Ce soir-là devait être ordinaire, du moins c’est ce que je pensais. J’ai une vingtaine d’années, je n’ai jamais connu de relation amoureuse, la seule expérience sexuelle que je connaisse se résume à la masturbation. Après une journée bien remplie, une soirée agréable et amusante avec mes amis, où on ne cessait de se raconter de conneries, je rentrais chez moi vers 23 h 00, étant tout de même un peu fatigué. Je me suis couché directement, mais je tournais dans mon lit, encore et encore.
Je me levais toutes les 20 minutes pour aller pisser, à force de boire faut bien évacuer tout ça. Je suis resté éveillé pendant 2 heures. Je regardais l’heure sans cesse et cela commençait à m’énerver. En vérité, je déteste quand cela arrive parce que c’est dans ces moments-là que je repense à ma vie et à quel point je la trouve misérable. Dans cette société, je suis toujours puceau, inexpérimenté question amour et je n’ai pas non plus un physique propre aux critères de beauté standard. Je suis amoureux d’une fille, rencontré à mon entrée à la fac, mais pour elle je ne suis qu’un ami. Je me sens pathétique à l’idée d’imaginer une relation avec elle.
Il était maintenant 1 h 30 du matin et me suis dit, qu’est-ce que ça va changer une demi-heure de plus, hein ?! Je déteste prendre des décisions passé 1 h 00 du matin, parce que je ne prends jamais la meilleure qui soit. Je me concentrais sur cette vielle légende du sommeil ; pour le trouver, il faut se branler. J’ai alors ouvert mon ordinateur et commence à rechercher une vidéo porno correspondant à mes préférences. J’ai mis 10 minutes à la trouver parmi des dizaines et des dizaines de vidéos. Il s’agissait d’une vidéo comme je les aime. Ni trop longue, ni trop courte, une vingtaine de minutes. Elle pose d’abord un contexte avant d’entamer la scène de sexe. L’actrice, je ne la connaissais pas. C’était la première fois que je la voyais et pourtant elle correspondait au genre de femmes devant lesquelles j’aime me branler. Elle était mince, cheveux longs, physique plus qu’agréable. Pour un porno, nul besoin de chercher plus loin. Ses vêtements laissaient entrevoir un corps aux formes généreuses devant lequel je me languissais et que j’avais également hâte de ne plus voir.
La vidéo est à 2 minutes et l’actrice commence à sucer la bite de son partenaire. Comme dans la majorité des pornos, la taille de son membre semble bien grosse et me fait complexer sur le mien, qui est tout de même au-dessus de la moyenne. Je commence à me déshabiller et à me caresser. L’actrice le suce et putain, je sens qu’elle aime ça. Elle empoigne la bite à pleine main et effectue les va-et-vient habituels, avec une telle vigueur que j’avais presque l’impression que c’est moi qui me faisais sucer. Son rythme varie, pour le bon plaisir de son partenaire. Encore habillée, l’homme, pendant qu’il se fait sucer, enlève le haut de sa partenaire puis son soutien-gorge. L’angle de la caméra montre la femme de dos et je ne parviens pas à distinguer sa poitrine, mais seulement son cul, qui est vraiment un cul à prendre. La fellation dure encore et encore et j’avance la vidéo, parce que voir une femme sucer, c’est excitant, mais se faire sucer ça l’est d’autant plus. Au moment où la bite sort enfin de l’orifice buccal de l’actrice, la merveilleuse poitrine se dessine sur mon écran. Elle a un bonnet C et talonne le bonnet D. Elle a droit un cunnilingus, mais je réitère mon geste au bout de quelques minutes et avance la vidéo parce que je préférai lécher moi-même sa belle petite chatte.
Au bout de 10 minutes, la pénétration arrive enfin et bordel, ça envoie dès le début. J’étais enfin satisfait car je ne faisais que me caresser gentiment mais là je peux enfin me faire une véritable branlette. Je me branle au rythme des va-et-vient. Plus le mec va vite, plus je vais vite. C’était très dur pour moi, car ça faisait 2 semaines que je n’avais rien fait, alors devant une vidéo aussi énergique, c’était difficile de ne pas juter. Notre actrice gueule vraiment comme jamais. Même s’il y a une part d’acting, on sent qu’elle prend tout de même du plaisir.
Après une première position en Andromaque, où la femme se faisait plaisir comme son bon vouloir, la position de la Levrette suivie et qu’est-ce que c’est bon de voir cette position. Je me suis toujours imaginé prendre une femme comme ça et pouvoir lui donner un maximum de plaisir, tout en la dominant. L’acteur lui enfonce sa bite bien profondément et enchaîne les coups de reins. Il n’hésite pas à lui donner quelques petites fessées, plaisir qui se faisait ressentir sur le visage de la femme. Cette position continue pendant quelques minutes jusqu’à ce que j’entende un petit, mais pas moins anodin : « Take my ass ! ».
Lorsque j’entends cette petite phrase, ça me remplit de joie. La sodomie est l’ultime phase de la dominance à mes yeux. Un de mes fantasmes est de sodomiser une femme qui prendrait du plaisir. L’homme retire alors son pénis de la chatte de sa partenaire, pour l’enfoncer lentement dans son cul. Tout d’abord, le rythme est lent, le temps que la lubrification se fasse et une fois que tout est en place, il s’accélère. La caméra alterne entre les angles en ¾, de profil et de face, pendant au moins 2 – 3 bonnes minutes. Durant ce temps, je ressens les gémissements intenses des deux acteurs. Notre actrice n’hésitait pas à donner de sa voix avec des : « Yeah ! Yeah ! Fuck me, fuck me harder !! », afin de guider son partenaire.
Au bout de 15 minutes, ils changent de position pour une classique Amazone ou la chatte de notre plantureuse blonde accueillait une nouvelle fois le membre de son partenaire. Les deux acteurs donnent de leur personne. L’homme donne de rapides coups de reins à sa partenaire qui semble, à la fois épuisée, mais en même temps remplie d’extases. Plus la vidéo avance plus la cadence accélère et il est de plus en plus difficile pour moi de ne pas jouir. Les deux acteurs sont de profil, par le biais de la caméra, et il est possible de ressentir la passion et l’ardeur engendrées par cette mise en scène.
Pendant un instant, notre actrice, assise sur le sexe de son partenaire, avait le dos courbé en arrière ainsi que la tête, signes qu’elle prenait un plaisir intense. Cela se fit ressentir par ce cri plus imposant que les autres : « Oh, Yeah ! Yeah ! Don’t Stop, Don’t stop, Yeah, YEEEEAAAAAHHHHH !!!!! », qui manifestait grandement sa jouissance. Quelques secondes plus tard, l’homme se relève, couche sa partenaire sur le dos, se place au-dessus d’elle, sa bite bien tendue près de sa bouche.
Il se branle avec une telle force que sa bite aurait pu prendre feu, et déverse son sperme, assez conséquent, partout sur le visage de sa partenaire. Les dernières gouttes atterrissent dans sa bouche et c’est à cet instant que, moi-même, je jouis. J’ai cette fâcheuse tendance à jouir en même temps que l’acteur qui souille sa partenaire. Voir une femme recouverte de sperme, malgré son côté réducteur, fait ressentir chez moi un plaisir que je n’arrive pas à expliquer. Notre blondinette lèche les goûtes autour de sa bouche et les avale goulûment. Elle s’essuie également le visage et lèche le sperme sur ses doigts. Bref, un porno dans toute sa splendeur.
Encore une fois, comme après chaque branlette, je me sentais coupable de ce que j’avais fait, mais bon, je ne pouvais pas revenir en arrière. Je me suis donc recouché, nonchalant, essayant de trouver le sommeil. Cependant, une pensée m’a traversé l’esprit. Que se passerait-il si, je décidais de parler de tout ça sur le Net ? Je m’inscrivais donc sur ces sites, proposant des forums de sexualité et exposais mes soucis, liés à cette partie de ma vie et à « mon expérience ». Le message posté, je partis pisser avant de m’endormir et je reviens sur le site, et là, stupeur !
J’ai eu une réponse. Ce fut vraiment une surprise, je ne m’attendais pas à être lu à 3 h 00 du matin. Encore plus dingue, c’était une femme. Après plusieurs minutes de conversations nous décidâmes de passer en privé et nous avons échangé nos noms. Valérie, elle s’appelait. Notre conversation dura pendant des heures et au bout d’une cinquantaine de messages, nous avons décidé de nous rencontrer. Et là, seul une question me traversa l’esprit, où tout cela me conduirait-il ?
