Seule à la maison en tête à tête avec mon père pour les vacances de noël, pendant que ma mère était au chevet d’une tante malade, je profitais du fait que mon père prenait des somnifères pour l’avoir tout à moi en imaginant un plan qui le mènerait malgré lui à me prendre!Ce qui ne manqua pas d’arriver. Sous le choc il se réfugia dans sa chambre.
Cela faisait déjà 30 minutes et je n’entendais aucun bruit venir de sa chambre. J’allais brièvement me nettoyer et me rajuster, puis je toquai à la porte de sa chambre:
-"papa?…"
-"entre!"
Il était sur son lit la tête dans ses mains. Il semblait effondrer. Je m’approchai, et m’assis à coté de lui bien décider à l’aider à passer ce cap.
-"papounet, pardonne moi!"
-"tu n’as rien fais! C’est moi le coupable!"
Je posais mon bras sur son épaule pour l’enlacer:
-"non! Il n’est rien arrivé que je ne désirais!"
Il leva la tête et me fixa les yeux si tristes, je lui souris tendrement.
-"Je t’aime!"
Je le sentis frissonner lorsque je lui dis ça.
-"Je t’aime aussi! Mais tu es ma petite fille, je…"
Il fallait qu’il arrête de s’apitoyer. Je me relevais d’un bond me plantant face à lui les mains sur les hanches et l’air en colère:
-"petite fille?! Je ne suis plus une petite fille depuis longtemps papa!"
Je posai les mains sur mes seins de manière provocante
-"est ce qu’une petite fille en a de si gros? Et ce cul bombé? Et ces jambes!"
Je faisais glisser mes mains sur mon corps, et lui suivait les courbes du regard captivé.
-"crois moi je ne suis plus une petite fille depuis un bail! Je suis majeure et vaccinée! Et je te désire, comme une femme désire un homme! Et jamais je n’ai été aussi vivante qu’il y a 30 minutes quand tu me prenais sauvagement sur le sol de la cuisine!"
-"mais…"
-"pas de mais!" je me plaça sur lui à califourchon, il se laissa faire, et je tendis les lèvres vers lui, il ne fit aucun mouvement, et je m’empara de ses lèvres.
Quand il sentit ma langue toucher la sienne il eut un bref sursaut puis sa langue entra dans la danse. Une frénésie s’empara de lui, ses mains courant sur mon corps tandis que nos bouches ne faisant plus qu’une vibraient au rythme de nos respirations excitées.
-"ma chérie…tu es si douce!"
-"je suis toute à toi mon papounet d’amour!"
Il se leva j’étais toujours lovée contre lui. Il essayait d’ouvrir son pantalon.
-"attend je vais le faire!"
Je glissais à ses pieds, ouvrit sa bringuette, et sortit son énorme pine. Dieu que j’aime cette vision. Je tendis la main vers le bout rose vif, d’ou perlait une goutte de sperme, ne pouvant retenir ma langue qui passa machinalement sur mes lèvres. En voyant ça mon père s’exclama un peu ironique :
-"jamais je n’aurais supposer que tu sois à ce point salope!"
Réalisant qu’il venait de dire ça à sa fille il eut un sourire d’excuse.
-"Tu as raison, je suis une belle salope et j’adore ça! Et j’adore ta queue!"
Je n’entendis pas ce qu’il dit ensuite trop concentrer à lui pomper le dard.
Quand je le sentit sur le point d’éjaculer, j’arrêta ma manipulation, je me mit à quatre pattes devant lui, tourna un regard chaud comme la braise je lui dis :
-"Sodomise moi…papa!"
Il eut un temps d’arrêt puis se laissant gagner par cette atmosphère de luxure, s’agenouilla :
-"petite cochonne, tu sais ce que j’aime! Oh quel cul d’enfer!" il se pencha et y déposa plusieurs baisers avant de se mettre à me lécher la vulve, puis à remonter vers mon petit trou
-"comme il est adorable! Si petit, je vais te défoncer comme une chienne!"
A ces mots crus, je cambrais encore plus les reins, je sentis un filet de cyprine couler le long de mes cuisses. Il posa son pouce sur mon anus et fit un peu pression.
-"défonce moi! Défonce moi! Je la veux, maintenant!"
Encourager par mes supplique, il décida d’y aller franco, il passa une main de maquignon dans mon entre jambe pour récolter de ma mouille et l’appliqua directement sur mon anus palpitant. Il positionna son gland et poussa.
-"je le sens…il entre…humm…ouiii…."
Une fois bien engager il m’agrippa aux hanches et poussa fortement.
Deux poussées plus tard il était entier en moi. Il resta un instant immobile sans doute pour que je m’habitue à cette massive présence, mais impatiente, c’est moi qui commençai à bouger le bassin.
-"quelle vicieuse!"
-"défonce moi!"
Réalisant quelle salope j’étais il ne me ménagea plus, à chaque coup de butoir je sentais ses couilles taper sur mon cul. D’avant en arrière, parfois la ressortant, puis me l’enfonçant de nouveau avec force.
Il allait si fort qu’il était pratiquement allongé sur mon dos. Il tenait mes seins.
-"je vais jouir!"
-"éjacule en moi! Je veux te sentir!"
-"salope!"
-"humm"
Le frottement, les mots crus, la situation, j’eus mon premier orgasme anal, mes jambes vacillèrent, tandis qu’il me remplissait de son jus les entrailles.
Lorsque j’émergeai à nouveau j’étais allongé sur le ventre, avec lui allongé sur mon dos, et sa queue toujours dans mon anus et le ventre plein de son jus.
Et bizarrement je voulais rester comme ça…et lui aussi semble-t-il.
Soudain brisant le silence apaisant post coït le téléphone sonna.
-"ça doit être ta mère! Je vais me retirer maintenant!"
-"non papa! Reste encore! J’aimerais te sentir durcir à nouveau en moi!"
-"tu es insatiable! Mais je dois répondre!"
-"attends!"
On se tourna légèrement et je tendis la main vers le téléphone sur le chevet, je pris le combiner et l’air de rien :
-"allo? Ah maman c’est toi (…) oui, du temps à répondre? (…) on vient de revenir des courses!(…) papa? Il ramène les courses!"
Tout en disant cela je prenais un plaisir pervers à onduler du bassin
-"tiens je te passe papa qui arrive! Dis après je pourrais te reprendre, faudrait que je te demande quelque chose (…) non non je te passe d’abord papa!"
Il hésita à prendre le combiner mais s’en saisit :
-"allo chérie! Oui les courses (…) oui tout va bien!"
Je sentais que d’avoir ma mère en ligne lui redonnait de la vigueur car d’un coup il prit de l’ampleur dans mon con.
Mon père sembla trouver un certain plaisir dans cette situation, car toujours en parlant de choses et d’autres avec ma mère il me releva pour me caresser les seins.
S’apercevant que j’avais glisser ma main pour jouer avec mon clito, mon père profita de la situation pour me repasser ma mère, essoufflée j’avais un peu de mal à garder une certaine sérénité, d’autant que mon père était bien décider à aller au bout des choses!
-"m’man (.)Oui…ce que je voulais te demander? (…) ah oui…tu vas rester combien de temps là bas? (…) non non on a hâte que tu revienne bien suuur (mon père venait de me mettre un gros coup de butoir.) oooui oui ça va (…) l’émotion c’est ça (…) bon ben à dans deux semaines! Oui bye!"
J’entendis la ligne raccrocher mais ne pu pas remettre le combiner en place; car mon père tel un sauvageon me sodomisait comme un fou.
Son jus précèdent emplissait encore mes entrailles, donnant à mon ventre un petit aspect rebondit, soudain il déchargea une nouvelle fois, ce qui gonfla encore plus mon ventre, appuyant sur ma vessie. Quand il se sépara de moi, de longs jets gluants coulaient entre mes cuisses
-"quelle baiseuse! J’ai rarement tringlé d’aussi belle salope! Tu aimes le cul toi!"
-"hummm!" je m’étirais comme une chatte en chaleur.
-"elle rentre dans deux semaines! On a tout notre temps!" dis je en parlant de ma mère
-"tu vas voir à quel point je le suis."
À suivre….