CHAPITRE VI – VIEUX POTS : MEILLEURE SOUPE
Il est 23h00 et les rues sont vides. On s’ennuie vraiment dans ce bled. Moi qui n’ai pas envie de dormir, je vais m’ennuyer ferme chez moi, car je n’ai pas d’autre choix que de rentrer chez moi.
Une fois dans l’appart, je prends mon portable que j’avais oublié et regarde si j’ai des messages.
« Vous avez un nouveau message ».
Ca doit être Jacques qui m’a appelé. J’interroge le répondeur :
— Salut Katia ! C’est Virginie ! Je pars aux States, je suis partie en urgence. Je suis passée chez toi mais tu n’y étais pas. Comme je reste là bas plusieurs mois pour le boulot, peux-tu t’occuper de mon appart de temps en temps ! J’ai mis la clé de l’appart dans ta boite à lettre ! Bisous ! A bientôt !
Sacré Virginie. Elle fait un boulot de rêve. Travailler dans une agence de voyage c’est vraiment le top.
Ce qui m’embête dans tout ça c’est qu’il va falloir que j’aille en plein centre de Toulouse régulièrement, et j’aime pas trop ça. J’ai horreur des grandes villes. L’avantage est qu’il y a de l’animation dans les rues et les bars de la ville.
Une idée me vient alors. Il n’est que 23h15 et il y a encore des métros qui vont sur Toulouse. Je prends donc mon sac à main sans oublier de prendre mon portable, et les clés de l’appart à Virginie, puis je file jusqu’à la station de métro. Je prends la première rame qui s’arrête et c’est parti. Je vais enfin voir un peu d’animation. C’est la première fois que je sors la nuit à Toulouse, je suis toute guillerette. Peut-être vais-je me faire une autre idée des grandes villes.
Au bout de 10 minutes, le métro s’arrête, j’y suis. Je sors de la station.
Il y a effectivement beaucoup d’animation, beaucoup de monde dans les rues. Je me sens bien, mais je suis tout de même inquiète de ce qui pourrait m’arriver ici, car il y a un peu de toute catégorie de gens. Ca va du très joyeux et inoffensif au plus inquiétant. Enfin, peut-être vais je m’amuser !
Je marche dans la rue. Regarde des hommes faire des spectacles dans la rue. C’est vraiment génial. Je n’ose tout de même pas entrer dans les bars, seule, car vêtue comme je suis, il est sûr que je me ferais aborder, et ça me fait peur. Déjà que je me fais accoster ou interpeller à plusieurs reprises, je ne vais quand même pas chercher le bâton pour me faire battre.
Je prends des rues inconnues pour moi. Certaines sont pleines de monde et rassurantes, d’autres le sont moins, car il n’y a personne et la rue n’est pas très éclairée. Ce genre de rue je les parcours presque en courant.
Le problème, c’est qu’à force de déambuler, je me suis perdue. Je ne sais plus du tout ou est la station de métro.
J’entre dans une des rues que je n’aime pas. Elle est sombre, lugubre. Je marche vite et arrive au bout de la rue. Je suis soulagée, mais pas longtemps, car la rue que je prends est aussi sombre et aussi lugubre que la précédente. Là je commence à paniquer.
Il n’y a pas âme qui vive, pas une voix. Juste de la musique « Rock » qui s’échappe des fenêtres des appartements étages.
J’entends un moteur de voiture. Impossible de me cacher. Si je cours, je serais encore plus la proie du chauffeur si celui-ci est un peu vicieux.
Le mieux est de rester naturelle. Ce que je fais.
Je m’en veux de m’être aventurée dans toutes les rues du centre ville. J’entends le moteur de plus en plus près. La voiture va maintenant passée à côté de moi. Je n’ose même pas regarder. Ce que je craignais arrive. La voiture s’arrête à côté de moi. Comme je continue à marcher, la voiture roule à ma vitesse. Une voix d’homme :
— Tu prends combien ?
L’enfoiré me prend pour une pute. La peur fait place à la colère :
— Attendez ! Vous me prenez pour qui là ? Je suis pas une prostituée ! Allez-vous-en !
Lui avec une voix plutôt gentille :
— Si tu n’es pas une pute, ne reste pas dans le quartier des prostituées ! Moi ça va ! je ne te ferais pas de mal ! Mais si tu tombes sur d’autres moins gentils, ils ne vont pas te rater !
Il m’inquiète le vieux (55 ans environ et loin d’être beau). C’est vrai qu’il a l’air inoffensif. Alors je lui dis :
— Je suis perdue ! Vous pouvez me ramener chez moi ?
Le vieux dit :
— Je me doutais que ce n’étais pas possible que tu sois une prostituée, jolie comme tu es ! Oui monte je vais te ramener !
Je fais le tour de la voiture et monte. Il y a un léger problème lorsque je m’assois. Ma robe trop courte remonte très haut sur mes cuisses et arrive au ras de mon minou.
Bon, le vieux ne semble pas y faire attention, il démarre.
— Ou habites-tu !
Sans hésiter je réponds et donne l’adresse de Virginie. Tant pis, je passerais la nuit là bas, mais il vaut mieux ça que de lui donner ma vraie adresse :
— 18 Rue du Rempart Saint-Etienne.
Lui :
— Effectivement tu t’es bien perdue !
Moi :
— Oui, il n’y a que quelques jours que je suis là, et je n’ai aucun sens de l’orientation !
Nous roulons. Nous roulons longtemps. Je m’aperçois alors que nous sommes en rase campagne et je commence à paniquer. Je dis :
— Vous êtes sûr que vous êtes dans la bonne direction ! Je n’ai pas marché aussi longtemps et je n’ai pas l’impression que nous allons vers chez moi !
Il arrête la voiture sur le bas côté de la petite route, se retourne vers moi en me regardant avec des yeux pervers et dit :
— Montre-moi tes seins !
Je le regarde complètement ahurie et dis :
— Mais ça va pas non ? je vous ai dis que je n’étais pas une pute, alors laissez moi tranquille !
Lui :
— Ecoute, tu m’as montré ta chatte épilée pendant tout le trajet ! les filles qui ont la chatte épilée sont toutes des salopes, et qui plus est, tu ne portes pas de culotte et ta robe montre bien que tu es une petite coquine !
Moi :
— Mais c’est pas vrai ! Je ne vous ai pas montré mon sexe !
Il me montre du doigt le rétroviseur de la voiture. Il est dirigé vers mes cuisses, je comprends maintenant comment il a pu voir mon minou !
Moi :
— Vieux salaud ! Non je ne vous montrerais pas mes seins !
Je suis dans une colère noire, mais en même temps, le fait qu’il ait vu ma petite chatte pendant qu’il conduisait, qu’il ait profité de mon corps avec ses yeux, ne me laisse pas indifférente, et je ressens un frisson le long de mon échine.
Je souffle de soulagement, car il redémarre.
Nous faisons demi-tour. C’est bien la preuve que ce vieux salaud voulait me sauter.
Nous ne disons pas un mot pendant le trajet. L’enfoiré a gardé le rétroviseur dans ma direction et je devine qu’il lorgne sur mon minou. Je ne sais pas pourquoi, sans doute la situation étrange, mais doucement, comme si de rien n’était j’écarte lentement les cuisses.
Ca doit lui faire plaisir et je peux bien lui offrir ça, car je sais maintenant que je ne risque plus rien. Je lui ai dit « non » et il n’a pas insisté. Après tout, quel homme aurait résisté à faire ce qu’il a fait ! Avoir dans sa voiture une fille égarée, avec une robe trop courte, le minou épilé à l’air et un décolleté pas possible, qui aurait pu résister à ça !
Je ne lui en veux donc pas, bien au contraire, ça me conforte dans l’effet fou que je fais aux hommes.
Nous arrivons devant l’immeuble à Virginie.
Je descends de la voiture et lui dis avec un grand sourire :
— Merci beaucoup !
Lui :
— Tu ne m’en veux pas !
Moi, comme une idiote :
— Non pas du tout ! C’est normal ! Je l’ai un peu cherché !
Il sourit, je souris et ferme la porte de la voiture. Puis je cherche les clés de Virginie dans mon sac, et entre dans l’immeuble. Je me retourne et la voiture démarre.
Je monte les 3 étages qui me séparent de l’appart. Enfin j’y suis. J’adore l’appart à Virginie. Il est décoré moderne avec tout un tas d’objet qu’elle a ramené des pays qu’elle a visité, et elle en a vu beaucoup. Il voudrait m’emmener avec elle un jour, mais avec Jacques c’est difficile.
Ils ne s’aiment pas tous les deux. Jacques la trouve trop dévergondé et pense qu’elle a une mauvaise influence, et Virginie trouve que Jacques est archi nul et que je n’ai rien à foutre avec un mec pareil.
Virginie, c’est comme ma grande sour. Je l’aime beaucoup et elle me le rend bien et je crois bien que rien ne peut se mettre entre nous. Si Jacques m’empêchait de la voir, il est fort possible que je le quitte. Il le sait d’ailleurs, car malgré sa réticence en vers elle, il ne m’empêche pas de la voir. Elle me dit tout le temps :
— Amuse-toi ! Va pas te caser à 19 ans ! Tu as toute la vie devant toi pour ça ! Jolie comme tu es, tu auras tous les mecs que tu veux, tu les rendras dingue ! Viens avec moi quand je voyage, tu verras, c’est le pied et tu ne pourras pas t’en passer !
J’aime Virginie ! Comme une grande sour !
Je me sens bien dans son appart. La première chose que je fais, c’est d’allumer la chaîne stéréo et m’allonger sur le lit.
Je pense à ce vieux cochon qui louchait sur mon minou et voulait voir mes seins. C’est gonflé quand même. Je souris. Il avait l’air gentil.
Et puis il avait quelque chose d’attirant, quelque chose d’indéfinissable. Quelque chose qui, j’en suis consciente, fait que s’il avait insisté un peu plus, j’aurais fait glisser le zip de ma robe de haut en bas. J’aurais fait plus que lui montrer mes seins, je me serais mise nue devant lui, entièrement nue, et j’aurais aimé ça, ça m’aurait beaucoup excitée. Ca m’excite ! Mon minou se met à mouiller rien que d’imaginer la situation ! Rien que d’imaginer qu’il a mâté mon minou nu pendant tout le trajet, que ce soit à l’aller ou au retour, dans le rétroviseur.
Bouh ! Il faut que je me secoue ! Voilà que j’ai envie de faire l’amour à ce mec maintenant, ce mec qui est vieux et même pas beau !
Je fume ma clope allongée sur le lit en écoutant la musique, avec toutes ces pensés qui défilent dans ma tête. Masi qu’est ce qu’il m’arrive ? Depuis quelques jours je ne fais que faire l’amour alors que je ne le faisais que très rarement avant. Je fais l’amour avec n’importe qui, le moindre mot, le moindre regard l’excite. N’importe quel homme pourrait me baiser dans l’état dans lequel je suis ! Tous, sauf bien sûr les arabes et les nègres ! Mis a part mon arabe violeur qui m’a donné un plaisir des plus incroyables. Je crois que c’est lui qui m’a fais jouir le plus fort, juste devant mon voisin, ses godes et ses invités surprises.
Je n’ai envie que de ça, le sexe. Je découvre à peine ça, et je ne vis plus presque que pour ça ! De quel homme ai-je refusé les avances ces derniers jours ? Un seul, celui qui vient de me ramener, et j’en suis déjà a le regretter car au plus profond de moi, j’avais une envie folle qu’il me baise.
Le coquin voulait voir mes gros seins. Sans doute les aurait il touché, caressé, massé. Sans doute aurait-il joué avec mes tétons, aurait tiré dessus, les aurait tordus dans tous les sens. Et puis ça n’aurait pas été tout. Il m’aurait sans doute touché le minou, enfoncé ses doigts dans mon ventre. Il m’aurait fait gémir, il m’aurait fait jouir pour enfin me baiser.
Je me rends compte que je suis dans un état d’excitation pas possible et que j’ai une envie de plus en plus forte qu’il me prenne. Je m’en veux d’avoir refuser de lui montrer mes seins. Quel dommage qu’il ne l’ait pas fait directement sans me le demander ? Si il avait pris l’initiative de le faire, je me serais donné à lui comme aux autres.
J’écrase ma cigarette. La sonnette de l’appart retentit.
Merde ! qui ça peut-être à une heure pareille ! Je décide de ne pas ouvrir mais je réfléchis. Je ne suis pas chez moi, je ne suis pas censé être dans cet appart. Si quelqu’un vient c’est à coup sûr pour Virginie ! Peut-être est-ce urgent et que la personne n’est pas au courant que Virginie est partie aux States.
Je prends mon courage à 2 mains, et au 2ème coup de sonnette je vais ouvrir.
J’entrebâille la porte, puis je l’ouvre entièrement puis. Je prends le zip de ma robe entre mon pouce et mon index et le fait descendre d’en haut jusqu’en bas, fait glisser cette dernière sur mes épaules, pour enfin me retrouver nue
Pour me retrouver nue, devant un homme. Me retrouver nue devant l’homme qui m’a ramené chez Virginie, l’homme qui a voulu voir mes seins
Je n’ai pas hésité une seconde, j’en avait trop envie. Je suis nue devant lui, je brûle d’envie.
Il pose ses mains sur ma taille, me fait reculer dans l’appartement. Puis il referme la porte avec son pied.
Il enlève les mains de mon corps, s’allonge sur le lit et me dit :
— Tu vois que tu es une petite pute ! Marche dans la pièce, que je vois ton corps nue déambuler devant moi !
Je me mets alors à marcher langoureusement, en me déhanchant au possible. Le salaud est en train de se venger. Il sait que j’ai une envie folle de lui. Il se souvient que j’ai refusé de lui montrer mes seins et il constate que là, c’est moi qui lui livre mon corps nu. Alors il me regarde marcher, allongé sur le dos, les mains derrière la tête. Je me sens soumise, je ferais tout ce qu’il veut, je le sais et il le sait. Il doit se dire que ça valait la peine d’attendre car il voit beaucoup plus que mes seins, et qu’en plus il ne me force pas, je me donne, je m’offre.
Je suis de plus en plus excitée de sentir les yeux de cet homme sur mon corps. J’ai l’impression que son regard me caresse, que ses yeux me violent. Je mouille de partout, je commence à tituber de plaisir. Tout en continuant à marcher, je pose mes mains sur mes seins et je me mets à les caresser fortement. Je lui offre un merveilleux spectacle, beaucoup plus que celui qu’il aurait imaginé, beaucoup plus beau que celui qu’il voulait.
Je me mets à gémir à cause de mes caresses, mais surtout à cause de son regard qui semble pénétrer dans mon ventre et me baiser.
Il me dit :
— Allez ! Viens me sucer !
Tout en gardant sa main sur mes seins, je me retourne vers lui. Il est nu, complètement nu, il n’est pas beau, il a du lard qui pend de sa taille, la « bouée » comme on dit. Il n’est pas beau, mais il m’excite. Il m’excite, moi le petit canon de même pas 19 ans, belle, bien faîte de partout.
Je me dirige vers lui. Mon excitation n’a pas baissé d’un pouce après l’avoir vu nu, au contraire, elle s’est accrue. Elle s’est accrue d’une manière incroyable.
Je monte à genoux sur le lit, j’avance entre ses jambes. Ma tête est juste au dessus de son sexe tout à fait banal. Je l’ai fait bander le coquin. Son manche est bien raide. Son gland s’est bien extirpé de la peau qui le recouvrait. Mes lèvres sont 5cm de son gland, puis 3, puis 1. Je n’ai plus qu’à sortir la langue pour qu’enfin je le touche.
Le gland frémit, mon échine aussi. Je donne un petit coup de langue sur le gland, l’homme a un sursaut de plaisir. Puis la bouche à demi ouverte, je m’amuse à les faire glisser sur toute la longueur de son manche, en serrant mes lèvres furtivement comme si je l’embrassais.
Le sexe de l’homme se met à battre la mesure. Il est excité au possible. Je l’entends gémir :
— Huummm ! salope !
Ce mot me fait frémir. Plus je sens son sexe tremblé, et plus j’ai envie de l’exciter. J’arrête de faire des papouilles avec mes lèvres, car je sens qu’il va exploser d’un moment à l’autre. Je pose donc mes lèvres sur son gland turgescent, doucement je les ouvre et le manche glisse lentement dans ma bouche. Il pousse un cri rauque. Alors lentement, en faisant tourner ma langue autour du manche, ma bouche tête monte et descend, gobant le sexe entièrement puis le laissant ressortir jusqu’au gland, sans que celui ne s’échappe de mes lèvres. Je continue de le sucer de plus en plus tendrement. L’homme gémit :
— Huummm ! Salope ! tu vas me faire gicler !
Ces mots ne font que m’encourager et j’ai envie qu’il explose, j’ai envie qu’il jouisse dans ma bouche. De toute façon je suis allé trop loin, même si j’arrête de le pomper pour qu’il me prenne, il jouirait en 2 secondes, alors je préfère qu’il jouisse dans ma bouche.
Je mets tout mon art dans cette pipe fantastique. L’homme pousse des cris de plus en plus rauques, continue de me traiter de « salope » et autres. Je ne veux pas qu’il explose encore, alors je sors le sexe de ma bouche. Il soupire presque de soulagement. Sans doute veut-il lui aussi que ça dure plus longtemps. Avec ma main droite j’effleure le manche de haut en bas. L’homme gémit un peu plus. Puis j’effleure la base de son gland, juste à l’endroit ou il forme un V. Le sexe se met à battre la mesure encore plus fort. J’arrête ces douceurs car je viens de toucher un point hyper sensible. Je plonge ma tête entre ses cuisses, et me met à lécher ses testicules. Je les prends dans ma bouche et fait rouler les boules l’une contre l’autre. Il est à 2 doigts de jouir. Il n’est même plus capable de m’insulter. Il ne fait que grogner de plaisir, comme une bête en rut. De le voir comme ça, soumis au plaisir que je lui donne, me rend dingue moi aussi, et je ne peux plus désormais attendre. Je ne peux plus faire durer le plaisir. J’ai envie d’avoir sa sève dans ma bouche, j’ai envie de sentir ses giclées brûlantes au fond de ma gorge.
Alors j’arrête de lui manger les couilles et tout en effleurant la longueur de son manche, ma bouche remonte sur le gland. J’ai envie qu’il jouisse, j’ai envie qu’il explose dans ma bouche. Alors, diaboliquement, je donne 2 petits coups de langue sur le point sensible que j’ai découvert tout à l’heure, à la base du gland. L’homme crie un :
— Saaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaloooooooooooooooooooooooooooooooopeeeeeeeeeeeee !
Et là je prends le sexe dans ma bouche. Je reçois des giclées brûlantes dans la gorge. Ma bouche monte et descend le long du manche, remplie de sperme. Je le garde dans la bouche comme pour mieux le déguster. Je continue de pomper le vieux avec une infinie tendresse.
Puis, lorsque plus une goutte de sperme ne coule de son gland et que je sens que la douleur de l’après jouissance arrive, je retire la bouche de son manche, je me redresse, il me regarde, et là, j’avale le sperme qu’il m’a donné, pour bien lui montrer que je ne l’ai pas craché.
En avalant, j’ai fermé les yeux, car le plaisir de sentir ce liquide couler dans ma trachée est des plus intenses.
Il ne peut plus me baiser bien sûr. Il lui faudrait un peu de temps pour ça, pour récupérer. Je m’allonge à côté de lui, heureuse de lui avoir donné autant de plaisir et d’en avoir eu aussi.
Je me love contre lui. Nous ne disons pas un mot. Je suis heureuse, fatiguée, épuisée. je m’endors.
Pendant mon sommeil j’entends une voix me dire :
— Fais-moi une pipe !
J’ouvre les yeux et je vois mon homme assis en tailleur sur le lit, adossé au mur.
Les yeux plein de sommeil, je lui souris et avance à 4 pattes sur le lit. Mon visage est une nouvelle fois entre ses cuisses. Je suis bien décidée cette fois de ne pas y aller trop fort, car je veux qu’il me baise. Jamais je ne me suis réveillée aussi excitée que ça. Dès que j’ai entendu sa voix, dès que j’ai vu son sexe déjà dressé entre ses cuisses ouvertes, une chaleur folle a envahie mon minou.
Je prend son sexe dans ma bouche sans hésiter, et sans faire d’extras qui le feraient jouir trop vite, je fais aller et venir mes lèvres le long de son manche en l’entourant avec ma langue (Ca je ne peux pas m’en empêcher).
L’homme accompagne mes mouvements par de légers coups de reins qui font que son gland cogne au plus profond de ma gorge. Je trouve ça hyper humiliant. J’ai l’impression qu’il baise ma bouche comme si c’était ma chatte et je suis dans un état d’excitation incroyable.
Tout à coup, je sens 2 mains ouvrir mes fesses, 2 mains dont j’ignore la provenance. N’importe qui à ma place aurait sursauté de surprise, mais moi plutôt que de me débattre, je me cambre au maximum.
Un gland se colle à ma vulve, pénètre en moi et se met à aller et venir lentement dans ma chatte. Je pousse des petits cris étouffés par la bite de mon homme. L’invité surprise a posé ses mains sur mes hanches et me donne des coups de boutoirs de plus en plus rapides. Je ne sais pas qui c’est et je m’en fous. Tout ce que je sais c’est que ce doit être un ami à mon homme et qu’il a du l’appeler pendant que je dormais.
L’invité va et vient de plus en plus profond, et je suce la queue de mon homme avec de plus en plus d’insistance pendant qu’il continue de donner des petits coups de reins dans ma bouche.
Mon corps frémis de plus en plus. Des frissons parcourent mon échine, je suis brûlante de partout, j’a envie de jouir.
L’invité le sent bien et sort de mon ventre. Je me mets sucer mon homme de plus belle. L’invité me fait basculer sur le côté. Je couché sur le côté avec le sexe de mon homme dans la bouche qui continue d’aller et venir. Car maintenant, ce n’est plus ma tête qui bouge, mais bel et bien le sexe de mon homme qui baise ma bouche et ça me rend folle.
Je sens alors une main à l’intérieur de ma cuisse gauche. Cette main soulève ma cuisse pour que je sois bien ouverte. Le gland de l’invité se recolle à ma vulve et pénètre une nouvelle fois dans ma chatte bouillante. Il me baise comme ça, couchée sur le côté et la cuisse gauche relevée.
Je gémis comme une dingue. Le sexe va profondément dans mon ventre, pendant que celui de mon homme baise ma bouche de plus en plus fort.
L’invité donne un puissant coup de rein et la je craque, je ne peux pas résister, je jouis, je jouis comme une dingue. La jouissance est tellement intense que je ne peux plus garder le sexe de mon homme dans ma bouche et je hurle :
— Ouuuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
L’invité me bouscule pour que je m’allonge sur le dos. J’ouvre les yeux et je vois leurs sexes au dessus de mon corps nu. Ils sont à genoux et je ne peux voir que ça, leurs sexes. Je ne vois pas leur visage, juste leurs sexes. Et ces sexes, chacun le tien dans sa main droite et le branle vigoureusement. Un des hommes monte à califourchon sur mon buste. Son sexe est entre mes gros seins. Il prend mes seins, les serrent très fort contre son manche, et tout en massant vigoureusement mes seins, il donne des coups de reins pour faire aller et venir son sexe entre mes seins. Il baise ma poitrine. Son gland s’approche tout près de mon visage jusqu’à en toucher mes lèvres.
C’est merveilleusement humiliant, dans ma tête cours l’idée que je suis vraiment une sacrée salope !
L’homme baise mes seins de plus en plus vite. Je reçois une giclée de sperme sur le visage, j’ouvre la bouche pour attraper le reste au passage. Ca entre dans ma bouche, coule au fond de ma gorge, j’avale au fur et à mesure. c’est merveilleux.
L’homme s’écarte de moi et l’autre prend sa place. A son tour il fait aller et venir son sexe entre mes seins qu’il presse bien fort autour de son manche. Lui, ne se contente pas de me baiser les seins. Avec ses pouces et ses index, il pince mes 2 tétons. Il les tord dans tous les sens, il tire dessus comme pour les arracher. Ca me rend dingue, il va me faire jouir juste en me martyrisant les seins, jamais je n’ai vécu ça.
Il martyrise mes tétons de plus en plus fort au rythme de ses allées et venues de son manche entre mes seins. J’ouvre la bouche en grand car je sais que ça va jaillir d’un moment à l’autre.
Ca ne manque pas, je reçois un jet de sperme au plus profond de ma gorge et je jouis en avalant tout ce qui sort de son sexe.
J’ai jouis grâce à ces merveilleux attouchements sur mes seins. C’est incroyable.
J’ouvre les yeux et je découvre alors le visage de mon invité surprise. Il doit avoir autour des 50 ans et encore moins beau que mon homme. Il est même franchement laid, bedonnant, la peau flétrit et les poils de la poitrine grisâtres. Il s’allonge à côté de moi, et malgré sa laideur, je lui souris et lui roule la plus belle pelle de ma vie en gémissant dans sa bouche.
Mon homme s’est allongé lui aussi à côté de moi. Je me love contre ses 2 hommes en tournant ma tête tantôt vers l’un tantôt vers l’autre pour les embrasser goulument. Qu’importe la beauté ! Ils m’ont donné tellement de plaisir, et ils continuent de m’en donner, car tout en m’embrassant, leurs mains caressent mes seins, mon ventre. J’écarte les cuisses pour laisser libre accès a leurs doigts qui se faufilent dans ma chatte ouverte et vont et viennent au plus profond de moi. Je suis toute gémissante. Je me tortille dans tous les sens en gémissant pour mieux sentir leurs doigts en moi. Je crois qu’ils ont tous les deux des doigts dans ma chatte et ça me rend encore plus dingue. Je suis à 2 doigts de jouir une nouvelle fois. Ils le savent et arrêtent de toucher mes points sensibles.
Mon homme dit :
— Au fait ! Moi c’est Gérard et mon copain c’est Robert ! et Toi !
Je souris var il est vrai que nous nous ne sommes même pas présenté. Et un frisson parcourt mon échine. Je viens de m’offrir à 2 hommes dont je ne connaissais même pas les prénoms, ça ma fait un drôle d’effet, un effet vraiment étrange et excitant
— Moi je m’appelle Katia !
L’invité surprise me dit :
— Si tu nous préparais un petit déjeuner pour que nous reprenions des forces !
Reprendre des forces. Ca veut tout dire. Nos ébats ne sont donc pas terminés. J’en suis très heureuse. Je lui souris, me lève, impudique. Ce qui fait dire à l’invité :
— Putain ! quel canon !
Je suis fière de ces paroles et marche en remuant bien des hanches pour montrer que je suis une petite salope. Je suis folle, je ne me rends pas compte que je fais n’importe quoi avec mon corps. J’ai trompé Jacques une fois de plus et je m’en fous ! Virginie a raison ! Je suis trop jeune pour me caser ! Il faut que je profite de la vie, et c’est ce que je suis en train de faire.
J’espère qu’une chose, c’est Virginie ait laissé quelque chose à manger dans sa cuisine, et que je ne vais pas avoir trop de mal à trouver ce qu’il fait, car je suis quand même censé être chez moi.
J’ouvre le frigo et trouve des oufs, parfait. Je fouille dans les placards et trouve sans trop de mal une poêle. Je trouve également du pain, du café et tout ce qu’il faut pour faire un bon petit déjeuner pour reprendre des forces.
J’entends la radio dans la pièce à côté. Les 2 hommes doivent écouter les infos.
Je suis en train de préparer le café, quand le son de la radio se fait plus présent, puis s’atténue à nouveau. Je comprends alors que l’un des hommes est dans la cuisine. Je souris sans regarder car je sens qu’il va me faire des choses.
Je sens 2 mains passer sous mes aisselles et se poser sur mes seins. Les mains commencent à doucement masser ma poitrine. Je ferme les yeux. J’aime autant vous dire que j’arrête de poursuivre la confection du petit déjeuner, le plaisir m’empêche de continuer, ou plutôt je préfère me concentrer sur celui-ci.
Je gémis comme une petite chienne sous ses caresses. Robert ou Gérard me fait faire demi-tour et m’accompagne dans ce déplacement, ce qui fait qu’il est toujours derrière moi et que je ne sais toujours pas lequel des deux c’est.
Ses mains continuent de masser mes seins. Ca me rend dingue qu’on me touche les seins comme ça. Puis une main abandonne mes seins pour glisser le long de mon buste, attraper ma cuisse gauche, la relever pour ouvrir ma chatte.
Je sens son gland se coller à ma vulve et d’un coup de rein le sexe pénètre dans mon ventre. Je pousse un long gémissement. Le coquin est en train de me baiser debout, jamais ça ne m’était arrivé. Je me cambre au maximum et passe mes mains derrière le cou de Robert ou Gérard (je ne sais toujours pas) et le sexe se met à aller et venir en moi avec beaucoup de facilité. Je ferme les yeux et gémis de plaisir. Ces 2 là me font prendre un pied merveilleux, ils sont aussi imaginatifs et expérimentés l’un que l’autre.
Robert ou Gérard masse mes seins tout me baisant et joue avec mes tétons ce qui a pour effet d’accroître mon plaisir.
Je suis nirvana quand j’entends de nouveau la radio se faire plus présente, pour s’atténuer à nouveau. Je vais les avoir encore une fois tous les deux pour moi. Je n’aurais plus à me poser la question de savoir qui me touche et me baise, puisqu’ils sont désormais là tous les deux.
Mais j’ai envie de savoir qui me baise actuellement, qui est arrivé le premier dans la cuisine pendant que je préparais le petit déjeuner, alors j’ouvre les yeux.
J’ouvre les yeux et je vois un homme nu, complètement nu, un homme que je ne connais pas, que je n’ai jamais vu de ma vie.
Cet homme s’avance doucement vers moi et Robert ou Gérard. En le voyant s’approcher je gémis encore plus fort. Non, je ne me refuserais pas à lui. J’ai envie que lui aussi me baise bien qu’il soit aussi vieux et laid que les 2 autres. J’ai le temps de le découvrir sous toutes ses coutures pendant sa longue approche. Il est bedonnant, son ventre fait des plis qui descendent jusqu’à son pubis, il a des jambes toutes fines et son buste semble difformes à côté. Il est encore plus vieux que les 2 autres. Il doit avoir 60 ans, peut être plus, et moi, le petit canon de 19 ans, je vais me donner à lui avec le plus grand des plaisirs.
Il se colle à moi et frotte sa panse contre mon ventre. Ca décuple mon plaisir. La laideur de cet homme m’excite de plus belle. Je lâche alors le cou de Gérard ou Robert, passe mes bras autour du nouvel arrivant, colle ma bouche contre la sienne et lui roule une longue pelle.
Celui qui me baise debout donne des coups de reins puissants en disant :
— Putain ! c’est une vraie salope !
Et là, je me cambre de plus belle, embrasse de plus belle le vieux en poussant des petits cris de plaisir.
Je n’ai plus à me poser la question qui de Robert ou de Gérard est en train de me baiser. Ce n’est plus la peine, car la voix que je viens d’entendre ne sort pas de la bouche ni de Robert, ni de Gérard. Robert et Gérard ne roule par les « r ». Elle appartient à un autre homme, à un autre homme que je ne connais pas, un 4ème homme.
Sans le savoir, j’étais et je suis toujours en train de me faire enfiler par un inconnu. Je ne sais même pas comment il est, mais je l’imagine aussi laid et vieux que les 3 autres.
Après avoir dit ça ! Il sort de mon ventre. Il met chaque main sous chacune de mes cuisses et me soulève en les écartant. Je suis portée, par cet homme et offerte au vieux bedonnant qui n’a plus qu’a plonger son sexe en moi.
Je sens qu’il prend sa bite dans sa main, qu’il la guide vers ma chatte. Le gland se colle à ma vulve et le manche pénètre en moi. Je pousse un long gémissement. Le vieux se met à aller et venir dans ma chatte. Son ventre s’écrase contre le mien. Je remets mes bras autour du cou de celui qui est derrière moi.
Le vieux porc prend alors mes cuisses dans ses bras et ses mains prennent mes reins. Je suis ouverte et emprisonnée. Celui qui est derrière a désormais les mains libres. Je colle mon dos à son buste et il prend mes seins à pleines mains, avec une vulgarité jouissive. Pendant que le vieux profite de mon intimité a coup de boutoir, lui martyrise mes seins, les masse, les agrippe. Je frissonne sans cesse, la jouissance monte de plus en plus, je pousse des petits cris, des gémissements de chiennes. Le vieux continue de me percuter, je boue, mes tétons n’ont jamais été aussi longs, mes seins jamais aussi dur, ma chatte jamais aussi brûlante ni aussi mouillée. Je suis alors secouée par des spasmes et je pousse une nouvelle fois un long :
— oooooooooooooohh ! ouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuui !!!
Je viens de jouir une nouvelle fois.
Le vieux sort de moi, sans lâcher mes cuisses. Il dit à l’autre :
— Fourre-lui ta queue dans la chatte en la tenant par les cuisses.
Celui de derrière s’exécute et son manche entre dans mon minou.
Le vieux lui dit :
— Reprends ses cuisses maintenant !
L’autre obéit à nouveau et je me retrouve toujours les jambes repliées avec cet homme debout, dans ma chatte. Je n’ai pas enlevée les bras de son cou si bien qu’encore une fois, mes seins sont offerts à qui les voudras.
Le plus terrible c’est que le vieux ouvre la porte menant au salon, et la tient ouverte.
Je comprends alors que l’on va m’emmener comme ça, empaler sur cet homme, dans le salon ou Robert et Gérard doivent attendre.
L’homme marche avec tout de même un peu de difficulté.
Quand nous entrons dans le salon, je suis rouge de honte. La situation est humiliante au possible. Je me rends compte que les 4 hommes me prennent pour une traînée, pour un objet sexuel. Et le pire de tout, c’est que j’aime ça. J’aime être empalée sur cet homme debout, sous le regard des 3 hommes qui rigolent à gorge déployée.
L’homme me repose et sort de ma chatte. Je suis excitée de manière incroyable.
Gérard me dit :
— A toi de choisir ! Mets dans la position dans laquelle tu veux qu’on te défonce !
Humiliation totale. C’est moi qui vais choisir. Gérard sait que j’ai encore envie d’être baisée par les 4. Il donne l’impression de me faire une faveur en me baisant et. et il a raison.
Je ne veux qu’une chose c’est d’être prise encore par ces 4 hommes. Ils me font trop bien jouir.
Alors, rouge de honte et soumise, je me mets à 4 pattes devant eux qui m’entourent et me cambre au maximum pour m’offrir de plus belle.
Je vois le vieux porc qui s’approche de moi, jusqu’à ce que sa queue soit sur mes lèvres. Je devrais ouvrir la bouche pour gober le manche, mais je ne sais pas pourquoi, sans doute pour m’humilier un peu plus moi-même, j’attends qu’il me le demande. j’attends les ordres comme une petite chienne obéissante.
Le vieux dit :
— Moi c’est Louis ! Dis bonjour à Louis !
Et là j’ouvre la bouche et gobe la queue de Louis. Je sais que l’expression « dis bonjour » signifie « prend ma queue dans ta bouche ».
Je commence alors à le sucer lentement sous les éclats de rire des 4 hommes.
Louis se retire de ma bouche, et c’est bien sûr le 4ème qui approche de la même façon. Le 4ème, c’est la première fois que je le vois. Il est moins veux que les 3 autres, et il n’est pas mal du tout. Etrangement, je suis un peu déçue, car c’est la laideur et l’âge avancé des 3 autres qui m’excitent au premier plan.
Déçue, mais ça ne m’empêche pas de prendre sa queue goulument dans sa bouche lorsqu’il me dit qu’il s’appelle Philippe et qu’il me demande de lui dire « Bonjour ».
Louis dit :
— Putain ! regardez- moi ces nibards qui pendent ! On en boufferait ! Elle fait vraiment bander cette pute !
Pute ! Et oui ! Hier soir j’ai dit à Gérard que je n’étais pas une pute en faisant la fille outrée et aujourd’hui je me comporte comme telle et même pire que ça, car une prostituée n’aurait jamais acceptée de faire ça sans se faire payer une fortune, et n’y aurait pas pris son pied.
Moi on ne me donnera pas d’argent, j’aime ce qu’ils me font et j’en redemande !
Louis à l’idée la plus dingue et surtout la plus humiliante qu’il soit. Ce n’est plus l’humiliation totale, c’est le comble de l’humiliation, de la honte et lorsqu’il a fait part de cette idée, si a ce moment là on avait juste un petit peu effleurer ne serait que le bout d’un de mes tétons, j’aurais exploser d’une violente jouissance.
Louis :
— On va tirer au sort !
Je suis un jeu ! Un jouet ! Un objet ! La prime du tirage au sort !
Il ne s’agira pas de gagner de l’argent ou autre lot, mais de me baiser comme une chienne.
Je ne vois pas ce qu’il se prépare, mais je comprends vite. Au bout de 2 minutes, j’ai une petite corbeille devant le visage, avec 4 bouts de papiers pliés. Nous touchons l’extrême. C’est innommable, ce qu’ils me font. Immonde ce que je fais. Je plonge ma tête dans la corbeille, prend un bout de papier avec mes dents. Une main la prend de ma bouche, je viens de choisir celui qui va me baiser en premier. Comment en est on arrivé là ! Comment Gérard qui avait si gentil hier soir peut il être devenu comme ça ! Jamais je n’aurais cru qu’il puisse m’apporter autant de plaisir. Jamais je n’aurais cru qu’il ait cette idée aussi géniale de m’emmener d’autres hommes.
Louis s’exclame :
— C’est Moi !
Je ne sais pas pourquoi, mais mon corps frissonne et boue encore plus. J’avais envie que ce soit lui. J’ai envie que ce soit le plus horrible qui me fasse jouir en premier.
Je sens alors ses mains sur mes fesses, je me cambre encore plus en écartant les cuisses davantage.
— Putain ! Elle a un cul d’enfer cette salope !
Nouveau frisson de plaisir. J’ai l’impression que c’est l’humiliation qui me donne ce plaisir extrême plutôt que l’acte lui même.
Louis s’enfonce en moi sans même prendre soin de viser en collant son gland sur ma vulve. Je suis tellement ouverte, tellement mouillée que ça glisse tout seul en moi.
Je regarde devant moi pendant qu’il me saute comme un porc et je vois les 3 autres assis dans le canapé qui regardent le spectacle en se branlant pour entretenir la bandaison. Le spectacle est hallucinant, les coups de boutoirs merveilleux, violents, humiliants. Oui, c’est étrange, mais de la manière qu’il me baise je ressens une profonde humiliation, peut être parce que ses amis le regardent profiter de mon corps, ou plutôt jouer avec mon corps.
Ca ne dure pas 2 minutes et encore. L’humiliation est trop forte, le plaisir est trop fort, j’explose de jouissance et Louis me suit de près lorsque j’ai bougé des reins pour mieux sentir son sexe me faire jouir. Sa sève brulante explose au fond de mon ventre, et chose qui ne m’était jamais arrivé, je jouis une seconde fois en criant mon plaisir. Ce vieux porc vient de me faire jouir 2 fois en l’espace de quelques secondes.
Je transpire de partout, ma chatte est pleine de la sève du gros porc et je la sens dégouliner le long de mes cuisses.
Louis sort de moi en disant :
— Putain ! Quelle pute cette gonzesse ! Elle a la chatte tellement ouverte qu’on nage dedans ! En plus ça brûle là-dedans ! Jamais vu ça ! C’est le pied comme on dit maintenant !
La corbeille revient devant mon visage. Sans hésiter, je plonge ma tête une nouvelle fois dedans. Je me suis vraiment prise à leur jeu et attends moi aussi le verdict avec impatience.
Là par contre je ne saurais pas qui c’est. Je sais juste que ce n’est pas Louis pour 2 raisons. La première, pendant que son tour vient de passer, la seconde c’est parce que c’est lui qui dit :
— A toi !
Je ne sais pas qui c’est car, Gérard, Robert et Philippe qui étaient sur le canapé en face de moi se sont lever pour assister au tirage au sort, sans doute pour contrôler si tout se passait dans les règles, et ont disparus derrière moi, sans doute pour assister au spectacle d’un autre endroit.
C’est étrange, mais bien que je sache qu’ils vont tous me passer dessus, le fait de ne pas savoir qui va me baiser maintenant, rend mon excitation encore plus forte.
Comme je me cambre au maximum et écarte les cuisses en grand, Louis me dit :
— Attends ! Il est allé pisser !
Je viens de m’humilier encore plus moi même. Je me tenue prête à le recevoir alors qu’il n’était même pas derrière moi.
J’entends la chasse d’eau, puis une porte s’ouvrir et se refermer.
Je me cambre et écarte mes cuisses à nouveau. Louis dit :
— Regarde là cette pute ! Celle là elle aime la queue !
Il a dit ça d’un ton presque dégoûté et ca me rend encore plus folle. Et pour bien lui montrer qu’il a raison, je plie mes bras, colle mes seins sur le sol. J’ai les fesses bien offertes, les cuisses bien écartées, le dos plus que cambré. Aussitôt, je reçois un merveilleux coup de bite. Robert ou Philippe ou Gérard se met à me baiser comme un dingue. Il va et vient très fort dans ma chatte, à grands coups de boutoirs, avec une violence folle. Je jouis comme une dingue sans sentir la jouissance monter. L’homme continue, plus vite, plus loin, plus fort encore. J’entends des encouragements. Ca crie de partout si bien que je n’arrive pas à distinguer les voix :
— Vas-y défonce lui chatte! Plus vite, allez ! Allez !
Puis :
— Allez Robert ! Allez Robert ! Allez Robert !
Comme un public qui encourage son équipe.
Je sais enfin qui sait, et rien que le fait de le savoir, me fait jouir aussi fort que la première fois, sans encore une fois sentir la jouissance monter.
Je suis en nage, ma chatte est souillée, je suis ouverte au maximum, je pousse des cris de truie, je me tortille dans tous les sens, je frotte mes seins sur le sol en ondulant des reins en même temps, et ça continue :
— Allez Robert ! Allez Robert ! Allez Robert !
Et Robert gicle au fond de ma chatte m’arrachant une nouvelle jouissance. 3 fois, Robert m’aura fait jouir 3 fois.
Je suis épuisée, je n’ai peux plus, pourtant ce n’est pas fini.
Nouveau tirage au sort.
Louis :
— Allez Philippe ! Ne nous déçoit pas !
Je me cambre une nouvelle fois en gardant cette position humiliante.
Philippe s’enfonce en moi. C’est bizarre, mais lui me baise lentement. J’aime beaucoup ça, mais je sais que si il me baise de cette façon c’est parce qu’il sait qu’il va larguer sa purée très vite.
Alors moi j’ai besoin de plus de puissance, de violence, d’humiliation. Là je ne baise pas, je fais l’amour, et ce n’est pas ça dont j’ai envie, dont j’ai besoin. J’ai besoin d’une queue qui me démonte la chatte. Je donne alors 2 ou 3 coups de reins et aussitôt la sève de Philippe explose dans mon ventre. Ca me fais jouir, mais beaucoup moins qu’avec Louis et Robert. Merde ! Il faut que ce soit celui que n’est pas mal physiquement qui me donne le moins de plaisir.
L’assistance semble déçue. Je sens déjà les mains de Gérard sur mes fesses. Il s’enfonce facilement en moi et se met à me prendre sans attendre. Je ne sens plus ses mains sur moi, pourtant je sens bien sa queue qui me démonte littéralement la chatte. Je sens sa queue aller dans tous les sens en moi. C’est terriblement bon, c’est phénoménal.
J’entends :
— Olé ! Olé ! Toro Toro !
Je comprends alors que Gérard me baise en prenant des poses d’un cow-boy faisant du rodé. Tous les hommes rigolent et continuent :
— Olé ! Olé ! Toro Toro !
Gérard prend alors mes cheveux d’une main et les tire comme si il prenait les rênes d’un cheval. Je pousse des cris de jouissance, de jouissance terrible. Cette humiliation, la façon dont il me baise, la profondeur de ses coups de boutoirs, c’en est trop, je jouis. Il continue en tordant encore plus les hanches, les encouragements se font plus humiliants et je jouis une nouvelle fois quelques secondes après.
Et Gérard continue, c’est de plus en plus violent de plus en plus rapide, de plus en plus fou, de plus en plus jouissif, des frissons parcourent mon corps sans cesse, un spasme, 2 spasmes et je jouis pour la 3ème fois.
C’est pas possible, ça n’arrête pas et je n’ai pas envie que ça s’arrête, c’est toujours plus violent, toujours plus rapide. toujours plus profond. Les encouragements s’amplifie mais ce n’est plus « Olé » que j’entends mais :
— Défonce la cette pute ! Transperce là : Fous-lui-en plein la chatte ! Bourre-la à fond !
Les spasmes reviennent aussitôt, ça n’arrête pas, je gémis, je crie à en réveiller tour l’immeuble et Gérard stimulé par les encouragements me démonte encore plus fort en tirant mes cheveux en continuant de faire son rodéo. Je n’en peux plus et je jouis pour la 4ème fois. Gérard est inépuisable. Il ne me laisse même pas récupérer mon souffle après chaque jouissance, il continue dans son rythme effréné me faisant crier toujours plus fort, me faisant jouir une 5ème fois. Il co