LA DENTISTE (7)
L’histoire que vous allez lire est réelle. Pour des raisons évidentes de discrétion, les prénoms et les noms ont été changés ou sont purement imaginaires.
Vous me connaissez par les histoires que j’ai déjà écrites. Je suis donc militaire dans le sud du pays. Si l’infirmerie de la caserne est bien fournie en personnel et équipement, un manque de dentiste nous oblige à aller « en ville » pour se faire soigner. Vers le 15 mars 1966, j’ai une dent qui fait un abcès. Je demande un rendez-vous et le soir, après le service, je me présente au cabinet dentaire. Une secrétaire, la trentaine, blonde aux yeux verts, la bouche pulpeuse, la poitrine généreuse, une blouse blanche sur ses vêtements me reçoit. Je passe dans la salle d’attente vide (je suis le dernier client). Je commence à choisir une revue sur la table basse quand une porte s’ouvre pour laisser sortir une dame âgée tous cheveux blancs. Elle est accompagnée par la dentiste qui lui souhaite un bon retour et me fait entrer dans le cabinet. Le fauteuil est à droite avec tous ses accessoires. En face, la porte ouverte d’un petit cabinet de toilette avec lavabo. A gauche, une table de style servant de bureau, devant se trouve un divan. J’ai le temps de regarder car Madame se lave les mains.
« Asseyez-vous monsieur que je vois ça ».
Demi allongé dans le fauteuil, bouche ouverte, l’appréhension me fait monter quelques gouttes de sueur.
La dentiste, assise sur un tabouret se penche pour m’examiner les dents. Baissant les yeux, je peux plonger mon regard dans le décolleté de sa blouse. Deux seins bien ronds, bien bronzés, juste soutenu par un mini soutien gorge s’offrent à moi.
Ayant fini son examen, la dentiste se redresse et me dit : « L’abcès vient d’une dent creuse. Je vais vous faire une piqûre pour vous soulager de la douleur et le résorber. Dans quelques jours vous reviendrez et il faudra arracher la dent. Mais j’ai vu que vous en aviez deux autres qui commencent à être cariées. Il faudrait les soigner si vous ne voulez pas les perdre.
— Si vous le dites docteur, je veux bien que vous me soigniez mais je dois partir en mission dans deux mois. Vous aurez fini ?
— Bien sur, en deux ou trois séances, ça sera terminé. Bougez pas, je vais appeler ma secrétaire pour vous faire remplir un dossier de prise en charge ».
Tout en parlant, j’avais remarqué que la blouse n’était pas boutonnée jusqu’en bas ce qui découvrait largement les cuisses de cette dame âgée d’une trentaine d’années. Elle se lève pour aller à son bureau appuyer sur un bouton de sonnette. Une porte s’ouvre, la tête de la réceptionniste apparaît.
« Monique, vous pouvez faire une demande de prise en charge pour une extraction et des soins s’il vous plaît ?
— Oui docteur ». Elle s’assoit sur le siège près du fauteuil. La dentiste nous tourne le dos pour préparer la piqûre.
— Nom ? Prénom ? Adresse ? Date de naissance ?. questionne la secrétaire d’une voix « mécanique ». La douleur, l’appréhension de la piqûre me font répondre sur le même ton, mon cerveau fonctionne au ralenti. Cela ne m’empêche pas de voir que la blouse et la robe de la secrétaire, pas boutonnées jusqu’en bas laissent apparaître deux belles cuisses. Décidément, me dis-je, ce doit être la mode. Mais mon sexe commence à réagir. Le pantalon devient bossu. Je n’ose pas bouger pour ne pas attirer l’attention sur cette partie de mon corps.
— « Situation de famille ? Célibataire ? Marié ? Des enfants ?
— Célibataire.
— Un cour à prendre ? Plaisante la dentiste en s’approchant la seringue à la main ».
Les deux femmes échangent un regard complice avec un sourire de connivence. La secrétaire laisse la place à la doctoresse. En se levant, elle remarque la bosse de mon pantalon. Elle a un regard gourmand. En passant le bout de sa langue entre ses lèvres en un va et vient d’un coté à l’autre de sa bouche. Elle reste debout à ma regarder souffrir. En se penchant pour piquer, la dentiste frotte son coude sur cette même bosse. La tension de mon sexe monte de quelques degrés de plus. Les choses en restent la pour cette première consultation.
La semaine suivante je me retrouve le dernier client dans le fauteuil, ausculté par une dentiste encore plus provocante. Avec une blouse dont les derniers boutons du bas et les deux premiers du haut ne sont pas boutonnés. Assise sur son tabouret, elle tient ses cuisses écartées plus qu’il n’en faut pour faire voir sa petite culotte blanche à dentelles. Elle ne semble pas avoir d’autres vêtements qu’un mini soutien gorge sous cette blouse qui ne cache pas grand-chose. Mon sexe ne reste pas insensible à ces charmes. Je sens monter une érection d’enfer. Elle a vu la bosse de mon pantalon et ne se prive pas d’y frotter son coude chaque fois qu’elle peut. L’extraction de la dent est vite faite et sans douleur.
« On va attendre un peu la fin de l’effet de l’anesthésie. Si vous voulez vous asseoir ou vous lever, vous pouvez.
— Je vous remercie mais suis bien dans cette position.
— Je m’en doute et je vois que je vous ai fait monter la tension, me dit-elle en posant sa main sur la bosse de ma braguette.
— En effet, je ne peux pas rester insensible à ce que vous cachez très mal.
— C’est dommage de laisser un engin à l’étroit »t, dit-elle en commençant à défaire ma ceinture et les boutons
Elle sort mon sexe prêt à éclater, se penche et embrasse le gland.
Je passe une main entre ses cuisses qu’elle écarte pour me permettre d’introduire un doigt dans son vagin tout humide.
Elle me prend en bouche et commence des aller et retours en enfonçant ma queue jusqu’au fond de sa gorge.
J’ai deux doigts dans son vagin, le pouce qui masse son clitoris par de petits cercles appuyés. Mon autre main s’occupe de ses seins dont les bouts se sont durcis. Elle mouille tant que sa petite culotte est toute trempée.
Après quelques minutes, alors que je suis prêt à éjaculer, elle arrête de me sucer, enlève sa culotte et, alors que je suis encore en position allongé dans le fauteuil, elle passe une jambe par-dessus les miennes et vient s’empaler sur mon membre raide comme une matraque. Elle effectue quelques vas et viens qui me font éjaculer au fond de son vagin. Elle a un orgasme violent et a toute les peines du monde pour ne pas crier.
Retrouvant notre calme, elle reprend une attitude très professionnelle.
« Quel bonheur de baiser avec des patients aussi bien montés que vous. Il y a longtemps que je n’ai pas joui aussi fort.
— Merci, ça fait très plaisir d’entendre de tels compliments. Pour moi aussi c’était merveilleux, surtout que je n’étais pas venu pour cela.
— Pour ce soir, les soins aux dents sont terminés. Vous reviendrez dans trois jours, en fin de journée, pour les caries. Vous confirmez le rendez-vous auprès de ma secrétaire.
— D’accord, et encore Merci de ce moment de bonheur ».
En passant, je demande à la secrétaire de m’inscrire pour un rendez-vous dans trois jours, en dernier client.
« Ça c’est bien passé ? », me demande-t-elle d’un ton chargé de sous-entendus.
— Oui, je n’ai pas eu trop mal
— Je sais qu’elle travaille très bien en douceur surtout avec des clients costauds comme vous ».
Je parts sans réaliser que la secrétaire pouvait savoir que les soins dispensés par la dentiste ne concernaient pas que les dents.
A la deuxième visite, le traitement des caries a été vite (et bien) fait.
La doctoresse ne cachait rien de ses charmes et semblait même en dévoiler encore plus. Elle me demande si j’avais bien récupéré et si j’étais en forme pour recommencer une partie de plaisir. Je répondais affirmativement. C’est alors qu’elle me dit que sa secrétaire se joindrait à nous. Après s’être assuré que les portes étaient fermées, le téléphone débranché, les deux femmes ont commencé à se déshabiller mutuellement tout en se caressant. Je ne restais pas insensible au spectacle qui s’offrait à moi. J’avais le sexe raide et dur, à la limite de la douleur. Ces dames sont nues et s’approchent de moi.
« Quand nous n’avons pas d’hommes à notre disposition, avec Monique, nous aimons bien nous donner du plaisir mutuellement, me dit la dentiste.
— Je suis sure que ce monsieur saura nous contenter à toute les deux si nous savons bien nous y prendre », dit la secrétaire en défaisant ma ceinture.
La dentiste m’enlève mon pull et me prend une main qu’elle pose sur son sexe. Je la caresse par des petits mouvements ascendants et descendants, introduit un, puis deux doigts dans son vagin qui coule comme une petite source. Elle commence à gémir.
La secrétaire qui a baissé mon pantalon et mon slip, à genoux me suce sur toute la longueur de ma queue tout en se masturbant.
Je suis prêt à éclater quand la dentiste demande : « Prends-moi, je veux sentir ta queue en moi, je veux jouir comme une bête ». Elle s’allonge sur la moquette, écarte ses cuisses, offrant ainsi une fente béante et luisante. Je n’ai aucun mal à la pénétrer à fond. Elle ondule du bassin, cherche à frotter son clitoris contre ma verge gonflée. J’active mes mouvements de va et vient. Elle gémit puis râle avant de pousser un long cri de jouissance quand j’éjacule au fond de sa grotte. Après quelques minutes de récupération, nous nous séparons.
Monique, qui, pendant ce temps, n’a pas arrêté de se masturber, demande à être prise. Elle commence à prendre en main ma queue un peu ramollie. Nos bouches s’unissent en un long baiser. Ma main trouve le chemin de sa chatte trempée de plaisir. Je stimule son clitoris raide et dur. Elle gémit, me fait allonger et vient s’empaler bien à fond sur mon membre revenu en érection maximum. Elle m’avale dans son intimité affamée. Elle rythme les mouvements de son bassin. Elle se cambre me permettant de prendre ses seins en main. Je les masse et fait rouler les pointes entre mes doigts. Elle gémit, râle, cri sa jouissance. Elle a un orgasme interminable quand je lâche ma semence au fond de son vagin. Epuisée, elle s’allonge sur moi pour un baiser fougueux en remerciement de son plaisir.
Après une toilette intime à trois, nous nous séparons jusqu’à la prochaine visite, avec la promesse de faire mieux.
(à suivre)