Cest toujours mon père qui sest occupé de moi. Non que je ne mentendais pas avec maman, mais ses occupations professionnelles la faisaient rentrer tard le soir. Aussi, cétait papa qui jouait son rôle : venait me chercher à la sortie de lécole, me donnait ma douche, maidait à mes devoirs scolaires, préparait le repas, venait me coucher le soir et me faisait un câlin.
Avec maman, les relations étaient assez sérieuses. Je ne dirai pas quelle était trop sévère, mais sans doute sa profession de chef de service lincitait-elle au commandement et requérait lobéissance sans contestation.
A linverse, avec papa javais plus daffinité. Nos moments dintimité nous ayant rapprochés, tels que les câlins le soir au coucher, et bien sur, la toilette en rentrant de lécole. Papa me déshabillait et je me mettais debout dans la baignoire. Après mavoir aspergée deau, il prenait du gel douche dans ses mains et me savonnait sur tout le corps. Cétait dabord le dos, les fesses, les cuisses. Puis il me faisait retourner pour me savonner les bras, la poitrine, le ventre et ma nénette. Venaient en dernier les jambes et les pieds
Bien que gamine encore, jappréciais déjà ces moments privilégiés où les mains de papa allaient et venaient sur mon corps, en gestes souples et doux. Lorsque ses doigts sinsinuaient délicatement dans ma fente, et bien quil ne sattardait pas de façon insistante à cet endroit, je ressentais une sensation de chatouille agréable sur mon bouton naissant. A nouveau lorsquil me rinçait et que sa main faisait bien couler le savon, ses doigts venaient, à plusieurs reprises, dans ma fente pour me rincer correctement. Ensuite, venait le séchage avec une grande serviette quil passait longuement entre mes fesses, puis insistait cette fois un peu plus longtemps dans ma nénette, afin de bien me sécher.
Plus les années passaient et plus je ressentais de plaisir à ses moments intimes de la toilette, écartant instinctivement les jambes pour que papa puisse me savonner, me rincer et messuyer correctement. Je trouvais exquise la sensation de ses doigts dans ma fente lorsquil menduisait de gel douche, puis lorsquil me rinçait, écartant délicatement ma vulve en y dirigeant le jet deau, sentant ses doigts aller et venir, touchant mon bouton qui durcissait. Papa avait lair de faire ces gestes de manière machinale, affectant de ne pas sy attarder plus quil ne semblait nécessaire. En tout cas, pas suffisamment à mon goût, jaurai bien aimé, sans que je sache exactement ce que je ressentais sexuellement, que ce plaisir durât plus longtemps.
Mais si ce plaisir ne durait pas dans linstant, il dura malgré tout dans le temps. Les années passaient, jattrapais treize ans et les premiers signes pubertaires firent leur apparition. Une légère enflure tendait mes tétons et quelques poils commencèrent à garnir mon sexe. Malgré cette approche de la puberté, le rituel de la toilette continua sans quil y eut la moindre gêne entre papa et moi. Notre affinité, notre intimité devrais-je dire, nen souffrit en aucune façon. Pour ma part, le plaisir de ces attouchements, pourtant absents dinsistance malsaine, se transformait, petit à petit, en excitation et en désir. En classe, je sentais la turgescence de mon clitoris lorsque approchait lheure de la sortie et que se présentait à mon esprit le plaisir que jallais avoir lorsque papa me ferait ma toilette. Mon merveilleux père, quant à lui, semblait ne pas sapercevoir des sensations sexuelles que me procuraient, par leur délicate douceur, ces gestes intimes.
Quelques temps plus tard, tout à faillit basculer, lorsque jai entendu maman faire la réflexion à papa que je devenais bien assez grande maintenant pour faire ma toilette toute seule. La réponse, sur le ton de la soumission de papa, fut quil ne faisait là rien de mal à laver sa petite fille. Maman, toujours autoritaire, a rétorqué quelle ne disait pas quil y avait de mal, mais quelle estimait que javais passé lâge de me laisser trop chouchouter, que je devais bien un jour apprendre à me prendre en charge.
Le lendemain, papa me fit ma toilette distraitement et finit par me rapporter la réflexion de maman que javais entendue, mais dont je ne parlais pas. Je pleurnichais un peu en disant à papa que jétais toujours sa petite fille, que je voulais que rien ne change entre-nous. Puis, une idée mest soudainement venue, voulant à tout prix rester la petite fille à papa. Je lui dis, entre deux gros sanglots, que je naimais pas mes poils sur ma nénette et que je voulais quil me les coupe. Bien sûr, papa ne voulut rien savoir pour effectuer cette opération, disant quil avait trop peur de me blesser. Je continuais de pleurnicher, boudais même, mais il ny eut rien à faire. Le soir, au dîner, comme javais une drôle de tête, maman sinquiéta de ma santé et proposa à papa me memmener chez notre doctoresse le lendemain.
Effectivement, à la sortie de lécole, le lendemain, papa memmena chez la doctoresse. Une fois dans son cabinet, dévêtue et allongée sur la table, jai subi un examen complet, y compris sexuel, car la doctoresse pensait que javais peut-être un soucis concernant mon cycle. Papa lui dit que ça avait pourtant lair de bien se passer de ce côté, mais que, ajouta-t-il en rougissant un peu, je souhaitais me débarrasser de ma pilosité pubienne. La doctoresse sourit, rassura papa sur mon état de santé et pour ce qui était des poils que je voulais supprimer, elle lui dit que javais raison, que ces poils là étaient effectivement superflus et elle lui indiqua une crème dépilatoire à utiliser après avoir coupé les poils le plus raz possible. Papa, inquiet, demanda si ce nétait pas dangereux de faire ça. La doctoresse sourit en lui disant quil ny avait rien à craindre, quelle était très efficace et, dailleurs, elle-même lutilisait. Le soir il rassura maman en disant que je navais quun léger coup de fatigue.
Lorsquil vint me chercher à lécole le lendemain, papa était joyeux. A la maison, il me montra le tube de crème et me dit de me déshabiller pour menlever mes poils avant de faire ma toilette. Cest avec beaucoup de précaution quil coupa mes poils. Puis il menduisit de crème et attendit les cinq minutes recommandées avant de tout enlever avec la petite raclette en plastique. Ensuite il me lava, sattardant longuement cette fois sur mon sexe, regardant bien quaucun poils ne restait dans ma fente. Jai eu, ce soir là, un plaisir sensuel très fort pendant tout le temps que dura ce soin, goûtant avec ravissement les caresses des doigts de papa qui me massaient, me chatouillant délicieusement. Lorsque ce fut terminé, jembrassai papa en disant que jétais redevenue sa petite fille à lui. Il me sourit en disant quil valait mieux ne rien dire à maman. Toutes les trois semaines, papa me fait mon épilation intime et ainsi, chaque soir, jai ainsi droit au plaisir de la toilette de petite fille.
Bien que nous nayons rien dit à maman, je doute quelle ait été dupe de notre manège. Mais tout sest arrangé quelques temps plus tard. Un jour que je métais plainte, à papa bien sûr, de démangeaisons au niveau sexuel, il ma emmenée voir la doctoresse qui, après examen, a diagnostiqué une irritation vulvaire bénigne. Elle a ordonné une application de pommade hydratante durant deux semaines, avec un nouveau contrôle après le traitement. Bien évidemment, ce fut papa qui madministra le traitement, malgré la réflexion de maman, dont papa ne tint pas compte. Après la toilette à la sortie du collège, ce fut un nouveau plaisir lorsque les doigts de papa passaient à plusieurs reprises dans ma fente, enduisant mes lèvres et mon clitoris de pommade. Papa nétait plus dupe et souriait de voir mon plaisir à recevoir ces soins.
Les deux semaines écoulées, nous sommes retournés chez la doctoresse qui a conclut à un guérison. Mais je me refusais à cette absence de soins et demandais à notre doctoresse sil ny avait pas de risque de récidive. A sa réponse affirmative, je suggérai quil serait peut-être plus sage de continuer le traitement, de façon préventive. Elle a acquiesé mais a précisé que deux ou trois fois par semaine suffirait, en disant également que je devais bien messuyer la vulve après avoir uriné.
Ce ne fut pas deux, mais bien évidemment trois fois par semaines que je demandais à papa de me mettre de la pommade. Maman, à qui papa avait dit que jétais guérie, sétonna de la continuité de ses soins. Papa lui montra la notice qui spécifiait que le produit prévenait les irritations et que la doctoresse avait suggéré des soins préventifs. Maman a alors regardé papa dun drôle dair en disant quelle voyait, comme pour lépilation ! Papa na rien répondu. Jai baissé la tête. Maman avait sans doute compris notre jeu. Prenant alors un ton moins autoritaire, elle a dit à papa quelle ne voyait pas pourquoi elle naurait pas droit, elle aussi, à un traitement préventif. Baissant la voix, papa lui a dit que bien sûr, ça ne pourrait que lui faire du bien.
Cest ainsi que papa continue de soigner sa fille et sa femme, leur mettant de la pommade, pour leur plus grand plaisir. Maman ne fait plus de réflexion aux soins que papa me prodigue.
Je suis maintenant des études dinfirmière pour, plus tard, soigner moi aussi papa, et pouvoir lui rendre un peu du plaisir quil me donne.