viens nous rejoindre, nous avons envie dun homme pour baiser ! » Linvitation était on ne peut plus claire : javais à faire à deux coquines bisexuelles qui avaient envie de senvoyer en lair avec le premier mâle disponible. Jai pris une bouteille de champagne qui est toujours dans mon réfrigérateur et je suis allé les rejoindre.
Lorsquensemble elles mont ouvert la porte de leur appartement, elles sétaient quelque peu rhabillées : elles portaient lune et lautre un ensemble soutien gorge à demi-bonnets et un string assorti de couleur rouge vif très excitant. Je suis entré et aussitôt elles mont enlacé et conduit dans leur salle de séjour où une chaine stéréo diffusait une musique quelque peu syncopée propice à la danse.
Les deux filles, Julie et Sandra, ont repris leur danse lascive devant moi puis elles se sont approchée et ont entrepris dôter mes vêtements. Oh, cétait facile, je ne portais quun polo, un pantacourt et mon habituel boxer. En peu de temps, nous étions à égalité car elles ont retiré leurs sous-vêtements pour mapparaitre en tenue dEve. Javais devant moi deux blondes véritables, grandes avec des cheveux mi longs tombant sur les épaules, un visage ovale pour lune, un peu plus rond pour lautre. Leur poitrine assez généreuse était bien ferme et ronde comme une pomme. Le pubis était simplement orné dune mince bande de poils blonds taillés courts et une mince barrette dorée ornait le capuchon du clitoris.
De mon côté, ma bite, déjà émue à la pensée de rejoindre ces deux belles coquines, était dressée comme un pieu de chair sur le devant de mon pubis et le spectacle quelles moffraient narrangeait pas les choses tant leur danse était sensuelle, un véritable appel à quelque chose de plus sexuel encore. Julie et Sandra dansaient autour de moi, frôlant de leurs mains les endroits sensibles comme les tétons de mes seins ou mes bourses qui pendaient, dures et pleines entre mes jambes. Insensiblement elles mattiraient vers une chambre où un grand lit na pas tardé à nous accueillir tous les trois.
Pendant que Julie semparait de ma bite pour commencer à la lécher, Sandra sest placée à califourchon au dessus de mon visage. Javais la vue en gros plan sur sa vulve aux lèvres bien découpées, suintante de cyprine et sur son anus dans lequel se trouvait un Plug argenté orné de strass. Je ne résistai pas à cette invitation et je relevai la tête pour venir cajoler cette chatte qui soffrait à moi et jagitai doucement le Plug en le faisant tourner dans le sphincter. Sandra sest alors écriée :
— Oh oui ! Cest bon ! Continues, tu vas méclater ! Bouffe-moi la chatte et branle mon cul !
Tout en me suçant la queue, Julie avait placé une main entre ses cuisses et caressait sa chatte. Waouh ! Çà commençait bien ! Jétais tombé sur deux chaudasses de première. Alors que je ne my attendais pas, Sandra a joui soudainement, se tétanisant sous mes caresses avant de ruer comme une cavale en furie lorsque jai fait aller et venir le Plug dans son cul pour mimer une sodomie. Julie avait arrêté sa fellation et elle avait placé un préservatif sur ma bite enduite de salive avant de se mettre en levrette et de moffrir la douce vision de son fessier rond et fendu où palpitait son anneau plissé :
— Non ma belle, ce nest pas ton cul qui me fait envie ! Cest ta chatte ! Ton cul, cest pour après si tu veux bien !
Je me plaçai entre ses jambes et lorsque je me suis senti entre les lèvres, je lai éperonnée dune seule poussée, me logeant immédiatement au fond de son puits humide et en faisant claquer le haut de mes cuisses contre ses fesses. Je restai quelques minutes ainsi avant dentreprendre les mouvements de piston dans cette vulve étroite et humide qui soffrait complaisamment à moi. Je sentais les muscles internes de Julie travailler le bout de ma queue ! Waouh que cétait bon et excitant dautant que Sandra sétait glissée sous Julie et caressait alternativement son clitoris et pressait doucement mes bourses. Avec un tel traitement, je nai pas tardé à partir et au moment même où jenvoyais quelques beaux jets de sperme dans le fond du préservatif, Julie jouissait également, agitant ses fesses et les précipitant au devant de ma queue pour bien la sentir :
— Vas-y ! Bourre-moi bien la chatte ! Défonce-moi comme une salope !
En moins dune demi-heure, les deux filles avaient joui mais elles nen avaient pas assez. Dès que je suis sorti dans la chatte de Julie, Sandra sest précipitée comme une furie sur ma bite. Elle a arraché vivement le préservatif et a glissé ma queue dans sa bouche pour recueillir les dernières gouttes qui sortaient. Mais elle voulait plus ! Elle ma fait une gorge profonde comme je nen navais jamais eu, engloutissant mon sexe au plus profond de sa bouche avant de le faire ressortir pour titiller le méat et la reprendre ensuite pour maspirer. Je nai pas tardé à bander de nouveau comme un taureau en rut si bien que ma "fellatrice" ma lâché pour sallonger sur le dos et prendre ses jambes sous les genoux pour les remonter :
— Vas-y ! Baise-moi aussi comme une salope ! Vois comme je moffre à ta pine !
Et je ne me suis pas fait prier ! Comme pour sa copine, je lai prise violemment, faisant claquer mes cuisses contre ses fesses à chaque fois que je la pénétrais. Je sentais aussi mes couilles qui tapaient contre le Plug toujours fiché dans son anneau plissé si bien que Sandra sest écriée :
— Oh oui baise moi bien comme çà ! jai limpression que je me fais prendre en double avec tes couilles qui enfoncent mon Plug ! Cest booonn !
— Tinquiète pas ma belle ! Tu veux être baisée ? Et bien tu vas être servie !
Et jai redoublé dardeur pour bien satisfaire ma partenaire mais je retenais ma jouissance, ne voulant pas partir trop vite, je préférais donner à Sandra tout le plaisir que je pouvais lui procurer. Tantôt mes mouvements étaient rapides, tantôt je ralentissais pour laisser refluer mes sensations si bien que ma partenaire a pu jouir deux fois avant que je ne me lâche une nouvelle fois au fond du préservatif. Javais été tellement concentré sur ma baise que je navais pas vu ce que Julie faisait ! Quand mon regard sest porté vers elle, jai vu quelle se donnait du plaisir avec un gode articulé quelle agitait dans sa vulve !
— Quelle gourmande tu fais Julie !
— Oh jai lhabitude, je me fais jouir tous les matins quand je me réveille ! Cest la première chose que je fais et çà me met en forme pour la journée !
— Tu verras, jai des réserves dans les couilles ! Je vais vous baiser toutes les deux jusquà ce que je sois vidé !
Jétais toujours fiché au fond de la chatte de Sandra qui avait rabattu ses jambes sur mon dos et mempêcher de sortir mais je me suis arrangé pour basculer sur le dos et placer ma partenaire en amazone au dessus de moi. Elle me faisait face et je pouvais caresser ses seins dont les tétons étaient assez peu sortis. Je suis tellement fan des seins des femmes que lorsque je fais lamour avec lune delle, je ne peux me priver de caresser ses globes charnus. Pendant ce temps Sandra montait et descendait sur ma queue qui était de nouveau bandée à mort. Elle avait la tête rejetée en arrière et poussait de petits cris lorsque je venais frapper le fond de sa vulve : Plaisir ou douleur, car sans me vanter, je suis assez bien monté avec une bite assez courte mais trapue.
Julie était agenouillée près de nous, son gode motorisé maintenu en place par sa position ronronnait doucement dans sa chatte et elle massait doucement ses seins et le haut de sa fente. Quelle coquine cétait ! Elle navait pas la patience dattendre que je sois disponible pour la sauter, elle prenait son plaisir toute seule !
Tous les trois nous avons joui presque en même temps, prenant un pied denfer tant nous étions excités par la situation qui devait être fréquente chez Sandra et Julie, liées par une complicité sexuelle certaine. Nous nous sommes allongés sur le lit pour déguster le champagne en bavardant. Sandra et Julie mont confié quelles sétaient rencontrées dans un club de vacances en Tunisie où elles séjournaient avec leur copain du moment. Après une partie à quatre le dernier soir, ils étaient rentrés par le même avion mais les deux garçons les avaient larguées peu après. Leur malheur commun les avait rapprochées et quelques mois plus tard, elles sinstallaient ensemble dans cet appartement proche de leur lieu de travail.
Pendant que nous bavardions, les deux filles jouaient distraitement avec ma bite à moitié turgescente, lune masturbait doucement le fut et lautre frôlait le gland. Un tel traitement a rapidement rendu à ma queue une splendeur vigoureuse, la faisant se dresser entre mes cuisses. Voyant dans quel état elles mavaient mis, elles se sont agenouillées de part et dautre de mon bassin et ont entrepris une fellation à deux bouches, léchant et suçant alternativement le fut et le gland ou malaxant doucement mes couilles encore bien pleines
Toujours allongé sur le dos et savourant cette caresse savante, javais mon mat dressé vers le ciel. Julie a achevé de menjamber et avant que je dise ouf, elle sest empalée sur mon vit. Comme je métonnais quelle ne mait pas laissé le temps denfiler une capote, Sandra ma dit de ne pas minquiéter, elles venaient lune et lautre de faire leur test HIV. De ce côté-là, jétais tranquille aussi ! En disant cela, elle est venue présenter sa vulve au dessus de mon visage pour que je la suce à son tour. Julie se baisait elle-même en faisant des mouvements de bas en haut sur ma bite et moi, je moccupais de la chatte de Sandra, une chatte pleine de sécrétions au goût douçâtre, pas désagréable. Notre plaisir montait tout doucement, Julie sagitait de plus en plus sur le mat qui la pénétrait au plus profond et Sandra coulait de plus en plus quand elle me dit :
— Attention, je vais jouir ! Je vais ten mettre partout !
Et là, çà a été la surprise la plus totale, plusieurs jets de liquide sont sortis de sa chatte et se sont répandus sur mon buste : Sandra était une femme fontaine ! Je découvrais la réalité de ce phénomène et la surprise passée, cela ma excité au point de me faire partir et gicler au fond de la chatte de Julie qui sest lâchée à son tour.
Comme le lit était plus ou moins trempé, nous avons changé de chambre et nous nous sommes couchés tous les trois côte à côte, une fille de chaque côté de moi et nous avons sombré dans le sommeil, épuisés et repus de jouissances.
Au petit matin jétais encore à moitié endormi lorsque jai senti des cheveux effleurer mon visage puis des lèvres chercher les miennes et une langue agile forcer ma bouche. Je ne voulais pas savoir qui cherchait à me réveiller ainsi dautant que dans le même temps, une bouche agaçait les tétons de mes seins, souffle chaud ou mordillements du bout des lèvres Tout çà augurait de nouvelles joutes amoureuses ! Jétais partant ! La nuit avait reconstitué mes forces et cela se manifestait par un début de bandaison que Julie et Sandra nont pas tardé à détecter :
— OK les filles ! Vous en voulez encore ? Je suis prêt !
Avec un bel ensemble, elles sont descendues à la hauteur de mon bassin et pendant quune prenait le gland en bouche, lautre léchait le mat et alternaient envie, avalant le plus loin possible ma queue qui na pas tardé à se déployer à nouveau dans toute sa longueur. Quelle santé elles avaient, je croyais les avoir satisfaites la veille au soir et là, elles en redemandaient avec cette fellation à deux bouche quelles semblaient pratiquer souvent tant elles sentendaient bien pour coordonner leur mouvement.
Avant de nous lever pour prendre le petit déjeuné vers midi, le les ai baisées à deux reprises mais cest lors de la dernière fois que nous avons atteints le summum de la jouissance. La veille Sandra avait dit quelle avait limpression dêtre prise en double lorsque je la baisais en agitant le Plug dans son anneau plissé. Cest Julie en fait qui en a eu lidée :
— Sandra, depuis le temps que tu prépares ton cul pour te faire sodomiser, cest loccasion dessayer. Je vais menfiler le gode à deux têtes et tu viendras sur moi comme quand nous faisons lamour ensemble. Et là, tu pourras te faire prendre le cul par cette belle bite qui nous a si bien fait jouir depuis hier soir !
Puis en se tournant vers moi :
— Tu es OK ?
— Pas de problème ! Je suis partant !
Et cest comme çà que cette séance de baise à trois sest terminée ! Chaque fois que je poussais pour entrer dans le boyau serré de Sandra, celle-ci poussait le gode dans la chatte de Julie. En fait le gode double les baisait toutes les deux. Lorsque les deux filles ont joui, je me suis lâché aussi (je me retenais pour les attendre), déchargeant en partie entre les fesses de ces deux chiennes en chaleur.
Lorsque je suis rentré chez moi en milieu daprès midi, je naspirais plus quà une chose : me coucher et dormir ! Ces deux furies mavaient littéralement asséché les couilles et jétais vanné ! Quelques jours plus tard, je trouvais un nouveau message :
« Quand tu veux ! »
….