Maman gémit sous les coups de boutoir de son fils, qui sans relâche, la pilonne.
La queue vigoureuse de son jeune amant coulisse sans faiblir dans la gaine remplie de sperme.
tu en veux encore ma salope ? qu’il lui dit.
Oui mon chéri, maman en veut encore, défonce-la bien ta salope de maman !
Oh, insatiable maman, je vais chercher nos jouets pour te satisfaire entièrement !
Oui, reviens vite mon amour, maman a trop envie que tu la fasses jouir !
Mon frère se retourne brusquement, il pousse un :
Oh ! de surprise en me voyant dans la chambre, ma main sur mon bas-ventre.
Mais qu’est que tu fais là, tu joues la voyeuse ma petite surette ?
Très gênée, je bégaie un peu:
Heum non, j’ai entendu du bruit, j’ai cru que maman était malade !
Maman sursaute et tente de cacher sa nudité avec ses mains.
Mon Dieu, que vas- tu penser de moi ma chérie ?
Cest mon frère qui répond à ma place.
Eh bien que tu baises avec ton fils ! qu’il lance en riant.
ça fait longtemps que tu nous regardes ? me demande maman.
Un bon moment déjà !
Elle doit être trempée la fifille à maman ? ironise mon frère.
Il s’approche de moi, m’enlace et me murmure à l’oreille.
Tu dois mouiller comme une fontaine ma petite salope, fais voir ?
Il joint le geste à la parole, pose sa main sur ma cuisse, remonte doucement sous ma jupe, je me raidis et reste coi, mes yeux sans écarquiller.
Il fait faire quelques va-et-vient sur ma chatte, qui n’est que protégée par le fin tissu de ma culotte.
Maman, ta fille mouille comme une salope, sa culotte est trempée ! qu’il dit en souriant.
Je fixe maman qui détourne son regard en ravalant sa salive.
Allez, fous-toi à poil et rejoins-nous, tu en meurs d’envie !
Sa main monte et descend sur ma chatte, je mouille de plus en plus, il écarte ma culotte et glisse un doigt sur ma chatte, il l’introduit jusqu’à la dernière phalange.
Je veux reculer, mais il me retient avec son bras puissant, un deuxième doigt s’enfonce dans ma grotte.
Je pousse un cri :
Non non, je ne veux pas, arrête stp !
Il tourne ses doigts en moi, en les enfonçant davantage.
Je me cabre et pousse un:
Oooooh nooooooooon !
Mon frère me ramone doucement, je ne proteste même plus, je ferme les yeux.
Il pose ses lèvres sur les miennes et m’embrasse fougueusement, sa langue cherche la mienne, nos salives se mêlent, le baiser dure longtemps.
Maman nous regarde, un peu amusée, elle est de moins en moins gênée.
Pendant que mon frère m’embrasse, elle s’approche de nous, se place derrière moi, pose ses mains sur mes hanches et fait glisser la fermeture éclaire de ma jupe.
Elle fait glisser la jupe sur mes cuisses et accroche au passage ma culotte, mon frère complice, retire ses doigts de mon temple, pour que maman puisse faire descendre les vêtements qui m’entravent.
Maintenant, mon frère a libre accès, ses doigts glissent sur ma fente de basse en haut, je soupire fortement, il titille mon clito qui enfle sous ses doigts habiles.
Maman remonte mon t-shirt sur mes seins, les bouts sont dressés fièrement au centre des aréoles brunes, elle saisit mes seins à pleines mains et les masse doucement.
Les doigts de mon frère plus les mains de maman, je commence à délirer.
Maman me dit :
Va sur le lit ma chérie, tu seras plus à l’aise !
Mon frère me prend à bras-le-corps et me porte jusque sur le lit.
Il fait tomber mon t-shirt et dit:
Maintenant, tu vas jouir comme une salope de chienne !
Maman me sourit, et se penche sur moi:
Maman va s’occuper de son bébé, laisse-toi faire ma chérie !
Doucement, j’écarte les cuisses, avec son pouce et son index, elle dégage mon clito.
Il faut qu’il enfle encore ma chérie, c’est pas suffisant comme il est là.
Mon frère lui tend une fine baguette très souple, maman la fait glisser plusieurs fois sur mon clito.
Appréhende, je me contracte lorsque maman donne le premier un coup de baguette sur mon bouton.
Une volée de petits coups s’abattent sur mon clito, mon frère écarte les grandes lèvres que maman a lâchées, elle se positionne pour mieux frapper mon clito.
Les coups ne sont pas si douloureux que ça, je commence à onduler du bassin, et même à geindre. Après une nouvelle série de coups, mon bouton a triplé de volume.
Maman pose sa baguette, et prend entre son pouce et son index mon bouton hypergonflé.
Elle le branle comme une petite bite, je pousse des gémissements tellement c’est bon, elle accélère le mouvement de masturbation.
Je pousse un cri en envoyant ma cyprine sur le lit et les doigts de maman.
Oh, trop bon maman, tu me rends folle !
Mon frère ne reste pas inactif, il joue avec mes mamelons, les suce les aspire et les mordille, je gicle à nouveau.
Maintenant, tu vas adorer ma chérie !
Elle prend un gode de bon diamètre et lentement lenfonce jusqu’à la garde dans ma chatte inondée.
Elle fait voyager l’engin à vive allure dans la gaine de chair, je pousse des couinements de plus en plus fort.
Enfin, elle bloque le gode au plus profond de moi et saisit un gros vibromasseur, mon frère le branche sur la prise électrique, et dit en riant :
Eh bien, ma salope, tu vas prendre un pied d’enfer avec ça !
Maman l’appuie sur mon clito et actionne la vibration, je sursaute, et pousse un :
Ouaaaaah !
Toute ma chatte vibre sous l’engin, maman pèse sur l’engin comme pour m’écraser le clito, elle épie ma réaction, j’ai les yeux exorbités, ma bouche est grande ouverte, elle augmente la vitesse d’un cran, je me cabre et pousse un terrible cri de jouissance.
Elle promène l’engin sur ma chatte, le pose sur le gode qui en dépasse, elle met la vibration au maximum.
Je me raidis, mon corps tremble sous l’effet de l’engin, mon bassin s’agite hystériquement.
Mon frère se place derrière maman, sa queue est raide, il frotte son gland contre l’anus encore entrouvert.
Il s’accroche aux hanches et donne un violent coup de reins.
Sa bite s’enfonce jusqu’aux couilles dans le cul de maman qui grogne de plaisir, il la démonte à grands coups de bite.
Elle pousse un :
Ah ! de bonheur à chaque enfoncement de la queue en elle.
Elle retire le gode de ma chatte, et m’enfonce l’énorme vibro, elle le met en fonction, et me ramone sauvagement pendant que mon frère l’encule sans faiblir.
L’engin bute contre le col de mon utérus, elle le maintient bien contre, je jouis encore comme une chienne.
Elle jette sur le sol le vibro luisant de cyprine, elle s’agite en poussant des cris de bêtes blessées, les assauts de mon frère ont vite raison d’elle, elle gicle sur le sol en grognant de plaisir.
Il se retire de maman, la repousse et dirige sa bite gorgée de sang vers ma chatte béante. Il l’enfonce sans effort, ma chatte avale sa queue jusqu’aux couilles.
Les va-et-vient sont brutaux, il s’active férocement, j’ai l’impression qu’il veut me déchirer la chatte.
Il ressort entièrement pour replonger à fond, il réitère le mouvement, sa queue coulisse aisément en moi, je me tortille sous lui comme une chienne en manque, je pousse des gémissements, que maman étouffe en posant ses lèvres sur les miennes.
Ma chatte est en feu, ma muqueuse très sensible réagit à chaque mouvement que fait mon frère en moi, je, grimace lorsqu’il me donne une baffe sur la cuisse en s’enfonçant davantage.
Il augmente le rythme, se bloque et envoie son sperme épais au fond de ma chatte brûlante.
Je m’accroche à lui, souffle comme une baleine, je me raidis et plante mes ongles dans son épaule, je me cabre davantage et explose de jouissance en râlant comme un animal blessé
Le cochon veut me prendre par le cul, mais je suis épuisée par les nombreuses jouissances, je me dérobe.
