Non, mais arrête ! Laisse mes seins tranquilles, me plaigné-je.
Allez, bébé, ça fait si longtemps
Je fais semblant de repousser ses mains. Malheureusement pour moi, il ninsiste pas. Dommage, cela est si agréable.
Jaime jouer à la fille farouche. Je meurs dimpatience de sentir ses mains parcourir mon corps, mais je ne veux pas le laisser me gagner si facilement. Jaime quun homme me prenne, mimpose son désir. Jaime le sentir semparer de moi. Bizarrement aujourdhui, malgré son absence de deux mois, Ben ne me harcèle pas plus.
Pourtant je sens bien quil en a envie lui aussi.
Deux mois que nous navons rien fait. Il doit être tout aussi en manque que moi.
Je me suis faite désirable pour lui ce soir ; et par « désirable », jentends que je me suis habillée légèrement, histoire de lémoustiller un peu plus. Une courte jupe dévoile mes longues jambes fuselées tandis quun fin débardeur offre une magnifique vue sur ma poitrine avantageuse. Jai omis les sous-vêtements. Je me suis également épilée, légèrement maquillée et ai laissé ma longue chevelure brune détachée comme je sais que Ben aime.
Nous sommes tous les deux installés sur notre canapé.
Après ses deux mois de stage loin dici, je nen peux plus dattendre son retour. Jai envie de baiser ! Surtout que jai la tête posée sur ses cuisses et que je sens un sexe raidi sous sa couche de vêtements. Oh chéri, pourquoi ne mordonnes-tu pas de te sucer ?
Javais pensé que dès son retour, il maurait sauté dessus pour me baiser. Jattendais cela avec impatience. Mais non ; à la place, il a lair de vouloir prendre son temps. Que cest frustrant ! Cherche-t-il à ce que je fasse le premier pas ?
Chérie, tu ne voulais pas aller prendre une douche ? me rappelle-t-il.
Si, cest vrai. Tu viens ?
Non, jai quelques trucs à faire sur lordi.
Hein ? Il ne veut même pas dune douche coquine ! Mais à quoi joue-t-il ? Tant pis pour lui.
Je me rends donc dans notre salle de bain, malheureusement seule. Jenlève mes habits et les dépose délicatement. Jadmire rapidement mon reflet devant le miroir ; je suis fière de ce que je peux observer : cela ne fait pas de doute que je suis bandante. Jentre finalement dans la douche et ouvre leau.
Les premières gouttes matteignent et parcourent mes délicieuses courbes. Jaime sentir leau ruisseler sur mon corps. Ce nest pas aussi agréable que des caresses masculines, mais cest déjà pas mal. Je me laisse aller à mes songes et passe une main sur mon ventre que je commence à caresser doucement. Une douce chaleur, prélude de futur plaisir adorable, menvahit dautant plus. Comment mon chéri peut-il me faire attendre après deux mois sans sexe ? Je nen peux plus. Je suis en feu, et ce nest pas la douche qui va réussir à calmer mes ardeurs. Jai eu la décence de ne pas le tromper ; il pourrait au moins avoir lobligeance de me baiser.
Et pourtant, je nétais pas loin de le faire cocu. Son ami Marc ma invitée la semaine dernière en boîte. Il faut dire que je lai un peu allumé, tout comme jai allumé lami qui laccompagnait et que je ne connaissais pas. Je me suis déhanchée comme jamais, ai dansé lascivement et me suis même frottée à eux. Ils en ont profité pour me palper. Jétais si excitée ! Mais jai finalement retrouvé mes esprits avant de commettre un faux pas et ai mis fin au jeu. Mes sentiments pour Ben sont bien plus importants.
Tout de même, ces souvenirs méchauffent et, bien malgré moi, mes mains se mettent à caresser mes seins puis à me frotter le clitoris. Je suis toute mouillée, et ce nest pas dû quà leau de la douche !
Je me retrouve peu de temps après les doigts dans la chatte avec les souvenirs de cette soirée plein la tête. Mon dieu ! Mais que fais-je ? Je suis en train de me masturber en mimaginant des mains autres que celle de mon chéri me caresser, encore une fois. Je devrais avoir honte de moi.
Quoi quil en soit, je suis tellement en manque que laction de mes doigts me procure rapidement un orgasme. Je finis de me savonner, me rince, sors de la douche, me sèche et remets mes habits, toujours sans aucun sous-vêtement. Je me dirige vers le salon et remarque que la lumière est éteinte. Jappuie sur linterrupteur mais la pièce reste figée dans lobscurité. Jappelle Ben pour lui demander ce quil se passe, mais il ne me répond pas.
Dun seul coup, je sens une présence dans mon dos. Je nai pas le temps de réagir quelle magrippe et me plaque une main sur la bouche.
En voilà une belle prise me chuchote une voix à loreille.
Mon corps est pris de tremblements nerveux et mon cur saccélère.
Viens, avance ! mordonne cette voix masculine. Et ne hurle pas, ou tu pourrais le regretter.
Tandis quil me pousse vers le canapé en me maintenant les poignets dans le dos dune main ferme, son autre main profite de la situation pour venir me palper les fesses.
Je tente de me débattre pour échapper à son emprise mais lhomme me serre bien trop fort. Il finit par me jeter sur le canapé. Cest alors que la lumière fait son retour dans la pièce et je découvre mon agresseur. Il est grand, bien trop costaud pour moi, et cagoulé, me cachant ainsi son identité.
Voilà que débarquent deux autres types, eux aussi cagoulés.
Regarde sur quoi jai mis la main, chef !
Hum, quel joli morceau ! Les gars, je sens que je vais en profiter un peu, et je crois que je vais avoir besoin de vous. Vous allez me la maintenir pendant que je fais découvrir à cette chienne ce quest un vrai homme.
Jai peine à croire ce qui est en train de marriver. Cest tellement inattendu. Ben a décidé de mettre en scène lun de mes fantasmes les plus inavouables.
Je lui avais raconté une fois que javais le fantasme du viol, et je lui avais décrit un scénario dans lequel je le voyais dans le rôle de chef dun petit groupe de cambrioleurs qui me prendrait de force devant ses complices. Même si je lespérais au fond de moi, jamais je navais pensé quil mettrait vraiment en place ce scénario. Ben est vraiment un amour !
Mon corps tremble encore plus. Lexcitation na jamais été aussi grande.
Ben, cagoulé, sapproche de moi tandis que ses complices, chacun à mes côtés, me maintiennent. Il commence à me caresser doucement les seins. Je tente de me débattre, de jouer mon rôle de fille violée, mais les types sont bien trop forts pour moi.
Qui Ben a-t-il bien pu convaincre de sembarquer dans cette folle histoire ? À bien y réfléchir, il me semble que la voix rauque du premier type correspond à celle de Marc. Et puis ce type a lair de faire la même carrure.
Mon dieu, mais que cette situation est excitante ! Heureusement que tout cela est faux ; jai beau fantasmer sur le viol, je ne crois pas que jaimerais me retrouver dans une situation réelle.
Ben me pince les tétons et menserre les seins. Je me tortille comme pour échapper à mes agresseurs. Il commence aussi à me caresser les cuisses que je serre au maximum. Je prends mon rôle très à cur. Mon chéri aussi prend son rôle au sérieux. Peut-être même un peu trop. Il tente dimiter le rire sadique quaurait un malfrat dans ce genre de situation. Il est tellement peu convaincant que je manque de métouffer en me retenant de rire. Quoi quil en soit, jen perds ma concentration et Ben en profite pour glisser sa main jusquà ma chatte. Jimagine le fier sourire quil doit arborer sous sa cagoule en la découvrant nue et humide.
Tandis que Ben continue de me tripoter, Marc me lâche et recule dans le fond de la pièce. Je ne vois pas ce quil fait, trop occupée à me défendre contre les assauts de mon chéri. Brusquement je suis surprise de voir ce dernier reculer. Marc la agrippé et le tire en arrière. Le troisième complice dont jignore encore lidentité se jette à son tour sur Ben pour le maîtriser.
Mais quest-ce que vous faites ? hurle ce dernier.
On a décidé de changer les plans, explique Marc. Cest nous qui allons nous occuper delle, et toi tu vas nous regarder faire.
Je regarde la suite des événements, incrédule. Ben se défend mais les deux autres le maintiennent fermement. Il est rapidement ligoté à une chaise, puis bâillonné. Mais quest-ce que cela veut dire ? Que vient-il de se passer au juste ? Etait-ce prévu ? Normalement non, je nen navais jamais parlé dans le scénario initial ; mais rien nempêche Ben davoir voulu me réserver une plus grande surprise. A-t-il réussi à lire entre les lignes de mon scénario ? Si jy faisais intervenir des complices, cest que je mimaginais quils finiraient eux aussi par me baiser, même si je nai jamais osé lui avouer.
À nous trois ! me lance Marc tandis que lui et son complice savancent vers moi sous lil de Ben.
Mince, quest-ce que je fais ? Je continue à jouer le jeu ou pas ? Je tente une fuite mais Marc, plus rapide, se jette sur moi et me pousse sur le canapé. Je ne sais pas ce que je dois faire. Je ny comprends rien. Est-ce que Ben a donné son accord pour cela ? Rien ne me lindique. Ce qui est sûr, cest que je suis toujours aussi excitée et que les deux complices de Ben semblent déterminés. À bien y réfléchir, que Ben ait donné son aval sur ce rebondissement ou non, je nai rien dautre à faire que de continuer à jouer mon rôle en me défendant.
Je me débats, tente de gifler, de griffer, de taper mais je ne peux lutter contre deux hommes. Je fais tout pour que dun point de vue extérieur on ait vraiment limpression que lon sapprête à me violer. Lun des types mattrape les poignets et me les bloque dans le dos. On me plaque sur le canapé, on mempêche de bouger. Des mains commencent à me maltraiter les seins ; dautres me claquent les fesses. Mon corps réagit sous ce traitement. Mes seins pointent et mon sexe dégouline.
Une main remonte le bas de mon débardeur au-dessus de mes seins, les découvrant ainsi à la vue des deux hommes. Marc retire sa cagoule et plonge sa bouche pour venir me lécher et me mordiller les tétons. Je pousse un gémissement que jarrive à faire passer pour un cri de protestation. Pendant ce temps-là, la main de lautre type se glisse sous ma jupe.
Oh, putain ! La salope ne porte pas non plus de culotte…
Et lui pose ses lèvres pour venir me brouter le minou. Sa langue glisse sur mes lèvres intimes pour venir laper mon jus. Le plaisir grimpe grâce à laction de ces deux bouches. Plus les minutes passent et plus joublie que je suis censée me débattre. Jai même de plus en plus de peine à retenir mes gémissements. Jai honte de me montrer ainsi devant mon chéri. Dautant plus que je doute de plus en plus de son accord sur cette partie du scénario. Il est en train de remuer sur sa chaise et, malgré son bâillon, on devine ses cris. Peut-être continue-t-il de jouer le jeu et que tout ça fait partie de son plan ? Quoi quil en soit, il est trop tard pour faire machine arrière. Il na jamais été question de ne pas me faire baiser ce soir. Que Ben participe ou non mimporte de moins en moins.
Marc se relève et libère son sexe quil place devant mon visage. Je tourne la tête, me débats, proteste, mais Marc me choppe la tête et la tourne vers son membre. Son gland violacé de désir fait pression sur mes lèvres. Mon propre désir me fait céder assez rapidement et le long sexe noueux de mon bourreau sengouffre dans ma bouche. Il est accueilli par une langue gourmande.
Allez suce, salope, si tu tiens à la vie, me crache-t-il.
Oh oui, je vais te sucer autant que tu veux, et de la façon que tu veux. Mes lèvres enserrent sa bite, ma langue se régale de son gland et je pompe. Marc exprime sa satisfaction. Il faut dire que je suis une experte en la matière. Mais il semble vouloir reprendre linitiative ; une de ses mains se pose derrière ma tête pour la maintenir. Cest alors quil commence à donner plusieurs coups de boutoir au fond de ma bouche pendant que son autre main me maltraite les seins.
Le spectacle semble inspirer son compagnon qui finit lui aussi par faire jaillir son sexe hors de son pantalon pour le positionner à lentrée de mon vagin. Cest un plaisir de sentir cette bite me perforer la chatte. Si je navais pas une bite en bouche, jaurais sûrement hurlé ma joie. Depuis le temps que jattendais de me faire remplir comme une salope Jessaie encore de temps en temps de me défendre, mais cest peine perdue. Je suis prise entre deux types qui me baisent, lun la bouche, lautre la chatte, sans ménagement. Dieu, comme jaime être leur chose ! Jai limpression de nêtre pour eux quun objet, un vide-couilles. Jaime la sensation que cela me procure.
Lun me défonce la chatte, me la déchire. Jai limpression quil senfonce jusquà la garde, quil atteint le fond de mon vagin en me pilonnant violemment. Ma chatte suinte de mouille. Lautre me baise la bouche avec tout autant dardeur, à men faire mal la mâchoire. Il senfonce dans ma gorge au point de déclencher par moment des hoquets. Jai même de la peine à respirer. Ma bouche dégouline de bave.
Et tout ça sous lil de Ben qui semble encore espérer pouvoir se libérer de ses liens. Jignore toujours si je lui dois ce retournement de situation, mais au fond de moi jai décidé quil navait rien à voir avec ça. Je ne sais pas si cest vrai, mais je choisis cette réalité car je trouve cela encore plus excitant. Je suis en train de me faire prendre par deux types, et mon copain assiste impuissant à la scène. Jai toujours honte, mais je dois dire que jadore avoir cédé à dautres types. Tant pis pour les conséquences futures ; tout ce qui mimporte vraiment en ce moment, cest de satisfaire au mieux ces deux virilités.
On échange ? lance Marc à son complice.
OK !
Jai le regret de me sentir vide tandis que les deux hommes changent de place, me laissant le temps de reprendre mon souffle.
Dans le cul me retrouvé-je à quémander à Marc. Encule-moi !
Quelle bonne idée ! lance-t-il avec joie.
Cette fois cest bon, je nen peux plus de jouer. Je veux me faire défoncer et jexprime mon désir en toute honnêteté. Je reconnais ainsi prendre plaisir à me faire prendre devant mon copain.
Les garçons me retournent pour me mettre sur le ventre. Le type dont jignore toujours lidentité sassied devant moi et ma bouche plonge sur sa bite. Les doigts de Marc parcourent mes lèvres intimes pour récolter de la cyprine quil étale sur ma rondelle, puis il tente den enfoncer un.
Non, pas besoin de me préparer, protesté-je. Prends-moi comme ça de force. Défonce-moi le cul, fais-moi mal.
Tandis que ma bouche retrouve la bite quelle avait brièvement abandonnée, je sens le gland de Marc faire pression sur ma rondelle. Un grand coup de reins et sa bite senfonce de quelques centimètres. Jai failli lâcher un hurlement de douleur. Après plusieurs autres coups de reins qui semblent me déchirer à chaque fois, Marc finit par senfoncer entièrement dans mon cul. La douleur est toujours bien présente, mais elle laisse place de plus en plus à un doux plaisir au fur et à mesure que Marc me ramone le derrière.
Lautre type me baise à son tour la bouche et je me laisse volontairement faire. Mon dieu, que cest bon ! Je moffre finalement à ces types devant les yeux de mon copain qui, je lespère, nétait pas consentant. Je ne pense quà son regard peiné posé sur moi tandis que je prends mon plaisir avec ses potes. Je sais que si cest vraiment le cas si vraiment Ben navait pas lintention de me donner à ses potes je regretterais ce que je suis en train de faire, mais je nen ai cure pour le moment. Lexcitation de le tromper est bien plus forte.
Marc continue de me défoncer le cul. La douleur épice le plaisir ressenti. Le mélange est détonnant. Je sens que je vais avoir mal au cul demain, mais je men fiche. Tout ceci est extrêmement bon. Je me régale ! Jadore me faire prendre ainsi. La pression est à son comble. Je me sens venir de plus en plus. Jatteins finalement un orgasme dévastateur. Ma bouche est obligée dabandonner brièvement la bite de linconnu pour lâcher un râle de contentement. Je nen peux plus, mais les garçons nont pas fini. Bien que fatiguée par cet orgasme, je suis ingrate. Je me remets donc au boulot pour les faire jouir. Je tends encore le cul vers Marc et reprends la bite de son collègue en bouche. Je la lèche, la suçote et la pompe. Je mets tout mon talent au service de cette virilité.
Putain, sa bouche est trop bonne Je crois que je vais bientôt jouir ! crie le type dont je ne parviens pas à mettre un nom dessus, bien que la voix me dise quelque chose.
Moi, aussi, ajoute Marc. Son cul est bien serré, à cette putain !
Je lui offrirais bien une douche de sperme, à cette salope ; quest-ce que tu en penses ?
Bonne idée !
Ils abandonnent ainsi tous les deux mes trous et me font magenouiller par terre. Ils se positionnent debout, la bite devant mon visage et se branlent frénétiquement. Il ne faut pas longtemps avant de sentir la première giclée de sperme chaud matteindre le visage. Cest linconnu qui a joui le premier. Son éjaculation semble plutôt abondante. Il men met partout sur le visage, et ça coule aussi sur mes seins. Marc vient peu après et se montre tout aussi généreux.
Ils mordonnent ensuite de nettoyer leur bite du sperme qui y reste, ce à quoi je mexécute dun coup de langue habile.
Finalement, ils se rhabillent tandis que je me colle au canapé. Marc déclare quil me laisse le soin de détacher Ben. Il sort de lappartement accompagné de son complice en me laissant là, comblée par cette folle soirée de sexe. Ben ne dit plus rien sur sa chaise. Il se contente de mobserver. Dans un dernier geste de provocation, je passe mon doigt sur ma joue afin de récupérer un peu de sperme que javale en arborant un grand sourire.