Il est 10h30. Quelques rayons de soleil traversent le volet roulant. Le visage d’une jeune fille profitant du samedi pour faire la grasse mat’ s’illumine. Un premier bâillement, elle s’étire de tout son long, ouvre péniblement les yeux, baille à nouveau. D’autres étirements s’en suivent faisant craqueler ses articulations, le soleil a fait son travail. Elle se redresse dans son lit, saisie un haut posé sur son chevet et l’enfile. Elle en profite pour regarder son smartphone, voir si elle a reçu des messages ou des notifications sur ses nombreuses applications sociales. Un SMS de Manon :
« Salut Aly, j’espère que tu es bien rentrée hier soir. Ça m’a fait plaisir de te revoir après tant d’années. J’ai été contente de voir que tu ne m’en veuille plus et qu’on se soit si bien amusées. Encore une fois, félicitation pour ta détermination ! Sinon j’espère que t’as pas trop la gueule de bois lol. Tu me diras quand tu voudras qu’on refasse une soirée ! Bisous. »
Alyson lui répond en souriant, jette un il aux notifications sur Facebook, Instagram et autres sites où elle expose des photos d’elle. La jeune fille se lève, ouvre le store et constate rapidement la chaleur du mois de juillet. Elle jette un coup d’il au miroir de sa chambre. Son corps s’y reflète sur tous les angles avant de se diriger vers la salle de bain. Là encore le miroir n’échappe pas à une inspection complète au cas où quelque chose aurait changé durant la nuit.
Narcissique sans pour autant l’avouer, Alyson passe le plus clair de son temps à façonner son corps via toute sorte de soins, à faire beaucoup de sport non pas seulement pour garder la forme, pour se sentir bien dans sa peau ou plaire aux autres mais surtout pour plaire à elle-même. Evidemment, que ce soit chez elle ou à l’extérieur, tout objet réfléchissant n’échappent pas à cette demoiselle.
Toujours chez ses parents à 21 ans, Alyson vie dans une maison située dans la campagne du sud-ouest de l’hexagone. Lorsqu’elle ne travaille pas dans la boutique de vêtement située dans la ville voisine et surtout dès que l’envie lui prend, elle s’adonne à son activité favorite : la masturbation. Alyson en est dingue, elle ne pourrait passer une journée sans y recourir mais lorsqu’ elle s’en prive, la prochaine séance de masturbation s’annonce torride et son minou la remercie humidement. Le narcissisme de cette blondinette la pousse à se faire plaisir en se regardant devant le miroir. Voir son corps s’effeuiller, ses mains le parcourir, voir ses petits seins durcirent et son minou mouiller au rythme de ses caresses la rend folle.
Sa passion pour elle-même pourrait aller plus loin si elle avait une sur jumelle. En effet Alyson donnerait beaucoup pour gouter à la douceur sucrée de sa chère, lécher et embrasser son coup, ses lèvres, ses seins, goûter à son fruit juteux. Elle se dit qu’une jumelle aurait forcément le même appétit qu’elle et le même engouement à essayer de nouvelles choses ce qui rendrait les choses encore plus excitantes. Mais bon, la vie est ainsi et, à moins qu’elle rencontre son sosie physique et cérébral, cela restera dans le domaine de l’imaginaire.
Pour rester dans l’accessible, Alyson rêve d’un grand miroir sur pied car l’actuel fixé au mur de sa chambre ne lui suffit pas. Elle en veut un plus grand histoire qu’elle puisse entièrement s’y contempler. Si possible, il doit avoir de l’allure ou quelque chose de spécial. Depuis des mois elle arpente chaque brocante ou vide grenier dans l’espoir de trouver son précieux mais en vain. Elle a même cherché sur des sites internet de reventes aux enchères mais elle ne trouve rien qui la fasse craquer.
Dans quelques jours c’est l’anniversaire d’Emilie, sa petite sur. Comme elle fête ses 18 ans, la famille se plie en quatre pour que cette journée soit inoubliable et pour trouver Le cadeau idéal. Ce week end, Alyson et ses parents profitent qu’Emilie soit chez des amies pour aller en ville acheter son cadeau ainsi que tout le nécessaire pour décorer le salon et la table sur le thème de l’Inde, sa destination absolue. Assise à l’arrière de la voiture, Alyson regarde avec lassitude le paysage défiler à très faible allure. Sous 37°C moites et lorsque on est pris dans les embouteillages en plein mois de juillet, il est très difficile de garder le sourire. Son père perd patience et décide de faire un détour par une route où ils ne passent pratiquement jamais. Dans cette rue, quelques magasins, des bouis-bouis qui ne paient pas de mine mais lorsque la voiture s’arrête au feu, Alyson n’en croit pas ses yeux. Juste devant elle un magasin dont personne n’aurait envie d’y mettre les pieds a en vitrine La Chose, le Saint Graal, la 8ème merveille du monde, ce dont elle cherche depuis si longtemps : Le miroir.
Le feu passe au vert :
— Pp..papa arrête toi ou gare toi dans cette rue ! vite, vite, vite !
— Pourquoi, qu’est-ce qui se passe ?
Son père interroge sa mère du regard. Alyson penne à trouver ses mots tellement la surprise est intense, elle ne peut passer devant une telle occasion et s’exprime tant bien que mal :
— Là, ici, là ! Dans le magasin qu’on vient de passer ! Il y a le miroir que je veux !
— Un miroir ?! Tu ne crois pas qu’il y a plus important à l’heure qu’il est ?
— Non mais maman ça fait des mois que je rêve d’en avoir un comme ça, laissez-moi au moins aller le voir s’il vous plait !
— Je voudrais bien mais il n’y a pas de places dans cette rue.
— C’est pas grave je descends là et je vous rejoint plus loin.
Sa mère agacée tente de la raisonner :
— Non. Ecoutes Aly on n’a pas le temps, on ira au retour ou une prochaine fois !
— Non mais je veux juste voir, ça ne prendra pas longtemps !
— (souffle) Si tu veux mais dépêche-toi, on a déjà perdu suffisamment de temps dans les bouchons.
— Ok papa je me dépêche !
A peine la voiture arrêtée, Alyson s’empresse d’ouvrir la portière et de sortir de la voiture. Elle marche avec hâte, hésite à courir mais ne veut pas passer pour une folle ni arriver en sueur au magasin. Avant d’entrer dans le magasin elle regarde la vitrine pour être sûre de ce qu’elle a vu. Elle ne s’est pas trompée, c’est bel et bien ce miroir qu’il lui faut. Celui qui a ce quelque chose de « spécial ». Tellement spécial qu’elle ressent quelque chose d’étrange en le regardant Comme si le miroir l’appelait, l’envoûtait.
Alyson entre dans le magasin. Un lointain « bonjour » retentit depuis le bureau du vendeur. A l’intérieur, un vieux tapis noir et bleu couvre l’entrée. Pleins de meubles tous plus vieillots les uns que les autres sont exposés dans une vaste pièce accompagnée d’une légère odeur de renfermé sous un air de musique des années 80. Ce n’est pas l’endroit rêvé mais peu importe. La blondinette se trouve enfin à proximité de son miroir, il est plus grand qu’elle le pensait. Du haut de ses 1m60 et quelques elle le contemple les yeux écarquillés, « il est aussi grand qu’une porte » se dit-elle ! L’encadrement en bois est assez sobre sur les côtés mais de magnifiques sculptures et gravures habillent la tranche supérieure. Cet objet semble avoir une âme, du vécu. Elle le regarde sur tous les angles à la recherche d’une suite de chiffre qu’elle espère à sa portée. Tant bien que mal elle finit par voir une petite étiquette collée à l’arrière : 599. Alyson tombe des nues, il est beaucoup trop cher et se dit que ses parents ne voudront jamais qu’elle ramène quelque chose de si encombrant à la maison. Et comment le transporter ? Il doit peser une tonne !
A ce moment de grand questionnement, un vendeur (visiblement le seul du magasin) arrive à proximité.
— Avez-vous besoin d’un renseignement ?
— Non merci ça ira en fait oui je suis intéressée par ce miroir et je me demandais si vous ne faisiez pas des soldes
— Et non je suis navré nous ne faisons pas de soldes sur les produits de revente.
— De revente ?
— Oui ce miroir a déjà connu plusieurs propriétaires, comme vous pouvez voir ici (indique l’arrière de la tranche supérieure) il a été conçu en 1904.
— 1904 ! Vous voulez dire qu’il a plus de cent ans ! Je me disais bien qu’il avait déjà vécu mais pas à ce point ! Il est en superbe état !
— 113 ans pour être précis. Il a été rénové il y a 2 ou 3 ans.
— D’accord Je me plaignais du prix mais vu tout ce qu’il a dû traverser ce n’est pas si cher que ça.
— Effectivement.
— Mais bon C’est tout de même loin de mon budget Il a l’air lourd, combien il pèse ?
— Je ne connais pas le poids exact mais il doit peser entre 70 et 80 kg.
— Ah quand même ! il fait son poids !
— Comme vous dites, mais pour une pièce de qualité c’est ce qu’il faut !
Alyson ri nerveusement. Son portable sonne à ce moment, elle s’éloigne pour répondre : Sa mère lui demande ce qu’elle fait et de se dépêcher car ils doivent aller récupérer sa sur en fin d’après-midi. Alyson répond qu’elle n’en a plus pour longtemps et raccroche. Elle se redirige vers le vendeur :
— Excusez-moi, je vais bientôt devoir partir mais comme je vous disais ce miroir m’intéresse énormément cependant Même s’il a traversé toutes ces années et que c’est typiquement le genre de miroir dont je rêve chaque jour, il dépasse mon budget Serait-il possible de m’accorder une petite remise ?
— Ça dépend, quel est votre budget ?
— En toute franchise, je m’étais fixée un budget entre 200 et 250 300 grand maximum
— Hahaha vous rigolez j’espère, à ce prix-là ce n’est plus une remise !
— Ecoutez, de toute façon je ne peux pas le prendre maintenant mais je vous garantis que d’une manière ou d’une autre je l’achèterai Serait-il possible de le mettre de côté le temps que je trouve une solution ?
— Bien sûr ! Et si vous ne revenez pas, ce miroir aura peut-être perdu l’occasion de trouver preneur.
— S’il vous plait, donnez-moi une semaine et si je ne reviens pas d’ici là, vous n’aurez cas le remettre en vente.
— (le vendeur hésite un instant) D’accord mais à condition que vous me versiez un acompte.
— De combien ?
— 150 .
— (Alyson hésite à son tour) D’accord.
Le vendeur et sa cliente se dirigent vers la caisse.
Alyson sort du magasin. A peine un pied à l’extérieur, qui voit-elle arriver au pas de charge ? Sa mère :
— C’est pas trop tôt ! ça fait presque une demi-heure qu’on t’attend ! Ton père n’a pas trouvé de place et il a manqué de se prendre une amende car il stationnait en double file !
— Oui désolée mais j’ai un peu discuté avec le vendeur et je n’ai pas vu le temps passer
— Discutée avec le vendeur ? Ne me dit pas que tu vas encore faire des folies.
— Non enfin je cherchais à baisser le prix du miroir.
— Pourquoi, il coûte combien ?
— 600
— 600 ! Tu ne vas tout de même pas gaspiller autant d’argent pour un miroir !
— Justement j’essaie de baisser le prix mais j’ai toujours rêvé d’en avoir un comme ça
— Il est hors de question que tu achètes un miroir si cher, en plus t’en a déjà un !
— C’est mon argent j’en fais ce que je veux.
— Justement tu ne préfères pas l’utiliser pour des choses plus utiles ?
Arrivé dans la voiture les parents d’Alyson tenteront de lui faire entendre raison mais rien à faire la demoiselle campe sur ses positions.
Au centre commercial, Alyson pense toujours à ce magnifique miroir. Elle songe aux solutions les plus envisageables afin qu’il trône dans sa chambre. Comme son père est électricien, il acceptera peut-être d’utiliser sa camionnette pour le transporter puis elle l’aidera à le monter jusqu’à sa chambre si ses bras seront assez fort. Au cas où son père n’accepterait pas, elle espère le faire entrer dans sa voiture ou sinon la dernière solution sera de louer un utilitaire. Les questions de logistique sont quasiment résolues. Le point le plus embêtant reste l’argent. Comme un voyage en Espagne est prévu avec deux de ses amies le mois prochain et qu’elle participe au cadeau de sa sur, il lui est indispensable de réduire le prix du miroir. D’après ses calculs, 400 est le maximum qu’elle pourrait dépenser. Mais le vendeur n’acceptera jamais de réduire autant le prix. D’autant plus que ses parents ne pourront pas l’aider vu les circonstances et, de toute façon, à part en cas de grande nécessité, Alyson n’a jamais aimé quémander auprès de ses parents. Ce n’est donc pas pour ce genre de chose qu’elle le fera.
Que faire ? Alyson peine à trouver la solution. Vendre des objets ? Pourquoi pas mais rappelons qu’elle n’a qu’une semaine pour amasser les 200 restant. Surtout qu’elle ne sait pas quoi vendre. Piquer dans la caisse au travail ? Trop risqué. Puisqu’elle aime se faire plaisir, elle a même pensé à faire des show webcam mais encore une fois le temps est compté. A moins d’un miracle ou d’un ticket gagnant au loto elle est à court d’idée. Du moins c’est ce qu’elle pensait car la solution coquine des webcams lui en a donné une autre :
Pourquoi ne pas jouer de ses charmes auprès du vendeur ? Même si l’idée de charmer cet homme l’écure car, avouons-le, ce n’est clairement pas un Brad Pitt elle se dit que ça pourrait peut-être marcher à condition qu’il n’y ait aussi peu de monde que lorsqu’elle y était tout à l’heure c’est-à-dire, personne. Et puis ce n’est pas comme si elle allait vendre son corps, il sera juste question de le charmer ou de lui montrer un aperçu de ses attributs si c’est nécessaire. Même si sa poitrine n’est pas celle de Pamela Anderson, la nature l’a doté d’un joli bonnet B. Ses yeux noisettes sont d’ailleurs souvent en concurrence avec ses seins. Ses fesses, quant à elles, sont une la partie du corps préféré de cette coquine. Fermes, bien dessinées, rebondies et volumineuses elles ne demandent qu’à être culbutées à grand coup de reins ou à être entretenues par des mains aussi expertes que les siennes.
Pour que cette tentative de charme fonctionne, Alyson compte s’habiller de façon commune et légère tout en ayant un côté sexy. Mais pas provocant car le tour serait trop prévisible. Puisque nous sommes en été, Alyson opte pour un petit short en jean et un haut décolleté gris, noir ou rouge. La couleur lui est encore indécise. Pour parfaire cela, la miss est tentée de porter une lingerie sexy. Toute nue sous son haut lui traverse l’esprit aussi mais elle a peur d’être moins à l’aise. La lingerie sera donc prévue. Par chance, dans ce centre commercial il y a un magasin de lingerie qu’ Alyson affectionne particulièrement. Pendant que ses parents continuent de chercher la décoration d’anniversaire, Alyson trouve l’alibi d’aller aux toilettes pour continuer sa quête de charme.
Sur un pas décisif, la jeune femme entre dans le magasin de lingerie. Elle observe, divers modèles très sexy lui passent entre les mains. Elle choisit trois modèles à essayer : un ensemble rouge et noir, un autre rouge foncé et un noir. Alyson entre dans une cabine d’essayage en prenant soins de fermer à clef.
Les trois miroirs verticaux qui habillent les murs lui permettent de se voir sur tous les angles, le paradis pour une narcissique. Cela lui rappelle également pourquoi elle se trouve là et lui donne doublement de motivation. La petite bombe se déshabille, enlève sa robe d’été tout en se contemplant entre chaque morceau de tissu tombé. Une fois totalement nue, elle ne put se retenir d’empoigner ses seins comme pour les dégourdir, de se tourner dos aux miroirs en cambrant pour admirer son si beau cul, tout cela accompagné d’un pincement de lèvre synonyme de satisfaction et de désir.
Alyson saisie un premier ensemble, le rouge et noir : très excitant avec son petit nud rouge entre les seins mais trop diabolique pour l’occasion. Le noir : la dentelle laissant transparaître ses seins et sa petite chatte met bien en valeur son corps. Alyson aime beaucoup cet ensemble et commence à très apprécier cette séance d’essayage. Elle bouge, tourne légèrement son corps au rythme de la musique du magasin. Il faut maintenant essayer le dernier ensemble. Elle dégrafe alors son soutien-gorge noir, le garde un instant dégrafé jusqu’à ce que ses mains le laissent tomber sur le petit banc et ne résiste pas à caresser ses seins, les empoigner en les serrant l’un contre l’autre et les lâcher en laissant filer ses doigts jusqu’au bout de ses tétons. Elle replace ses cheveux en arrière puis ses deux mains joignent son string posé sur ses hanches, jouent un peu avec en descendant l’élastique d’un côté puis de l’autre. Elle se tourne aux trois quarts pour à nouveau admirer son postérieur habillé de ce léger tissu noir et le fait glisser doucement le long de ses fesses cambrées. Elle et son minou en préchauffage sont maintenant libérés, elle laisse glisser son string le long de ses jambes. Alyson ne peut plus résister à l’idée d’empoigner ses fesses franchement et de les écarter. Le fait de ressentir et voir ses trous s’écarter à nus dans un endroit si peu approprié, hisse la petite coquine à un niveau d’excitation supérieur. Une de ses mains se hisse alors vers son minou pendant que l’autre reste posée sur son cul en prenant soins d’écarter tout ce qu’elle peut. Sans surprise ses doigts sont vite couverts d’un liquide gluant. Aly a une furieuse envie de claquer sa fesse mais au risque que le personnel du magasin ou les client(e)s l’entendent, elle se retient et choisi de prendre prudemment appui contre le mur et de plonger un doigt dans sa chatte puis un deuxième. Ses deux doigts vont et viennent langoureusement. Alyson savoure ce moment délicieux, plonge un troisième doigt profondément, garde un rythme régulier ni trop lent, ni trop rapide en faisant tout de même attention à ne pas faire de bruits suspects. Mais son minou désobéi à cette exigence. A chaque mouvement de doigt, un bruit humide retenti comme un torrent de plaisir. Elle les retire, se redresse fasse à la glace et suce ses doigts gluants avec gourmandise.
Avant de continuer, elle saisit le dernier ensemble rouge foncé : celui-ci est parfait. Sobre et sexy à la fois, les zones transparentes se mêlent à la dentelle, la couleur met en valeur sa peau bronzée et maintient bien ses seins pour lui donner un décolleté encore plus beau qu’il ne l’est déjà. Alyson est convaincue et est bien décidée de terminer ce qu’elle a commencé. Tout en gardant au corps cette lingerie qui fait qu’augmenter son degré de narcissisme, elle pose sa jambe gauche sur le banc, caresse son minou sur toute sa longueur par-dessus le tissu. Sa main gauche vient s’occuper de ses seins en les caressant, en les empoignant au travers du soutient gorge et fini par se faufiler en dessous pour intensifier le plaisir. De même pour celle qui s’occupe de sa chatte, elle passe sous le tissu de l’entre-jambe et vient la soulager comme elle sait si bien le faire. Aly étale sa mouille, se regarde dans le miroir, se dévore du regard, admire à quelle point elle est séduisante. Elle accélère le mouvement, son autre main se cramponne à ses seins, le plaisir ne fait que monter et son minou jute en conséquence. Tout s’intensifie, elle replonge ses doigts dans son vagin littéralement trempé. Le plaisir est tellement intense qu’elle s’oblige à abandonner ses seins pour pouvoir se tenir à la paroi. Alyson alterne entre doigtage et branlement sulfureux de son clitoris. Elle finit par rester sur son bourgeon, accélérer, proche du but, le plaisir monte, monte, monte encore, Alyson contient sa voix et sa respiration. Elle se crispe, jute d’avantage, ses membres se contractent, elle est prise d’une jouissance intense ! Alyson traverse un océan de plaisir, la cadence de ses doigts tourbillonnants diminue pour retrouver la terre ferme. Elle contrôle toujours sa respiration pour ne pas éveiller les soupçons puis immobilise ses doigts en se regardant, rougit par le plaisir. Le monde tourne au ralenti.
D’un coup, la vendeuse toc à la porte de la cabine demandant si tout va bien. Alyson se remet brusquement de ses émotions en affirmant qu’elle va bien mais qu’elle a du mal à se décider. Elle regarde l’heure, cela fait plus de 20 minutes qu’elle est dans la cabine. La vendeuse a de quoi se poser des questions !
Alyson se dépêche de se rhabiller, prend bien soins de trier ce qu’elle prend de ce qu’elle ne prend pas et se regarde un coup dans le miroir pour voir si elle n’est pas trop décoiffée ni démaquillée, puis sort. Comme si de rien été, Alyson passe en caisse acheter l’ensemble grenat devant une file effroyable de femmes attendant une cabine libre. Une fois sortie du magasin elle le met dans son sac pour pas que ses parents ne voient cette « folie ».
Elle les rejoint dans le magasin de décoration et les voient déconfis à attendre dans la file de caisse :
— Eh bien, t’en as mis du temps il y avait tant de monde que ça aux toilettes ?!
— Un peu ahah mais je n’ai pas pu m’empêcher de faire quelques détours dans des magasins !
— Et tu n’as rien acheté ?!
— (hésitant un bref instant à dire la vérité ou pas) Et non ! Je sais me retenir parfois !
Ses parents rient de bon cur, Alyson enchaine :
— Et vous, vous avez tout trouvé ?
— Presque, il nous manque juste la nappe. Faut chercher mais ton père perd patience et puis il commence à y avoir trop de monde. (Son père affirme de la tête en haussant les sourcils)
— Oui je vois ça.
— Si ça ne vous dérange pas mesdames, je vais vous attendre dehors !
Alyson profite de cet instant avec sa mère pour revenir sur le sujet du miroir. Elle lui énumère les solutions de logistique trouvées pendant que sa mère l’écoute avec agacement car, pour elle, cet achat n’est absolument pas nécessaire. Elle tente de la convaincre qu’elle ferait mieux de garder cette somme pour son voyage. Sur ce débat la famille se dirige vers la sortie du magasin avec des sacs pleins à craquer. Malheureusement pour eux le périple n’est pas terminé, la route pour récupérer Emilie est loin d’être déserte et il fait toujours aussi chaud. Alyson réfléchit sans cesse à sa stratégie et s’impatiente d’être à ce soir pour jouer les Pretty Woman et trouver la tenue adéquat.