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Mon histoire vraie ! – Chapitre 1

Mon histoire vraie ! - Chapitre 1



Disons que Je m’appelle Thifanie( prénom d’emprunt. Ma vie est celle d’une jeune femme célibataire de 30 ans, sans histoire ni tourbillon sexuel. A défaut de connaître le grand amour avec le prince charmant, je m’investis totalement dans ma vie professionnelle qui n’a rien d’enthousiasme. Il m’arrive depuis quelques mois une histoire impensable (entièrement vraie!), commencée au mois de mai dernier 2012.

Ayant changé de région, il y a un an, j’ai quitté la région de Nancy pour un village reculé du Sud Ouest de la France afin de changer de vie et de métier . Ma nouvelle propriétaire, dame charmante de 55 ans, jamais mariée, seule dans la vie est devenue proche de moi les mois s’écoulant. Etant ma voisine, nous avons progressivement sympathisé en papotant sur des choses et d’autres, puis vint le temps des petites et ensuite plus intimes confidences. Elle m’avoua son dégoût pour les hommes, lâches, veules et infidèles et que sa vie se résumait à s’occuper de ses trois chats et de son chien. Triste bilan pour une femme possédant cinq maisons en locations, une jolie voiture de marque allemande. Bref, un compte en banque bien fourni mais à la vie vide de sens et de plaisir. Je remarquais avec le temps sa façon de me regarder de plus en plus insistante et surtout ses regards appuyés. Je me posais de plus en plus la question sur une éventuelle attirance pour la gente féminine.

Au mois de mai, je lui apportais comme chaque mois mon loyer un samedi matin. Elle me reçut en peignoir. Femme assez forte, je remarquai ses gros seins lourds qui tendaient le tissu. En buvant le café, je me sentais de plus en plus troublée par cette femme, qui ne me plaisait pas physiquement mais qui m’inspirait une certaine pitié. Elle me complimentait sur ma robe courte qui devait plaire aux hommes et sur ma poitrine qu’elle trouvait ferme et harmonieuse et ma minceur. Et là, je ne sais pas ce qui s’est passé. Elle me prit la main dans la discussion et m’annonça tout de go que je lui plaisais beaucoup, qu’elle aimait les femmes sans jamais avoir eu une relation homosexuelle. Sa main remontait en me parlant jusqu’à mon bras puis elle se mit à effleurer ma poitrine, ce qui eu pour effet de m’électriser et pour cause cela faisait plus de six mois qu’aucune main ne s’était posée sur moi.

Et là, je suis incapable d’expliquer pourquoi, je me suis rapprochée d’elle instinctivement et je l’embrassais goulûment. Mes mains s’emparèrent de ses gros nichons aux tétons énormes et durs. Ma propriétaire se laissait faire en répétant inlassablement les mêmes mots

" Tu es gentille Thifanie, tu es gentille ma puce"

Elle me prit à nouveau par la main et me guida vers sa chambre. Alors que cette femme ne me plaisait pas du tout, j’ai eu envie de lui faire plaisir. Nous allions connaître toutes les deux notre première expérience saphique en même temps.. Elle me déshabilla, fit tomber son peignoir et nous nous allongeâmes sur le lit. Ses mains maladroites et pressées parcouraient mon corps. Je la guidais dans nos ébats

" Doucement Alice, caresse moi doucement". C’est son vrai prénom par contre!

Je lui caressais en même temps l’entre jambe, elle mouillait abondamment. Lorsque je pris possession de son clitoris, cette femme ronde se cambra et je me jetais à l’aventure pour lui faire une belle minette. Je m’appliquais du mieux possible. Nous inversions les rôles. L’ambiance était irréelle, j’étais en train de me faire gouiner par une femme en manque de sexe tout comme moi d’ailleurs. Le tout sous le regard de son chien assis sagement dans la chambre à mater nos ébats ou à tourner en rond dans la chambre J’eus droit de voir "son homme" comme elle l’appelle, un joli godemiché qui se chargeait de lui apporter du plaisir nocturne. Je m’en emparai et je la pris brutalement. Mouillant comme une folle, l’engin de très belle taille s’enfonçait en elle. Telle une experte que je ne suis pas pourtant, je lui imprimais des va-et-vient tout en lui léchant son clitoris proéminent. Ma propriétaire était entièrement à ma merci. Puis voulant lui donner un autre plaisir (ou sentant le vice monter en moi ?), je m’enhardis et je partais avec le gode à l’attaque de son petit trou avec une crème bien fluide. Progressivement et avec patience, "la bête " s’enfonçait dans son anus. Je l’entendais râler, pousser des petits cris de douleurs, me chuchoter

" Cest la première fois Thifanie, sois douce".

A 55 ans, elle était en train de connaître sa première pénétration anale. Cela me mit dans un état d’excitation inimaginable. Je lui suçais son clitoris pendant que l’engin la clouait sur son lit comme un papillon. Notre partie fine se termina par la jouissance de ma propriétaire, sans qu’elle ne cherche en retour à me faire subir les mêmes assauts. Ce que j’aurais refusé d’ailleurs! Et ce mois de mai, je ne payais pas mon loyer. Elle me fit cadeau de 680 , et connaissant ma situation financière précaire, je ne me fis pas prier pour la faire changer d’avis.

Durant le mois qui s’écoula, j’eus droit à de nombreuses attentions : petit cadeau dans ma boite aux lettres, lettre d’amour. Alice était en train de s’amouracher de moi.

Au mois de juin, je lui apportai mon nouveau loyer en me demandant comment cela allait se passer. Elle me reçut avec un regard sans équivoque : celui d’une femme au regard empreint de douceur et de désir. Elle me demanda d’une voix douce et à la limite presque suppliante de lui refaire l’amour . Je n’ai aucune honte à dire que je n’ai pas hésité un seul instant. Alors que j’étais en train de lui caresser le corps, son chien un superbe Colley rentrait dans la chambre. Pendant que lui caressais la poitrine, je lui posais la question

" Tu as déjà eu envie de faire l’amour avec ton chien, toi qui vit seule ?".

Elle m’avoua que non, mais que parfois elle le "soulageait " d’un trop plein de semence». Je voulais la voir à l’uvre et la sentir encore plus à ma merci. Je la plaçais alors jambes pendantes au bord du lit et m’agenouillais devant elle pour lui faite une minette. J’attirais Adam et instinctivement il se mit à la lécher d’abord timidement de sa langue bien râpeuse. Je prenais le relais avec la mienne. Nous étions deux Adam et moi à fouiller son minou en parfaite harmonie Nos langues se mêlaient ce qui me faisait mouiller abondamment .Alice était chaude à souhait et ne protestait aucunement. Elle se laissait aller dans les sphères du plaisir Je montais ensuite sur le lit pour l’embrasser à pleine bouche pendant qu’Adam s’occupait seul de la chatte de sa maîtresse. Je glissai des mots doux dans l’oreille d’Alice pour l’encourager

" C’est bon Alice, tu aimes ce qu’on te fait?".

Et pour finir

" Fais moi plaisir Alice, branle le devant moi, je n’ai jamais vu un tel spectacle de ma vie"

Elle s’exécuta immédiatement, se mit à quatre pattes et sans aucune hésitation se mit à lui caresser le ventre puis à lui masser doucement le sexe, et là je voyais l’experte qu’elle était. Adam ne mit pas longtemps à bander et son sexe rose sortit de son fourreau pendant que la main ferme d’Alice le branlait frénétiquement. Sa queue devenait de plus en plus grosse. Allongée sur le lit, je regardais ce spectacle que je serais bien incapable de faire. Adam ne tarda pas à éjaculer par longues saccades et sa maîtresse bonne fille le branlait alors plus doucement pour lui vider entièrement ses boules. Et le plan sexe contre nature s’arrêta là. Je ne tenais pas cette fois à pousser plus loin l’expérience zoophile. J’attirai alors Alice à moi en lui demandant de me faire une jolie minette, ce qu’en bonne maîtresse aimante, elle me fit sans se faire prier.

Depuis ce jour notre relation a évolue. avec Adam. J’ai même rencontré chez Alice son seul ami de 60 ans adepte de zoo et qui m’a proposé dsicretement depuis de me voir me faire prendre par Adam en étant très généreux si j’accedais à son désir. Mais ceci sera une suite si cette histoire plait aux menmbres de X story..car il y a eu suite à cette demande….

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