La nuit fut longue et tourmenté. Je ne rêvais que de deux choses, le sexe avec Benjamin et ses conséquences. Je me suis réveillé plusieurs fois tout en sueur. Je ne savais pas ce qui se passait mais je l’aimais enfin je crois. Je ne savais pas je ne savais plus. Le lundi matin fut des plus étrange. Je me suis levée vers 8H arrivé dans la cuisine je vis Benjamin assis sur une chaise. Ce n’était donc pas un rêve. Il "vivait" bien ici. Je savais ce que cela pouvait inclure et cela me troublait.
— Tatie on fait quoi?
— Moi je sais pas. Je devais t’enseignais le sexe. C’est tout mais …
— Mais quoi?
— Je sais pas!
— Essaye de trouver un mot t’es pas idiote!
— Je veux pas le dire!
— Quoi? Dis le!
— Je … Tu …
— Quoi? toi moi quoi?
— Tu me plais! Voilà je l’ais dit. Je pense qu’il y a plus que du physique. T’as compris?!
— Je crois. Mais je sais pas. T’es ma tante. Donc est ce que ça serait bien ou pas? Même moi je ne sais pas comment gère la situation.
— Je te propose un truc.
Je lui pris la main.
On va se donner un essai une semaine rien que tout les deux. Personne ne trouvera ça étrange tu habites ici. Tu dormiras avec moi. T’en penses quoi?
— Et si ça marche comment on l’expliquera?
— Je sais pas.
— Mais on sait tous les deux que cela pourrait être plus que physique.
— On ne fait rien de mal. Je suis juste une cougar qui se tape un petit jeune qui se trouve être par hasard le fils de la sur de mon ex mari.
— Vu comme ça. On peut aussi dire que la Corée du nord à une léger conflit avec le sud.
— Tu nous compare aux deux Corée. T’es sérieux?
— Non mais en utilisant les bons mots on fait passer n’importe quoi pour ce que l’on veut.
— Comme un amour que l’on cache en simple sexe sans attache?
— Oui.
— Bon nouveau marché parce que je vois que je te fais toujours de l’effet. On fait ce que j’ai dit. Mais on baise direct sur la table.
— D’accord à une condition. Si ça marche je veux que dimanche soir tu expliques à Sophie la situation.
Merde j’étais foutu. Si jamais j’accepte et que cela marchait. Je devrais dire à Sophie que je me tapais son cousin. Mais si ça foirait je perdais mon étalon. Jacquiesçai la proposition. Puis je me jetas sur lui et le fit tomber de sa chaise on s’embrasser sur le sol. Ses mains parcouraient mon corps. Les miennes essayait de le déshabiller. On se trouve assez vite excité, mais toujours pas de capote. On allais pas courir en achetez. Je fouillais les tiroirs à la recherche de mon sauveur. La capote de secours pour mon ex mari et moi quand on était encore ensemble. Je la lui enfila.
— Aujourd’hui c’est toi qui dirige.
Il se retrouva au dessus de moi j’avais les jambes au niveau de sa tête le cul sur le sol et les bras qui me servaient à tenir en équilibre. Lui il avait la queue dans ma chatte. Ses va et viens étaient déjà plus confiant qu’au début sans pourtant être parfait, il se débrouillais bien. Je le sentais contre mes parois en train de se frotter ce qui provoquait chez moi des petits cris aïgues. En voyant mon excitation montait il décida daccélérer le mouvement. Il devenait plus rapide, rude et violent dans ses rentrés et ses sorties. Je n’en pouvais plus je jouissais comme une vierge. Il ne comprenais rien, moi non plus. Il éjacula assez vite après. On se rhabillais puis je l’embrassa une dernière fois comme pour sceller notre accord.
à suivre
