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Mon mari m'offre à d'autres mâles. – Chapitre 2

Mon mari m'offre à d'autres mâles. - Chapitre 2



La porte s’ouvrit et le dialogue entre Sébastien et mon mari me parvint clairement.

"Excuse de te déranger. C’est à mon tour de te demander un service".

Tu as un problème de tuyauterie aussi toi ?

On peut dire ça comme ça… Tu peux venir ?

Maintenant ?

Oui.

Je me reculai pour entrer dans le salon. Quand il me vit, Sébastien ne put cacher son impression. Son visage devint très expressif. Ses sourcils montèrent et redescendirent en un battement et ses joues se gonflèrent l’espace d’un instant comme lorsqu’un mec fait "Waouf"! Il avait tout de suite remarqué que j’étais très peu vêtue. Mes seins pointaient en transparence sous la frêle chemise de nuit, on voyait ma toison pubienne presqu’au naturel et à un ou deux centimètres de moins, ma nuisette aurait montré ma moule.

"Voila" reprit Franck : "On a un petit problème de couple… Est-ce que tu veux sauter Lydie"?

— Quoi ?

— Est-ce que tu veux baiser ma femme ?

— Non, mais arrête, j’ai jamais pensé à ça moi.

— Je m’explique mal. Là, je voudrais la voir se faire monter par un autre mec. C’est mon fantasme. Je pensais… enfin, est-ce que tu veux bien la sauter maintenant devant moi ?

— Eh, mais vous êtes de gros malades. Tu veux que je … que je fasse l’amour avec ta femme devant toi… maintenant ?

Et il me regardait avec inquiétude et incrédulité.

— Oui.

— Eh mais n’importe quoi… je fais pas ça moi !

 Je m’approchai de lui, le frôlai : "Pourquoi"?

— Non mais arrêtez là ! Putain c’est une histoire de fou !

— Tu veux pas me sauter ? Je suis pas à ton goût ?

— Si, si, t’es canon, mais…non vous êtes des potes quoi…

— T’es gay ?

— Non, non pas du tout… ça n’a rien à voir.

— Alors lâche-toi… prends moi. Franck n’attends que cela.

Et, joignant le geste à la parole, je lui saisis la main pour la diriger vers ma chatte. Mais il se dégagea brutalement, et s’enfuit en claquant la porte.

Nous restâmes complètement hébétés, Franck et moi. Il me dit : "Eh ben, c’est réussi "!

— Ben qu’est-ce qu’il lui a pris ?

— J’sais pas, mais c’est foutu ! Putain ça avait commencé à me chauffer là…

— Attends, j’ai pas dit mon dernier mot.

Et ce faisant, j’enlevai ma nuisette.

"Qu’est-ce que tu fous" ?

— Je vais chez lui. Comme cela, il ne pourra pas fuir.

— Mais.. tu es dingue.

Je ne laissai pas le temps à Franck de réagir. J’ouvris la porte et traversai le palier. Il n’y a que deux appartements par étage et nous sommes au premier. Au rez-de chaussée, ce sont des petits vieux, aucun risque qu’il se déplacent. Au deuxième, un appart est vide et l’autre est habité par une vieille fille. Pas de risque.

Je sonnai. Il entrebâilla la porte et, me voyant nue devant lui, il porta sa main dans ses cheveux en disant : ’putain, mais c’est pas vrai, je rêve… Ils sont dingues " !

Ce fut assez pur que j’aie le temps de forcer le passage et Franck referma la porte derrière moi.

"Allez, fais pas ton timide. Prends-moi"!

— Non mais il n’y a pas moyen… barrez-vous. J’ai un pote qui doit venir…

— On aura peut-être fini avant si tu te décides…

— et ton pote peut participer ! ajouta Franck.

Cependant, il avait reculé jusqu’au fond de la pièce. Il était le dos au mur dans tous les sens du terme. Je me collai à lui.

"Mets ta main à ma chatte. S’il te plait".

— Oh non non non non non… Mias qu’est-ce qui m’arrive… Foutez le camp ! Laissez-moi !

Je portai la main à son jean. Une belle bosse, bien dure s’épanouissait en dessous.

"Allez, fais pas ta chochotte…tu bandes comme un âne… et tu m’as l’air plutôt bien monté… Franck mon chéri, va y avoir de la concurrence…"

— Cool, deux bonnes queues pour toi mon amour…

Mais il continuait à se débattre et à résister alors que je commençai à forcer sa braguette.

"Mais aller, détends-toi, c’est quoi ton problème ? T’es coincé du cul "?

— Non… non… mais, j’lai , jl’ai jamais fait.

— Jamais fait quoi ?

— Ben…. t’es lourde… j’suis puceau !

A cette révélation, Franck s’écria : "Génial. Tu pouvais pas mieux tomber pour perdre ton pucelage. Lydie est une experte. Laisse-toi guider, on va t’apprendre, t’initier….".

Alors il se fit plus coopérant. Je n’eus aucun mal à baisser son futal, et à aller chercher la bite dans le slip. J’en sortis d’abord l’extrémité puis plongeai ma main jusqu’aux roustons. Je m’enfonçai dans une toison abondante, douce et souple La chaleur de la journée y avait laissé une certaine moiteur. Son sexe embaumait juste ce qu’il faut. J’aime la queue qui sente la queue, comme dit la chanson :"un nud ça doit sentir un nud". Il ne faut pas, évidemment, que ça pue. Là, il était parfait. Je le fis remarquer en approchant mes narines au plus près de cette merveille : "Hmmmm, il sent bon l’homme" ! Je fis rouler les couilles dans mes doigts que je passai entre les deux jambes. C’était presque humide. Je sortis mes doigts et les léchai : "Tu me plais décidément beaucoup garçon"!

Puis je déballai entièrement le paquet laissant la bite sortir comme un ressort.

"T’as vu, il est vraiment pourvu comme un poney"!

— Oui ma chérie, bouffe la jolie queue.

Et je me mis à lui faire un magnifique fellation. Je décalottai bien l’engin, suçai le gros gland bien découpé, passai ma langue et ma bouche sur toute la hampe et enfournai enfin le tout. Pendant ce temps, il avait commencé de lui même à enlever son T-shirt pendant que Franck l’aidait à retirer complètement son slip et son pantalon.

Enfin je me relevai et l’embrassai à pleine bouche, puis, tout en écartant mes jambes je lui appuyai sur la tête pour qu’il se baisse. Franck avait viré son propre survet pour mettre son zob à l’air et se pignolait.

Seb trouva évidemment ce qu’il avait à faire et se mit goulument à me bouffer la chatte : "Et moins vite mon garçon, prends ton temps. Ecarte avec les doigts… voilà, maintenant titille lentement avec la langueeeee…bien…. Hmmmm….Essaie de suçoter le clito…aspire-le… Ouiii…. comme ça, tu apprends vite… maintenant descends ta langue et introduis la dans le trou….C’est bon… tu es douéééé… aller je te laisse faire maintenant".

Et je me laissai brouter le minou un instant avec délectation

"Si tu veux que je te bouffe les couilles, il va falloir les raser "! Ce n’était pas une suggestion. Franck le comprit et il ne mit qu’une minute à trouver rasoir et mousse. J’allongeai mon nouveau joujou, lui passai une serviette sous le cul. Je me mis en 69 pour qu’il continue à me lubrifier la raie avec sa langue et je fis le nécessaire pour débarrasser les burnes de leur étouffante moumoute, mais je pris soin de laisser intact le pubis et les poils des cuisses qui m’excitent beaucoup.

Pendant ce temps il s’était un peu affranchi et, désormais, il foutait ses doigts dans la chatte, ou me caressait les seins quand il me mangeait à nouveau le cul.

"Aller, maintenant, monte-moi" et je me mis en levrette.

"Attends, je te montre" et Franck me pénétra pour lui enseigner, s’il en était besoin, le chemin.

"A toi, ouais, comme ça… non pas trop vite… c’est bien"!

Et Franck prit du recul pour nous contempler.

"Puain ma chérie c’est bon. Il te grimpe bien. Tu es superbe. T’es contente "?

— Ouais, elle est bonne sa queue et il me tient bien là. C’est chaud

— Tu aimes que je te regarde en me branlant ?

–  j’aimerais mieux ta pine dans la bouche gros porc !

— Attends, attends, pas trop vite. Ça va venir…. j’ai une idée, je reviens…

— Tu vas où ?

— Attends tu va voir… Seb, continue mais surtout prends ton temps. Jouis pas tout de suite !

Seb lui répondit que, pour le moment, il gérait.

— Non mais je voudrais pas que tu éjacules tout de suite, je veux être là.

— Je suis peut-être puceau mais il m’arrive de me branler de temps en temps devant des films de cul tout de même… et en général,  je tiens longtemps… c’est pas pour me vanter.

— Oui, mais là, c’est pas pareil.

— C’est clair, ça excite plus… mais je m’régale, puisque j’y suis, j’en profite.

— Tu aimes ?

— Putain c’est trop bon.

— Cool…tu m’attends mec, Ok ? Je reviens.

— T’inquiète.

Et Franck disparut.

Seul avec Seb, celui-ci se lâcha.

"Tu fais souvent ça" ?

— Quoi ?

— Baiser avec un autre mec devant ton mari?

— C’est la première fois.

— Sans déconner ?

— Tu vois, tu me dépucelles un peu aussi.

— Et t’aime ça? C’est bien ce que je fais ?

— J’ai l’air de m’ennuyer là ?

— Non, non, mais je t’entends peu. Elle est pas bonne la quéquette de Seb ?

— Si elle est bonne… vachement bonne même

— Elle est bonne comment ?

— C’est un bon gros nud.

Et il s’enhardissait.

— Ah ouais, un bon nud. Elle est bonne ma bite, tu aimes la sentir ? Tu la sens bien là ma queue ?

— Ouiiii , vas-y sers toi bien de ton manche là, bourre-moi… ouiiii comme ça c’est bon.

— T’inquiète salope. Tu la voulais ma queue hein, tu la voulais ? Tu veux de la bite fraîche, jamais servie ? tu vas l’avoir lààààà. Putain c’que t’es bonne. Tiens prends mes coups de bite petite pute. T’es une petite pute toi, hein, tu n’as pas l’air comme ça mais t’es une petite pute… et ton mec là, c’est un gros dégueulasse… Il te fourre aussi bien que moi ?

Et il se mit à aller un peu plus vite et surtout plus fort au point de me faire claquer le cul. Je gémissais de plaisir. J’avais perdu toute notion du temps. C’est alors que j’entendis.

"Ben putain, on s’emmerde pas ici ! C’est quoi ce bordel"?

Je relevai la tête, un mec, beur, plutôt costaud écarquillait les yeux en nous matant. C’est à ce moment là que je me suis souvenue que Seb avait dit qu’il attendait un copain… Apparemment, il n’avait pas menti.

A suivre

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