J attendis que mon frère rentre du travail puis après quelques discussions sans grand intérêt, je quittais l’appartement qui venait de connaître mes ébats.
Il fut convenu que dorénavant, chaque vendredi soir, je viendrai rejoindre Régine afin d’aller faire les courses en ville avec elle. Ils n’avaient qu’une SUPER5 que Jean Michel prenait pour aller travailler.
Je ne voyais donc Régine que le dimanche lors du repas familial et le Vendredi…
Que la semaine était longue.
Chaque dimanche j’étais collé à Régine comme de la glu, j’attendais sur le pas de la porte que le couple arrive. Dès que je les voyais arriver, je me précipitais sur Régine pour être le premier à l’embrasser, mes lèvres effleurant les siennes.
Quand je pouvais,je lui caressais discrètement les seins, je profitais de chaque instant pour la toucher.
Le soir venu, je me masturbai comme un fou dans ma chambre en pensant à son corps magnifique et en élaborant des plans sur mon prochain vendredi.
Le vendredi arrivait, je finissais les cours et aussitôt je partais la rejoindre à son appartement. Je sonnai à sa porte. Dès qu’elle m’ouvrait je me ruai sur elle.
elle m’avait dit " Il n y a rien de sale dans l’amour quand le corps et propre. Alors, nous avions pris l habitude, dès mon arrivée, après des baisers torrides, elle venait me doucher.
D abord elle me déshabillait, tout en me caressant des cheveux jusqu’aux pieds. Puis quand j’étais nu devant elle, elle m’emmenait, "des fois en me prenant par la verge" jusqu’à la douche.
Je montais dans le bac à douche, là elle se déshabillait seule, puis ouvrait les robinets d’eau chaude et d’eau froide , prenait le savon liquide, et me lavait tout le corps.
Elle commençait par les cheveux, puis la nuque, mon torse, descendait sur mes jambes en prenant soin de ne pas effleurer ma verge qui bien sur était déjà bien raide. Ensuite elle me faisait me retourner, elle me frottait le dos, me savonnait les fesses, glissant sa main entre les deux et savonnant bien ma rondelle. Elle me prenait alors par entre les jambes mes testicules et les malaxait les mains savonneuse puis attrapait ma verge qu’elle faisait pliée pour la descendre vers le bas.
elle la savonnait correctement mais si tendrement que je devais crier grâce et la faire arrêter si elle voulait en profiter un peu alors elle me rinçait et me rejoignait totalement dans la douche.
Là, c ’était mon tour de la préparer. Je n avais pas le droit de lui mouiller les cheveux, alors je m’occupais de son cou, du lobe de ses oreilles, de son dos puis de son ventre remontant sous ses seins avant de les envelopper de mes deux mains, puis je lui savonnais les jambes, les fesses et son adorable minou.
Nous nous séchions ensuite, puis nous rejoignons ou bien le salon, ou bien la cuisine ou encore la chambre
Nous nous promenions nus dans son appartement
En règle générale, elle s agenouillait sur le parcours qui nous emmenait dans la pièce du plaisir. Là, elle me prenait à pleine bouche, me suçant jusqu’aux testicules et moi je n’avais le droit que de lui caresser la chevelure. Quand elle sentait que mon plaisir était proche, elle me donnait un tape sur les fesses pour me rappeler à l’ordre tout en poursuivant sa fellation. Je m obligeait alors à penser à quelque chose de désagréable pour refouler cette jouissance qui montait, quand je n’y tenais plus, je la repoussais doucement, lui disant " c’est trop bon ma chérie, attends que je m occupe de toi un peu"
Alors, je l’emmenais sur la table de la cuisine, elle s’asseyait dessus, les jambes dans le vide, je m’accroupissais et là, je léchais ce minou qui bien que fraîchement lavé sentait déjà l’odeur du plaisir. Sa cyprine inondait déjà ses lèvres et ce goût salé m’enivrait de bonheur. je lui léchai le clitoris en faisant aller mes doigts sur ses lèvres comme des petites bêtes qui fouillent, elle adorait cela
je la repoussai en arrière afin d’avoir accès à ce petit orifice brunâtre et je le léchai à son tour, pénétrant ma langue à l intérieur alors que mes doigts continuaient de jouer avec son minou.
Bien souvent je la doigtais avec deux doigts. Puis je me redressais pour embrasser cette poitrine qui me faisait tant bander.
"Un jour, elle me fit prendre appui les deux mains sur la table de la cuisine, elle s agenouilla et commença à me sucer la verge par en dessous, c’était divin. Puis elle me fit un anulingus d’une douceur divine. reprenant sa fellation, elle m’introduit de nouveau son majeur dans mon anus; ces souvenirs sont sublimes et malgré les années écoulées, je les ai toujours en mémoire"
Après m’être occupé de sa superbe poitrine, nous attaquions les hostilités, elle me prenait la verge et l’introduisait dans son minou. Là, elle me guidait de la voix, en me disant doucement, plus vite, viens au fond, prends moi plus fort.
Elle jouissait souvent une première fois, quand elle avait pris son plaisir, elle me laissait alors diriger comme bon me semble.
Je m’amusai alors à sortir totalement ma verge de son vagin trempé et j attendais qu’elle fasse cette demande du bas ventre pour la pénétrer de nouveau
Puis nous jouissions comme deux amants, en nous embrassant langoureusement et en nous disant des je t’aime
S’en suivait un petit passage à la douche juste pour enlever les traces, ma verge était toujours très propre après l’amour car Régine se faisait fort de nettoyer toute trace en me suçant admirablement
Elle se parfumait ensuite pendant que je me rafraîchissais la bouche car je portais sur mes lèvres l’odeur de sa cyprine puis nous nous rhabillons avant de rejoindre mon frère en ville pour faire les courses de la semaine.