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Mon mec et moi – Chapitre 2

Mon mec et moi - Chapitre 2



Salut à tous…

Comme je l’ai dit, mon mec et moi, on se voyait toutes les deux semaines quand on était dans la même ville, les Week-end. Une harmonie parfaite régnait entre nous.

Etant étudiant, j’avais eu un soucis d’impression. Je lui ai demandé s’il pouvait imprimer chez lui et m’apporter les copies. Il n’était pas prévu qu’on se voit vraiment ce samedi là. Il a accepté d’imprimer et il allait profiter du fait qu’il se promenait avec ses parents, dans le centre, pour me les apporter. Je ne lui avais pas dit que j’avais très envie de lui.

J’ai donc attendu qu’il arrive. J’étais en short, je me touchait la bite, je tournais en rond dans mon appartement, comme un mec en manque d’autre chose que du sexe. Quand il sonna en bas, je lui lança les clés. J’avais déjà ma petite idée. N’ayant pas dascenseur dans mon immeuble, étant un bâtiment classé, je voulais le prendre sur les marches. La pression de pouvoir être surpris ne faisait qu’augmenter mon envie de le prendre.

Quand il ouvrit la porte et monta les marches, je l’attendais devant ma porte. A peine a t-il eu le temps de me saluer que j’ai posé mes mains sur ses fesses tout en l’embrassant tendrement et en caressant ses cheveux. Je savais qu’on n’avait pas assez de temps, je voulais faire les choses biens et vite ! Je l’ai plaqué contre le mur du hall. Il me dit :

Non , arrête, on peut nous surprendre là

Je m’en fiche. Ça m’excite. Je te veux là tout de suite

Mais j’ai mal au crâne, me dit-il

Je vais pouvoir te le faire oublier un bon moment. Détends toi bébé…

Mon mec, c’était une personne qui ne voulait presque pas me décevoir niveau cul, il avait peur que j’aille voir ailleurs. Mais on ne peut pas aller voir ailleurs quand on aime comme je l’ai aimé. De plus, avec le fessier qu’il a et les gémissements qu’il fait entendre quand je le prends, je ne peux pas aller voir ailleurs.

Ni une, ni deux, j’ai passé mes doigts entre ses fesses. Je me suis amusé à le doigter un petit moment tout en l’embrassant. Il passait ses bras autour de mon cou. Je portais un short de jogging. Pour ceux qui savent, ce sont des vêtements très souples. Il a glissé sa main pour trouver ma bite. Quand il l’a eue en mains, il m’a branlé. Mais là encore, nous n’avions pas assez de temps. Je l’ai retourné, baissé complètement son pantalon à mi-cuisses. J’ai tapoté ma bite sur son magnifique fessier. Son cul a pour tendance à attirer ma langue, quoiqu’on fasse. J’ai lapé son cul un petit peu avant de tenir ma bite et de la diriger vers son anus tout chaud que j’adore !

Il a mal. Je m’arrête et pars chercher du gel dans l’appartement. Là, les choses peuvent prendre de l’avant. Je pénètre mon copain lentement. Je fais des vas et viens tendrement en tenant ses cheveux que je tire en arrière. Quand je le baise, il ferme souvent les yeux, comme pour sentir chaque mouvement que ma bite fait en lui. Et j’adore ça !

Je pénètre mon copain à fond maintenant, et lui qui couine :

oh oui, oh oui ! Oh oui ! Il crie en disant mon prénom

tu disais avoir mal au crâne n’est ce pas ? Dis-je

Oui, mais là tu me fais tellement de bien que je n’y pense plus. Prends moi !

On arrête de parler, j’aime l’entendre couiner. Juste ça, ça suffit pour me faire envie. Il a l’air d’une meuf quand je le prends. Il a une fois féminine quand il gémit, c’est bandant. L’absence de poils sur son torse, ses fesses et son anus ne font que favoriser mon étreinte ! Je le tiens par les hanches fermement, je le ramène vers ma bite à chaque fois que je vais au fond de lui. Il est à 4 pattes sur les marchez, enfin si on peut dire ça. Je me retire de lui, je me branle un moment tout en l’admirant bougeant tout seul en quête de ma bite. Il se retourne et me regarde me branler un moment :

Tu es tout mignon comme ça avec ton cul à l’air libre, lui dis-je

Après quoi, je me rapproche à nouveau et lui rentre ma bite. Je la ressors de suite et j’y retourne. Je le prends à fond mon copain. Toujours transporté par les gémissements qui se font entendre dans les marches. Nous sommes pris par la peur de se faire surprendre encore une fois. Il me demande daccélérer parce qu’il commence à avoir mal. C’est pas de ma faute si j’aime lui faire l’amour, s’il m’excite autant… !

Je le prends, l’encule, je le baise… il aime ça ! Mon jus monte en moi et je le lui dis encore une fois.

Rempli moi, je veux sentir ton jus en moi ! Vas-y !

J’adore qu’il le dise en fait. J’adore savoir qu’il aime mon sperme et qu’il le veut bien en lui. Cette idée me fait tourner la tête et je me lâche dans un râle de plaisir long et fort ! Je ne prends même pas le temps de lui laisser sentir ma bite débandée que je me retire direct de lui. Et là, il lâche encore un gémissement, un « haaaaan » tellement sensuel ! Il se retourne, m’embrasse et me dit :

putain, c’était bon !!!!

Tu vois que tu dois me faire confiance pour ces choses là:p

On rentre dans mon appart, il se nettoie avant de rejoindre sa famille. Et moi je me sens mieux. Mieux d’avoir baisé mon mec, mieux de l’avoir vu, mieux de l’avoir rempli…

P.S : quand je dis que je l’ai « baisé », c’est plein de respect malgré tout ce que les gens pourront penser;)

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