L’apéro le repas, accompagné de champagne est succulent et je félicite Eva pour la cuisson des magrets. Elle rougit. Mon Gégé se moque d’elle. Elle lui sourit. Qu’ils sont mignons. Coralie me met une main sur mon genou et remonte lentement jusqu’à la lisière de mon bas. J’en frissonne, elle en rigole. Elle continue son investigation jusqu’à ma chatte entièrement lisse. Je ne vois pas pourquoi elle serait la seule à s’amuser. Je me lève et vais mettre une musique d’ambiance, une série de slows et baisse les lumières. J’invite Coralie à danser. On est collées-serrées, nos mains sur les fesses de l’autre. On s’embrasse, on se tripote devant les enfants qui décident de danser aussi. La protubérance de mon fils ne fait aucun doute, il bande ferme. Coralie l’a vue. On s’est mise d’accord, Eva est moi, elle aura la primeur de se faire prendre par le monstre la première. D’ailleurs, on change de partenaires et Eva vient danser avec moi.
— Elle est chouette votre copine.
— Elle surtout chaude, regarde.
Coralie a descendu une main sur le sexe de mon fils et le branle à travers le tissu du pantalon. Elle se mord les lèvres en sentant la grosseur qui doit palpiter, lui, il a fermé les yeux. La musique est lascive. Je remonte la jupe de ma petite partenaire. Elle a le cul nu, j’aime lui malaxer ses deux gros globes. La coquine, elle défait la fermeture Éclair de ma robe qui tombe au sol. Je lui fais quitter son tee-shirt et sa jupe. On se frotte nos chattes sur la jambe de l’autre tout en continuant à danser. On se triture les fesses et on s’embrasse à en perdre le souffle. Je n’y tiens plus. Mon côté dominatrice qui revient au grand galop. Je la renverse sur l’épaisse moquette du salon et me mets à califourchon sur sa tête.
— Allez, bouffe-la-moi, petite truie.
Elle sort la langue et me bouffe l’abricot comme une folle. Putain que c’est bon. Je me tortille pour lui mettre du jus de partout. Coralie n’est pas en reste, elle défait le tee-shirt de mon fils avant de se mettre nue devant lui. Elle est bien foutue mon amie. On a déjà couché ensemble, mais c’était il y a bien longtemps. Même son Pierrot de mari est passé entre mes cuisses. C’était le temps du bonheur, un temps que je compte bien rattraper. Je regarde Eva qui se déchaîne comme une furie sur ma chatte. Elle a de mon jus partout sur le visage. Elle se branle le clitoris comme une petite bite. Elle a un clito énorme. C’est vrai qu’hier ce n’est pas cela que je regardais, mais l’énorme phallus de mon fils. D’ailleurs Coralie reste bloquée devant le monstre. Elle n’ose pas le toucher, alors mon fils lui pose son gland sur les lèvres qui s’ouvrent. Elle y va doucement. Mon fiston a l’air d’apprécier la chaleur de la bouche de ma copine, il ferme les yeux. Je leur demande de venir nous rejoindre.
Ils sont là, à côté de nous. Je demande à Eva d’aller sucer les couilles de son mec, ce qu’elle s’empresse de faire. Moi, je m’allonge entre les cuisses de ma copine pour lui prodiguer un savant cunnilingus. Hum, son odeur, sa cyprine m’ont manqué. Je joue avec son petit clito et me branle en même temps. Je ne vois plus ce qu’il se passe au-dessus, mais au bruit, ça doit bien aller. L’étalon s’installe dans le fauteuil, ce qui nous fait changer de place. Coralie se place au-dessus de Gégé et se plante son dard qui disparaît à moitié. Eva monta au-dessus de la tête de Gégé qui comprit tout de suite. Moi, reléguée au rôle de spectatrice, je me branle comme une folle.
— La vache, j’en ai vu des gourdins, mais aussi gros et aussi long, jamais. Dit-elle avant de descendre à fond.
La petite Eva vient me rejoindre et me pousse sur la table basse du salon. On se met en 69. Son sexe dégouline, le mien aussi. Je regarde mon fils démonter Coralie, elle a changé de position, elle est maintenant de face, dos à Gégé. Elle souffle comme une vieille locomotive et saute comme une damnée sur ce pieu de chair. Gégé lui triture les seins et lui tire les tétons. Elle n’en peut plus mais mon fils l’empêche de se relever. Elle est au bord de l’orgasme qu’elle atteint quand mon fiston lui injecte une puissante dose de sperme au plus profond de son vagin. Ça déborde et Gégé continu de la pistonner, quel étalon. Je me jette à quatre pattes pour nettoyer le sexe de mon amie. Elle pose sa tête sur le torse de son amant du moment et peine à reprendre son souffle. Je me lève et embrasse mon fils. La petite perverse d’Eva est venue me remplacer entre les cuisses de son homme qui, imperturbable, me roule une pelle d’enfer. Coralie arrive tant bien que mal à s’extraire de cette petite partouze.
— J’ai soif, dit-elle, qui me sert à boire ?
J’avais l’intention de lui dire de se servir, elle connaît la maison, que mon rejeton se lève queue tendue et s’en va à la cave chercher du champagne. À son retour c’est une pluie de compliments de la part de Coralie. Gégé est gêné, il rougit. Eva, la petite perverse lui offre son gros cul tourné vers son homme. Il ne se gêne pas et l’embroche debout. Eva s’affale sur la table de la salle à manger et hurle son bonheur. Il y va de bon cur et il en profite.
— Le salop, il me la met bien profond. Je t’aime Jérôme.
Elle bave sur la nappe.
— OH, OUI, BOURRE-MOI BIEN.
— Tu l’aimes ta salope de chienne, hein, dis-moi que tu l’aimes. Lui dis-je en tirant sur ses bourses.
— Oui, Maman, je l’aime cette pute… JE L’AIME ! ! !
Je me suis agenouillée et je lui lèche son sac à semence que je tire en arrière. Coralie s’est installée à côté de moi et nous branle, l’extase à l’état pur. Mon fils hurle sa jouissance.
— Purée que c’est bon… JE TE FÉCONDE MA CHÉRIE… HAN, HAN.
Il reste planté dans le con de sa chérie. Coralie me pousse en me disant :
— Je peux goûter ?
— Je t’en prie, tu vas voir, il est délicieux.
Mon gamin se déboîte lentement et c’est un flot de sperme et de cyprine qui coule sur la table. Coralie s’empresse de laper comme une chienne tout ce qui sort de la chatte d’Eva qui n’en peut plus. Ses jambes tremblotent, et sa respiration est saccadée. Je pars l’embrasser. Un doux échange de salive entre deux belles salopes.
Mon fils se sert une flûte et s’en va en direction du garage.
— J’vais mettre un peu le chauffage… Dit-il, le rostre toujours au garde-à-vous.
Coralie se sert, enfin nous sert et s’assoit en bout de table. Elle nous regarde affectueusement. Eva s’allonge sur le dos pour m’offrir le plus passionné des baisers. Mon amie rampe telle une panthère vers le visage de la petite et s’enivre de mes sucs. Mon grand est revenu discrètement et je ne m’aperçois de son retour que lorsque son gland force mon entrée principale. Quel bonheur de sentir son monstre progresser dans mon fourreau. Il doit l’apprécier car son entrée est lente mais il ne s’arrête pas. Il est en butée. Il pose ses mains sur ses hanches et commence à me besogner plus sérieusement. Eva m’empêche de crier en retenant ma bouche soudée à la sienne.
— Que vous êtes beaux tous les trois. Dit Coralie qui est maintenant assise sur la table.
Elle se masturbe lentement pour entretenir son état d’excitation. Ses doigts sont couverts de jus et elle les donne à Gégé qui s’empresse de nettoyer. Moi, je sens le piston de mon fils me prendre comme je l’aime. Ses coups de boutoir sont de plus en plus violents, de plus en plus rapides. Je ne peux pas crier, enfin si, je crie, je hurle dans la bouche de la petite qui se régale de ma salive. Je dois être aussi rouge qu’Eva. Je sens mes carotides se gorger de sens et battre à un rythme endiablé. Je jouis et mes muscles vaginaux enserrent la tige de Gégé qui choisit cet instant pour se vider les couilles pour la troisième fois. Il se penche dans mon dos pour me l’embrasser. Je frissonne, pas de froid, non, de bonheur. Il se retire et encore une fois, la petite salope vient me nettoyer le vagin. Qu’elle est divine la copine de mon fils.
Moi, je suis pantelante, le buste allongé sur la table. Coralie m’embrasse tendrement sur la joue.
— Quelle bête, quelle puissance… Waouh.
Je ne peux lui répondre que par un petit sourire coquin. Cette petite sauterie m’a fait un bien fou. Je m’endormirai bien dans cette position en attendant que Gégé revienne me prendre, mais la petite veut me parler et c’est en titubant que l’on s’éloigne, s’isolant dans ma chambre.