I Moi, Fifille mes débuts de lopette
Je m’appelle Philippe. J’avais à l’époque un peu plus d’une trentaine d’années et je venais de finir mes études de pharmacie depuis 5 ou 6 ans. Je vivais alors seul, célibataire, un peu libre comme le vent, mais pour autant sans abuser de cette liberté, sans doute à tort, sans véritable passion sinon une attirance pour la gent féminine. Plutôt exigeant, je prêtais attention uniquement aux femmes un tant soit peu jolies, c’est à dire fines et pas trop vulgaires. J’avais eu quelques aventures féminines bien entendues notamment à la fin de mes études, mais sans lendemains. Par ailleurs, de nature assez timide et timoré à leur égard, ces aventures étaient assez peu nombreuses et pour cause
Ma première véritable copine, Valérie, je ne fus pas capable de la retenir. Je n’en étais, il est vrai, pas vraiment amoureux, mais surtout je n’arrivais pas à la satisfaire convenablement et cela je le lisais sur son visage dépité un peu comme sur un livre. Mes érections, en effet, n’étaient pas véritablement franches et ma jouissance était très, trop rapide. Je ne parvenais à la satisfaire plus ou moins qu’après de longues caresses en utilisant mes doigts à la place de ma queue un peu défaillante. et moi même je sortais à chaque fois un peu plus frustré, conscient de ne pas être à la hauteur. Notre liaison ne dura pas 6 mois.
Après les études, d’autres femmes traversèrent ma vie, car mon apparence, grande et mince plait assez, mais ces liaisons étaient toujours fugaces pour ces mêmes raisons et le soir après le boulot, je me retrouvais souvent seul avec moi même dans mon petit studio.
C’était la grande époque du Minitel et j’en fis l’expérience. D’abord curieux, intrigué, je devins rapidement accroc du 3615 et du 3614, masqué sous un pseudonyme, la plupart du temps a connotation cool. Ce Minitel me coûtait beaucoup d’argents, mais je reconnais avoir fais pas mal de rencontres, pas mal de rencontres et autant de désillusions. Je rentrais chaque fois insatisfait après avoir fait des insatisfaites. n’arrivant à prendre du plaisir que dans le fantasme, quand je revenais, seul, ma petite queue entre mes mains.
C’est alors que progressivement, je pris conscience de ma nature et de mes réelles capacités, ou plus exactement mes réelles incapacités. Je comprenais que je n’étais pas capable d’assurer, pas capable de satisfaire une femme par mon sexe, bref que je ne pouvais pas prétendre être viril, être un homme. Je baissais la tête et en regardant ma queue, petite et mole ; petite queue qui n’avait jamais réellement pénétré une femme, jamais osé sodomiser la moindre femme de peur d’échouer, qui restait môle même dans les bouches les plus délicieuses. Je compris ce que j’aurais dû réaliser depuis longtemps, à savoir que je n’étais qu’un sous-homme, une lopette et que si je voulais avoir le privilège de côtoyer une femme ce ne serait qu’en me mettant à son service en lui étant soumis pour tout, le ménage, les taches ménagères, et tout ce qu’elle me demanderait. Progressivement la lopette pris le dessus sur l’homme et bientôt je pris l’habitude de me déclarer comme soumis dès les premiers instants auprès des personnes croisées sur Minitel d’ailleurs mon pseudo qui devint habituel « Hommelette » me caractérisait tout à fait.
Parallèlement j’enviais les hommes véritables, pourvus d’une membre viril, capables eux de satisfaire les Femmes et de les combler au point qu’elles les retiennent et en redemandent ; ces hommes qui savent les rendre folles, qui arrivent à les prendre, qui savent les faire capituler. J’appris ainsi à regarder les hommes, les vrais, différemment. Les queues devenaient de belles queues, je les admirais . et je me surpris à les aimer.
Mes fantasmes, mes envies évoluaient vite ; mon attirance naturelle vers le sexe de la Femme se portait maintenant sur leurs pieds que j’aurais aimé lécher, et ma position naturelle c’était d’être à 4 pattes, comme un toutou, aux pieds d’une belle Déesse, mais aussi à genoux devant une belle queue bien dressée d’une homme véritable face à moi ; mon Dieu que ça doit être bon . Mais cela restait encore du domaine de l’envie, du fantasme.
Un soir de mai alors que je cherchais vainement à m’occuper, le téléphone sonna. C’était un ancien collègue de Fac, Patrick, qui avaient fait des études de kinésithérapie pendant que j’entreprenais celles de pharmacie. Expatrié, marié, il travaillait en Tunisie, mais il était de passage dans ma ville pour rendre visite à son ancienne petite amie, Fabienne, qui selon lui vivait dans une petite station balnéaire pas très loin à quelques km, Fabienne une très grande fille, blonde, mince (très mince) et stylée qui était aussi à mon goût, mais bon, elle était alors sa copine. Elle était médecin désormais et professait dans ma commune. Après toutes ces années, il souhaitait la revoir et Patrick me contactait pour avoir, l’espace de quelques jours, un pied-à-terre à proximité, pour essayer de renouer avec elle l’occasion faisant le laron surtout quand on a pas froid aux yeux comme lui.
Quelques jours après Patrick débarquait à la maison. Il n’avait pas changé après toutes ces années toujours mince, plein d’énergie et d’assurance et sans doute toujours autant chaud lapin. Il avait donné rendez-vous à Fabienne le lendemain de son arrivée. Patrick s’installa dans mon studio et nous passâmes la soirée dans un resto en bord de mer à se remémorer les souvenirs communs de nos études. Après ce repas plutôt bien arrosé nous revînmes tous deux à pied au studio pour se dégriser un peu et se coucher paisiblement.
Après un passage rapide sous la douche, je me couchais dans mon grand lit que j’allais partager pour quelques nuits sans doute avec Patrick. Ce dernier sorti lui aussi peu après de la douche et vint se coucher. Il faisait déjà chaud pour un mois de mai et mon studio donnant sur une voie passante, je ne pouvais pas ouvrir complètement la fenêtre à cause du bruit, juste un peu de lumière du soir qui filtrait par les volets. J’étais en slip avec un tee-shirt léger et Patrick également. Il sentait bon son savon douche, parfum sucré, ambré, odeur de cèdre Je lui tournais le dos ; j’aime bien dormir avec les bras tournés vers l’extérieur pour avoir plus de place. Après quelques minutes de silence, j’entendis Patrick me dire doucement « Tiens Philippe tu as un peu des fesses de femmes, bien galbées ! » oups ! Justement mes fesses se serrèrent aussitôt et je rentrais la tête entre les épaules, sans rien dire, juste un petit « ma fois . » . après quelques secondes de silence je me surpris à ajouter – je sais, je n’aurais pas du – « pourquoi elles te plaisent mes fesses ? » , et le silence retomba dans la pièce.
Je commençais à m’assoupir pour de bon, quand je sentis une caresse légère sur la fesse « hoo …Patrick . » dis-je doucement ; mais les caresses ne cessèrent pas pour autant.
« C’est pas désagréable, mais arrête ! Je ne veux pas devenir pd ! » désirer qu’une chose s’arrête tout en prétendant que c’est bon, ce n’est pas très efficace. Surtout que je commençais avoir un peu comme une sorte de chair de poule. Je restais immobile mais je sentais les muscles de mes fesses se contracter tout doucement, ma peau frémir sous la caresse, et ma petite queue se recroqueviller sur elle-même. C’était tout simplement agréable et je prenais plaisir finalement à me laisser faire les caresses devenaient plus franches ; les doigts de Patrick passaient sous le slip, les fesses, mes fesses étaient à l’air libre . à disposition.
– « Mais on dirait que tu aimes hein ? Et bien, pour quelqu’un qui ne veut pas devenir pd . » Patrick riait tout en disant cela
— « C’est bon tu sais, c’est la première fois, mais ce n’est pas désagréable, c’est même agréable de se laisser faire » c’était moi là et à ce moment là je ne m’étais pas encore retourné ! Patrick pétrissait mes fesses et je me laissais faire y prenant tellement de plaisir.
Enfin j’osais un regard en arrière en direction de Patrick, de son entre-jambe plus exactement et j’eus juste le temps de voir un jaillissement, celui de son sexe hors de son slip. Un véritable bâton tendu, un double décimètre dur qui finissait de vibrer et qui se dressait fièrement, normalement quoi, pas très loin de mes fesses Patrick était un homme, un vrai, c’est la première pensée qui me traversait l’esprit. Mon sexe lui était resté humble, quelques cm, repliés sur lui-même, un peu honteux. Je baissais le regard. Tout en déglutissant, aveux d’impuissance !
— « Waou !, on sait qui est le mâle entre nous deux pas vrai ? » c’était Pierre qui me taquinait
– « oui il n’y a pas photo … »
— « Et bien tu veux être ma femme cette nuit , tu veux bien ? »
— « oui, je sais, je veux bien », c’est tout ce que je fus capable de lui répondre. Je me donnais sans plus de résistance.
Patrick me saisit par les hanches et m’invita à relever mes fesses .. j’accompagnais son mouvement pour me retrouver à 4 pattes sur le lit, les fesses tendues vers lui, débarrassé du slip et bientôt le tee-shirt fila aussi par dessus la tête. Je me laissais faire, attendant la suite passivement, nu comme un ver, un homme en pleine érection derrière moi. J’ignorais que je pourrais un jour faire bander un homme il faut un début à tout.
Je ressentis une claque sur les fesses qui me fit pousser un petit « han » de surprise et de plaisir ; non plutôt de plaisir tout court. Puis une seconde claque, suivi d’autres et chaque fois un petit gémissement consentant sortait de ma bouche en retour comme une sorte d’invitation pour mon partenaire (mon partenaire .) à continuer.
Puis plus rien. Patrick avait quitté la chambre. Mais il revint bientôt avec une motte du beurre (?) « Tu verras avec ça ce sera mieux » dit-il tout en lubrifiant ma rondelle, en la massant, la dilatant peu à peu pour qu’elle devienne plus souple. « Ne me fait pas trop mal, j’ai pas l’habitude » .
encore quelques minutes et je serais déniaisais je savais.
Patrick s’active depuis quelques instants derrière moi, je suis sa femelle pour la nuit .. j’ai mal mais c’est bon, c’est une drôle de sensation surtout pour un coincé du cul comme moi ce que j’étais. ; j’ai senti son bâton me percer l’anus, s’enfoncer en moi, se retirer et revenir. c’est si bon . si bon de se laisser prendre, je sais maintenant où est ma vraie place je l’occupe sous les assauts d’un homme, un vrai. Mes fesses sont à lui et je lui appartiens en cet instant. « Tu es bonne Fifi , ouiii ! »
Je transpire sous son assaut, lui aussi et ses testicules frappent sur mes fesses et les claquent en saccade. Je ne peux plus me retenir, je pousse de petits cris à chaque assaut, presque des petits cris de femme, j’ai honte, ma petite queue émet soudain un petit jet de sperme qui gicle sur les draps. Patrick s’en est sans doute rendu compte et soudain tout en s’enfonçant encore plus loin entre mes reins, il se répand en moi dans un râle puissant.
Je suis épuisé, toujours à 4 pattes, les fesses relevées ; Patrick est toujours dans mon dos, dressé sur ses genoux, il prend appui sur mes reins. On ne se dit plus rien pendant quelques instants..
« Je ne te voyais pas comme ça Fifi tu caches bien ton jeu finalement » me dit-il Je ne réponds pas . « tu es une bonne femelle pas vrai ? Avoue !» et là je réponds « oui j’ai beaucoup aimé tu sais » et lui d’ajouter « dis-moi que tu es une salope ! » je baisse les yeux et je dis ce que je savais déjà . oui Patrick je crois que suis une salope et j’aime ça avec toi ! Je me sens bien quand je suis pris en main comme cela et soumis»
— « Et bien si Fabienne savait ça ; elle qui avait de l’estime pour toi mon Fifi ! ».
Nous sommes allez nous rafraîchir tous les deux , ensuite j’ai peu dormi .. la main de Patrick venant souvent s’égarer sur mes fesses ; mais c’est normal après tout.