Il y a quelques années, avec mon ex, Nathalie, on arrêtait pas de baiser. Rien de bien excitant vous me direz. Pourtant, il nous arrivait souvent de nous mettre en danger, dans des situations qui auraient pu mal tourner. La pire, c’était lorsque nous baisions dans la cuisine de son père.
Nous n’habitions pas dans la même ville, et donc on se voyait le plus généralement que le week-end, le samedi. Nous dînions chaque samedi avec son père, veuf, un paysan bourru au sale caractère. A la fin de chaque repas, il s’endormait à table devant la télé pendant que Nath et moi débarrassions et faisions la vaisselle. Vers minuit, le vieux se réveillait pour nous laisser et allait se coucher dans sa chambre, située à une dizaine de mètres maximum, de la cuisine. Nous attendions environ 30 minutes, pour être sûrs qu’il s’était bel et bien endormi. Une fois assurés:
Nathalie tombait dans mes bras et on commençait par s’embrasser langoureusement. Nos langues s’entremêlaient tandis que mes mains plongeaient directement dans son jean pour tâter ses fesses (elle était toujours en string). Très vite, j’ouvrais son jean et retirais le sous vêtement et voilà ma copine, cul nu, assise sur la table de cuisine. Je caressais l’entrecuisse. Elle mouillait déjà. On avait attendu toute la semaine, le repas avec beau papa avait été interminable, qu’est-ce qu’elle allait prendre. Je la poussais sur la table pour qu’elle se couche et écartais ses cuisses. Je posais ma langue sur son clito. Très vite elle était obligée de se mordre les lèvres pour ne pas laisser sortir le moindre cri ou gémissement. Mes doigts entraient et sortaient de sa vulve trempée.
"-Laisse tomber les préliminaires et mets une capote…
-J’ai envie de te lécher.
-On a pas trop le temps, faut faire vite Chou (c’était mon surnom à l’époque).
-Mets-la moi alors et suce moi un peu quand même."
Nathalie s’exécutait et avalait ma verge mais très vite cette dernière se retrouvait habillée de latex. Il fallait passer à l’action. Nathalie me tourna le dos, mit un pied sur une chaise pour bien écarter sa fente et posa ses mains sur la table. Je me mis derrière elle, introduisit ma queue. Excité de la semaine, les couilles pleines, au risque de nous faire prendre par le vieux, je limais sa fille sur la table de cuisine où 2 heures avant nous avions dîné. Mes mains saisirent les seins de mon ex. Toujours vêtue de son chemisier, il ne fallait pas se déshabiller totalement, je passais sous le vêtement, tirais le soutien-gorge vers le bas et jouais avec les tétons fermes et durs tandis que je l’embrassais dans le cou. Mon sexe entrait et sortait. Avec un préservatif, cela dure toujours plus longtemps, associé à une certaine peur de se faire choper, malgré l’excitation, l’éjaculation mettait du temps à venir. On variait les positions comme dans un film x. Je m’asseyais sur la chaise et Nathalie sur moi ou bien elle se couchait sur la table, ses jambes reposant sur mes épaules. Si son père nous avait vu, s’était un coup de fusil assuré (il n’aurait pas réfléchi). En parlant de coup de fusil, je sentais le mien qui s’apprêtait à tirer. Que j’aurais aimé enlever la capote pour jouir sur le ventre de cette coquine, mais dans cette situation c’était impossible. Je continuais donc le va et vient et faisais feu dans son vagin, protégé par le latex. C’était tellement intense que j’avais envie de crier mon plaisir, mais ne pouvais pas et étouffais mon râle comme je pouvais pour ne pas réveiller l’autre. La capote pleine, nettoyés, nous pouvions nous rhabiller. Je quittais Nathalie peu de temps après, en attendant le week-end suivant et risquer de nouveau de nous faire prendre.