Je passe une partie de mes vacances d’été dans un petit coin sympa du sud ouest de la France, une maison avec un petit jardin parfait pour me reposer et parfaire mon bronzage.
Je sors une chaise longue en début d’après-midi et me place en plein axe du soleil.
Je retourne me munir d’un maillot de bain soft, pour moi bien sûr, chercher crème solaire, lunettes, chapeau, magazine pour passer un bon moment. Lorsque je me rends compte consciencieusement que l’on peut me voir.
En effet, il y a peu de vis à vis et à certains endroits, mes voisins de gauche peuvent m’apercevoir.
Mais je ne sais pas vraiment qui habite, j’ai déjà croisé un couple assez âgé et une fois aperçu un homme d’une trentaine d’années, bref peu importe je fais le lézard.
Jusquau moment ou j’’entends des bruits et perçois du mouvement, je me dis que je suis certainement regardée, la situation commence à mexciter. Grâce à mes lunettes de soleil, jobserve un volet qui bouge légèrement, jen suis sûr, on me matte.
Moi toute seule en 2 pièces sur me chaise longue, je me place sur le ventre, mon maillot rentre un peu dans mes fesses, je n’ose pas le replacer et puis tant pis ça fait plus salope, la salope telle que je suis, mon désir de sexe samplifie, je me contracte, jimagine quun homme me regarde, peut être une femme qui sait.
Je minterroge sur mon haut, dailleurs pourquoi jen ai mis un et puis si je lenlève cela rendrait la situation plus excitante, je me retourne et lenlève, me voilà les seins à lair, bougeant à chaque mouvement, mes tétons se durcissent. Une heure se passe je nobserve rien soit il est discret ou bien personne!! Ma chatte est trempée, je rentre me masturber
je recommence quasiment tous les jours à la même heure, mhabillant de plus en plus sexy jusquà mettre un string ficelle blanc, mouillée on peut voir ma chatte, je joue un jeu sexy et surtout que je sais quil y a bien quelquun, une voiture est garée devant leur porte, je me comporte tel une chienne sur ma chaise, nhésitant pas à me masser les seins et lentrejambe avec la crème, positionnant mon cul vers leur fenêtre, jécarte doucement les cuisses, la ficelle me rentre bien dans le cul, je le sens contre mon anus et serrant mes lèvres, je suis humide, je change maintes fois de position, je rentre, me doigte, ressors nue..
En fin de journée, ou au petit matin, jarrose les fleurs en petit bikini, me penchant bien pour pouvoir apprécier mes courbes, sil y a bien quelquun derrière, il doit se régaler.
Dès que je peux me le permettre, je me rentre un objet dans le cul, cela me fait un bien fou, en marchant avec.
Intrigué au bout dun certain temps de ce qui se passe et surtout de qui se trouve à côté, je décide dy aller habillée pour demander un sécateur, je toque, la porte souvre et là se trouve un homme dune soixantaine dannée, celui que javais déjà vu, et que jimaginais me matant, petit mais de bonne allure et assez joviale, son épouse était absente, il minvita à prendre le café et faire connaissance..
On discuta et je regardai par la fenêtre mais je ne voyais pas mon jardin mais de la fenêtre du haut il devait bien se rincer lil. Parti à la cuisine, il revint derrière moi me massant les épaules dénudées avec beaucoup de tact en me disant que cétait bon contre les coups de soleil, et cest vrai que fait du bien, je me laissai bien entendu faire, de toute manière il avait tout vu, il se montrait entreprenant et commençait à descendre plus bas, il examinait mon corps, enlevât le débardeur, sans un mot je ne parlais pas, le laissant faire, son contact me fît du bien, il me léchait les seins, jadore puis se fit au tour de ma jupe quil enlevât soigneusement, nue il était derrière moi, il me massait soigneusement, me malaxait le cul puis lécartait, il introduit son doigt dans ma chatte puis dans mon anus, à ma surprise il nétait pas étonné de voir mon trou large, il mavait bien mater, me pencha sur la table, il me pénétra pendant 15 minutes en alternant mon vagin et mon anus qui étaient aussi large lun que lautre, je pris un plaisir inouïe, je nettoyais sa large bite par une fellation.
On prit rendez vous les derniers jours pour quil me saute chez moi 2 fois par jour, jétais sa salope soumise à ses moindres fantasmes. Il mavoua que des salopes comme moi il nen avait pas vu beaucoup.