à peine il avait franchi le pas de la porte que je me sentais honteuse. Je ne m’étais pas encore essuyé le visage recouvert de sperme. Je me sentais sale de l’intérieur, du plus profond de mon être. Il est mon neveu merde! J’avais une honte quasi mortelle à cet instant. Après une bonne douche et quelques heures pour essayer de passer outre, je me suis retrouvée à repenser à la situation une main sur mon minou. Voulais je de cette relation? Je n’en savais rien.
Le lendemain j’étais partie au boulot. Alors que je parlais avec Denise qui était dans un cas similaire au mien. Elle avait divorcé et se laissait grimpé dessus par le moindre mec qui avait une bite. En fait on étais très différentes. J’engageais la conversation nonchalamment en lui demandant ces dernières prouesses
— Tu connais Rachid mon jardinier la vingtaine basané, avec un corps d’apollon. On va dire qu’il m’as taillé la haie si tu vois ce que je veux dire. Et toi?
Voulant éviter de lui parler de la relation assez étrange je décidais de passer sous silence la partie où je la prévenais qu’il est de ma famille.
— Je me suis tapé un puceau.
— T’étais en manque à ce point là?
— Non! c’est juste que l’on a parlé, on a bu du vin et on a baisé. Je le savais qu’il était puceau. Mais bon on va dire que la nature l’a béni.
— écoute si la nature l’a aussi bien servi que ça, continue fais toi plaisir.
Allais-je prendre ces conseils? Là faut dire que venant d’une femme qui a réussi à avoir une aventure sur le parking d’un super marché sans retirer sa culotte. Je savais si je devais suivre son conseil ou non?
Le dimanche qui suivi mon neveu arriva. Il était habillé d’une chemise bleue et d’un jean foncé. On a commencé comme la semaine dernière avec une bouteille de blanc. On a parlé de tout et de rien avant que le sujet ne tombe sur la table.
— Tu sais Tatie j’ai bien aimé ce qu’on a fait la dernière fois. Même si je sais que c’est mal.
— Oui moi aussi et c’est là le problème. Tu vois j’ai envie à cet instant à la fois de te mettre à la porte et de te baiser sauvagement. Mais ton oncle va ramener tes cousines d’ici une heure donc.
— Tu as vu mes capacités la semaine dernière une demi-heure est plus que suffisante.
Je lui prends la main et le conduis cette fois jusqu’à la chambre. Le vin a encore une fois eu un effet très libérateur. On commence tous les deux à s’embrasser. Là à nouveau je dirige le jeu de langue, car le pauvre ne sait pas comment s’y prendre. On commence l’effeuillage. Sa chemise s’en va en tour de main comme mon t-shirt. Je ne portais pas de soutien gorge, car avec mon gabarit il sert plus à retenir l’air que mes seins. Ses baiser commence à dériver vers mon coup. Je répète en chuchotant "c’est mal. Mais c’est bon". Je défais l’unique bouton de son pantalon et baisse sa fermeture éclair. Je me mets à genoux pour voir sa bite dans son caleçon en train de mourir d’étouffement. Je baisse donc la dernière rempart entre moi et le fruit défendu, ou plutôt l’arbre en l’occurrence. La queue est déjà tendue au maximum je vois que s’en est presque douloureux vu qu’il semble crispé. Je me dépêchai donc de l’enfiler dans ma bouche. Trois secondes plus tard la purée sort. Me voilà avec du sperme plein la bouche qui coule. Je le poussai pour qu’il tombe sur le lit je retire mon pantalon et laisse montrer un joli petit string noir avec un noeud rose. Je le retirai et lui lança dans la tête. Il le renifla. Il devait aimer l’odeur.
Je me positionnai sur lui en lui montrant mes jolie petites fesses. Je suis sur lui comme la dernière fois. Sauf qu’on voyait qu’il commençait à se débrouillardiser. Je sentais ses mains délicatement posé sur mes hanches qui essayaient d’imprimer un rythme trop doux et trop lent. Je préférais en faire fit, car c’était mon plaisir autant que le sien. Je prenais mon pied comme jamais avant. Les va et viens commence à durer. On devait déjà avoir dépassé la demi-heure. Mais je sentais sa grosse queue se frotter contre mes parois c’était trop bon je n’en pouvais plus, je lâchai un orgasme terrible. Je ne sais pas si c’est ma mouille ou mon orgasme, mais il éjacula aussitôt. Je me retirais et m’allongea à côté de lui comme je l’aurais fait avec tout homme. Puis j’entendis sonner.
Merde c’était son oncle avec mes filles, ses cousines.