Je suis impatiente de revoir l’oncle Henri, "l’homme qui a pris mon pucelage".
Les menstrues ont mis ma libido en sommeil.
Sachant qu’elles arrivaient cela ne m’a pas inquiétée quand Henri a arrosé mon ventre de son sperme.
Depuis j’ai adopté un moyen de contraception afin que les parties de jambes en l’air ne portent pas à conséquences.
En attendant quand nous nous croisons chez mes parents ou chez lui ce sont des baisers et caresses furtives quand nous sommes seuls un instant.
Sa femme, tante Liliane, part plusieurs jours voir sa mère qui est hospitalisée. C’est l’occasion pour passer de bon moments ensemble.
Je me maquille avec soin pour plaire à "mon tonton chéri".
Un string, un soutien gorge pour contenir ma volumineuse poitrine qu’il adore et une robe courte d’été boutonnée sur le devant.
Rien que d’imaginer ce qui va se passer je sens la moiteur gagner mon entre-jambes.
En route les envies gagnent mon ventre et je mouille, ma culotte va est humide avant d’arriver chez mon amant.
Henri m’accueille,.
<< bonjour ma petite salope, en forme pour une partie de plaisir >>. Il referme la porte.
Je passe mes bras autour de son cou et l’embrasse, nos langues s’entrechoquent, le baiser dure longtemps.
Je colle mon corps contre le sien, je sens la bosse dans son pantalon, je frotte mon ventre contre celle-ci.
Henri a mis un bras autour de ma taille et avec l’autre caresse mes fesses.
Je me dégage et recule décidée à étonner mon oncle.
Je déboutonne ma robe, dégage mes épaules, elle glisse au sol.
Je dégrafe mon soutien gorge et lentement fais apparaitre mes seins, je le laisse tomber sur le sol.
Lentement je fais glisser le string le long de mes jambes.
Je dégage mes pieds des vètements qui gisent sur le sol et me caresse les seins et la chatte en regardant mon amant dans les yeux et en souriant. Il est très étonné de mon audace.
Henri commençait à se déshabiller, je lui ai demandé d’attendre.
Je m’approche de lui, je l’embrasse tout en déboutonnant sa chemise que j’enlève et jette au sol.
J’embrasse sa poitrine et lèche les tétons tout en dégrafant sa ceinture et son pantalon qui tombe a ses pieds.
Je baisse son caleçon qui glisse le long de ses jambes.
Je vois son monstre érigé et bien dressé. Je le prends dans mes mains et le caresse puis le masturbe.
A genoux ma bouche court sur son ventre, sur ses cuisses, embrasse son pénis, le lèche.
Ma bouche s’empare de son pénis. Je le suce en serrant bien mes lèvres et en le faisant entrer au maximum dans ma bouche.
Mes va et vient vont en s’accélérant .
Lui caresse mes cheveux et mes joues en savourant ce que je lui fais.
Mon oncle m’attrape par les cheveux et me tire en arrière, sa queue quitte ma bouche.
<< petite salope tu apprends vite >>
<< c’est pour te plaire tonton chéri >>
Il me prend par la main, me relève et m’entraine dans sa chambre.
Allongés nous nous embrassons et caressons sur tout le corps un bon moment faisant monter le plaisir.
Il se met à l’inverse de moi, écarte les lèvres de mon sexe, je sens sa langue pénétrer dans celui-ci et le fouiller.
J’ai repris son pénis dans ma bouche. Je caresse ses cuisses, ses fesses et ses testicules tout en suçant.
Une main masturbe mon clitoris et un doigt s’agite dans mon anus.
Mon bassin remue et mes gémissements sont atténués car sa queue remplit ma bouche.
Il accélère la masturbation, je remue de plus en plus, je crie en laissant son pénis s’échapper de ma bouche, je la reprends quand prise de spasmes je jouis et arrose son visage.
J’accélère la fellation et quand son corps se contracte je reçois son sperme dans ma gorge. Je l’avale en prenant soin de ne pas en perdre une goutte. J’aime le gout de son sperme.
Je continue la fellation, il ne perd rien de son érection.
Henri se met sur moi, nous nous embrassons pendant que je sens sa queue investir mon vagin.
Tout en me chevauchant sa bouche, se lèvres et ses dents s’occupent longuement de mes seins et des tétons qui sont gonflés et raides.
Je caresse son dos et ses fesses.
Le plaisir monte dans mon ventre, je ne controle plus mon corps ni mes cris. Il prend son temps. J’ai deux orgasmes avant que je ne reçoive son sperme dans mon vagin.
Henri me met a genoux et se positionne derrière moi, sa queue pénètre ma chatte, fait quelques mouvements, ressort et vient buter contre mon anus.
Ses mains s’agrippent à mes cuisses, il exerce une poussée et son pénis investit mon cul en douceur aidé par la mouillure et le sperme qui lubrifient.
<< c’est bon d’ètre dans ton cul petite salope >>
<< si tu éprouves du plaisir profites de mon cul, il est à toi >>
Il commence les va et vient, une de ses mains masturbe ma chatte gluante et mon clitoris, l’autre main caresse un sein et triture le téton.
Je caresse ses cuisses et ses bourses.
Mes cris sont de plus en plus forts et rapprochés.
Je ne tient plus, il doit mettre un bras sous mon ventre pour me soutenir.
Il fait des efforts pour que sa queue ne quitte pas mon anus.
Je jouis. et me retrouve couchée sur le ventre.
Il me tire pour que j’aie les fesses au bord du lit et adapte sa position pour continuer a me sodomiser.
Les orgasmes reprennent. Combien je ne sais pas car je suis dans le brouillard, dans un état second.
Son travail de sape dure longtemps avant qu’il ne se déverse dans mon corps.
Couchés cote a cote nous récupérons.
<< tu en veux encore petite salope>>
<< je veux bien si tu n’es pas trop fatigué, mon corps est a toi >>
<< non mais il va falloir que tu t’occupes bien de ma queue pour la remettre en forme >>
<< je vais faire ce qu’il faut pour te faire plaisir tonton chéri >>
Il se couche sur le dos et moi a genoux entre ses jambes. Pour mener a bien ce qu’il demande je préfère qu’il n’aie pas accès a mon corps.
Je commence par des caresses sur ses cuisses, ses bourses puis son pénis.
Ma bouche et ma langue viennent aider mes mains. Henri apprécie.
Je prends sa queue dans ma bouche et entreprends une fellation vigoureuse.
Son membre gonfle et se redresse, je continue à sucer car je vois que Henri apprécie les yeux fermés.
Je me mets a genoux sur lui, je prends sa queue avec une main, la dirige vers mon vagin et m’empale dessus.
Je commence les va et vient mais le plaisir est trop fort, je gémis et j’ai du mal a tenir la position.
Mon amant me repousse, me couche sur le dos, relève mes jambes à hauteur de mes épaules. Il a une super vue sur toute mon intimité et me le fait savoir.
Il se met sur moi et son pénis pénètre mon vagin qu’il laboure, il se retire et entre dans mon anus.
Il passe alternativement d’un orifice a l’autre.
Cela dure très longtemps pendant que je crie de plus en plus fort et les orgasmes sont de plus en plus rapprochés.
Je ne controle plus mon corps et suis dans un état comateux.
J’étreins Henri très fort, les baisers ne durent pas longtemps car j’ai besoin d’air. Nous sommes en sueur.
Quand il éjacule dans mon ventre je ne peux pas dire combien de temps s’est écoulé.
Nous restons dans la position en essayant de récupérer.
Dans la salle de bains nous nous lavons un peu.
Rhabillés Henri nous sert du jus de fruit que nous dégustons en parlant.
<< c’était bien aujourd’hui petite salope, tu progresses vite >>. Pendant nos ébats il me donnait des conseils afin de m’améliorer.
<< avec toi j’ai un bon professeur tonton chéri >>
<< quand veux tu recommencer >>
<< quand tu es disponible, tante Liliane n’étant pas là ce n’est pas un problème et puis j’aime bien faire l’amour avec toi>>
<< On ne peut pas faire ça n’importe ou car tu es trop bruyante quand tu prends du plaisir >>
<< pourquoi tout le monde doit faire pareil >>
<< non, cela dépend toutes les femmes ne réagissent pas pareil, toi tu es une grosse jouisseuse >>
Nous nous embrassons et caressons légèrement et je pars.
<< au revoir tonton chéri >>
<< au revoir petite salope, à demain >>
Il m’a trouvé un surnom que j’aime bien "petite salope", j’aime bien ètre sa petite salope.
En marchant mes jambes ont du mal a me porter, je n’ai pas encore récupéré des orgasmes répétés.
Le sperme coule de ma chatte et me donne des sensations. Je n’ose penser à l’état de ma culotte qu’il va falloir que je lave discrètement.
En rentrant je me suis allongée et endormie aussitot.
Tant que tante Liliane est restée chez sa mère nous avons fait l’amour tous les jours, la fatigue s’est accumulée et mes parents étaient préoccupés pour ma santé me trouvant mauvaise mine.
Ensuite nous nous retrouvions au moins une fois par semaine sautant sur la moindre occasion. Mon oncle Henri a réussi à convaincre un de ses amis de lui préter son logement.
Notre relation à durée plusieurs années, n’a cessée que quand j’ai rencontré l’homme qui partage ma vie maintenant.
Lors de rencontres j’ai eu quelques aventures mais rien de satisfaisant: un éjaculateur précoce et des hommes qui ne pensent qu’a leur plaisir et ne se soucient pas de leur partenaire. Avec tonton chéri c’est mieux.