On ne peut imaginer ma stupeur, d’autant plus que, cherchant mon mari du regard, je me rendis compte que la bite que je venais de sucer était celle de Jimmy. A force de prendre les queues qui se succédaient à un rythme rapide, je n’avais pas fait attention au mec qui était au bout.
J’essayai d’appeler mais articulai péniblement : "… Fr… Franck… où tu es…" ?
Il apparut tout sourire, entièrement à poil, bien raide.
Mon beau-père ne s’était pas arrêter de me piner.
Maintenant, je m’étais redressée et j’étais appuyée sur mes coudes, ce qui eut pour effet de me rapprocher de lui et de le faire entrer un peu plus profond dans mon intimité.
J’étais incapable de tenir un propos cohérent. Mon cerveau était révulsé à l’idée de me faire mettre par Raymond mais, mon corps appréciait au plus haut point les rudes coups de son épaisse trique qui m’éclatait la chatte. J’étais au bord de l’orgasme, sans aucun contrôle de moi-même. J’aurais voulu à la fois le repousser et à la fois qu’il me secoue plus encore. C’était une situation que je trouvais à la fois repoussante et délicieuse, c’était "dégueubon" ou "bongueulasse".
Pourtant je tentai quelques paroles mais j’eus du mal à faire croire à mon indignation car, autant il est facile de simuler un orgasme, autant il est presque impossible de dissimuler le plaisir… surtout que j’étais chauffée à blanc par tous ces mecs depuis une bonne demie-heure maintenant. Mon clito était une bombe à retardement et ce gros porc qui me bousculait me mettait la chatte en feu.
"… haaa… Franck…. salaud…. ouiiii oh, oh, oh ooooooh…. Franck….aaaah, tu, tu m’avais…..m’avais….hmmmmmmm C’est booon…. m’avais promis……Nooooon….. Franck….. MERDE !……arrête…..ouiiiiiiiii… arrête….le…." !
Mon beau-père répondit : "Tu veux que j’arrête ? Tu veux vraiment que j’arrête? Mais non tu aimes ça hein salope "!
— Aaaaaaah
— Tu la sens la grosse queue du paternel… tu la sens hein ?
— ….hmmmmmm….. Fraaaanck…. !
Mais Franck n’entendait pas mes appels au secours. Plus je suppliais et plus je lâchais des gémissements de plaisir. Les mecs autour, se marraient, se branlaient, réclamaient la place.
Raymond m’avait saisie d’une main par la nuque et, de l’autre, tout en continuant de me bourrer, il me pétrissait un nichon.
Sa bite produisait un effet prodigieux d’autant que tout en allant et venant, il savait lui donner des inclinaisons, tantôt à droite, tantôt à gauche ou bien en haut, en bas. Je mouillais abondamment.
De temps en temps, il humectait ses doigts et me frottait vigoureusement la raie avec.
Je tentai une ultime fois de me révolter mais, comme j’ouvrais la bouche pour protester, il me rapprocha de lui, se colla à moi et me roula une pelle d’anthologie. C’était fini, j’étais vaincue, je me cramponnai totalement à lui, l’embrassant goulument sans retenue jusqu’à ce que je crie bruyamment mon orgasme clitoridien qui ne dura que quelques courtes secondes.
Les commentateurs y allaient bon train :
"Putain, il la monte bien…. t’as vu comment elle se lâche. Ça c’est de la pouliche…. Allez Raymond, tu en laisses pour les copains…."
Terrassée par les bienfaits de mon clitoris, je m’allongeais en attendant que mon vagin explose de joie à son tour, ce qui était imminent.
Mes orgasmes vaginaux sont d’intensité et de longueur variable. Ils peuvent durer quelques minutes ou près d’une demie-heure. Plus ils sont longs, plus ils en entraînent d’autres et je suis capable d’en enchaîner quatre ou cinq à la suite, ce qui m’arrive rarement car Franck a rarement l’endurance de les attendre tous, à moins qu’il ne continue de me travailler aux doigts ou à la langue, entre deux érections.
Là, je sentis que j’étais partie pour un truc monstrueux. Toutes les queues dont je disposais, les mains qui s’insinuaient partout et me pétrissaient la poitrine sans relâche, les mots orduriers, tout était fait pour prolonger mon état d’excitation.
On me fit cependant descendre au sol où on m’allongea sur le dos.
Aussitôt, Jimmy me pénétra en missionnaire. Je n’avais plus rien à opposer.
"Alors petite salope ? Je croyais que tu voulais pas que j’te baise…. mais tu l’as bien bouffée quand même ma queue hein ? Me dis pas que t’en as pas fait exprès. Et là, tu la sens bien profond dans ta chatte "?
Pour toute réponse, je plantai profondément mes ongles dans son cul musculeux en le traitant de "puceau mal débourré" et de "peine à jouir".
"Puceau, tu en veux du puceau, j’vais t’en donner salope"!
Il se retira, me retourna et se mit à me lécher la rondelle. Pendant ce temps, des mecs se mettaient à hauteur pour se faire sucer.
"Tu vas voir le puceau comment qu’il va t’éclater l’cul"!
Et il me força littéralement, sans plus de préparation. J’étais suffisamment excitée et donc suffisamment dilatée pour que la déchirure ne dure qu’un instant.
Je n’avais pas encore atteint mon orgasme vaginal mais celui de mon trou de balle fut quasiment immédiat. Les contractions de mes muscles autour de la pine de Jimmy décuplèrent son plaisir et il perdit tout contrôle. Sa jeunesse, peut-être, et un certain manque d’expérience le firent éjaculer plus tôt qu’il n’avait prévu.
Une autre queue prit immédiatement la place, plus fine mais plus longue, elle cognait bien au fond.
De temps en temps, je cessais de sucer, autant pour me reposer la mâchoire que pour avoir le temps d’articuler quelques mots de contentement.
Raymond se présenta à son tour : Ce fut un tollé !
"Non, non Raymond, pas toi, casse-toi" !
— De quoi ? J’ai bien le droit de l’enculer à mon tour, non ?
— Encule-là si tu veux, mais en dernier. T’es trop gros, tu vas nous l’élargir.
— Ouais, Claude à raison, on va flotter dedans après.
— Surtout moi. J’ai la bite peu épaisse. Si je passe après toi, j’vais avoir l’impression d’être une allumette toute seule dans une boîte vide.
— Bon, bon, allez-y les p’tites quéquettes là. J’vais la travailler en dernier !
Et tous me limèrent le fion avec plus ou moins d’ardeur jusqu’à ce que Raymond y vienne.
J’étais pourtant bien astiquée déjà, et même enduite de foutre car une autre mec m’avais pissé sur le cul, mais je n’avais jamais introduit dans cet orifice un truc aussi large. Je le sentis passer. Raymond poussa le braquemart à fond et l’enfonça jusqu’aux couilles et il me démonta à tel point que les secousses m’empêchaient de sucer correctement.
Puis il me remit sur le dos, m’écarta les jambes, me bouffa la chatte goulument et replanta son pieu dans mes chairs, entre mes deux lèvres gourmandes, en écartant à nouveau les parois de ma moule.
La sodomie avait un peu calmé mes spasmes vaginaux mais la bite du gros bouc fit aussitôt son effet magique. Le charme opéra plus puissant que la première fois; mon beau-père se mit à genoux, me tira bien jusqu’à lui pour s’enfoncer au plus profond et se démena.
Mon corps fut parcouru de frissons électriques, la tempête se déchaina et la jouissance déferla comme un tsunami. Mes seins roulaient sous les coups de bite quand ils n’étaient pas écrasés par une bouche avide ou des mains chapardeuses.
Je délirai complètement sous cet orgasme inextinguible. Un mec s’allongea au dessus de ma tête, perpendiculairement à mon corps, bras tendus, pour planter sa queue dans ma bouche et s’y promener en d’amples va-et-vient qui me défonçaient la luette.
Je faillis vomir et m’étouffer quand son sperme jaillit en d’abondantes larmes dont je dus avaler une petite dose pour ne pas m’étrangler.
Quand il se retira, j’inclinai la tête pour recracher tout le jus en surplus ce qui donna bien des envies aux autres mâles.
"A genoux, à genoux, j’vais la recouvrir de sauce".
Mais Raymond ne l’entendit pas de cette oreille.
"Bas les pattes bandes de bâtards. J’viens, là, j’viens…"
Et il s’étendit de s tout son long sur moi, son gros ventre m’écrasant de sa masse. Et il mélangea son plaisir au mien.
"ROOOOOOOO………ooOOOOOoooooooo"
Je sentis son sexe se gonfler et pulser à chaque giclée de foutre qu’il déversait en moi.
Il resta bloqué un instant pendant lequel je continuai de m’agiter sous lui et savourai le contact de sa grosse masse de viande nageant dans mon trou. Puis il s’extirpa pesamment, se rapprocha de moi.
"Suce" !
La demande était superflue. A l’approche du gland recouvert de liqueur, ma bouche s’était ouverte et je me délectai des dernières gouttes du précieux nectar et du nappage qui le recouvrait et dont quelques coulées précieuses s’étaient égarées dans les replis du prépuce épais.
Cependant, on le devine bien, cette éjaculation n’avait point épuisé mon orgasme qui se développait en vagues successives et qui réclamait, pour l’alimenter, d’autres nuds bien proportionnés et bien durcis.
Mais, l’abondance de foute avait déclenché une envie de branle générale et je dus me mettre à genoux gueule bien ouverte.
Mus, qui ne perdait pas son sang froid, exigea que je vienne me planter, à califourchon sur son dard.
" Non !Pas comme ça. Dans l’autre sens. Comme ça, je pourrai te sucer les nichons quand les mecs auront fini de t’arroser"!
Je n’empalai donc sur lui, bien droite. Les mecs l’enjambèrent et vinrent se cambrer face à moi pour vider leur couilles, en visant au mieux ma bouche grande ouverte et ma langue tirée au maximum.
Le sperme plut, dans des jets plus ou moins maîtrisées
Les plus habiles tenaient bien leur queue au moment de l’éjaculation et quasiment tous les tirs atterrissaient directement dans ma bouche ou légèrement à côté. D’autres, plus brouillons, contrôlaient mal leurs gestes, et ils partaient dans tous les sens, la jute finissant sur mon front, mon nez, mes joues, ou même, carrément à côté, au sol, en un gaspillage insensé.
Couverte de foutre, je restai seule planté sur la verge épaisse de Mus qui s’était économisé pour la circonstance et qui avait recommandé à ses potes d’en faire autant. C’est ainsi que, pendant que tous les mecs, la queue pendante, allaient se restaurer à proximité en se félicitant, je restai avec trois types décidés à m’enfiler par tous les trous.
"Vous voyez" dit Mus : "Maintenant, elle est entièrement à nous ! Le temps que les autres rebandent, on en a bien pour vingt minutes à sauter cette salope".
Ainsi, pendant que Mus soulevait son cul pour faire bouger sa bite dans mes entrailles, son copain black me pénétra le cul, pendant que l’autre beur me mit son gros gland dans la bouche.
Il y avait à peu près une heure qu’on me baisait. J’étais claquée… mais un second orgasme vaginal succédait au premier. Ces trois belles queues qui me forçaient, chacune dans son orifice, ne faisaient que de m’allumer pour prolonger plus chaudement la soirée.
A suivre