Elle a dormi dans sa chambre, nue, à même le matelas et attachée. Je savais que si je ne l’avais pas fait, elle serait venue me réveiller, et me connaissant, j’aurai craqué.
Je me lève et vais rejoindre Mélissa. Elle dort sur son côté droit. Ses mamelles s’affaissent sur l’alaise de coton. Ses jambes sont remontées en chien de fusil. Ses bras lui servent de coussins. À remédier la nuit prochaine. Je lui enlève la laisse de cuir et la laisse se réveiller tranquillement.
J’ouvre ma grande porte-fenêtre. Je respire l’odeur de la garrigue à pleins poumons. Ca me fait un bien fou. Je retourne dans la cuisine et prépare le café. J’entends le bruit de la douche, je souris. Rapidement je dresse la table de la terrasse. Elle est là, au milieu du salon, en position. Je m’approche d’elle et caresse ses énormes mamelles. Elle sourit.
— Tu es propre de partout.
— Oui, Monsieur Jean.
Je contrôle la présence de son plug et lui tapote ses deux grosses fesses.
— Aller, à table.
Je la suis tout en reluquant son cul. Il me paraît encore plus énorme qu’hier. Piou. On boit notre café et on discute de la journée. Mon téléphone sonne.
— Monsieur Jean ? Bonjour, c’est Géraldine…
— Bonjour.
— Je vais quitter à 9 h 00, je serais chez vous aux alentours de 9 h 30. Cela vous convient ?
— Oui, très bien. On t’attend…
— A tout’…
Je m’adresse à Mélissa
— Il va falloir t’installer et te préparer.
— J’ai peur. Je n’ai jamais fait ça avec une fille.
— Même pas embrassé.
— À part hier. Non.
— Bien. Débarrasse et quand tu auras fini, rejoins-moi dans la pièce du fond.
Je me lève et ma queue commence à prendre du volume. J’adore la sentir balancer au rythme de mes pas. J’entre donc dans la salle aménagée en une espèce de lupanar. Tout y est. Immense lit avec matelas d’eau, Croix De St André, cheval darçons, swing, des chaînes, et ma table gynécologique préférée. Ses étriers sont orientables dans tous les sens, le repose-tête s’incline dans tous les sens et surtout elle s’abaisse jusqu’à 50 centimètres du sol. C’est dans cette position que je la règle, légèrement inclinée. Ma grosse black arrive, je l’installe et l’immobilise à l’aide de sangles. Elle ne pipe mot. Elle attend son sort avec impatience. Ca se voit entre ses cuisses. Elle dégouline. Je lui pose des petits anneaux en caoutchouc sur chaque tétine, ce qui a pour effet de les agrandir, de les rendre plus sensibles.
9 h 30, c’est l’heure ou Géraldine descend de sa voiture. Je ne me suis pas habillé, à quoi ça sert. Elle toque.
— Entre Gégé.
Elle pousse la lourde porte d’entrée. On se découvre. Moi nu, bandant comme un cerf. Elle en microjupe en jean et en tee-shirt minimaliste qui laisse à la vue un joli piercing.
— Quel accueil, me dit-elle en s’avançant et en refermant la porte, si j’avais su jaurais demandé à mon père de me déposer ici hier soir. Hihihi.
Son rire est des plus enfantins. Elle continue sa progression. Je la stoppe.
— Ce n’est pas pour moi que tu es venue.
Mon ton est sec. Elle stoppe. Elle me regarde avec envie mais n’ose bouger. Je veux deux femelles en rut. J’en ai déjà une, il me faut préparer la seconde. Je lui demande de se désaper, ce qu’elle fait sans hésiter. Elle est mignonne avec ses cheveux à la couleur des blés et ses yeux bleus, sa bouche fine. Ses seins sont en forme de poire, petits et arrogants avec ses bouts dardés. Son ventre est plat. Son mont de Vénus est glabre. Ses cuisses musclées sont un délice à regarder, tout comme ses mollets. Elle porte une fine chaîne sur la cheville droite. Je tourne autour d’elle. Ses fesses sont rebondies. Ses cheveux sont attachés dans un chignon travaillé. Je le lui enlève. Ses cheveux dorés tombent en cascade sur ses fesses. Magnifique. La Vénus de Milo dans toute sa splendeur. Ma queue me fait mal, mais il faut que je sois patient.
— Soumise, lui demandais-je, ou dominatrice ?
— Avec vous je crois que je ne saurais que me soumettre.
— A genoux.
Elle à la bouche à la bonne hauteur, mais je résiste. L’expérience de mes années passées. Je lui passe un collier de cuir blanc, agrémenté d’une fine laisse.
— Voilà ce que j’attends de toi. Tu as jusquà midi pour faire de Mélissa une loque humaine. Je veux qu’elle jouisse non-stop pendant ces deux heures à venir. Compris ?
— Oui, Monsieur Jean.
J’ai la gaule des jours heureux. Je revis. Merci Pierrot, tu es un frère pour moi.
Je tire sur la laisse, elle me suit à quatre pattes. Je lui appuie sur les reins pour accentuer sa félinité. Ses fesses, son petit cul sont à eux seuls un appel au sexe.
On entre dans la salle où Mélissa commençait à s’impatienter.
— Voilà ta proie, voici ta chose. Tu as tout ce qu’il te faut pour la faire disjoncter pendant les deux prochaines heures. Dis-je en ouvrant une armoire remplie de phallus de différentes tailles, de rabbits et de godes ceintures. Aller, au travail. Finis-je en la plaçant devant le sexe dégoulinant d’envie de Mélissa.
Elle avance lentement son museau vers la fourche de sa proie. Elle hume l’odeur qui s’en échappe. Elle lape l’intérieur des cuisses de ma grosse noire. Mélissa attend avec l’impatience d’une jeune pucelle le contact des lèvres de Gégé sur son sexe très largement ouvert. J’ai réglé les étriers de façon que ses cuisses soient écartées à la verticale et à outrance. On peut qu’admirer sa moule rose fluo s’ouvrir.
Je prends quelques clichés, ce qui fait sourire la tortionnaire du jour. Elle passe sa langue sur l’intérieur des cuisses de la suppliciée, qui respire de plus en plus fort. Je me touche la queue. Putain que c’est beau. Une frêle blondasse en train de progresser vers l’abricot juteux et odorant d’une future mama black. Je me reconcentre sur mes photos. Elle a la bouche à quelques centimètres du fruit gorgé de sang de ma soumise. C’est le top départ. Comme une furie elle se jette sur sa chatte plus que luisante d’envie. Elle lui mange son sexe offert et luisant d’envie. Gégé est une experte. Alternant avec des pénétrations franches et complétées avec des léchouilles discrètes sur le clito. Mélissa n’en peut déjà plus et hurle. Il faudrait être sourd pour ne pas l’entendre prendre son plaisir.
— OUIII, MANGE-MOI… HAN, HUMMM.
Quand Gégé lui mâchouille son clito, c’est l’apothéose. Elle se raidit sur sa couche, essayant d’enlever ses entraves. Peine perdue, c’est du costaud. Elle garde la bouche ouverte sans qu’un son ne puisse s’échapper. Je prends des photos de ce spectacle. Ma bite me fait mal, mais j’aime cette sensation. Mon gland est gorgé de sang. Il est rouge pourpre. À chaque pas, mon pénis me semble de plus en plus lourd. J’en peux plus. Je vais le donner à téter. Mélissa est heureuse de l’accueillir. Je lui laisse que mon gland qu’elle léchouille. Elle récupère mon liquide séminal avec bonheur. Elle jouit à nouveau sous l’action des doigts de Gégé. Elle se lâche et lui envoie un jet de cyprine impressionnant. Mélissa se découvre femme fontaine.
Gégé s’équipe d’un gode ceinture double. Elle s’enfiche le plus petit, serre les sangles et remue du cul. L’autre extrémité est… Comment dirais-je… Enorme. Bien plus gros que mon phallus, pourtant déjà hors-norme.
Elle se branle langoureuse, testant ce phallus qui la possède. Elle frémit. Elle s’allonge sur la pauvre black et l’embrasse à pleine bouche en jouant avec ma tête chercheuse. Je suis à deux doigts de jouir, quand Mélissa se cambre. En appuis sur ses épaules, Gégé l’a pénétré d’un coup, jusqu’à la garde. Mélissa est bouche grande ouverte, elle tente de reprendre son souffle. Peine perdue. La petite salope de Gégé ressort et la pourfend gaillardement comme un mec. Les yeux de Mélissa sont révulsés, ses narines distendues par sa respiration. Elle en bave. Des jets sortent de son vagin, ce qui fait rire Gégé. Elle lui pince les tétons, lui triture les seins. Ce n’est pas une partie de baise qui s’offre à mes yeux, c’est un véritable rodéo. Mélissa, dans un moment de lucidité, me regarde et me sourit.
— ARGH, ELLE ME DEFONCE… C’EST BOOOONNN…
La petite blonde a les cheveux qui lui collent au visage. Je vois son petit cul remonter et descendre plus vite, plus fort. Puis c’est la délivrance, elles jouissent ensemble d’une rare intensité. La blondinette s’affale de tout son poids sur la grosse négresse et c’est un échange de baisers qui s’ensuit.
— Tu la détacheras. Vous avez besoin d’une pose. Dis-je en les laissant à leur plaisir.
Ma queue est tendue à son maximum et elle tangue de droite à gauche. Du liquide séminal s’écoule de mon méat sans discontinuer, on pourrait me suivre à la trace. Je me sers un rosé pour me remettre de mes émotions.