CHAPITRE X – RETROUVAILLES ET ABANDON DE SOI.
David conduit lentement, comme si il ne voulait pas nous balloter.
Malika et moi ne parlons plus pendant le reste du trajet et pour cause. La coquine m’embrasse a grand coup de langue en excitant mes seins d’une main et me baise avec le gode. Je ne suis que gémissement, je suis au bord de la jouissance, et c’est quand elle me dit :
— Imagine que c’est Malik qui te baise !
que je jouis comme une dingue.
Elle me dit alors ;
— C’est bien ce que je craignais ! Tu es accro !
La voiture s’arrête. Malika enlève le gode de ma chatte en me disant :
— Tu m’as excitée coquine ! Viens !
Je sors de la voiture. Malika me suis et le mari également.
Nous entrons dans un appartement immense.
Elle me prend par la main et m’emmène vers un grand salon. Les murs et le plafond de ce salon sont couverts de miroir, et le sol est entièrement couvert d’un tapis épais et hyper moelleux. C’est une pièce pour faire l’amour et uniquement l’amour. C’est magnifique.
Je n’ai pas le temps d’admirer la pièce que je vois arriver Malika avec un drôle d’appareil. C’est un gros et long gode, avec un gode plus petit perpendiculaire au premier. Le tout est tenu par une large ceinture en cuir. Je comprends alors pour en avoir déjà vu dans une vitrine de sex-shop, que c’est un gode ceinture.
Malika enfonce le petit gode dans sa chatte en poussant un petit gémissement, puis attache la ceinture autour de sa taille. Le gode le plus gros est alors dressé comme une bite. Malika va me baiser. Et ça me fait un drôle d’effet de savoir que je vais me faire prendre par une femme. Mais comment résister à ça ?
C’est alors que je vois le mari entrer dans la pièce. Il est entièrement nu. Il a un sexe merveilleusement beau. En le voyant, j’ai aussitôt envie de le prendre dans la bouche, surtout que l’homme est complètement épilé, musclé, parfait.
Je suis terriblement excitée de savoir que je vais me faire baiser par cet apollon au sexe merveilleux. J’ai une envie dingue de le sucer, oubliant complètement Malik qui n’avait pas quitté mon esprit depuis que Malika m’en a parlé.
Le mari, plutôt que de venir vers moi, se dirige vers Malika, la prend dans ses bras et l’embrasse tendrement. Puis, chose étrange, il se met en position de levrette. Là je ne comprends plus, mais ça ne dure pas longtemps, car aussitôt je vois Malika s’approcher de lui le gode dressé.
Elle se met à genoux derrière lui. Elle prend le gode dans sa main, le colle sur l’anus de l’homme qui se cambre, et je vois le gode disparaître dans le cul de David.
Elle appuie sur un petit bouton placé sur la ceinture du gode, et pousse un gémissement en se cambrant. J’entends comme un bruit de moteur et je comprends de suite que le petit gode qu’elle a dans la chatte est en train de vibrer.
David est complètement cambré. Malika se met alors à aller et venir dans le cul de son mari doucement, tendrement. Doucement il pousse de léger cri rauque et sa queue se met à se dresser. La situation m’excite au plus haut point. Ce sexe merveilleux, j’ai envie de le sucer, j’ai envie qu’il me prenne.
Alors, pendant que Malika encule son mari en gémissant, j’avance à quatre pattes vers lui, glisse sous son corps, je m’allonge sous lui, sur le dos, sa queue est à quelques cm de mon visage. Je le prends d’une main tremblante, le guide vers ma bouche et l’enfonce entre mes lèvres. Le mari se met alors à gémir encore plus, d’autant plus que Malika l’encule plus profondément, plus vite. Je suce la queue de David goulument, trop goulument car il est follement excité, sa queue bat la mesure au fond de ma gorge. D’une voix haletante il me dit :
— Met toi en levrette que je te baise !
Malika s’arrête alors de bouger. Je me mets à quatre pattes sans hésiter une seconde. Je sens alors le merveilleux sexe sur ma vulve. Le manche s’introduit en moi. Je pousse un long gémissement d’avoir cette merveilleuse bite au fond de moi.
David se met alors à aller et venir en moi lentement. Il me baise comme un Dieu m’arrachant des cris de plaisir. Je regarde dans une glace à coté de moi, et je nous vois formant un petit train. Malika va et vient dans le cul de son mari, ses coups de reins provoquant les aller et venues du sexe de David en moi.
Je n’en peux plus, c’est trop bon, trop merveilleux. Mon corps est secoué de spasme, et je sens alors des jets brûlants dans ma chatte et je jouis en même temps que David.
Malika se retire alors de son mari.
Le mari se retire de moi, se lève et me dit :
— Reste comme ça, Malika va s’occuper de toi !
Je sens alors le bout du gode de Malika se coller à ma vulve et pénétrer lentement !
Elle me dit :
— Imagine que c’est Malik ! Imagine le bien en toi ! avec son regard violent et sa balafre sur la joue !
Elle sort alors la gode de ma chatte, et je sens le gland du gode de mon anus.
— Nooonnn ! Noooonnn ! Nooonnnnn !
Le gode pénètre un peu.
— Noonnn ! Nooonn !
— C’est Malik que tu veux par là !
— Ouuiiiiiiiii !
On me met alors un bandeau autour des yeux et Malika me dit :
— Comme ça tu pourras imaginer encore mieux que c’est Malik !
Une envie folle de me faire sodomiser me prend alors. Après tout, ce n’est pas un homme qui cherche à m’enculer, mais un gode, j’ai déjà fait ça avec un gode.
Malika me dit alors :
— Mets-toi en chien de fusil sur le lit et soulève bien haut ta jambe.
J’obéis sans réfléchir. Je sens son corps se coller contre le mien. J’ai la jambe bien levé vers le haut. Le gode se colle à mon anus et pénètre lentement. Je ne résiste pas. J’ai trop envie de ce gode dans mon cul. Les yeux bandés, j’imagine que c’est Malik qui m’encule et je pousse des gémissements de folle. Le gode pénètre encore un peu, le gland est presque pratiquement en moi. Jamais je n’aurais imaginé qu’un gode soit aussi ressemblant qu’un sexe d’homme. C’est merveilleux, on dirait un vrai sexe qui m’encule. Je pousse des gémissements de plaisir fou.
C’est quand on retire mon bandeau que je crois devenir folle. Dans la glace, je vois que ce n’est pas Malika qui m’encule. Je comprends que je trouvais le gode aussi ressemblant à un sexe d’homme. C’est parce qu’il y a vraiment un homme qui est en train de pénétrer lentement dans mon anus et c’est homme n’est autre qu’un arabe, et par n’importe quel arabe. Oui ! C’est Malik qui va m’enculer, a commencé à planter son sexe dans mon cul
.
Tout à coup, je me débats, je n’ai plus envie de me faire enculer. Mon plaisir s’atténue à la vitesse grand V. Je me débats dans tous les sens, sans pouvoir me débarrasser de sexe qui n’a pourtant que le gland dans mon cul. Malik me prend par les reins, essaie de me bloquer, de m’empêcher de bouger.
Mais je fais la plus grosse connerie que je puisse faire. En essayant de me dégager, je me retrouve à 4 pattes, en levrette, et Malik s’agrippe à mes seins.
Il m’est très difficile de me débattre plus, je suis épuisée. Puis le gland de Malik s’échappe.
Il a vu que je n’étais pas prête à ça et laisse tomber
Je soupire de soulagement. Mais comme une conne, je suis tellement épuisée que je reste dans ma position de levrette.
Je vois Malik passer devant moi. Je vois son sexe nu se présenter à moi. Dans la glace je vois ses belles fesses. Dans quelques secondes Malik va vouloir que je le suce. Je me souviens alors qu’il m’avait dis :
— Dommage que je n’ai pas le temps, je t’aurais bien fait sucer ma queue !
Je me souviens alors que j’ai une envie folle de le sucer depuis qu’il m’a dit ça.
Son sexe est contre mes lèvres, et alors, je ne peux pas résister, j’ouvre la bouche et son sexe pénètre dans ma bouche. Je me mets alors à faire tourner ma langue autour de son gland. C’est merveilleux, ce sexe dont je rêvais, je l’ai dans la bouche. Je pompe la bite de Malik comme je n’ai jamais sucé personne. Je me souviens alors de mon envie qu’il m’encule, qu’il me défonce l’anus. Je pousse des gémissements fous. J’en avais un envie dingue il y a seulement quelques minutes. D’ailleurs, malgré mon refus, au fond de moi, quand j’ai vu dans la glace que c’était lui qui était dans mon cul et non Malika et son gode, j’ai ressentis un frisson de plaisir fantastique.
Je suis dans un était d’excitation terrible. Je sens encore son gland dans mon cul, et s’en vraiment m’en rendre compte, j’ai écarté mes genoux et me suis cambrée.
J’entends Malika dire :
— C’est bon Malik ! Elle est prête ! Elle est à toi !
Malik sort de ma bouche. Je le vois dans la glace s’agenouiller derrière moi. Ca y est, il va m’enculer, mon rêve va se réaliser, et cette fois, je ne le refuserais pas, j’ai trop envie.
Je sens son gland contre mon anus. Je me cambre encore plus. Malika se penche vers mon visage et me susurre :
— Voilà chérie ! Maintenant tu es à lui ! Tu lui appartiens !
Pour lui prouver encore plus que je suis prête à me donner a lui, je laisse mon buste s’écraser sur le lit, je passe mes mains derrière moi, les pose sur mes fesses et là je me soumets, je me donne complètement, j’écarte mes fesses au maximum pour offrir à Malik une vue formidable sur mon anus, pour lui laisser le passage.
Humiliation suprême, Malik vient de cracher sur mon anus. Je sens alors son sexe se coller à mon petit trou. Je pousse un cri strident. Malik vient de pénétrer d’un seul coup dans mon cul avec une violence terrible.
Malik se met alors à aller et venir dans mon cul très profondément à une vitesse folle. Tout le sexe est entré en moi et je pousse des cris de plaisirs fous. Un autre homme serait entré avec autant de violence dans mon cul, j’aurais crié de douleur et j’en aurais pleuré. Mais là, c’est Malik, et pour Malik tout est permis. Avec Malik tout est bon, même sa violence, surtout sa violence. Comme disait Malika, je lui appartiens maintenant, complètement. Mon rêve se réalise enfin, j’ai sucé Malik et Malik m’encule maintenant, m’encule violement, sans aucun ménagement. Le premier homme a qui j’aurais donné mon trou du cul, c’est lui et j’en suis fière, heureuse.
Très vite, je pousse un long cri de jouissance. Malik lui n’arrête pas et se contente de me dire avec sa voix de racaille :
— Tu m’as donné ton cul, tu es à moi maintenant !
Mon plaisir est tellement fou que je lui cris :
— Ouuuuiiiii je suis à tooooooooooiiiiiiiiiii ! Je t’aiiiiiiiiiiiiiiiiiiimmmmmmmmmmmmme Malik ! Fais de moi ce que tu veux ! Mais ne m’abandonne paaaaaaaaasss ! ouuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Et je jouis une seconde fois. Malik sort de mon cul et s’éloigne de moi. Je reste dans la même position.
Je vois alors Malika s’approcher de lui en se dandinant langoureusement. Elle passe ses mains autour de son cou et lui dit :
— Tu les feras toute craquer !
Puis ils se roulent une pelle gigantesque. J’ai l’impression qu’ils s’aiment tous les deux. Malik est très tendre avec elle.
Ils se séparent alors.
Je vois Malik dans la glace en train de se rhabiller, et dire à Malika :
— Je la prends avec moi !
Je frémis de peur, mais pourtant, je n’ai qu’une envie, c’est d’être avec lui.
Il me prend par les cheveux pour me relever.
Il me prend par le bras pour me guider vers la sortie, quand Malika dit :
— Attends Malik, tu ne peux pas l’amener dans cette tenue ! Viens Katia !
Elle passe devant et je la suis. Nous entrons dans une merveilleuse chambre ou il doit être bon de faire l’amour. Malika ouvre sa penderie. Moi je suis restée à l’écart, lui laissant le soin de choisir ma tenue pour moi.
Elle sort un cintre de la penderie.
Malika revient vers moi. Elle retire le cintre d’une hyper mini et hyper moulante robe tout en cuir marron se fermant avec un long zip sur le devant.
Elle me dit :
— Passes la pendant que je vais chercher de quoi te chausser !
Je passe la robe et remonte le zip avec beaucoup de mal tellement elle est moulante. Bien sûr, je ne peux pas remonter le zip plus haut que mon nombril à cause de mes gros seins.
Malika revient avec une paire de cuissarde marron également
Elle me dit :
— Tiens ! mets ça ! tu seras encore plus belle pour Malik !
Je passe les cuissardes qui arrivent jusqu’à la moitié de mes cuisses. Malika me prend par le bras et me guide devant une glace.
— Regarde-toi ! Regarde comme tu es belle !
Je me regarde dans la glace. Je suis effectivement hyper sexy, et encore plus excitante que si j’étais nue. Je me sens vraiment belle et me colle à Malika en lui disant :
— Merci Malika ! Je te la rapporterai bientôt !
Elle passe ma main dans mes cheveux et me dit en souriant tendrement :
— Elle est à toi ! Je te donne la robe et les cuissardes !
Puis nos visages se rejoignent et nous nous embrassons tendrement en mélangeant nos langues dans nos bouches respectives.
J’aime Malika, je pourrais facilement en tomber amoureuse.
Elle me dit :
— Viens ! Il faut y aller maintenant ! Malik n’est pas très patient ! Mais surtout Katia, fais très très attention à toi ! Tu marches sur un terrain miné, mais je ne peux pas t’en empêcher, tu en as trop envie !
Je lui souris pour lui faire comprendre qu’elle a raison et que je ne pourrais pas résister à Malik.
Nous sortons de la chambre.
Nous arrivons dans le hall ou Malik attend impatiemment.
Malika dit à Malik :
— Au fait, il te faut récupérer 500 euros au Cabaret Pink-Night, le patron les doit à Katia !
Malik dit :
— Ouais ! On fera raquer cet enculé demain soir !
Un frisson parcourt mon corps. La façon dont il a dit ça me fait peur, il y avait une violence incroyable dans ces mots.
Nous sortons lui et moi de la maison. Devant la porte, il y a une moto. Je m’assois derrière Malik, et la moto démarre. Malik roule vite, très vite. J’ai froid et je me colle bien contre lui en passant mes mains autour de sa taille. Je me sens bien, je suis heureuse, je n’ai pas peur de sa conduite rapide, j’ai confiance, je ne sais pas pourquoi, mais j’ai confiance. je suis folle de lui.
Bien loin, Jacques, ses amis et tous les hommes avec qui j’ai pu faire l’amour ces derniers temps. Je suis avec Malik, je l’ai sucé, il m’a sodomisé, mon rêve s’est réalisé, et maintenant je suis avec lui, je suis sa meuf et j’en suis fière. Je n’ai plus peur de rien avec lui.
La moto ralentit devant un vieil immeuble. Malik arrête la moto. Je comprends que nous sommes arrivés et je descends de la moto.
Malik descend aussi.
Il marche vers la porte de l’immeuble et je comprends qu’il faut que je le suive sans même qu’il dise un mot.
Nous montons les étages dans un escalier étroit. J’entends de la musique arabe s’échappant de quelques appartements. Je comprends alors que je suis dans un quartier mal famé ou les français doivent être très rares, si pour le moins il y en a.
Malik s’arrête devant une porte au dernier étage. Je suis épuisée. Nous avons dû monter au moins 10 étages.
Il ouvre la porte de l’appartement sans même y mettre une clé. Il doit laisser l’appart ouvert tout le temps.
Il entre en premier, je le suis.
L ’appartement ne sent pas bon et n’est pas très grand. C’est un bordel monstre là dedans. Ca pue le shit et l’arabe.
Malik s’assoie sur un canapé pourri, ouvre sa braguette. Son sexe jaillit. Il est beau, tellement beau.
Il n’a même pas besoin de parler. Je vais vers lui, me mets à genoux entre ses jambes. Je prends son sexe magnifique entre mes mains et me mets à le caresser avec la plus grande tendresse du monde. Rien que d’avoir ce beau manche entre mes mains, me donne des frissons de plaisir extraordinaire. Je penche ma tête et frotte mon visage contre le manche. Je suis heureuse car Malik se met alors à bander. Je lui lèche alors le manche à petits coups de langues, je pose mes lèvres sur son gland et me mets à déposer de doux bisous affectueux dessus.
Puis, doucement, j’ouvre les lèvres. Le gland pénètre dans ma bouche. Je laisse glisser ma tête et le manche glisse entre mes lèvres jusqu’au fond de ma gorge.
Alors je ne peux plus attendre plus longtemps. Je comme à faire aller et venir ma bouche sur sa queue, et je lui fais une merveilleuse pipe. Je mouille de partout, j’ai le feu au ventre, j’ai le feu à l’anus. Je suis complètement dans un état second et je le suce encore et encore complètement soumise.
C’est alors que j’entends une voix arabe. Il y a un autre homme dans la pièce, un autre arabe. J’avais bien entendu la porte d’entrée s’ouvrir mais je n’y avais pas prêté vraiment d’attention.
Il y a un autre arabe, mais je m’en fous. Tout ce que je veux, c’est sucer Malik. L’autre doit me regarder faire et franchement, ça m’excite plus qu’autre chose.
Malik répond à la voix en arabe. Je continue de le sucer aussi bien que je le peux.
Soudain, Malik repousse ma tête négligemment et ragrafe sa braguette. Il se lève. Les hommes se parlent en arabe et ne semble pas du tout faire attention à moi. Je m’assois dans le canapé, docile, attendant que les 2 arabes aient fini leur palabre. Malik en impose. Il est sûr de lui, un impression de puissance se dégage de lui. Il sort de la pièce. L’autre en profite alors pour me mater de haut en bas d’un air plus dédaigneux qu’envieux. Malik revient avec quelque chose emballer dans du papier alu, je comprends illico que c’est du shit. Mon Malik est donc dealer. Ca ne m’étonne pas trop.
L’autre lui file un billet de vingt euros, Malik lui donne la came.
Puis l’arabe me désigne du doigt et parle à Malik en arabe. J’entends le mot « euros » qui se dit pareil dans toutes les langues. Je sens alors que le ton monte entre les 2 hommes. Je ne comprends pas ce qu’ils se disent, mais ils ont l’air de se disputer. C’est n’est pas violent, juste une dispute. On dirait que c’est plutôt une négociation.
Je vois alors l’arabe donner un billet de 10 euros à Malik. Malik l’empoche.
L’arabe s’approche de moi. Il m’attrape par le bras. Je regarde Malik qui est en train de ranger ses billets dans sa poche. Je comprends alors que Malik vient de me vendre pour 10 euros. Je comprends que je vais devoir aller avec cet arabe qui s’appelle Samir je l’ai entendu pendant la conversation. Je ne rechigne pas. Pourquoi ? Parce que Malik le veut tout simplement ! Je suis triste car je dois me séparer de lui. Je me lève et je suis Samir jusqu’à la porte de l’appart.
Le Samir doit se dire que je suis une sacrée salope de le suivre sans rechigner. Il le savait de toute façon, déjà puisque j’étais en train de sucer Malik quand il est entré et que sa présence ne m’a pas arrêté.
Nous sortons de l’appart. Samir passe devant et ne se préoccupe pas du tout de savoir si je le suis ou non. Il sait que je lui suis parce que je suis une putain que Malik a vendu pendant un moment je suppose.
Je marche derrière lui dans les escaliers, puis dans la rue sombre. Samir ne fait pas beaucoup de chemin. A peine cent mètres et il entre dans un immeuble. Je le suis toujours.
Pas besoin de monter d’escalier, il habite au rez-de-chaussée. Il ouvre la porte de l’appart. Il est gonflé de ne pas fermé sa porte a clé dans ce quartier.
Nous entrons dans l’appartement. Il y a de la musique arabe qui joue très fort. Nous arrivons dans la seule pièce du studio.
Il y a un lit ou traine tout un tas de fringue. Il y a un canapé pourri. et dans ce canapé, il y a un autre arabe assis.
Je commence à prendre peur car je vais devoir certainement me faire prendre par les 2, et ce ne sont pas des enfants de chour.
L’arabe me lance un regard violent et parle à Samir en arabe. Encore une fois j’entends le mot « euro », sans doute est-il en train d’annoncer le prix de mon corps.
La aussi, j’entends que cet arabe là s’appelle Djamel. Et ce Djamel, alors l’autre que Samir est plutôt moche, Djamel lui, est merveilleusement beau.
Samir a ouvert le papier alu et est en train de faire un énorme joint. Une fois fini, il l’allume. Moi je suis resté debout au milieu du studio, ne sachant quoi faire, et très apeurée.
Djamel, me regarde alors et tape sur sa cuisse. Je comprends qu’il faut que j’aille m’asseoir sur ses genoux. J’hésite. Alors il me lance un regard violent et 3 mots en arabe. Je ne comprends pas la langue, mais son intonation me laisse à penser que j’ai intérêt d’obéir.
Samir intervient alors et engueule son ami en arabe. Je vous alors Djamel sortir un billet de 5 euros de sa poche et le donner à Samir. Comble de l’humiliation. Je ne vaux pas 10? mais seulement 5. 10 euros c’était pour les 2 hommes.
Djamel retape sur sa cuisse en me regardant. Je marche en tremblant vers le canapé. Une fois devant Djamel je m’assois en travers sur ses genoux. Je tremble comme une feuille. Sa main se pose sur mes seins et il se met à les masser a travers le cuir de la robe. Samir s’approche alors et me présente le joint. Là aussi j’hésite, mais Samir le plante carrément dans ma bouche. J’aspire alors doucement. Mais Samir me fait signe de tirer plus fort encore sur le joint. Alors j’aspire très fort et ma tête est envahit par un bien être incroyable. Ce shit est très bon et monte de suite à la tête. Je me love inconsciemment sur Djamel.
Sa main se pose sur le zip de ma robe en cuir, et descend le long de mon buste. Mes seins qui n’attendaient que ça, tellement ils étaient oppressés dans cette robe, jaillissent. Djamel se met alors à les masser vulgairement. Je le laisse faire en me cambrant même pour lui livrer encore un peu plus. Je me sens bien et je commence à pousser des petits gémissements sous les caresses de Djamel. Il descend encore le zip. Je sens les pans de ma robe s’ouvrir, et mon corps est complètement livré à Djamel. Le salaud passe ses mains partout. Il enfonce ses doigts dans ma chatte et se met à la branler sans lui avoir prodigué la moindre caresse avant. J’aime ça, j’adore ça. J’adore qu’il me traite comme un objet. Il sait que je suis à lui pour cette nuit car il a payé pour ça. Je lui ai même coûté bien moins cher que le shit, mais Malik l’a voulu ainsi.
Djamel continue de me branler la chatte comme un dingue d’une main alors qu’il pétrit violement mes seins, les pinces, tire sur les pointes avec l’autre. J’ai écartée mes cuisses largement et je gémis comme une dingue sous ses caresses. J’ai les yeux fermés et je sens quelque chose taper contre ma bouche. J’ouvre les yeux et je vois Samir nu, sa queue contre mes lèvres. J’ouvre la bouche sans hésiter, et Samir introduit son manche dans ma bouche. Je me mets alors à le pomper goulument en gémissant sous les caresses de plus en plus intenses et de plus en plus violentes de Djamel.
J’ai la chatte en feu, j’ai envie de baiser, j’ai envie que Djamel me prenne, j’ai envie que Samir me prenne, j’ai envie d’eux, j’ai envie de me donner à eux. Mes gémissements doivent leur faire comprendre, car Djamel dit une phrase en arabe à Samir et celui ci sort sa queue de ma bouche.
Djamel me repousse. Je me lève ma robe ouverte avec mes cuissardes, mon buste et mon pubis nu. Djamel se déshabille. Je ferme les yeux de plaisir rien que de voir son sexe énorme qui bande comme un fou.
Il tape à nouveau sur ses cuisses. Je monte alors sur le canapé, enjambe ses cuisses. Aussitôt je sens son gland cogner mes fesses.
La main de Djamel passe entre mes cuisses. Je sens le gland se coller contre ma vulve. De moi même je plie mes genoux et je sens son manche entrer doucement en moi. Je ressens une douleur car le sexe est vraiment gros. Je descends, descend encore, le gland cogne le plus profond de ma chatte, il est complètement en moi. Alors doucement, je mets mes mains sur les épaules de Djamel et je commence à monter et descendre sur son manche en me mordant les lèvres tellement le sexe est trop gros. Puis je commence à gémir doucement. J’accélère un peu, ma chatte s’habitue à cette grosse bite, et la douleur fait place au plaisir intense. Samir remet le joint à mes lèvres, et c’est sans aucune contrainte que je tire dessus très fort. Il enlève le joint, me laisse souffler la fumée, puis le remet, j’aspire tout en allant et venant de plus en plus vite sur la queue de Djamel. Je me sens bien, je suis dans un état second. Je commence à tortiller des fesses dans tous les sens, mon corps est parcouru de frisson je ne peux pas m’empêcher de crier :
— ohhhh ouiiiiii ! ohh ouiiii ! c’est boooonnn enccooooooooorree ! Oh Djamel ! Défonce-moi, baaiise moi plus fort !
Ma vitesse est effrénée, c’est Djamel qui a le joint maintenant et tire dessus très fort, pendant que je me baise sur lui. Je sens ses mains sur mes fesses. Ses mains écartent mes fesses au maximum. Samir que je ne vois pas doit voir l’exhibition de mon trou du cul.
Je continue de monter et descendre. Je sens le doigt de Samir sur mon anus. Je remue des fesses pour m’en dégager. Je ne veux pas qu’il m’enfonce un doigt dans le cul. Djamel met alors le joint à ma bouche, je tire une nouvelle fois dessus. Le bien être s’accroit encore, j’oublie tout, je suis bien, heureuse, je prends mon pied. J’oublie tellement, que je ne me suis pas aperçu que ce salaud de Samir a enfoncé un doigt dans mon cul et est en train de le faire aller et venir en moi. Le pire, c’est que j’aime ça. Je continue de monter et descendre sur la queue de Djamel, mais d’une façon différente. Je m’empale sur lui en cambrant et décambrant mes reins pour aider en même temps le doigt de Samir m’enculer. Une image folle vient alors à ma tête. L’image de Malika en train de se faire prendre par la chatte par un homme pendant qu’un autre l’enculait. Je suis sûre que c’est ce à quoi veulent en venir ces 2 salauds. Je ne sens plus le doigt dans mon cul. Je continue de m’empaler sur le sexe à Djamel mais avec moins de virulence, car je n’ai pas envie d’être enculée et baisée en même temps. J’aime être humiliée, mais il y a des limites. Je sens les mains de Samir sur mes hanches, puis aussitôt son gland sur mon anus. Je monte et descend de plus en plus vite sur le sexe de Djamel pour empêche Samir de coller son gland à mon anus et de pénétrer en moi. Djamel met le joint à ma bouche et m’oblige à tirer dessus. Je revois alors Malika en train de se faire prendre par les 2 trous. Mais je ne la vois plus de la même façon. Je la vois en train de prendre son pied, un pied incroyable sous les yeux de son mari.
Je continue à me débattre encore. Djamel remet le joint à ma bouche alors que Samir essaie toujours de coller son gland à mon anus. S’il y arrive, je serais sans doute une des rares femmes au monde à me faire prendre en sandwich, à 19 ans de surcroît. Une des rares à me faire prendre en sandwiches par des arabes. Des arabes, ces arabes qui me font tant jouir. Je pense à Malik qui m’a si bien enculé ce soir. C’était la première fois, je voulais que ce sois lui. ou un autre arabe, il n’y a qu’a cette race que je voulais donner mon cul pour la première fois. Si seulement Malik était là. Si Malik voulait m’enculer pendant que Djamel me baise, j’aurais accepté sans aucune hésitation. C’est lui qui m’a vendu, si il l’a fait, c’est pour que je fasse ce que les 2 arabes veulent faire. Malika a pris son pied comme ça. Je la vois encore hurler son plaisir comme une dingue. Je pourrais prendre mon pied moi aussi. Je suis avec des arabes, deux arabes qui ont décidés de faire ce qu’ils veulent de mon corps. Pendant que ces pensées défilent dans ma tête, Djamel continue de me faire fumer. Je tire sur le joint comme une dingue. Je me mets à gémir, je suis bien, j’ai envie de ces hommes, j’ai envie qu’ils me fassent prendre mon pied. Je ralentis mes allées et venues sur le manche à Djamel sans même m’en rendre compte. J’imagine ces 2 arabes dans mes trous en même temps. 2 Arabes qui vont et viennent dans ma chatte et mon cul en même temps. Djamel se met alors à tirer sur mes tétons, à les tordre dans tous les sens. Mon corps vibre de plaisir. Je commence à gémir malgré moi. Djamel me donne à nouveau le joint, je tire dessus. Je m’aperçois qu’en fait je suis la seule à fumer. Mon esprit divague. Je fais une fixation sur ce sexe qui veut pénétrer en moi. D’ailleurs le gland de Samir vient de se coller à nouveau sur mon anus. Les caresses de Djamel à mes seins, le joint qui me monte de plus en plus à la tête et la vision de Malika en train de se faire prendre par les 2 trous en même temps m’obsèdent. Ma chatte brûle, je bouge se moins en moins. Le gland de Samir force mon anus, car malgré moi je ne bouge plus mes reins, comme si je me soumettais aux volontés de ces hommes.
Puis le gland s’échappe de mon anus. Je suis soulagée, mais en même temps une légère déception m’envahit. Cette déception se fait de plus en plus présente. Je sens alors un crachat sur mon anus, et là, suprême humiliation, je me mets à gémir encore plus fort. Samir comprend que je suis prête, qu’il peut désormais m’enculer, que je le veux. Car oui ! Ce crachat n’a fait qu’accentuer l’envie que j’aie depuis quelques minutes qu’il vienne dans mon cul. Le gland se colle à nouveau à mon anus. Cette fois, je ne bouge plus, je livre mon cul à cet arabe. Le gland force mon cul. Je me mets à gémir de plus en plus, je me cambre, je lui offre mon cul, je veux qu’il vienne maintenant, je les veux tous les deux en moi.
Des spasmes de plaisir m’envahissent. Le gland de Samir vient de s’introduire dans mon cul. Je gémis de plus en plus, je pousse des petits cris, je m’ouvre, lui laisse la porte ouverte.
Le manche entre lentement en moi. Je suis à 2 doigts d’exploser de plaisir mais je fais tout pour ne pas jouir. pas encore.
Le manche avance et avance encore, je me cambre, lance ma tête en arrière tellement le plaisir est intense. Le manche avance de plus en plus. jusqu’à ce qu’enfin, je sente les couilles de Samir contre mes fesses. Ca y est, il est en moi, sa queue est à moi, bien enfourné dans mon cul encore vierge il y a quelques heures a peine.
Samir se retire lentement, presque entièrement. Puis il s’enfonce à nouveau, replonge, se retire, replonge. Mon anus s’habitue à ce corps étranger. Je pousse des petits de plaisir. Djamel commence alors à bouger lui aussi. Je sens sa queue aller et venir dans ma chatte, pendant que le manche de Samir parcours mon conduit anal.
Je pousse des cris de plus en plus intenses. Les 2 arabes accélèrent le mouvement. Quand l’un est au fond de ma chatte, l’autre est presque sorti de mon cul. Quand Samir est au plus profond de mon cul, c’est Djamel qui sort presque de ma chatte. Je suis prise de spasme, je pousse des cris de plus en plus stridents. Je transpire, mon corps frémis de plaisir, je suis au nirvana, je comprends que Malika ait pris un pied formidable. Ma chance à moi c’est que ce soit des arabes qui me prennent en sandwiches.
Les 2 hommes accélèrent encore, je me mords les lèvres pour ne pas jouir. Et pourtant j’en ai une terrible envie d’exploser, je n’en peux plus, c’est trop bon, vraiment trop bon. Les 2 hommes donnent chacun 2 ou 3 coups de queue, et je ne peux m’empêcher de hurler :
— Ooooooooooooooooooooooooooh je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiissssssss !
Je viens d’exploser de plaisir. Jamais je n’avais jouie aussi fort, jamais au grand jamais. Je dois reconnaître que même Malik ne m’a pas fait jouir aussi fort.
Samir se retire de mon cul, me prend par un bras et m’extirpe de la queue à Djamel.
Je suis toute pantelante, je n’ai la force de rien faire.
Samir me fait faire demi-tour pour que je sois face à lui.
Puis lentement il me fait reculer, jusqu’à ce que je tombe sur les genoux à Djamel, mon dos contre son buste.
Djamel, me soulève alors par les fesses.
Je sens son gland contre mon anus. Il va m’enculer. Il va m’enculer alors que je serais face à Samir qui aura un spectacle formidable devant lui. Une petite salope, la chatte ouverte et une bite dans le cul, aller et venir sur le manche de son ami.
Je n’ai pas la force de résister et je n’en ai pas envie. J’ai envie que Samir voit ça. J’ai envie que Samir voit le manche entrer et sortir de mon anus.
Alors doucement, Djamel arrête de soutenir mes fesses, et lentement je m’empale sur sa queue. J’imagine, je sens, son manche disparaître dans mon cul. Puis je relève mes fesses, puis les rebaisse. Je commence à aller et venir sur ce manche qui me donne un plaisir fou. Je commence à pousser des petits cris. J’écarte mes cuisses au maximum pour donner à Samir le merveilleux spectacle de ma chatte entièrement ouverte et de la bite de Djamel allant et venant dans mon cul. Samir me met un nouveau pétard à la bouche. J’aspire très fort. J’ai l’impression que ma tête va exploser. Ce mélange de sodomie et de drogue me rend dingue de plaisir. Aussi, quand Samir s’approche de moi la queue à la main, se penche en avant pour coller sa bite contre ma vulve, je m’écrie :
— Ooohhh ouiii Samir ! Viiiiiiiiieeeeeeeeeeeennss !
Je m’arrête de monter et descendre sur le manche de Djamel, et le sexe de Samir pénètre en moi. A nouveau, j’ai un sexe dans chacun de mes trous et je prends un plaisir incroyable. Samir se met à aller et venir dans ma chatte alors que j’ondule des reins pour que le manche de Djamel remue dans mon cul. Djamel m’aide en cela en donnant des coups de reins violents au plus profond de mon cul. Je suis remplie, je suis prise de partout. Je gémis, je crie. Djamel qui a récupéré le pétard, passe son bras autour de mon cou et me colle le pétard à la bouche. Je deviens folle, je fume, je me fais baiser, enculer et tout ça en même temps. Je suis prise par tous les trous. tous ? non. Mon rêve dans l’état de jouissance dans lequel je suis, c’est d’avoir en plus un autre sexe dans la bouche. Le sexe d’un autre arabe, j’aurais ainsi 3 bites arabes pour moi toute seule, obstruant chacun de mes orifices. Alors j’imagine, j’imagine en fermant les yeux que j’ai une autre bite dans ma bouche et en 2 minutes, un spasme formidable secoue mon corps de salope et je pousse un crie de jouissance formidable :
— Oooooooohh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Samir retire alors sa bite de ma chatte sans crier gare. Djamel me bouscule brutalement et je pousse un petit cri de douleur lorsque sa bite sort de mon anus. Je suis tellement raide que je tombe du canapé. Je reste presque inconsciente de bien être pendant quelques secondes. J’ouvre les yeux, et je vois les 2 arabes devant moi, leurs bites dressées. Je comprends illico, et j’en ai une envie folle. Je me mets à genoux. Je prends chacun des sexes dans chaque main. Je me mets à les caresser, puis à les masturber lentement, puis ne pouvant plus tenir, j’approche ma bouche du sexe à Samir. Sans aucun préliminaire, je prends son gland dans ma bouche, et tout en branlant Djamel, je fais aller et venir la bite de Samir dans ma bouche. Ma langue tourne autour de son manche. Je sors le sexe de ma bouche pour m’humilier un peu plus. Je lève sa queue avec la main et je pose mes ses lèvres sur ses couilles. Je dépose de tendres baisers dessus, puis, en ouvrant bien la bouche, je gobe les couilles de Samir en les faisant rouler l’une contre l’autre avec ma bouche. Samir commence à pousser des cris rauques significatifs d’une proche éjaculation, alors je l’abandonne et le branle doucement. Je tourne alors ma tête vers la queue de Djamel. Je suis tellement excitée, j’ai tellement faim de bite, que je la prends au plus profond de ma gorge, encore une fois sans le moindre préliminaire. Je vais aller et venir la bite entre mes lèvres en branlant Samir de plus en plus fort. Puis, Comme je l’ai fait à Samir, je prends les couilles de Djamel dans ma bouche, les relâche, enfonce a nouveau son sexe dans ma bouche. Puis j’abandonne la bite de Djamel, pour reprendre celle de Samir. Je le pompe une 30 aine de secondes, puis l’abandonne pour reprendre celle de Djamel. Les deux hommes sont à bout de force. Leurs sexes battent la mesure dans ma bouche et dans mes mains. Ils poussent des cris rauques, des cris de bête, je sais qu’ils vont jouir, alors j’arrête de les sucer, je prends chaque sexe dans une main, et tout près de mon visage, je me mets à les branler vigoureusement.
J’ouvre la bouche car je sais qu’ils vont jouir dans quelques secondes. Samir pousse un cri plus fort que les autres. Le sperme gicle dans ma bouche, sur mon visage. C’est au tour de Djamel d’éjaculer dans ma bouche alors que je n’ai pas cessé de branler Samir.
Je lève alors la tête pour regarder les visages des 2 hommes. Je vais m’humilier au plus au point. Je suis toujours en train de les branler. Les arabes me regardent en penchant leur tête vers le bas, alors j’avale… J’avale tout le mélange de sperme des deux hommes. Pour bien leur montrer que j’ai bien tout avalé, j’ouvre ensuite la bouche en grand. Ils peuvent constater alors que plus une goutte de leur sève ne reste dans ma bouche, si ce n’est des petits filets de sperme gluant.
Puis, je reprends le sexe de Samir dans ma bouche et je le suce pour le nettoyer complètement, et je fais de même avec Djamel.
Enfin, je lâche les 2 bites et me relève.
Les 2 hommes se rhabillent et je vois Samir passer sa veste puis me jeter ma robe en cuir. Je comprends qu’il est temps que je rentre chez mon amour de Malik.
Je remets ma robe, la laissant ouverte jusqu’au bas de ventre. Je titube, je suis complètement raide. Dehors il fait presque jour. Je suis Samir, les seins presque dénudés. Je marche de traviole. Nous arrivons chez Malik.
Nous entrons. Horreur, le salaud est sur le canapé avec 2 magnifiques blondes. 2 véritables canons, beaucoup plus belles que moi. Bien sûr ces filles sont totalement nues et ont un corps plus que parfait.
Malik est nu lui aussi et semble dans un état de transe extraordinaire et ça se comprend. Une des filles est en train de lui faire une pipe avec un art extraordinaire, pendant que l’autre est en train de lui lécher les couilles.
Il n’en peut plus le Malik. Il pousse des cris rauques.
Ces filles se ressemblent tellement que je devine que ce sont des jumelles. Je remarque que Malik est tendre avec elles. Il leur caresse les cheveux tendrement.
Je suis folle de jalousie. D’abord parce qu’elles sont en train de me prendre mon mec, mais aussi qu’elles sont beaucoup plus belles que moi, et surtout que Malik est tendre avec elles alors qu’il m’a toujours prise avec violence, sans aucune tendresse.
Samir ne peut pas résister à mettre la main au cul de l’une des nanas. Malik devient fou. Il se met à gueuler après Samir. Celui ci arrête aussitôt de toucher la fille qui pourtant n’avait pas bronché. Je suis sûre qu’elle se serait laissé baiser facilement.
Le fait qu’il jette son pote alors que moi il m’a donnée à lui sans problème me rend dingue.
Je prends mon sac à main et sort de l’appart à Malik en claquant la porte.
Je ne sais pas trop quelle heure il est, mais je pense qu’il doit être environ 5 heures du matin. Je marche dans la nuit. Les rues sont sombres. Je ne croise personne et c’est tant mieux car je n’ai vraiment pas envie ni de parler ni de faire l’amour. Je marche pendant ½ heure et je commence à être fatiguée. Je suis sortie depuis un petit moment du quartier arabe. Je le sais car il n’y a plus d’immeuble et que les voitures garées, sont plutôt neuves.
Je décide de faire une petite halte. Pour ce faire, je m’assois sur le capot d’une magnifique Mercedes flambant neuve.
Je suis tellement épuisée, que je m’allonge sur le dos, sur le capot de la caisse.
Je me sens bien ainsi, et je me repose dans cette tenue indécente puisque j’ai les pieds sur le pare choc et les jambes écartées. Je m’endors
Au bout d’un ?, je suis réveillée par une lumière intense. J’ouvre les et j’entends un bruit de moteur alors que la lumière se fait de plus en plus intense.
Je ne sais pas pourquoi, alors que je devrais me lever et partir en courant, je reste dans ma position. Je dois être dingue. Des frissons m’envahissent le conducteur ne peut que me voir car la voiture est désormais assez proche. Pour preuve, la lumière est plus forte tout d’un coup. Le conducteur vient de passer en plein phare. Et s’il a fait ça, c’est qu’il m’a vu. J’ai peur. J’ai peur mais je ne bouge pas. Les frissons se font plus intenses. Je n’entends plus le moteur de la voiture. Pourtant je sais qu’elle est encore là puisque les phares continuent d’éclairer mon corps.
Les phares s’éteignent. Une portière se ferme. Puis je n’entends plus rien. Pourtant je sais que le conducteur est là. Mais pourquoi n’avance t-il pas ? Pourquoi ne vient il pas vers moi pour me prendre sur le capot de la Mercedes, car bien sûr, encore sous l’emprise du shit je n’ai envie que d’une chose, c’est de me faire prendre ici en pleine rue noire, sur le capot de la magnifique voiture.
Je n’entends toujours rien et je ne fais rien pour essayer de voir ce qui se passe autour de moi. J’attends, dans ma position indécente, offerte.
Tout à coup, je sens le zip de ma robe descendre doucement. Ca y est, nous y sommes, l’homme est en train de me mettre nue pour me baiser.
Le zip descend encore. Très vite mes seins sont dénudés, et pour cause, je n’arrivais pas à remonter la robe plus haut que mon nombril. Le zip continue, mon ventre est nu, puis mon bas ventre, puis mon pubis. Je suis parcourue de délicieux frissons quand la robe en cuir s’ouvre enfin complètement. Je frissonne et pousse un doux gémissement.
Aussitôt, je sens une main se coller à ma chatte. Les doigts tentent de pénétrer en moi. Je mouille tellement, qu’ sans aucune difficulté, le salaud vient d’enfoncer 3 doigts au plus profond de mon minou. Je me mets alors à gémir en écartant mes cuisses au maximum pour laisser le passage a cette main délicieuse. Pendant qu’il me branle la chatte, je porte mes mains à mes seins, et les masse tendrement en excitant mes tétons. Puis l’homme sort ses doigts de mon minou, à mon grand désarroi. Il me prend par les hanches et me faire une cabriole sur le capot telle sorte que je me retrouve à plat ventre.
Je prends les essuies glaces dans les mains, écarte mes jambes au maximum en me disant :
— Pourvu qu’il m’encule !
Je me cambre au maximum pour bien lui montrer mon anus bouillant d’envie. Je sens alors son gland sur mon anus. Je soupire de satisfaction. Le gland pénètre doucement en moi. Il pénètre relativement facilement à cause de tout ce que mon cul a pris ce soir. Moi qui ne m’étais jamais fais enculer, j’en ai pris dans cette nuit plus que personne n’en a jamais pris. Le manche pénètre encore et encore. Je sens une paire de couille contre mes fesses, ça y est ! L’homme est au plus profond de mon cul. A partir de ce moment, l’homme se met à aller et venir dans mon cul avec une régularité et une cadence rapide. Il est doué, car quand sa queue est presque sortie de mes entrailles, il replonge à nouveau violement en m’arrachant des cris de plaisir fou. Je me tortille sur le capot, je gémis, je crie, mon corps frissonne et boue en même temps. Je suis en transe, je suis au nirvana, je n’en peux plus. L’homme commence à pousser des cris rauques. Sa queue se fait plus dure, plus large, plus longue, plus raide. Nous prenons notre pied. Je suis à 2 doigts de jouir et je sais que l’homme est prêt à décharger sa sève en moi. L’envie de jouir est tellement forte, que je me mets à onduler des reins. J’entends un cri de bête, mon cul brûler, et je jouie comme une dingue en pleine rue. L’homme vient d’éjaculer et je jouis en même temps que lui.
Le manche se retire de mon anus, puis plus rien. Je reste allongée sur le capot en espérant que l’homme sera assez puissant pour revenir à nouveau en moi. Mais au bout de quelques secondes, le moteur de sa voiture démarre, passe à côté de la Mercedes, puis plus rien.
L’homme s’est vidée les couilles dans le cul d’une salope magnifiquement bien faîte, il est satisfait, il s’en va.
Je ne l’ai pas vu, je ne sais pas si il est beau, laid, jeune ou vieux. Tout ce que je sais c’est qu’il m’a fait jouir en m’enculant.
Encore une fois je me suis faîtes prendre par un inconnu, à la différence que celui là, je ne l’ai même pas vu. C’est la première fois que ça m’arrive, et c’est vraiment extraordinaire.
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Ce n’est que le 10éme chapitre de ma longue histoire et je vais me faire un plaisir de vous raconter la suite.
Vos impressions et commentaires seront les bienvenus à : [email protected]
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