Le jour sest couché. Monsieur est partit à son entrainement de football.
Je mennuie et je suis encore émoustillée de mon dernier orgasme.
Seule devant la télévision, je cherche de quoi me détendre. Pas envie de film porno, ce soir, jai envie dérotisme.
Je fouille sur la toile mais aucun manuscrit intéressant en pdf. Je suis obligée de me plonger dans mes souvenirs personnels pour trouver de quoi assouvir mes besoins.
Je repense à ma discussion de tout à lheure avec lhomme.
« Quoi de neuf dans ta journée? »
Jai discuté avec un ami cet laprès-midi, cest ce que je lui dis au début. Cependant, lhomme nest pas dupe. Un ami? Quel ami?!
Je commence doucement en expliquant que cela fait dix que je le connais. Je lai rencontré sur internet, nous nous sommes vu deux fois quand javais 15 ans, lui 26.
Le début de lhistoire lui semble, à juste titre, tordue. Je sens quil attend plus dexplication.
« On a couché une fois ensemble », « Je suis restée son fantasme », « Il nest pas satisfait en couple, lamour romantique, cest bien un temps », « Il ma relancé encore une fois », « Il veut quon se revoit », « Jai mis les choses au clair, promis»…
Jessaye de justifier son attitude tant bien que mal. Dautant plus que cest le troisième de mes anciens amants qui me relancent depuis que nous sommes ensemble.
Je ne sais pas trop ce quil pense, à mon avis entre deux…
Agréable que sa femme soit désirée par dautres, désagréable la peur quelle succombe, un jour, à la tentation.
Quest ce qui les attirent? Le souvenir de nos jeux? Surement car ils ne pourraient ressentir aux travers de photos mis en ligne sur Facebook, mon appétit sexuel actuel.
Celui-ci ne fait que croitre depuis que jai rencontré lhomme.
Enfin un compagnon de vie qui me considère comme un objet de désir autant que comme un objet damour.
Se sentir désirer à ce point ne fait que multiplier ma réceptivité à ses demandes sexuelles.
Pas plus tard que tout à lheure, je reçois un message sur Facebook.
« Quand je rentre, je te lèche », « Je veux te lécher sur le canapé », « En fait, je veux te lécher à quatre pattes », « Tu pourras te regarder un film si tu veux ».
Irradiation dans le bas de mon ventre. Lexcitation ma prise dun seul coup. Comment ne pas répondre à une telle demande?
15h55, il arrive dans 15 minutes, il mavait dit quil se dépêcherait.
Jouvre le PC, clique sur le navigateur internet et file sur PornHub. Il faut que je choisisse un film avant quil narrive.
Je ne sais pas trop quoi regarder, jai envie dun truc méga excitant!
« Public Disgrace », mon choix se portera sur cette série de mini film.
Lécran projète des images limites sado-maso.
Des femmes se font cravachées les fesses, tenir en laisse, sucer et claquer les seins en pleine rue. Certaines se retrouvent ensuite à être baisée devant dautres hommes dans des chantiers de maisons ou dans un bar, etc..
Je parle de « femmes » avec un « S » car jen ai regardé plusieurs. Tous plus excitants les un que les autres mais je noserais jamais regarder cela devant lui. Jai peur de le choquer.
Tant que je suis seule, jy vais allègrement. Je me caresse allongée sur le canapé. Le son est mis. Je mexcite de plus en plus.
Mon plaisir monte de plus bel lorsque jentends la clé dans la serrure. Je mets pause.
Je tourne la tête vers la porte et regarde lhomme rentré. Mon sourire et mes pupilles en disent long sur mon état et mon occupation.!
« Quest ce que tu fais? », « Tu as commencé sans moi? ».
Il sapproche de moi. Je me tourne, me met à quatre pattes. Javais choisi dêtre nue sous ma robe bleue pour loccasion. !
Jaime sentir ses mains sur moi quand il me la relève.
« Quest-ce que tu veux? »
Je tourne ma tête vers le pc et je choisis un film que jai souvent regardé: « Free Sex ».
Il remonte ma robe.
Une femme, blonde, sur une place, attachée et muselée. Des touristes la prenne en photo.
Sans détour, il plaque sa bouche contre mon sexe. Sa langue sagite sur mon clitoris. Oh putain, cest bon!
La femme blonde dans un escalier masturbée par un vibromasseur tenu par une autre femme brune. Elle a des pinces accrochées aux seins. Une bite rentre brutalement dans sa bouche. Un homme lui maintient la tête pour la pénétrer oralement. Il va et vient, lui met profondément.
Lhomme relève la tête. Il veut voir ce que je regarde. Je profite de loccasion, me met sur le dos, enroule mes jambes autour de son cou. Je suis de plus en plus excitée. Il menfonce un doigt, puis deux, replace sa langue et commence des va et vient. Je change de séquence.
Un homme lui bande les yeux. Une femme lui inscrit « Free Sex » sur le corps. Ils sont dans un passage souterrain. Elle est nue en dessous de sa robe. Lhomme lattache à une barrière de chantier, la fait se cambrer et le pénètre directement. Lon voit son sexe rentrer et sortir. Il accélère la cadence…
Lhomme accélère sa cadence aux sons de mes gémissements. Il a appris à reconnaitre la montée vers lorgasme. Létau se resserre, ses doigts me pénètre de plus en plus vite, sa langue sajuste à ce rythme.
La femme et lhomme sen vont. Des inconnus approchent. Timide au début. Il touche sans trop oser. Ils enlèvent le bas. Lun se fait sucer, lautre hésite mais finit par la pénétrer.
Le plaisir monte. Je sais à quoi mattendre, jaime le passage qui va arriver, il mexcite tellement!
Lhomme la prend violemment, la fille gémit de plus en plus. Lhomme sort dun coup et elle éjacule en jouissant.
Mes jambes tremble appuyé sur son dos, lorgasme part tout doucement et explose dun coup. Je suis trempée, lui aussi. Il continue de me toucher, ce geste est ponctué par des soubresauts.
Je lève les yeux vers lui.!
« Je suis morte, jen peux plus », « Le meilleur orgasme de ma vie, putain! », « Tellement bon… », « Tu veux me prendre? ».
Difficile de décrire mon post orgasme. Impossible de bouger. Il me laisse le choix.
Cétait tellement intense que je nai même pas envie de baiser dans la foulée.