A lissue de ma séance chez mon esthéticienne, je me sentais bien décontractée, invincible, prête à affronter mon patron Mais où ai je la tête, on est samedi en fin d après midi, il nest pas là et de toute façon il a beaucoup trop dautorité, me disais je en me rendant d un pas assuré chez mon coiffeur.
Je marchais comme une fille, comme dhabitude, tel un mannequin défilant sur un podium, tout en ondulant des hanches, et, je lavoue, en roulant un peu des fesses, perdue dans mes pensées.
La semaine avait été éprouvante, et javais envie de papoter avec mon coiffeur.
Marco a 30 ans de plus que moi, il a une cinquantaine dannées, il me coiffe depuis quelques années, cest mon ami, mon confident, et jadore aller chez lui, il a une façon de mettre en avant ma féminité que jadore.
Jarrive un peu avant 19 heures, il est en train de finir de coiffer une cliente.
Hey Fred, ca va ma petite chérie, me lance t il dun air canaille..
Je vois dans le miroir le regard de la cliente qui tente de décoder la situation : elle voit une jeune folle hyper efféminée, elle calcule au bout du compte que je suis un mec, elle entend « ma petite chérie », bref, elle est perdue !!
Je fais une bise un peu appuyée à Marco, et lui dit de ma voix fluette « je prend un peignoir rose ? »
Je minstalle et commence à pianoter sur mon smartphone en lattendant..
La dame est partie, et il me dit, je ferme la boutique, il ny a plus que toi, installe toi au bac à shampoing.
Je cale ma tête dans le bac, il prend doucement mes cheveux pour les rassembler en une masse compacte.
« Tu es vraiment coiffée comme une femme toi, tu métonnes que ton patron te kiffes » me dit il pendant quil commence à mouiller mes cheveux.
Jaime ce moment où je peux mabandonner, ne penser à rien, et javoue que sa séance de shampoing est agréable, il tire mes cheveux en arrière, me masse longuement mes tempes, ma nuque, mon cuir chevelu.. Il sait y faire lanimal, au moment du rinçage, je me sens toute alanguie !!
Il me fait passer au coiffage, cest parti pour le brushing. Il me met quelques noisettes de mousse coiffante, létale doucement sur mes cheveux, prend des pinces, une grosse brosse ronde et commence à uvrer.
Pendant une vingtaine de minutes, il tire des mèches, les lisse, les coiffe, bouge autour de moi, me décoiffe, me recoiffe, je ne dit plus rien, je mabandonne à ce plaisir récurrent, de me voir face au miroir, devenir de plus en plus fille.
Marco sent que cela me fait de leffet, il termine en me laissant une grande mèche volontairement rebelle qui tombe sur mon regard, et que je suis obligée de bouger régulièrement.. Cest tellement hyper féminin
Il finit en me laquant les cheveux, je me trouve superbe !! « Tu es un artiste, Marco !! »
Je prend une cigarette, je madmire tout en aspirant la fumée de ma cigarette.
« Je te sers une coupe de champagne ma belle »
Javoue que jadore quand on me parle comme ça et je lui dit ok avec un grand sourire.
Jenlève mon peignoir et continue à madmirer, je suis très narcissique, javoue !
Il vient vers moi, me tend une coupe en menlaçant tendrement, je trouve ça touchant, il pourrait être mon père ou mon oncle
Je luis souris, javoue que je me laisse envahir par cet élan amoureux, jessaye de ne plus penser à mon patron et savourer linstant présent.
Marco me pelote doucement, face à la glace, « tu as vu comme tu es belle Fred ? »
Sa douce main sattarde sur ma chute de rein, je me cambre et ne peux mempêcher de pousser un petit gémissement. Jai trop envie quil me caresse les fesses !!
Il me dit doucement « Ca fait longtemps que tu nas pas sucé une queue ma chérie »
Je ne sais pas comment il sait ça, en même temps je ne suis pas une marie couche toi là !!
Mais lhistoire est déjà écrite, Marco sent que je suis de toute façon consentante, il sait y faire, il est doux et javoue que jaime ça.
Il prend ma main, la fait aller et venir sur la bosse conséquence de son pantalon..
Au point où j en suis Je suppose que je voulais que ca se termine comme ça Je prend linitiative de déboutonner sa braguette, et prend à pleine main un bel engin, en pleine érection.
Dune main je lui caresse ses testicules, de lautre je le décalotte doucement, et approche doucement mes lèvres un peu trop maquillées de son gland.
Je lui fais des petits bisous, lèche doucement son frein tout en le regardant.
« Fred, tu es une chipie !! Non tu es une petite salope, mais cest trop bon »
Encouragée par ses propos, mes lèvres absorbent son penis, je le pompe doucement, je perd la tête en me disant « je suis une fille » « je suis une pute » « je suis faite pour ça »
Mon dieu , cest trop bon, je suis en train de tremper ma petite culotte, encore et toujours !!
Si mon patron me voyait en train de sucer mon coiffeur
Cette pensée a le don de décupler mon excitation.
Marco a besoin de faire une pause, il nen peut plus.
Il reprend une gorgée de champagne et me demande denlever mon pantalon.
« Met toi face au bac à shampoing ma petite chérie »
Je suis agenouillée sur le fauteuil, mon coiffeur derrière moi.
Il commence à me caresser doucement ma queue, cest trop bon
Il se contente de me branler doucement, puis enfonce un doigt dans mon petit trou.
« tu as envie que je mette ma queue ma chérie « il me dit ??
Je me contente de gémir
« Je vais juste te doigter ma choutte, ta chatte est réservée pour ton patron »
Ce qui est dingue, cest quavec cette phrase, il ma fait exploser, je me suis cambrée, et jai envoyé toute ma sauce.
Marco était ravi.
Evidemment, jai du le faire jouir à son tour, et il na pas tardé à exploser dans ma bouche.
Ce qui lui a plu par dessus tout, cest que après avoir tout avalé et mêtre essuyé la bouche, jai tout de suite pris mon gloss dans ma trousse de maquillage pour me refaire une beauté, telle une vraie pro !!
Il m a rétorqué « tu es une vraie petite catin toi » !!
Il m a fait sourire et je lui ai fait promettre de ne rien dire à Michel, mon patron.
Le dimanche a été reposant, une grasse matinée et un brunch avec des copines…
Bref, je me sentais dattaque pour une nouvelle semaine de boulot, et dans ma tête, jétais Ok pour me faire percer les oreilles (cf épisode précédent)
Michel mavait convaincue (en même temps, je reconnais que jai du mal à lui désobéir) et puis je me disais que ca allait bien maller, même si jappréhendais la douleur que cela allait m occasionner.
Comme dhabitude, javais pris soin de mhabiller comme une vraie poupée, javais envie de faire plaisir à mon patron, après tout, il allait me faire un cadeau, cest normal non ?
Javoue que javais un peu forcé le trait en mettant des bottes qui montaient juste en dessous du genou, par dessus un pantalon très serré, jétais « stringuée », je portais un pull decolleté et un peu court de telle sorte que lon voyait mon nombril et javais mis un petit blouson en cuir.
Jai été accueillie par des sifflements complices en arrivant au bureau, je me trouvais effectivement pas mal du tout !!
Michel est arrivé vers 11h, toujours aussi élégant, dégageant cette autorité naturelle à laquelle je ne savais pas résister.
« Frédérique, dans mon bureau »
Je le suis, en traversant lopen space, mes collègues me regardent dun air mi agaçé, mi amusé.. Certaines jasent derrière mon dos et pour elles je suis « la petite tapette qui veut se tapper son boss pour avoir une promotion ». Cest ma collègue Françoise qui ma raconté ça, nimporte quoi !!
« Alors, vous avez réfléchi » ??
Je fais un peu ma blonde, bouge mes cheveux en un geste très esthétique et lui répond « au sujet de mon problème dordi » ??
Il lève les yeux au ciel, « mais non , pour le piercing de vos oreilles » !!!
Je lui répondais positivement en baissant les yeux et en avouant que javais peur de souffrir. Dune façon mi paternelle, mi sensuelle, il ma prise par la taille en me rassurant.
Sa main sest un peu attardée sur mes petites fesses, comme il le fait parfois et nous sommes partis.
Sur le chemin, il ma expliqué quil avait un ami qui tenait une boutique de tatouage et piercing, et que cétait beaucoup plus professionnel quen bijouterie, quil y avait plus de choix pour les boucles doreille, etc
Plus ca allait, moins jétais rassurée et je cherchais instinctivement à me blottir contre mon patron.
Bref, nous arrivons à la boutique, effectivement Michel et son ami se connaissent depuis longtemps et ce sont manifestement de belles retrouvailles.
Au bout dun moment, le tatoueur me calcule enfin et dit à Michel :
« Je vois que tu aimes toujours autant les jeunes garçons efféminés » !!
« Allez viens ma puce « , me dit il.
Je massoie, il met des gants de chirurgiens, me présente un choix de boucles doreille.
Cest mon patron qui choisit, dune façon très classique, de discrets clous en or, en me disant « vous porterez des choses plus voyantes quand vos lobes seront cicatrisés. »
Et il dit à son copain, tu lui fais 2 trous à loreille gauche, 1 à loreille droite.
Bon javais peur davoir mal, mais finalement ca sest bien passé, et jétais rassurée par la présence sécurisante de Michel.
Et je reconnais que ca mallait super bien, encore un pas de plus vers une féminisation assumée !!
Je narrétais pas de minauder en me regardant dans la glace, en bougeant mes cheveux pour faire apparaître mes oreilles percées quand le tatoueur à dit à Michel « Pendant que vous êtes là, je peux lui percer le nombril, je vous fait un prix »
Hoooo non mon dieu !! Je connaissais déjà la réponse de mon patron qui a argumenté en disant « si vous mettez des pantalons taille basse et des pull trop court, cest bien pour montrer votre ventre Frédérique, dailleurs je dois dire que vous avez un corps superbe. Allez, je vous laisse choisir votre bijou»
Ce compliment mest allée droit au cur, et je me suis décidée pour un piercing qui comportait plein de brillant.
Le tatoueur est un vrai pro, et malgré le côté un peu « hôpital », avec ses gants de chirurgiens et sa grande pince qui me tirait la peau au dessus du nombril , je suis restée courageuse !!
Javoue que je me la pétais un peu en rentrant au bureau, et jen faisais des tonnes vis à vis des quelques collègues qui nétaient pas bienveillantes avec moi, je faisais en sorte que lon voit mon ventre, je me tournais en me penchant pour que lon voit mon string, jallais et venais dans le bureau de mon patron, comme si javais des droits que les autres navaient pas ..
Une vraie petite peste !!
Un jour, mon patron me convoque dans son bureau, en début daprès midi.
Je traverse lopen space dune démarche ondulée, le poignet légèrement cassé, tout en délicatesse !
« Fermez la porte »
Je mexécute et me demande ce quil va encore se passer.
« Cétait votre anniversaire hier Frédérique, ce wk jétais en Italie et je vous ai ramené un cadeau. Je dois dire que je suis très content de vous depuis que jai repris le cabinet »
Je ne sais pas si il fait allusion à mon travail ou à toute autre chose mais bon
Il me tend une boite dont le format rappelle une boite à chaussure, et en découvrant une magnifique paire descarpin rouge, à talon vertigineux, je fond littéralement et me jette à son cou pour le remercier.
« Essayez les » me dit il, « le talon fait 10 cm mais je suis sur que vous avez lentrainement pour marcher des heures avec ce genre de chaussure »
Jenlève mes petites bottines dont le talon a pour le coup lair tout ridicule, au passage, mon patron constate dun air satisfait que je porte des mis bas noir avec un petit motif en dentelle et jessaye ces escarpins.. Qui me vont à la perfection.
Je fais quelques pas dans le bureau de mon patron, ma chute de rein sest cambrée, mes fesses ressortent, il a lair extrêmement satisfait, il me flatte mon derrière en me donnant des petites claques un tout petit peu appuyées, hummm ca me fait perdre la tête !!
« Tres bien, vous pouvez retourner travailler ».
Ok, me dis je, jenlève une première chaussure et là mon patron me dit « Non non, gardez les, ca vous va très bien »
Je suis sortie de son bureau en tortillant du cul et en bougeant mes cheveux, un silence sest instauré quand jai traversé lopen space et je me suis remise à mon poste de travail.
« Mon dieu mais tu as vu ce quil te fait faire « ma dit Françoise..
Plus ça allait et plus jaimais cela, et je me demandais parfois avec inquiétude où cela allait mamener..