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Mon adorable épouse – Chapitre 1

Mon adorable épouse - Chapitre 1



Un début d’après-midi, je décidais d’aller faire une sieste. Je me couchais sur le lit complètement nu et je m’endormis. Je fus réveillé par un curieux désir, une sensation de bien-être venait du bas de mon corps, mon sexe était raide et quelque chose me frôlait. Je me relevais et je vis Chantal mon épouse uniquement vêtue d’un collant noir trou à l’entrejambe, agenouillée devant moi qui me passait une plume le long de ma queue décalottée. Quelle volupté d’être couché sur le lit, sans pudeur, offert aux mains expertes de ma femme. Je fis semblant de dormir et me laissais faire. Ah, comme il est bon de se faire branler par une main savante. Elle commença après avoir jeté la plume par me prendre les couilles, elle les malaxa longuement, pendant que l’autre main comme une gaine emprisonnait le gland. Puis par un mouvement de va-et-vient glissa le long de mon membre tendu à craquer, son autre main aussi se démenait tantôt emprisonnant mes couilles, tantôt jouant le long de mon cul, un doigt humide se glissa même dans le petit trou. Elle activa cette délicieuse masturbation, je sentais le foutre monter puis me serrant, me prenant toute, elle me fit décharger, mais pour en retarder l’effet elle posa un doigt sur le bout et elle laissa le sperme couler goutte à goutte. Je ne pus m’empêcher de gémir. Je restais là, anéanti et entrouvrant les yeux, je la vis pencher son visage vers le mien, ses lèvres se posèrent sur les miennes, pendant que les dernières gouttes tombaient sur mon ventre. Je la retournais et lui dis de mettre sa chatte sur ma bouche ce qu’elle fit sans se faire prier. Sur son con humide (elle avait mouillé pendant qu’elle branlait ma grosse queue). Ma langue s’enfonça, elle m’écrasait le visage de son cul. Mes mains ne restaient pas inactives. Je lui avais pris ses gros nichons qui bandaient tant qu’ils pouvaient. Ma langue allait et venait et de temps en temps s’enfonçait dans sa petite rosette, puis revenait et quand je la sentis prête à décharger, je glissais un doigt sur son bouton, ce qui eut pour don de la désarçonner, elle tomba sur le lit, les grosses cuisses habillées par le collant noir grandes ouvertes, ma langue ne la quitta pas. Mais j’étais à genoux maintenant, elle se mit à jouir en prononçant des mots sans suite.

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