Elle se lève et regarde Mélissa avec envie.
— Elle fait tout ce que tu lui demandes ?
— Tout.
Elle tourne autour de Mél en la touchant à peine, comme si elle allait se brûler. Elle tourne autour des tétons percés d’une main, de l’autre elle joue avec ceux de la chatte. Mél se pince les lèvres. Elle semble apprécier les caresses de Coralie.
— Et la sodomie ?
— Elle adore depuis peu…
— Et le fist ?
— Demande-le-lui.
— Tu aimes te faire fister ?
— Euh… Jamais fait…
— Je suis une experte…
À ces mots, elle écarte les jambes de Mél et lui demande de s’appuyer sur la table. Mél se cambre et commence à respirer fortement. Elle appréhende.
— Je suis sûre qu’avec un peu d’entraînement, de pouvoir même lui faire un double.
— Holà, ne va pas me l’abîmer. On verra ça plus tard. Allons plutôt rejoindre les autres vicelards.
La fête était à son comble. Les nanas chevauchaient leur mec ou pas, les mecs tringlaient leur nana ou pas. Bref, l’orgie battait son plein. Mon regard fut attiré par une plantureuse blonde, je dirais la quarantaine, avec deux énormes obus siliconés. Bien que je ne sois pas adepte des faux seins, je m’approche du bar où elle est accoudée en entraînant Mél derrière moi. Elle porte un bracelet rouge.
— VIP ?
Elle se retourne vers moi et me détaille des pieds à la tête en s’arrêtant quelques secondes sur mon sexe au repos. Elle observe Mélissa et remarque son collier.
— Charmante petite fille que vous avez là ?
— Vous appréciez les choses rares ?
— HUM, oui, elle m’a l’air d’avoir du potentiel, d’après ce que j’ai vu sur la terrasse. Votre soumise ?
Coralie revient avec cinq coupes.
— Bonjour Madame Levasseur, désolé j’étais…
— Occupée, je sais, je vous ai vu. Allons dehors, nous serons mieux pour discuter.
Elle nous précède en prenant la main de Coralie. Quelle prestance, quelle démarche.
— Quel cul elle a ! Me dit Mél. Et ses seins. T’as vu ?
— Oui, mais ils sont faux !
— Commentaire déplacé, me fait Coralie. Ils ne sont pas faux, juste du travail intensif. Comment crois-tu que j’ai une poitrine en forme de poire si arrogante.
Je reste sans voix. Coralie nous installe et demande à Mél de la suivre.
Dehors il fait bon. Mme Levasseur commence la conversation. Elle me dit être une dominante soft, mais avec les filles. Elle est plutôt soumise avec les mâles. Une switch. Elle n’aime pas être trop violente, mais adore voir jouir ses esclaves et elle a adoré ce qu’elle a vu.
Elle se rapproche de moi.
— Vous croyez que ce sont des faux ?
— Bien, c’est-à-dire que j’ai rarement vu une poitrine aussi bien tenue que la vôtre.
— Comme moi j’ai rarement vu une bite aussi bien tendue que la vôtre. Dit-elle en éclatant de rire.
Je regarde vers le bas. Effectivement, je bande. Délicatement, elle me replace le prépuce en place sur mon gland.
— Je préfère les voir comme cela. Petit pécher mignon, me dit-elle, j’aime jouer avec ce petit bout de chaire.
— Et pour votre poitrine ? Coralie m’a dit que c’était à force de travail ?
— C’est vrai. Ils vous plaisent ?
— Ils sont magnifiques ! ! ! Mais comment savoir si vous me dites vrai ?
— Confiez-moi votre petite durant deux mois et vous verrez que je ne vous mens pas.
— Me séparer d’elle va être dur !
— Et je vous comprends. Me dit-elle en récoltant un peu de présperme qui suinte de mon méat.
Elle le porte à la bouche et me regarde intensément.
— Hummm, quel délice. À moins que je vous fasse une proposition intéressante ?
— Dites toujours.
— Vous avez un donjon ? Un homme comme vous en a un ?
— Une salle des plaisirs, oui, j’ai.
— Bien. Je m’installe chez vous pendant ces deux mois et en échange je vous promets que…
— Mélissa.
— Que Mélissa aura une poitrine transformée. Pas autant que moi, mais plus arrogante et avec un maintien parfait. Quen dites-vous ?
— Je ne sais pas, cela mérite réflexion.
Coralie et Mélissa mettent fin à notre conversation. Elles nous servent du champagne et des mignardises en s’asseyant chacune entre nous deux.
— De quoi parliez-vous ? Demande Coralie.
— Cela ne t’intéresse pas. Lui répond Mme Levasseur.
— Allez ! ! ! Mama…
Quoi ? Coralie est la fille de Mme Levasseur. Je reste bouche bée.
— Petite traînée, tu seras punie.
— Quoi ! ! ! Vous n’allez pas me dire…
— Si… Je suis sa mère. Adoptive, mais sa mère. Et le patron, c’est mon frère.
Je bascule sur le dossier du transat qui se déboîte. Je me retrouve à demi allongée, les jambes écartées et le rostre fier. Mélissa veut me prendre entre ses doigts, vite arrêtée par Mme Levasseur.
— Non, pas comme cela. Tu as beaucoup de choses à apprendre. Regarde.
Mme Levasseur me gobe le gland et me décalotte, ses deux mains posées sur les cuisses.
— Vous aussi vous avez à apprendre. Mon Maître n’aime pas que l’on ferme les yeux. Il aime que l’on le regarde dans les yeux. Poussez-vous. Je vous montre.
Vu la différence de gabarit, Mél n’a pas de peine à éjecter Mme Levasseur. Elle se positionne entre mes cuisses, mains dans le dos et me prend le sexe jusqu’à la garde en me fixant. Elle entame une pipe baveuse et bruyante. Elle y va ma blackette, comme si sa vie en dépendait. Puis elle s’arrête. Elle reprend sa place assise.
— Vous avez compris ? Dit-elle à l’adresse de Mme Levasseur.
Mme Levasseur va pour me reprendre en bouche, mais je l’arrête.
— J’ai horreur de me faire sucer quand on n’a pas été présenté.
— Kathy, Monsieur.
Je m’installe en appui sur mes coudes et apprécie la fellation prodiguée par… Kathy. Coralie et Mél ne sont pas en reste, elles sont en 69.
Le lieu de débauche semble avoir tourné autour de nous. Un mec vient prendre Kathy par-derrière, deux autres enculent les deux nouvelles copines. Le reste de l’assemblée, pour les hommes forniquent, échangent de partenaires, se font sucer. Les râles et les cris de jouissance me font partir dans un délire jamais rencontré jusqu’ici. Pourtant j’en ai connu des situations scabreuses ? Une vieille vient à califourchon sur ma bouche et se frotte. Vite repoussée par Kathy qui me regarde intensément. Je jouis dans un râle inaudible, couvert par les cris des autres clients. Elle continue à me pomper, le pied, j’adore cela.
Cela fait une demi-heure que cette orgie dure. Ça se calme. Mél est avachi, elle a eu son compte.
Coralie embrasse Kathy en se partageant mon sperme. Joli spectacle. Des couples vont sous la douche avant de plonger dans la piscine. Bonne idée.
Je me retrouve dans l’eau, entouré par mes trois amantes du soir. Waouh, j’adore.
Il est minuit quand on se retrouve tous les quatre avec le patron, David. L’ambiance est retombée, les clients commencent à partir.
— Alors, l’Ambiance vous plaît ?
— PIOUU ! ! !
— Eh oui. Tu as fait connaissance avec ma sur ? Sacré chaudasse, non ?
— Ô que oui.
— Allez, je te laisse en charmante compagnie, j’ai à faire la fermeture. Allez, à plus Jean.
— A bientôt, David.
Je me retrouve avec Mélissa et Kathy, Coralie ayant suivi son tonton. J’explique à Mélissa le deal que me propose Kathy. Elle a un peu peur et je la comprends. Kathy la rassure sur ses méthodes, qu’elles viennent des USA mais que cela impose un suivi quotidien. Elle rajoute que ses seins seront plus provocants, plus arrogants avec un maintien parfait et qu’avec un entretien régulier, cela deviendra définitif, avec le temps.
Mél me regarde interrogative.
— C’est ton corps, tu fais ce que tu veux.
— Non, Jean, si tu le désires, je le ferai.
— Es-tu sûr que cela ne va pas trop l’abîmer ?
— Tu rigoles. Elle sera splendide…
— Bien. Soit. Quand comptes-tu commencer ?
— Demain, 11 h 00. Tiens. Voilà ma carte. Elle viendra me chercher comme cela, on aura le temps de discuter. As-tu un banc de muscu ?
— Dans mon garage, oui.
— Il faudra le déplacer dans ta salle des plaisirs.
C’est ainsi que l’on se sépare. Les seins de Kathy ballottant au rythme de sa démarche chaloupée. Mél ne dit rien, elle admire cette poitrine. Elle me sourit.
Les derniers clients sont partis. Mélissa retrouve sa robe et l’enfile. Je récupère mes fringues au vestiaire et on sort.
Le retour est, comme toujours, silencieux. Mél se pose des tonnes de questions, je le sens. Le lui passe amoureusement ma main sur sa joue.
Chez moi, je vais prendre une douche. Au sortir, Mélissa est appuyée contre le montant de ma porte, ses cheveux encore humides de sa douche.
— Allez, viens.
Je me couche, Mélissa se blottit contre mon torse et me saisit la queue. Je lui dis bonne nuit en l’embrassant sur le front. Elle dort déjà.
Le réveil fut des plus sensuels. Elle me suce en 69, la chatte bien trop basse pour la lui lèche mais bien ouverte pour que je puisse la doigter. Mais une tape sur ma main me fait dire que ce n’est pas ce qu’elle veut. Elle se gave de ma queue, bavant sur mes testicules. D’un coup elle saute du lit et s’en va en rigolant.
— Je sais que je vais souffrir Et bien vous aussi… Le café est prêt… Monsieur Jean… Hihihi.
Je reste pantois, les bras ballants. J’arrive quand même à sortir de ma torpeur et d’aller sous la douche. Le café se passe bien, malgré les petits attouchements qu’elle me fait subir. Mais je reste stoïque. 09 H 30, elle se prépare. Une fois prête à partir chez Kathy, je l’appelle. Elle se met en position.
— Tu es propre de partout ?
— Oui.
— Bien. Tu ne vas pas partir avec ta vieille guimbarde. Prends ma voiture, les clés sont sur le guéridon, les papiers dans la boîte à gants.
Son visage s’illumine. Elle vient me déposer un bisou chaste sur la joue.
— Merci Jean. Je t’aime… Dit-elle avant de foncer vers le garage.
Cela fait deux heures qu’elle est partie, cela m’a laissé le temps de remonter le banc de muscu dans la chambre des plaisirs, de graisser les poulies et de vérifier le serrage de celle-ci. J’ai même eu le temps de l’essayer… Un peu.
Kathy est la première à faire son entrée et me féliciter sur la conduite prudente de Mélissa. Elle me demande où est la chambre, je lui montre. Le grand lit et le matelas d’eau lui iront très bien durant ces deux mois de formation. Je lui dis qu’il y a la chambre de Mélissa. D’ailleurs Mél lui a déjà installé ses valises et fait son lit.
— Bon, ben j’accepte Mélissa et te remercie de ta mansuétude.
— De rien coach.
— On commencera demain, mais pour l’instant il faut que je parle à Jean. Veux-tu nous laisser ?
— Bien coach.
— Alors cette salle est pas mal, bien équipée. Je sens que Mélissa va vite progresser. Excellent le banc, dit Kathy en s’allongeant dessus, presque du professionnel. Hummm, jolie table et y a quoi dans ces armoires ?
— Je te laisse découvrir.
Elle ouvre les portes de la première. C’est une avalanche de godes, de pinces, de pompe à seins et autres plugs. La seconde, elle découvre mon ancien côté pervers. Des fouets, des cravaches, des paddles y sont suspendus. La troisième est garnie de cordes, de liens, d’ustensile d’immobilisation, de cagoules et de bâillons.
— On a de quoi s’amuser tous les deux pendant qu’elle récupérera.
— Si tu y tiens.
— Tu vas me payer en abusant de moi, que demander de plus ?
Je la regarde droit dans les yeux et lui administre une gifle digne du film de Claude Pinoteau. Elle ne sourcille pas mais baisse les yeux. Elle ne joue plus l’arrogante, elle m’est soumise.
— Quand on est que tous les deux, plus de "tu". Tu me vouvoies et tu m’appelles Monsieur. Ici, on se balade à poil. Tu adopteras la position d’attente de Mél. Tu mangeras avec nous, tu te doucheras dans la salle de bain commune, Mélissa ira dans la mienne. Je dormirai avec elle. Je veux des résultats probants et rapides. Tu morfleras autant que tu la feras morfler. Les séances seront aussi longues que tu l’exiges. Tu n’auras pas le droit de prendre du plaisir avec elle, sauf sur mon autorisation expresse. Ne te plains pas, Mélissa t’a fait un lit douillet. Tu devrais être heureuse de ne pas dormir par terre et l’en remercier. J’aime que l’on n’obéisse. Compris !
— J’ai compris, Monsieur.
— Bien, je t’attends sur la terrasse. J’ai faim.
Quand elle arrive, Mélissa et moi on est sans voix. Sa poitrine est arrogante, encore plus qu’hier soir. La marque de mes doigts sur sa joue ne s’est pas estompée. Elle se met en position.
— Kathy, je t’ai dit que c’était que lorsque l’on est que tous les deux.
Elle ose à peine me regarder. Mél est en cuisine en train de préparer mon apéro fétiche.
Le repas se passe à la perfection. Kathy s’isole avec Mélissa dans la chambre et ferme à clé. Je sais que c’est peine perdue d’essayer d’écouter, la porte étant capitonnée. Je décide d’aller voir Pierrot. Après un coup de téléphone, il est au sex-shop, sa fille ayant dû sortir.
Je pousse la porte de l’échoppe. Je suis accueillie par mon Pierrot, toujours aussi démonstratif.
— Salut vieux frère, que me vaut l’honneur.
— Rien je suis passé te faire un petit coucou. Mélissa est avec sa "coach".
— Sa coach ?
Je lui raconte notre soirée au club, notre avec Coralie, David et la sculpturale Kathy. Je le fais bander, dit-il en se caressant la queue. Il m’offre une bière, que j’accepte volontiers. On discute de tout et de rien, de femme principalement. Il a dégoté une perle, pas comme Mélissa, non. Elle est hors concours en m’assénant un coup sur l’épaule. Il me montre des photos sur son portable, le choc. La fille, ou le minet, enfin je suis sûre que c’est une fille, elle n’a pas de bite, une androgyne. En me montrant une seconde photo, c’est encore plus probant. Pas de fesse, des petits seins. Elle est blonde, coupée à la garçonne. Elle est petite est chétive. Ses yeux sont d’un bleu profond. Ses lèvres sont fines et la bouche immense. Sur la suivante, elle est empalée sur la love-machine de Pierrot. Sur une autre, elle est attachée face à Gégé en train de s’embrasser.
— Alors ?
— Je connaissais tes penchants pour les jeunes filles, mais là…
— Oh, elle est majeure…
— Je lui donne à peine 14 ans…
— Elle en a 21.
— Et elle est où ta perle ?
— Dans les glory-hole, elle astique… Rajoute-t-il en me conduisant vers les salles de l’arrière-boutique. Il tire sur une épaisse tenture. Il y a plusieurs mecs, plus ou moins beau, plus ou moins membré. Ils doivent être une quarantaine, tous à poil et maintenant leur érection. Il ouvre une porte.
— Voilà, Cendrine je te présente Jean.
Elle est assise sur un tabouret sur lequel est ventousé un gode de bon calibre.
— Bonjour, M’sieur… Dit-elle en retournant très vite sucer un sexe de petite taille.
— Ce qu’elle aime le plus, c’est le sperme. Se gargariser avec la semence.
Le type, le mec derrière la cloison éjacule. Enfin, je pense vu ce que j’entends et vois. Elle branle la queue en sortant sa langue, une véritable pelle à tarte. Les premiers lui arrivent au fond de la gorge, les suivants sur sa large langue. Quel spectacle.
— Tu veux te faire sucer ?
— Non, il faut que je récupère… Le week-end a été chargé…
— Et tu as déchargé… Hahahahaha, sacré Jeannot. Allez viens, j’ai soif.
On retourne à la caisse. Li est là en train de conseiller les clients.
— Tiens, je ne l’avais pas vu, celle-là.
— Oui, on est ensemble, enfin tu le sais déjà.
Quand elle m’aperçoit, elle me saute dessus et m’embrasse. Quel accueil. Elle retourne à son boulot. Elle est charmante dans son short trop court et son tee-shirt, lui aussi trop court.
— Pierrot, sers-moi une bière, tu seras un ange.
— Oui, ma chérie…
Il y avait bien longtemps que je n’avais entendu ces mots dans la bouche de pierrot. Dire qu’ils vont bien ensemble serait d’une évidence totale, surtout quand elle vient se lover dans les bras de mon ami. J’en ai presque larme à l’il. Ils sont beaux, tout simplement.
— Bon, tu es venu pourquoi ?
— Je cherche une machine à baiser…
— Tu n’assures plus ?
— J’ai deux furies chez moi, j’te rappelle.
— Oui, je connais Mélissa et si l’autre est comme elle, je te plains. Bon voyons voir ce que j’ai en stock.
Il cherche sur son ordinateur. Ce sont des photos de sa boutique, c’est classé par rubrique et c’est fort bien fait.
— Tu veux quoi comme style ? Celle-ci ?
Il fait pivoter l’écran et on peut voir une machine où deux bites en silicone montée sur deux moteurs et tiges indépendants. Tout ceci est livré avec télécommande et les pieds réglables. Sur le descriptif, on voit des dessins où ne silhouette se fait prendre en double et sur l’autre deux silhouettes, face à face, se faire mettre chacune par un gode.
— Alors, elle est pas mal ? Hein ? Et en plus elle est fournie avec des godes de différentes tailles.
— Oui est le prix aussi. 795 euros, c’est pas donné ! ! !
— Bon, j’te la fais à 500 et payable en 10 fois sans frais. Ça te va ?
— Vu sous cet angle. Top-là
Il m’aide à charger la bestiole dans ma voiture, au vu du poids, cela doit être de la qualité.
— C’est une grosse allemande… Hahahahaha.
— Ah, je me disais bien.
Après avoir bu une dernière binouze, je quitte le couple d’amis.
L’impatience que j’ai à installer cette grosse Berta, mais où ?
