Quelques semaines plus tard, Valérie et moi avions défini un rendez-vous, conjointement en accord avec nos emplois du temps respectifs. Nous nous sommes rencontrés devant un bar, car, oui, le hasard fait bien les choses, nous habitions dans la même ville. Afin de nous reconnaître, nous décidions de nous vêtir de bleu. Fin de la période d’hiver, je portais une écharpe bleue et elle était vêtue d’un bonnet et de gants bleus. J’étais le premier à arriver sur les lieux. J’ai attendu pendant une bonne quinzaine de minutes mon internaute féminin et je ne pouvais m’empêcher de me poser de me questionner. Et si Valérie était en réalité un homme ? Si c’était un psychopathe ? Si c’était une mineure ? Et si, et si… ? Ces hypothèses tournaient dans ma tête jusqu’à son arrivée.
Elle prononça mon nom, de manière interrogative et j’ai levé les yeux. Là, soulagé, j’ai vu une femme d’âge mûr, 44 ans, comme précisé sur son profil. Elle portait un long manteau noir, stylisé doudoune, qui laissait à peine entrevoir la forme de son corps. Son manteau descendait jusqu’aux genoux et ces derniers accueillaient quasiment le haut des bottes qu’elle avait chaussées. Comme convenu, elle portait notre signe distinctif. Nous nous saluions et sans plus tarder, entrions dans le bar. Ce dernier, ne disposant pas d’un chauffage adéquat, nous gardions nos vêtements. Les présentations faites, nous avons discuté pendant des heures en racontant nos vies, afin de nous connaître davantage, si bien qu’arrivés depuis 18 h 30, 5 heures s’étaient écoulées sans que nous les ayons vu passer. 23 h 30 et voyons tous les deux que nous arrivions au bout de notre conversation, je m’apprêtais à lui dire que ça m’avait fait du bien de me livrer à elle, mais qu’il était temps que j’y aille.
Soudain, elle me prit de cour et m’a proposé de continuer notre rencontre, mais chez elle. En effet, elle habitait à peine à 10 minutes de notre lieu de rendez-vous. Je ne sais pas pourquoi, ça aurait pu être un piège ou que sais-je encore, mais après le moment incroyable que je venais de passer en sa compagnie, j’ai accepté sa proposition.
Dans son appartement, la température était plus qu’agréable que dans le bar. Je me suis assis sur son canapé, comme elle me l’avait proposé et j’ai enlevé mon manteau. De son côté, elle avançait vers la cuisine pour nous servir les rafraîchissements. En s’y dirigeant, elle laissait traîner un chemin de ses vêtements. Son bonnet et ses gants, dispersés à quelques centimètres de moi, avaient laissé entrevoir une chevelure blonde ondulée, qui descendait juste en dessous des épaules. Son manteau, déposé près de la cuisine, arrêtait ainsi de cacher la forme de son corps, que j’ai pu admirer. Elle portait une robe courte, noire, qui moulait parfaitement toutes les formes de son corps. Sa robe laissait apercevoir des seins, toujours aussi bien ronds et fermes, d’un bon bonnet C, et la cambrure de son dos faisait ressortir ses fesses. Cette dernière s’intensifiait lorsqu’elle s’est baissée, comme si elle avait l’habitude d’être dans cette position.
De plus, je suis presque sûr qu’elle s’est dandinée, comme si elle cherchait à m’exciter.
Une fois les boissons servies, nous reprenions notre discussion pendant une trentaine de minutes, jusqu’à quand on arrive à notre soirée sur le forum.
Tu sais, j’aimerais revenir sur ce qui tu m’as écrit l’autre soir.
Pas de souci, mais il y a eu tellement de messages, qu’il faudrait que tu m’éclaires un peu, dis-je d’un ton un peu rieur.
Sur ton pucelage. Je voulais juste te dire de ne pas t’en faire et que ça arrivera le moment venu. Il y aura toujours une femme qui t’aimera assez pour te mettre en confiance.
Mouais… Mais tu sais, ça me fatigue un peu d’entendre ce genre de chose. J’ai l’impression que plus j’avance dans la vie, plus ce moment s’éloigne. Tout le monde dit qu’il faut le faire avec quelqu’un qu’on aime vraiment, mais ce genre de discours, je trouve ça bon pour les ados. Au bout d’un moment, cette affirmation perd de son sens, je trouve. En fait, je crois plus tellement à ça et je me dis souvent que quand l’occasion se présente, il vaut mieux la saisir.
Eh bien, tu sais, l’occasion arrive le plus souvent au moment où on s’y attend le moins, dit-elle en se redressant.
Hein ?! dis-je interrogé, mais pensant savoir ce qu’elle a derrière la tête.
Je ne t’ai pas seulement invité chez moi pour discuter… dit-elle en se déshabillant lentement, présentant alors son corps, recouvert d’une lingerie fine noire.
Valérie… ?! répliquai-je, subjugué.
J’ai à peine eu le temps de prononcer autre chose, que ses lèvres se sont posées sur les miennes. Tout en m’embrassant, sa main glisse le long de mon corps, partant de mon visage pour arriver jusqu’à mon entrejambe. Elle la caresse légèrement et sent durcir ma bite, puis laisse glisser un léger sourire qui vient interrompre notre baiser. Mon esprit est tellement ailleurs à ce moment-là, que je n’avais pas réalisé que sa bouche se situait à quelques cm de mon pénis. Lorsque j’ai baissé les yeux, je voyais les siens, écarquillés, qui disaient : « Desserre ton pantalon. » C’est exactement ce que j’ai fait et sans plus tarder, Valérie a empoigné ma bite à pleine main.
Surtout, détends-toi. Ne pense plus à rien et laisse-moi m’occuper de toi, me dit-elle pour me rassurer.
Après ces douces paroles, Valérie a commencé à me sucer, doucement, tout en effectuant de lents va-et-vient. À cet instant, plus rien n’avait d’importance autour de moi. Ce n’était pas du tout comme je l’avais vu dans des centaines de vidéos, ça allait bien au-delà. Je n’en revenais pas. Je me faisais sucer par une femme sexy, charmante et sensiblement expérimentée. Plus elle me suçait, plus je sentais qu’elle en avait l’habitude. Je croyais vivre le meilleur moment de ma vie lors de cette fellation et je ne voulais pas que ça s’arrête. Malheureusement, inexpérimenté, mon envie et mon plaisir devenaient de plus en plus intenses et j’étais à deux doigts de jouir. Je gesticulais alors dans tous les sens et Valérie, sentant mon agitation, a stoppé sa fellation. Elle a retiré sa divine bouche de ma bite et a embrassé délicatement mon corps pour terminer par un tendre baiser. Quelques secondes après, elle s’est relevée et m’a pris par le col.
Complètement en extase, je me laissais faire sans réfléchir. Elle m’a entraîné avec elle et m’a jeté sur son lit, puis s’est allongée sur moi.
Nous serons plus à l’aise ici.
Au-dessus de moi, elle commençait à me déshabiller, ce qui avait pour conséquence de se retrouver tous les deux en sous-vêtements. On s’embrassait fougueusement pendant plusieurs minutes jusqu’au moment où Valérie m’a donné le fond de sa pensée.
Je t’ai dit que je suis institutrice et mon devoir, c’est d’éduquer.
Oui…
Mais l’éducation que je préfère parfaire c’est celle des petits jeunes. J’adore les dépuceler pour en faire des hommes.
Ça tombe bien, j’ai toujours rêvé d’être dépucelé par une femme d’expérience.
Eh bien, nous sommes d’accord dans ce cas.
Quelle est la suite du programme ?
Je vais commencer par t’apprendre les bases essentielles pour caresser le corps d’une femme.
Afin de continuer ma leçon, c’est moi qui me suis retrouvé au-dessus de Valérie. Elle m’enseignait alors les zones érogènes chez la femme et me disait comment les utiliser, l’importance de la communication et surtout le ressenti de la femme. Chez Valérie, les zones érogènes primordiales sont les seins et les cuisses. J’ai mis alors en pratique tout ce qu’elle m’avait enseigné. Je lui caressais le haut des cuisses en effleure lentement ses lèvres vaginales, tout en alternant les baisers dans le cou et sur la poitrine. Je lui embrassais les seins et lui suçais les tétons et me concentrais sur ses réactions. J’alternais alors entre toutes ces zones, plus celle que je touchais le moins afin qu’elle ressente le plus de plaisir possible. Je sentais les sensations de son corps au vu de mes stimulations, ce qui me réconfortait.
Calme-toi, sinon je vais jouir trop vite, dit-elle, pour me mettre en confiance. J’ai envie de faire durer le plaisir, dit-elle pour me rassurer sur ma façon de faire.
Cette première étape accomplie, Valérie m’a dit qu’il est temps d’entrer dans le vif du sujet. Elle se positionnait alors bien allongée sans omettre de s’occuper de ma propre position. Elle commençait par attraper ma bite pour la diriger. À ce moment-là, mon esprit est en extase. Ça y est, je vais enfin faire l’amour. Je n’y croyais plus. Je vais le faire avec une femme plus que ravissante et experte en la matière. Je sens alors mon gland effleurer légèrement sa chatte. Elle commence par le frotter sur son clitoris avant de descendre progressivement vers l’entrée principale. Et là, c’est l’apothéose pour moi.
Vas-y doucement pour commencer, dit-elle pour me guider.
Je m’y attelais et enchaînais lentement les va-et-vient, pendant quelques petites minutes. Valérie, sentant que je suis plus ou moins à l’aise, me dit d’y aller un peu plus vite, mais sans oublier de continuer à jouer avec les bases apprises précédemment. Ainsi, mes mouvements se faisaient de plus en plus vite et j’embrassais son corps partout où je pouvais et insistais sur ses zones les plus érogènes. Par la suite, j’entendais les gémissements de Valérie, s’intensifiant au fur et à mesure de mon rythme. Je remarquais qu’elle gémissait plus fort lorsque ma bite n’était pas entièrement en elle et que je lui suçais les tétons. Je décidais alors de rester sur ces actions et il s’avérait qu’elle commençait un peu à élever la voix.
Oui, c’est bon ! Vas-y, comme ça. Continue ! ».
Je sentais que je trouvais la bonne méthode, alors je continuais. Je la baisais, en lui enfonçant la moitié de ma bite, tout en lui tripotant sa poitrine.
C’est ça, continue. T’arrête pas, c’est très bien, me dit-elle de manière saccadée.
Je suivais alors ses conseils et lui faisais l’amour comme elle le souhaitait. Au bout d’un moment, je cessais de lui caresser le corps pour me blottir plus près d’elle et embrasser fougueusement ses lèvres. Dans le même temps, je lui assignais des coups de reins de plus en plus forts et de plus en plus vites. Ainsi, nos corps, reluisants de transpiration, allaient vers la même direction. Sentant que je ne tiendrais plus très longtemps, j’accélérais le rythme, pour me finir, tout en embrassant, cette fois, Valérie partout où je pouvais. Ses bras, enroulés autour de moi, m’encourageaient à continuer. Mon rythme s’accélérait et ça y est, j’ai fini par jouir et nos têtes étaient toutes les deux en arrière. Essoufflé de cet effort, qui demandait beaucoup plus d’énergie qu’une branlette, je me suis retiré et me suis couché sur le côté. Valérie s’était enroulée autour de moi et s’était allongée à côté.
Eh bien, je dois dire que pour une première fois, tu t’es bien débrouillé.
Vraiment ? J’ai eu l’impression de faire n’importe quoi, surtout à la fin. Je ne faisais plus attention aux bases que tu m’as enseignées.
C’est normal pour une première fois. Ça viendra avec le temps et l’expérience, ne t’en fais pas.
Si tu le dis.
Tu sais, je dois dire que tu as un sacré potentiel et pour le développer, je crois qu’il va falloir que je te présente à certaines de mes amies.
Ah oui ?! dis-je surpris.
En t’enseignant les bases, je n’étais que la première étape de ta découverte sexuelle. Il te reste encore beaucoup de choses à apprendre.
Bah, je suis chaud alors.
Parfait. Je vais organiser tout ça rapidement.
Je n’en revenais pas. Valérie allait me faire découvrir d’autres choses. Mon expérience sexuelle ne s’arrêtait pas là. Je n’aurais jamais imaginé ça, même dans mes rêves les plus fous. Après notre rapport, je me suis rhabillé et suis rentré chez moi. Valérie m’avait dit de rester toujours près de mon téléphone, car elle me contactera à tout moment. Il fallait que je sois prêt. Je me suis enfin couché et mes pensées s’envolaient vers cette merveilleuse soirée. Et surtout, j’avais le sourire aux lèvres, car, désormais, je ne me coucherai jamais plus puceau.