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Mon amour de soeur – Chapitre 1

An Daofin Meur - Chapitre 6



J’ai vingt-huit ans, je m’appelle Stéphane, je suis ingénieur en bâtiment, je suis célibataire, j’ai une sur, qui est de quelques années ma cadette et s’appelle Claire, elle est avocate et travaille dans un grand cabinet d’avocats, elle est très douée (beaucoup plus que moi), ma sur et moi sommes amants, nous passons plusieurs fois par semaine la nuit ensemble.

Tout a commencé il y a plus d’un an, alors que nos parents avaient quitté la région parisienne, après la retraite de papa, pour vivre en Normandie où ils avaient une maison secondaire qui est devenue leur résidence principale.

Ma sur avait un petit copain et moi je vivais avec une femme.

Nous nous retrouvions tous les deux accompagnés de nos « amis », chez nos parents pour passer quelques jours de vacances.

J’avais quitté ma sur alors qu’elle était une grande ado et je retrouvais une jolie femme avec de belles formes.

Ma sur et moi nous ne nous sommes jamais bien entendu surtout à notre adolescence, surtout de ma mauvaise foi souvent par esprit de contradiction.

Malgré le fait du plaisir de se revoir (nous sommes presque voisins à Paris, elle habite le 15e et moi le 7e, nous ne nous voyons jamais), c’est plus fort que nous, nous nous envoyons quelques piques, ce qui agacent nos compagnons et reprennent le train pour rentrer à Paris, ils ne veulent pas passer ces quelques jours de vacances à entendre nos chamailleries.

Nous nous retrouvons seul ma sur et moi.

Nous voulons profiter de ces vacances, nous faisons quelques balades tous les deux comme quand nous étions petits et que nous nous entendions encore bien.

Nous avons parcouru pas mal de kilomètres dans la forêt, ma sur se sentant un peu fatiguée me demande de faire une petite pose avant de reprendre le chemin de retour.

Nous nous asseyons dans l’herbe pour souffler un peu tout en parlant de tout et de rien, je m’allonge dans l’herbe les mains derrière la tête, ma sur est assise à côté de moi pour bavarder sans trop se disputer.

Tous les jours, nous faisons la même promenade, nous demandons à nos parents de nous venir avec nous, mais ils préfèrent rester à la maison pour se reposer et être tranquilles pendant notre absence.

Un jour, alors que je suis allongé les mains derrière la tête, ma sur se penche sur moi et m’embrasse sur les lèvres, je suis surpris, je ne m’attendais pas à cette marque d’affection surtout que nous n’arrêtons pas de nous disputer.

Nous nous promenons tous les jours, plus pour attendre son baiser que pour les bienfaits de la marche, quoique ses baisers me fassent très envie, je ne réponds pas en gardant les lèvres serrées, c’est ma petite sur, je ne peux pas me conduire comme avec une autre femme.

De jour en jour, ma sur insiste en m’embrassant de baiser plus fort et se blottie contre moi, je résiste le plus possible, mais tant pis je cède en ouvrant la bouche, aussi tôt elle introduit sa langue à la recherche de la mienne.

Jusqu’à la fin de nos vacances nous flirtons mais n’allons jamais plus loin, nous faisons très attention à ce que nos parents ne s’aperçoivent de rien, nous nous embrassons quand nous ne sommes plus à la portée des regards.

Je ramène ma sur à Paris en voiture, elle est venue en train avec son copain.

Une fois à Paris je la laisse devant son adresse « Rue Lecourbe », après un long baiser en pensant que c’est le dernier, un flirt de vacances, je rejoins la rue Bixio ou j’habite.

Dans ma boite aux lettres je trouve dans une enveloppe les doubles de mes clés avec un petit mot de mon amie «Je rentre chez moi si vous n’êtes pas assez grand pour oublier vos querelles d’ado, il faut grandir ».

Effectivement, ayant visité toutes les armoires, je ne trouve plus les vêtements de mon amie, pourtant elle en a beaucoup.

Je téléphone à ma sur pour lui annoncer mon désarroi et elle me répond :

— Nous pourrons maintenant passer de bonnes soirées ensemble.

Au moins une fois par semaine, ma sur et moi nous faisons une soirée au restaurant ou au théâtre, les semaines passantes, nous nous voyons de plus en plus souvent.

Un soir, alors que je la raccompagne comme je le fais à chaque fois, elle m’embrasse et me dit :

— Ce soir, j’ai envie de passer la nuit avec toi et que tu me fasses l’amour.

Je ne sais quoi répondre, comme il y a longtemps que j’attends ce moment, je la suis jusqu’à son appartement sans dire un mot.

La porte refermée nous nous embrassons encore plus fort que d’habitude et sans attendre nous commençons à nous déshabiller mutuellement.

Je ne suis pas entièrement nu, seulement le pantalon et le slip baissés, ma sur se baisse pour prendre ma queue le plus loin possible dans sa bouche, elle me caresse les couilles en experte, ce doit être une technicienne du sexe, avant que je jouisse dans sa bouche alors que ma queue est bien raide et dure, ma sur me dit :

— Allons dans le lit nous serons mieux.

Je n’ai encore pas retiré son soutien-gorge et son slip que nous nous allongeons l’un contre l’autre dans le lit.

Je lui dégrafe son soutien-gorge pour lui caresser et embrasser sa belle poitrine, je passe ma main dans sa petite culotte avant de lui retirer, sa chatte est trempée et parfaitement épilée, cela est bien car j’ai horreur des poils.

Je lui retire sa petite culotte tout en embrassant son ventre et doucement j’écarte ses jambes pour pouvoir m’installer entre et lui faire une petite minette.

Elle écarte bien ses jambes pour me laisser de la place, ma langue lèche sa belle chatte, mais je comprends à la façon de remuer le bassin et soulever ses fesses, elle veut ma langue dans son petit trou.

J’aime mettre ma langue dans un petit cul, je regrette le départ de ma copine qui aimait donner le sien à ma langue et ma queue, ma sur a l’air d’aimer cela aussi.

Ma sur s’allonge sur moi pour pouvoir prendre ma bite dans sa bouche et garder ma langue dans sa chatte et dans son cul.

Elle avale ma queue tout entière, ses mains caressent mes fesses et son doigt pénètre mon petit trou et me dit :

— Toi aussi tu as l’air d’aimer cela et je suis sûre que tu as déjà pris plusieurs doigts dans ton petit trou.

Avant même que je puisse répondre, elle s’allonge sur moi, prenant ma bite dans sa main recouverte d’un préservatif, qu’elle a mis en me suçant sans même que je m’en aperçoive, pour le diriger vers sa chatte.

Nous aimons faire l’amour, ma sur me dit :

— Attends un peu, je vais dans la salle de bains.

Elle revient quelques minutes plus tard avec un tube de vaseline en disant :

— Tu vas me prendre par derrière, la première fois avec un peu de lubrifiant, pour les prochaines fois se sera sans rien, je veux connaitre la chaleur de ton foutre, par devant cela nous est interdit, heureusement que les préservatifs existent, je ne voudrais pas être enceinte de mon frère.

Il faut dire que depuis notre adolescence, nous sommes un peu amoureux l’un de l’autre, nos chamailleries n’étaient là que pour donner le change.

Régulièrement nous allons voir nos parents, ma mère prépare nos chambres d’ados, ne sachant pas notre relation.

Un week-end ma mère s’en aperçoit, malgré le fait que nous prenons beaucoup de précautions, nous attendons qu’ils dorment pour nous retrouver.

Elle a mis papa au courant et un matin au petit déjeuner, alors que nous étions tous les quatre, maman nous dit :

— Vous auriez dû nous dire que vous êtes ensemble, nous savons depuis toujours que vous étiez amoureux l’un de l’autre et je n’aurais préparé qu’une chambre, nous nous y attendions même un peu plus tôt.

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