C’est le grand jour, mon premier de boulot dans une nouvelle entreprise, j’espère que ce que l’on m’a vendu à l’entretien d’embauche sera au rendez-vous, je suis déterminé à gravir les échelons.
Je me lève tôt, histoire de prendre le temps de me préparer soigneusement "on a jamais deux fois l’occasion de faire une bonne première impression", je m’attarde sur l’hygiène, taille ma barbe, me parfume, mais sans excès, puis viens le choix crucial des vêtements, j’opte pour un costume bleu foncé avec une chemise blanche, mais sans cravate, pour ne pas en faire trop, chaussures marrons impeccables, une montre sobre et élégante avec un bracelet assorti aux chaussures et à la ceinture, me voilà fin prêt pour le départ.
J’arrive sur le parking, je m’apprête à… mais j’oubliai, je ne me suis pas présenté, moi c’est Sébastien K, la trentaine, 1m75 châtains les yeux clairs, physiquement je prends soin de moi, je fais carrière dans la banque, je suis célibataire, mais avec un gros appétit sexuel, ça va de la masturbation régulière, au plan cul jusqu’à la fréquentation de site ou de boîte échangiste, j’ai quelques désirs… particuliers, mais nous y viendrons ultérieurement,
J’en reviens donc à mon arrivée à l’agence, je suis accueilli par la directrice, une petite dame brune, la cinquantaine, brune coupée au carré, l’air strict, elle essaie de sourire, mais j’ai l’impression qu’un objet volumineux est coincé très profond dans son fondement, elle me fait une présentation des collègues et un tour des bureaux, elle me laisse au mien afin de me familiariser avec mon nouvel espace de travail et m’indique qu’il reste une collègue qui ne sera là que cette après-midi.
La matinée file à une vitesse impressionnante, entre la découverte des nouveaux outils informatiques et des produits, les échanges avec les collègues à la pause café et un point avec ma directrice sur les objectifs et les attentes, nous voici déjà à l’heure de la pause, c’est le moment d’en profiter pour échanger un peu avec mes nouveaux collègues de boulot et de commencer à cerner les personnalités, la porte de la salle de pause s’ouvre et voilà la dernière qui arrive,
Mélina, 1m70, des cheveux d’un noir de jais, les yeux marron avec un léger reflet jaune qui lui donne un regard profond, un joli décolleté (110c je dirais), une femme avec des courbes et ces dernières lui vont particulièrement bien, j’ai hâte d’en découvrir davantage sur elle et je vais rapidement en avoir l’occasion…
Habitant non loin l’un de l’autre et ayant quasiment une heure pour aller à l’agence, nous faisons du covoiturage et cela nous laisse du temps pour échanger, de plus, notre directrice souhaite que l’on travaille sur un projet commun, ce qui m’arrange bien, nous passons beaucoup de temps ensemble, rapidement une complicité s’installe, au fur et à mesure, on se met à échanger des messages, d’abord pour parler de tout et de rien, nous nous rendons rapidement compte que nous avons beaucoup de points communs, puis les messages commencent à se faire plus personnels, et nous devenons plus… tactiles.
Des câlins au moment de nous dire au revoir ou encore des petites caresses dans le dos, puis sur la cuisse pendant que nous conduisions et des petits jeux à se faire du pied sous la table pendant que nous sommes au restaurant avec le reste de l’équipe,
Un soir où nous échangeons encore de nombreux messages, la conversation prend un tournant encore plus personnel :
Tu vas encore aller acheter des vêtements alors que tu as fait les soldes hier ?
Oui, je sais que ce n’est pas raisonnable, j’en ai acheté beaucoup en plus, j’ai même plus de place dans les placards, mais tant pis, ça débordera encore un peu plus.
Tu n’as qu’à enlever ceux qui prennent du volume genre les gros pulls, contente-toi de garder les sous-vêtements, c’est le plus intéressant.
Pour ça non plus il y a plus de place… et les nouveaux n’ont rien arrangé.- Ah oui, montre-moi ça alors ;)
Trois photos arrivent sur mon téléphone et effectivement, ce sont bien des sous-vêtements… avec Mélina en train de les porter, la première est de face avec un ensemble noir qui me laisse mieux découvrir et particulièrement apprécier sa poitrine, la seconde est de dos avec ce que je devine être le même ensemble, mes yeux s’attardent sur ses fesses rebondies parfaitement sublimées par un tanga, la dernière est à nouveau de face avec ensemble rouge, son message s’achevant par une question :
Alors comment tu les trouves ? Pas trop déçu ?
Ils sont très jolis, tout comme celle qui les porte.
Tu vas me faire rougir.
C’est sincère, en tout cas tes photos m’ont beaucoup plu et ça se voit…
Je joins l’image à la parole en lui envoyant une photo de moi en boxer, ce dernier étant bien tendu, ce à quoi j’obtiens en retour.
J’aime beaucoup l’effet que t’ont fait mes photos et te savoir dans cet état me chauffe pas mal.
Si ça te chauffe, il faut te faire du bien pour calmer l’incendie.
Comme ça tu veux dire ?
Une nouvelle photo cette fois-ci, elle est allongée, son tanga noir très légèrement baissé et avec ses doigts en pleine action caressant son clito, la savoir en train de se faire du bien me mit dans un état pas possible, je lui renvoie rapidement ma réponse
Je vais me joindre à toi virtuellement alors.
À mon tour, je lui montre mon excitation avec mon boxer baissé et mon sexe dans la main, j’en profite pour me faire du bien en l’imaginant se donner du plaisir en pensant à moi, en retour, je reçus une courte vidéo, ma dernière photo l’a visiblement émoustillée, ses doigts vont de plus en plus vite, ses gémissements se font de plus en plus fort, son souffle qui s’accélère, ce à quoi je réponds moi aussi par une vidéo de ma main s’activant énergiquement sur ma queue, peu après l’envoi, je sens mon orgasme monter et prends un pied d’enfer, après avoir repris mes esprits, je renvoie un nouveau message.
Ces messages m’ont particulièrement excité… je t’avoue que j’ai pris mon pied.
Moi aussi, ta vidéo m’a achevée, je me suis imaginé remplacer ta main, j’ai joui comme une folle.
Tant mieux, on en a bien profité, demain à l’air de covoiturage, on pourra passer aux choses sérieuses et tu pourras mettre en pratique ton imaginaire ;)
Oui, carrément je suis pour à 100%, j’ai déjà hâte.
Parfait, alors je te dis à demain sur le parking, essaie de venir plus tôt et ne mets pas de culotte, ça ne servira à rien.
Très bien, je prends bonne note, à demain.
D’une complicité naissante avec des petits jeux candides, nous avons basculé sur une relation plus sexuelle et je sens que ces échanges virtuels ne sont que le début.
Le lendemain, nous nous retrouvons comme d’habitude sur le parking du covoiturage, à cette période de l’année, il fait encore nuit à l’heure de nos retrouvailles, ce qui est particulièrement pratique pour ce que j’avais en tête, car même si c’est un parking de covoiturage, vu le peu de luminosité, personne ne s’apercevra de rien.
Mélina arrive peu après moi et je la rejoins à sa voiture, à peine rentré, je vis la lueur dans son regard teinté d’envie, elle vient me faire un câlin, de mon côté, une de mes mains commença à caresser sa cuisse, je lui fais quelques baisers d’abord sur la joue, puis sur son cou, je sens son souffle s’accélérer légèrement sous l’effet de ces derniers, enfin je commence à approcher mes lèvres des siennes, notre premier baiser d’abord nos lèvres ne font que se caresser, ensuite cela devint plus intense. Nos langues se mêlent, pendant ce temps, ma main monte plus haut sur sa cuisse, puis elle passe sur son ventre, pour enfin arriver sur sa poitrine, je glisse mes doigts sous son t-shirt et son soutien-gorge pour jouer avec ses tétons qui après plusieurs secondes de ce traitement étaient bien durs, j’en profite pour venir les embrasser, les lécher, les mordiller, dans le même temps, ma main vient se glisser aux creux de ses cuisses,
D’abord au-dessus de son jeans, rapidement je commence à le déboutonner, au moment de passer dessous, je me rends compte qu’elle a suivi mes consignes et qu’elle n’avait pas mis de culotte, je lui souffle à l’oreille "tu es une soumise en fait", ce à quoi j’ai pour réponse "oui j’avoue", ce qui m’excite encore davantage, ma bouche revient sur son cou et mes doigts passent sur son clito, je la caresse tout doucement avec de légers mouvements, de petits gémissements se font entendre, ce qui m’incite à accentuer la pression de mes doigts et mes mouvements, son désir commence à bien mouiller mes doigts, son souffle s’accélère franchement, mes mouvements se font plus intenses, tout comme ses gémissements qui laissent place à de petits cris, elle est sur le point de jouir, quelques secondes plus tard, je vois son corps se secouer de spasmes et des cris de plaisir résonner dans l’habitacle, je la sens avoir un orgasme sous mes doigts, mes caresses ralentissent pour devenir très douces et nos lèvres se joignent à nouveau.
Après avoir repris ses esprits, Mélina me fait remarquer qu’il était déjà tard, et nous devons en rester là, car nous risquions d’arriver en retard au travail. J’étais particulièrement à l’étroit dans mon pantalon, ce qu’elle remarque. "Moi, j’ai bien pris mon pied, mais toi tu vas rester frustré", ce à quoi je lui réponds "T’inquiète, ce n’est que partie remise, ce soir tu t’occupes de moi", et j’avais particulièrement hâte d’y être…
