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Mon mari et sa famille – Chapitre 4

Mon mari et sa famille - Chapitre 4



Nous habitons dans un lotissement à 500 m de chez Sylvie et Jean François tandis quIsabelle et Christian et mes beaux parents habitent à 5 et 6 km de chez nous.

Jeudi de la semaine suivante, nous nous rendons chez Sylvie et Jean François à pieds. Je suis habillée dune robe courte, avant de quitter la maison Gaëtan me dit:

— Pour surprendre Sylvie et Jean François tu devrais retirer ton string.

— Mais si le vent soulève ma robe les gens dans la rue ils vont voir que je nai pas de sous vêtements.

— Ce nest pas grave, jadore quand tu texhibes. Si tu ne le fais pas je te fesse au milieu du trajet en pleine rue.

— Si tu tiens absolument à ce que jaille sans culotte, tu nas quà la retirer toi-même.

Gaëtan retire mon string et cest ainsi vêtu que nous nous rendons chez sa sur. Nous arrivons chez eux et mon beau frère qui fait:

— Quelle tenue: se balader sans culotte dans les rues avec une robe aussi courte chapeau ma belle sur, tu as de la chance que nous devons partir tout de suite car je taurais bien baisé.

— Cest vrai que tu fais fort Caroline encore bravo.

— Bon allez les hommes il est lheure que vous partiez, sinon vous aller rater le coup denvoi du match.

— Oui, le temps de prendre Christian et Pascal en passant il sera lheure.

Nos deux hommes sont partis depuis à peine dix minutes quIsabelle arrive avec sa mère. Nous mangeons un repas léger puis nous parlons de tout et de rien. Dun seul coup Sylvie change de conversation et me demande:

— Alors au fait ça tas plu la semaine dernière de te faire sauter à ton bureau?

— Oui, des fois le chantage à du bon.

— Pourquoi du chantage?

— Ma collègue ma reconnu dans les ébats avec vos maris et elle ma donné le choix ou je faisais ce quelle me demandait ou elle donnait le DVD au patron, nous avons donc décidé avec Gaëtan de faire ce quelle voulait seul bémol le patron est venu dans mon bureau jeudi et vendredi après midi, je lui ai donc dit que lon mavait fait du chantage sans dire qui et que cest pour cela quil ma vu me faire baiser au bureau.

— Mais il faut te venger de cette pute.

— Jai ma petite idée, je vous lexpliquerai plus tard.

— Mais en attendant tu as eu quand même du plaisir avec nos maris, il serait bien que tu nous en donnes.

— Mais je ne suis pas lesbienne, je nai jamais fais cela à une femme.

— Il y a un début à tous.

— Tu vas nous lécher toutes les trois.

Les trois femmes remontent leur robe et enlèvent leur culotte puis sasseyent cote à cote sur le canapé. Je me mets à genoux et commence par lécher Sylvie, après quelques minutes je change et bouffe la chatte dIsabelle et enfin quelques instants plus tard je lèche le sexe de ma belle mère tout en moccupant de sa chatte je vois Isabelle et Sylvie lui retirer sa robe et elles se mettent à sucer chacun un sein ce qui a pour effet de faire jouir ma belle mère. Alors que je lèche à nouveau Sylvie, je sens que lon remonte ma robe, cest ma belle mère qui a repris ses esprits et qui se met à me bouffer la chatte, tandis quIsabelle a baissé le haut de la robe de Sylvie pour pouvoir sucer ses tétons. Dun seul coup je reçois un formidable jet de cyprine et jentends Sylvie nous dire quelle jouit. A son tour Isabelle enlève sa robe, je suce quelques instants ses seins puis descends vers son sexe et Sylvie et ma belle mère prennent chacun un nichon, ce qui déclenche un orgasme chez Isabelle. Sylvie et ma belle mère me retire ma robe et tandis lune soccupe de ma chatte lautre me suce les seins et je ne mets pas longtemps pour jouir. Quand jai repris mes esprits nous nous allongeons toutes le quatre sur le sol. Jai la tête dIsabelle entre les jambes, qui elle-même se fait lécher par ma belle mère et Sylvie lèche celle-ci et moi je suce le clitoris de Sylvie. Nous changeons de place à chaque fois que lon jouit. Après une heure de ce petit jeu et plusieurs orgasmes plus ou moins fort nous nous rhabillons juste avant le retour de nos maris. Jean François et Gaëtan rentrent quelques minutes plus tard, mon mari et moi disons en revoir et nous regagnons notre maison à pied, pendant le trajet Gaëtan me demande:

— Qu’avez-vous fait le temps de notre absence?

— On a discuté de choses et dautres puis Sylvie ma demandé si javais eu du plaisir la semaine dernière, ce à quoi jai répondu oui et là toutes les trois mont demandé de lécher leur sexe et de leur donner du plaisir.

— Et tu las fait?

— Oui, jétais bien obligé.

— Alors comme ça vous avez baisé entre filles.

Sur ces mots nous arrivons devant chez nous mais la maison est 25 M en retrait par rapport au trottoir, qui nest séparé que par un mur de 30 cm de haut le long de celui-ci et dun simple grillage des deux cotés. Avant dentrer sur notre propriété Gaëtan me dit:

— Reste sur le trottoir, comme tu tes envoyé en lair avec tes belles surs et ta belle mère sans que je sois au courant, je vais te donner un gage à exécuter tout de suite.

— Daccord, que dois-je faire?

— Tu enlèves ta robe ici et tu me la donnes.

— Mais enfin il est à 23H30 les voisins pourraient me voir

— Ce nest pas grave

— Bon si tu insistes je le fais.

Jenlève donc ma robe et la donne à Gaëtan, alors que je vais pour entrer chez nous de nouveau il marrête et me dit:

— Non, comme tu as discuté mon gage, tu vas poser tes mains sur le mur et je vais te donner 20 fessées sur chaque fesse et tu comptes à haute voix.

Je prends donc la pose demandée sans protester car il pourrait doubler le nombre de fessées. Dés que je suis en position la fessée commence, clacclac…1, clacclac2, clacclac…3clac…clac…20.

— Maintenant, tu peux rentrer et tu vas dans le jardin et tu attends.

Après quelques minutes dattente, Gaëtan me rejoint tenant à la main une corde, je lui demande:

— Mais quest ce que tu vas faire avec ça?

— Tu vas te pencher sur la table de salon de jardin et je vais tattacher à celle-ci.

— Mais pourquoi?

— Parce que tu as pris du plaisir sans que je sois présent et si bien tu ne discutes pas et penche toi sur la table.

Je prends donc la position et mon mari mattache les jambes à un pied de table ramène les deux cordes au dessus de la table et lie mes mains. Une fois que je suis bien attachée, il me dit:

— Maintenant, je vais te donner 10 coups de canne anglaise et comme pour les fessées tu comptes à haute voix.

A peine sa phrase fini, jattends le sifflement de la baguette dans lair juste avant de sentir le premier coup tombé sur mes fesses et je compte 1.2..3.410. Après le dernier coup, mon mari me dit tout en caressant ma chatte qui est franchement mouillée:

— Salope comme tu mouilles et que je bande, je vais te baiser.

— Mais pas ici, rentrons à la maison.

— Non, je vais te prendre ici.

Tout de suite après je sens son sexe me pénétrer avec force. Et mon mari qui me traite:

— Tiens salope, prends ça, taimes ça te faire baiser?

— Oh ! Oui vas y plus fort, baise moi

— Oh ! Oui quest ce que tu mouilles.

— Oh ! Je vais jouir encore plus fort

— Oui moi aussi je jouis dans ta chatte cest trop bon je jouis.

— Moi aussi je jouis mon chéri que cest bon.

Après quelques instants, mon mari me détache et nous rentrons dans la maison, alors que nous prenons une douche ensemble, mon mari menlace et je sens son sexe à nouveau raide jécarte légèrement les cuisses pour quil puisse me prendre ce quil fait, après quelques minutes dans cette position il retourne, me fait prendre appuie contre le mur et il me sodomise et il jouit dans mon cul au moment ou moi-même jai un orgasme puis nous allons nous coucher, heureusement nous ne travaillons le lendemain, cest un jour férié.

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