Ils m’avaient détaché et débâillonné et m’avais dit qu’ils allaient me dépuceler le cul, la maîtresse partit devant, mon frère m’embrassa tendrement en me caressant le ventre, je mataient discrètement le cul de claire et remarqué le sperme blanc dégoulinant de son anus et qui coulait sur sa peau noire.
— tu as vu son cul ma salope ? il te plaie ?
— oui maître
— dans quelques heures tu auras le même
Il me pris la main et m’emmena dans la salle de bain, où nous attendait Claire, nue, une pompe a lavement à la main. Je m’approchais de Claire tous doucement appréhendant se qu’il allait m’arriver, Claire me pris la main et me tira vers elle, me tourna et me fit pencher en avant, elle me regarda et me caressa les fesses et dit
— Elle a vraiment un beau cul, je sens qu’on va bien s’y amuser
Puis elle me mis une claque sur les fesses, se qui me fit sursauter et m’arracha un petit crie, puis elle me donna une autre claque, plus elle me claquais les fesses plus mes cris été fort, et je sentait ma chatte s’humidifier de plus en plus, puis elle s’arrêta ses claques sur les fesses, m’écarta les jambes et me claqua la chatte.
— Mais tu mouille ma salope, je savais que tu aimais les fessées ma chérie
Mon frère s’approcha de moi me caressa la joue, me sourie et me dit a l’oreille
— Si tu es très sage et que tu le demandes gentiment je te donnerais la fessée tant que tu voudras
Puis il rejoignis Claire dernière moi, mes maîtres me caressais et me claquaient les fesses et ma maîtresse en profitait pour lécher la cyprine qui coulais de ma chatte, quand mes fesses furent assez rouge pour eux, mon maître m’écarta les fesses pendant que la maîtresse m’enfonça lentement la poire dans le cul, je sentit petit a petit mon ventre se remplir d’eau tiède, ils me caressèrent les fesses pendant que la poire remplissait mon cul, j’avais de plus en plus de mal a contenir tous le liquide chaud en moi, ils retirèrent la poire.
— Tu te videras que quand on te le dira, c’est compris salope ?
— Oui maîtresse.
Mon frère se mis devant moi, me caressa le visage et me présenta son sexe
— Allez, montre a Claire comment tu suces
— Oui Maître
Je pris son sexe en main et le mis dans ma bouche sans attendre, son goût était différent de ce matin, il avait pris le goût de ma chatte et de celle de Claire. Je m’appliquais à bien lécher sa bite de haut en bas tout en lui caressant les couilles, mon maître me pris par les cheveux pour me donner le rythme de la pipe pendant que ma maîtresse me caressait la chatte, ses doigts venais caresser les cuisses, mon clito, mes lèvres pour venir s’enfoncer dans ma chatte pour me masturber, je gémissais et j’avais de plus en plus de mal a retenir le liquide de mon cul, j’essayais de me retenir tant bien que mal en me tordant dans tous les sens, plus je bougeais, plus ma maîtresse me donné des fessée et moins j’arrivais a me retenir, je me tenais bien au hanches de mon frère pour ne pas tomber, le sexe de mon frère entrais et sortait de ma bouche sans ralentir, se n’était plus moi qui lui faisait une pipe mais lui qui baisais ma bouche, il agrippa bien mes cheveux et accéléra les vas et vient, je sentait Claire lécher ma cyprine coulant le long de ma jambe quand mon maître sortit son sexe et jouie sur mon visage dans un râle de plaisir, Claire et mon frère ont échangé leur place, Ma maîtresse me pris le visage et me regarda longuement.
— hummmm, une vraie pute comme je les aime, tu avais raison elle est parfaite, une vraie salope
Puis elle lécha tout le sperme que j’avais sur le visage pendant que mon frère me masturbait la chatte, quand elle eu bien nettoyé le visage elle me dit
— Vas y vide toi tu l’a mérité
A ces mots je me vidais complètement du liquide qui remplissait mon ventre avec un grand soulagement, une fois bien nettoyé, ils me remirent le bâillon et m’emmenèrent dans ma chambre. Une fois dans ma chambre, ils m’allongèrent sur le ventre sur mon lit, Mon frère s’essaya sur une chaise à côté de mon lit pendant que ma maîtresse enfila une ceinture gode a laquelle elle fixa un gode assez petit et aussi large qu’un tube a essaie, elle attacha mes cheville a une barre assez longue pour laisser mes jambes écarté, attacha mes bras dans mon dos et me fis basculer en avant, elle se mis derrière moi en me caressant les fesses, me les malaxais en me donnant des petites tapes, elle m’écarta les fesses et je sentit le lubrifiant très froid couler sur mon anus qu’elle caressait avec ces doigts, elle enfonça lentement un doigt en moi et le bougea pour bien m’écarter l’anus, c’était une sensation assez étrange, pas aussi bonne que dans ma chatte mais très excitante, une fois mon anus assez écarté pour elle, ma maîtresse se mis derrière moi, lubrifia son gode et força l’entré de mon anus, malgré sa petite préparation son entrée dans mon cul fut légèrement douloureuse, elle resta un petit moment sans bouger en moi puis me redressa en me tirant par les cheveux et commença de lent vas et vient dans mon anus tout en me tenant par les cheveux. Je ne pouvais plus bouger, j’avais mal mais c’était bon. Tout en s’occupant de moi Claire regardais mon frère se caresser, mes maîtres se regardaient l’un l’autre, c’était comme si ils se faisaient l’amour et que moi je servais d’accessoire, j’était devenu un gode ou une poupée gonflable pour eux un jouet et j’aimais ça, oh mon dieu oui j’aimais vraiment ça, Claire se retira de mon cul.
— Vas y, c’est ton tour, je crois qu’elle est prête
Je suis resté a genoux sur mon lit, essayant de reprendre mes esprits, et avant que ne m’en rende compte mon frère était derrière moi en train de me caresser les fesses, son sexe faisait pression sur mon anus et entrais lentement en moi, j’avais l’impression d’être déchirer en deux a chaque avancé de son sexe en moi, mes crie était devenu un mélange de crie de douleur et de plaisir, Claire avait pris la place de mon frère sur le fauteuil et se caressait en regardant son amant m’enculer. Une fois son sexe bien entré en moi il resta un moment sans bouger, je sentait mon cul se refermer sur son sexe puis il se retira, il faisait de très lent vas et vient qu’il accélérait au fur et a mesure, je gémissait de plus en plus fort, il me pris bien par les hanches et ses vas et vient devinrent rapide et violent dans mon cul, mes jambes tremblaient j’avais du mal à rester a genoux mais il me tenais bien, j’était a lui et il ne comptait pas me laisser partir, ma maîtresse, quand à elle, se masturbais la chatte avec un gode et ses gémissement se mélangé aux miens pour ne devenir plus qu’un, c’était un moment magique, la sodomie fut une grande découverte pour moi, je prenais un pieds d’enfer, je ne voulais plus qu’il s’arrête, j’avais mal au cul mais c’était trop bon, quand soudain mon frère s’enfonça bien en moi pour se vider dans mon cul et me lâcha les hanches, je m’écroulais de fatigue sur mon lit, je sentait le sperme dégouliner de mon cul, je ne pouvais plus bouger j’était fatigué, je voyais Claire prendre le sexe de mon frère en bouche pour bien le nettoyer, je voulais les rejoindre mais je manquais de force, je ne pouvais presque plus bouger, quand mon maître fut bien nettoyé il me détacha et me débâillonna et me caressa.
— Alors Marion ça vas ? tu as aimé ?
— Oui beaucoup Maître
— Très bien, mais surtout tu doit le dire a personne c’est bien compris ?
— Oui
— Tu sais je suis très fier de toi, tu a était une vraie salope comme on les aime, et si tu est sage on le refera.
— C’est vrai ?
— Oui, mais maintenant il se fait tard, il faut ranger un peu ce bordel, nous laver et te remettre au lit n’oublie pas que tu est sensé être malade.
C’est vrai qu’il était déjà tard, nous avions fait l’amour toute la journée et je ne m’en étais pas rendu compte, nous avions raté le dîné mais je n’avais jamais eu faim, comme si le sexe m’avais servi de nourriture. Nous avons donc tout rangé, j’étais un peu déçu car j’aurais aimé que cela dure encore, mais je savais que j’allais avoir beaucoup d’autres séances.
Et c’est vraie qu’il y eu plein de séance, mais malheureusement pour moi mon frère et Claire on pris un appartement quelques mois plus tard, nos séances se sont espacés, puis j’ai grandi et je suis allé souvent leur rendre visite pour mes séances et le nombre d’esclaves a grandi aussi (toutes des femmes).
Aujourd’hui j’ai 30 ans et je suis tombé amoureuse d’une femme du nom de Ludivine cela fait quelques temps que nous sortons ensemble, et j’ai bien sur arrêté mes séances.
Mon frère et Claire se sont marié et attendent en enfant.
J’espère que mon histoire vous a plu, j’essayerais d’en écrire d’autre, imaginaire cette fois-ci, si j’ai le temps et l’envie, je vous fait a tous de gros bisous et a bientôt peut être.