Bismarck vient vers Julie. Je réalise que c’est la seule, à part Brigitte qui n’est pas là pour ça, qui ne se soit pas fait baiser par l’un d’eux. Elle lui caresse la tête puis sa main glisse sur son dos, descend le long de son flan pour venir atterrir sur son ventre. Elle termine sur sa bite qu’elle branle lentement. Julie est agenouillée à côté de lui, elle se penche quand elle juge son sexe assez sorti et le gobe. Bismarck donne des coups de reins, Julie résiste quelques secondes, mais ses coups sont trop forts, elle se redresse, entraîne Bismarck vers le divan et s’allonge sur le dos, les fesses au bord et jambes en l’air grandes ouvertes. Bismarck comprend, il monte sur le divan en se glissant entre ses jambes et lui plante son sexe d’un seul coup dans le sexe.
— Putain, il me prend en missionnaire, quel pied.
Bismarck se déchaîne, Julie est secouée dans tous les sens, mais à voir son visage, on voit bien qu’elle aime, beaucoup même. Seul le sexe de Bismarck touche le sexe de Julie, il est dressé sur ses pattes antérieures au-dessus d’elle, c’est assez impressionnant. Pendant ce temps, Joy et Marie se câlinent sur le fauteuil, mais le plus surprenant c’est que leurs lèvres sont collées et que manifestement, elles échangent un long baiser. Je retourne à Julie qui s’est dressée sur ses coudes pour mieux sentir Bismarck. Sylvie filme toujours, elle s’est glissée derrière Bismarck et filme sa bite qui fait des allers-retours dans la vulve de Julie. Elle aide Bismarck en donnant elle aussi des coups de reins, ce qui accentue la pénétration. Au bout d’un moment, elle se laisse aller sur le dos, me regarde.
— Oui, je viens, je vais jouir de sa bite, il me la met, il me met sa boule, oui, oui, je jouis, je jouis, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, aaaaaaaaaahhhhhhhhhhh, oui, oui, ouiiiiiiiiii.
Elle est secouée de spasmes et comme si Bismarck comprenait ce qui se passe, il donne encore des coups de reins, moins important, mais plus amples que d’habitude quand il éjacule. Les yeux de Julie sont révulsés, elle agrippe le bord du divan, elle serre la taille de Bismarck avec ses jambes, elle est dans un autre monde. Je viens vers elle, elle ouvre les yeux, je comprends ce qu’elle veut, me penche sur elle pour l’embrasser d’un long baiser. Bismarck se calme et fini par rester immobile bien enfoncé en elle. Julie prend ma tête entre ses mains.
— Putain quel pied, comme toi avec Rex, j’ai pris un pied pas possible.
— Ça s’est vu ma chérie, et surtout entendu.
— Il fallait que j’exulte.
— Tu l’as fait ma chérie, et bien fait.
Bismarck libère Julie, redescend du divan et va vers Brigitte. Je me jette sur le sexe de Julie pour me délecter du sperme de Bismarck. Je ne suis pas la seule et laisse la place à mes amies. Quand Julie est nickel, je l’aide à se relever et l’amène vers la table basse pour l’assoir sur un pouf, elle ne s’est pas encore bien remise de son fabuleux orgasme.
— Bon, il est temps de boire un coup pour mon anniversaire.
Joy et Marie, décidément inséparable, m’aident à aller chercher les bouteilles de champagne et les flûtes déjà prêtes. Nous buvons joyeusement, l’ambiance st à la fête, mais l’heure passe, Brigitte est obligée de rentrer, elle vient vers moi.
— Je ne vais pas tarder à partir, mais Bismarck et Rex veulent te faire un dernier cadeau. Ecarte les cuisses.
J’ouvre mes jambes, je sais ce qui m’attend, et je ne suis pas contre. Rex vient le premier, il me donne un grand coup de langue sur le sexe, je suis électrisée, il continue quelques secondes, Brigitte l’éloigne pour le remplacer par Bismarck. Sa langue est plus large, mais surtout, il sait la mettre en V pour rentrer dans le sexe. Il l’enfonce de plusieurs centimètres dans mon vagin pour finir par venir sur mon clitoris. Julie s’est mise derrière moi pour me permettre de me laisser aller en arrière. Je soulève mes jambes en les ouvrant au maximum, Bismarck donne de grands coups de langue du périnée au clitoris. Je n’en peux plus, j’explose.
— AAAAAAAHHHHHHH oui, oui, oui mon Bismarck, fait jouir ta chienne, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiii.
Je suis tétanisée par un gigantesque orgasme, mon corps est transformé en bout de bois, j’en ai mal aux abdos. Je suis parcouru par un courant électrique de la tête aux pieds, mon cur exulte, je plane, je vole, je ne suis plus là. Bismarck enfonce une dernière fois sa langue dans mon vagin. Je sens des bouches sur mon corps, toutes les filles déposent un baiser sur ma peau. Julie s’est accroupie derrière moi, nos têtes sont côte à côte. Je me tourne un peu pour rencontrer ses lèvres. Dans notre position, il est impossible d’échanger un baiser, mais une main me fait tourner la tête, c’est Joy qui vient déposer un rapide baiser sur mes lèvres.
— Bon anniversaire Lili.
Je lui souris quand d’autres lèvres viennent se poser sur les miennes, Marie, Sylvie, Anne, Claire et Brigitte en font autant en me souhaitant bon anniversaire. Julie me redresse, m’enlace et m’embrasse fougueusement.
— Bon anniversaire mon amour.
— Merci ma chérie.
Je me lève pour aller accompagner Brigitte et ses chiens. Anne, Claire doivent aller à une rencontre body-painting et Sylvie s’en va elle aussi, elle doit assurer une nocturne au sex-shop. Nous restons avec Joy et Marie. Marie va prendre une douche suivie comme son ombre par Joy. Nous les entendons jouir au bout de quelques minutes.
— Je crois qu’elles se sont trouvées, elles sont inséparables depuis qu’elles se sont vues.
— Alors quand ça ne te concerne pas, tu trouves normal de tomber raide de quelqu’un, mais pas pour toi.
— OK, tu as gagné, je crois que je t’aime, j’en suis même sûre.
Elle se jette sur moi, me serre dans ses bras à m’en étouffer.
— Tu m’aimes, tu m’aimes, oh mon amour, tu ne sais pas comme je t’aime, je t’aime, je t’aime, je t’aime.
— Je crois que j’ai compris mon amour.
— Mon amour, eh oui, je suis ton amour, tu vois, tu m’aimes, et je suis sûre que c’est depuis le début, mais que tu ne voulais pas l’admettre.
— Certainement, tu sais, une récente expérience m’a rendue très méfiante, en tout cas, maintenant, j’en suis sûre.
— Ne t’en fais pas, je ne suis ni jalouse, ni exclusive, tu n’es pas ma chose, si je t’aime c’est pour que tu sois heureuse, même sans moi, tu restes libre.
— Je l’ai remarqué et je pense que tu as remarqué qu’il en est de même pour toi.
— Oui mon amour.
Nous nous embrassons tendrement, mes mains s’égarent sur ce magnifique corps en insistant beaucoup sur ses fesses que j’adore. C’est à ce moment qu’apparaissent Marie et Joy, elles se tiennent par la taille, littéralement collée l’une à l’autre.
— Alors les filles, on ne se quitte plus ?
— Tu ne crois pas si bien dire, Joy va rester un peu avec moi, je la ramènerai à Metz, nous voulons passer encore un moment ensemble, histoire de voir où ça peut nous mener.
— C’est ce qu’on appelle un coup de foudre.
— Réciproque, je peux dire devant Joy que je suis dingue d’elle.
— Je peux moi aussi dire devant Marie que je suis dingue d’elle. Nous sommes en harmonie, tout fonctionne entre nous.
— J’ai même vu que tu l’embrassais, je croyais que tu ne supportais pas ça.
— Oui, avec elle, ce n’est pas pareil, ça me semble naturel.
— Et c’est une exclusivité ?
— Pour les baisers, oui, pour le reste, vous restez toutes les deux des partenaires privilégiées.
Sur ces mots, Marie vient vers moi, m’enlace et m’embrasse. Joy enlace Julie, se colle à elle, mais ne l’embrasse pas, c’est une exclusivité Marie, elle lui murmure quelque chose à l’oreille. Au bout de quelques minutes, les couples s’échangent, Joy vient m’enlacer, se souder à moi et me glisser à l’oreille.
— Merci Lili, sans vous deux, je ne rencontrais pas Marie, je ne sais pas comment ça va se terminer, mais je suis folle d’elle, merci Lili, merci.
— C’est la vie tout bonnement.
— Tu sais, j’ai trente-deux ans et elle trente-huit, il est temps qu’on se stabilise, et je crois que j’ai trouvé mon âme sur, comme toi j’ai remarqué.
— Oui, comme moi, j’aime Julie comme jamais je n’aurais cru aimer quelqu’un, c’est arrivé comme ça.
— Comme Marie et moi.
Nous nous séparons, je vais vers Julie.
— Bon les filles, et si on grignotait un bout.
Tout le monde se dirige vers la cuisine. Le repas est vite préparé, vite pris et la table vite débarrassée. Nous nous installons toutes côte à côte sur le divan. Nous ne voyons personne de l’autre côté. Un peu déçues, nous décidons d’aller voir Jean et Sylvie dans son sex-shop. Nous enfilons toutes la même tenue, jupes plissées très courtes, corsages assez largement ouverts et pas trop opaques, le tout sur des escarpins hauts. Notre balade jusque chez Jean ne passe pas inaperçue. Nous sommes suivies par un certain nombre de personnes, plus d’hommes que de femmes, ils restent derrière nous un petit moment puis vont ailleurs, mais une seule femme nous suit jusqu’au bout. Quand nous arrivons, Sylvie se précipite sur nous. Le sex-shop est bourré de mecs et de femmes plus ou moins endormis. Je compte neuf mecs dont trois avec leurs femmes. A part une femme habillée très sexy, jupe moulante très courte sur un corsage dissimulant à peine ses seins, les deux autres ont l’air de s’être trompés d’endroit. Corsages stricts, pantalons même pas moulants, d’une tristesse affligeante.
— Vous venez pour vous amuser un peu ?
— Oui, et mettre un peu d’ambiance dans cette veillée des morts.
— Je compte sur toi.
La femme est rentrée derrière nous. Elle est jeune, dans les vingt-cinq ans, très jolie et pas mal foutue. Elle porte un short super moulant et un tee-shirt double peau sur des seins nus qui pointent orgueilleusement leurs tétons durcis. Je vais vers elle.
— Bonjour, pourquoi nous as-tu suivis ?
— Tu te moques de moi j’espère, tu ne devines pas ?
— Je me doute, mais je veux que tu me le dises.
— D’abord pour voir vos superbes culs bouger devant moi et ensuite pour y goûter si possible.
— Et tu as vu ta tenue, comment comptes-tu nous rendre ce qu’on pourrait te donner ?
— Simplement en me foutant à poil, mais juste après vous bien sûr.
— Et après ?
— En vous broutant le minou à toutes les quatre, j’adore brouter des minous, je déteste les hommes.
— Tu sais que nous, nous aimons aussi les hommes.
— Nobody is perfect.
J’éclate de rire, je lui prends la main, vais me plaquer contre une vitrine du magasin, écarte un peu les jambes.
— Montre-nous ce que tu sais faire.
— Là, devant tout le monde.
— Là, devant tout le monde et même filmées par l’adorable Sylvie.
Sylvie s’avance un peu avec sa caméra.
— J’adore.
Elle s’agenouille devant moi, m’agrippe les fesses, glisse sa tête sous ma jupe et me colle à sa bouche. Sa langue s’active avec douceur sur mon sexe, elle va du vagin au mont de Vénus en évitant mon clitoris. Elle s’enfonce de quelques centimètres dans ma vulve, ses lèvres aspirent mes petites lèvres, mon excitation monte, d’autant qu’un petit attroupement s’est formé autour de nous. Sylvie filme en tournant lentement devant nous. A ma grande surprise, je vois qu’une des femmes en pantalon a défait sa ceinture et glissé une main dedans. Il est évident qu’elle se caresse le sexe. Elle a dans les cinquante ans, elle me regarde, son regard est fixe et intense. Je la regarde en souriant. Sa main accélère ses mouvements, son compagnon se glisse derrière elle, ses mains font glisser le zip libérant le pantalon qui tombe à terre. La femme a l’air d’apprécier, elle lève alternativement ses pieds pour qu’il libère le pantalon. Je vois sous sa main un pubis bronzé recouvert de poils courts parfaitement dessiné, pas de sous-vêtement. Son majeur tourne à toute vitesse sur son clitoris. Son compagnon défait les boutons de son corsage pour libérer des seins en poire bien bronzés, il le laisse tomber à terre et revient poser ses mains sur ses seins pour lui pincer les tétons. Elle est nue devant moi à se masturber, ça a l’air de lui sembler parfaitement normal et de beaucoup lui plaire.
La langue de l’inconnue plus ce spectacle me font partir dans un merveilleux orgasme.
— AAAAAAAHHHHHHH
Je suis parcouru de frissons dans tout le corps, l’inconnue m’aspire le clitoris et le titille avec sa langue, je suis obligée de me retenir à la vitrine pour ne pas tomber. La femme m’imite, elle jouit aussi en me regardant. Son compagnon la retient en la serrant contre lui et l’embrassant dans le cou, je présume qu’elle est au bord de l’écroulement. Je ne suis pas encore remise de mon orgasme que Julie vient se coller à moi, elle regarde l’inconnue.
— A moi maintenant.
— Avec un immense plaisir.
Elle se jette littéralement sur son sexe. Julie pose ses mains doucement sur sa tête et la laisse faire. Deux minutes plus tard, elle jouit en s’exprimant plus fort que moi.
— Oui, oui, j’aime ta langue, oui, oui, oui.
Il y a maintenant une dizaine de personnes autour de nous, surtout que Joy est accroupie devant Marie, accolée à une autre vitrine, et lui broute aussi le minou en écartant ses cuisses montrant un sexe rouge et brillant de cyprine. L’inconnue a elle aussi les cuisses ouvertes, une auréole macule son entrejambe. Quand elle est satisfaite du résultat obtenu avec Julie, elle se redresse. Je lui prends le bras et la fais tourner face au public.
— Excuse-moi, mais je suis obligé de faire une entorse à ce que nous avons dit, c’est toi qui vas être à poil la première.
— Déloquée par toi, c’est un honneur.
Personne ne comprend pourquoi nous rigolons. Je défais le bouton de la ceinture de son short, descends le zip et le fais glisser doucement vers ses pieds. Je vois apparaître deux magnifiques fesses, elles aussi bien bronzées, que j’embrasse. Elle soulève ses pieds pour libérer le short, ma tête est à la hauteur de ses fesses, je ne peux m’empêcher de les embrasser encore une fois. Je porte son short à mes narines, une merveilleuse odeur s’en échappe. Je me redresse, mes mains se posent sur ses hanches, se collent à sa peau et font remonter le tee-shirt jusqu’à ses épaules libérant deux seins hauts et fermes sur lesquels je laisse traîner mes mains quelques secondes. Je lui fais passer par-dessus tête et la retourne vers moi. Elle est magnifique, je me penche un peu pour titiller ses tétons dressés, ma langue s’active dessus, elle frémit. Ma main gauche vient se poser sur son pubis.
— Oui, branle-moi, j’ai envie de jouir, tout de suite, là, maintenant.
Je la retourne pour la mettre face au public et la plaque contre la vitrine. Mon doigt s’active sur son clitoris après s’être lubrifié dans son vagin ruisselant.
— Oui, j’aime ton doigt, j’aime être branlée devant toutes ces personnes, j’aime, continu.
Mon doigt retourne dans son vagin, glisse entre ses lèvres et revient sur son clitoris, mais il ne tourne dessus que lentement, je veux sentir son plaisir monter lentement. Elle se tord dans tous les sens pour accélérer le mouvement, mais je résiste, je ne change pas de rythme.
— Oh oui, oui, continu, branle-moi, branle-moi, je vais jouir, je vais jouir, je vais jouir, oui, oui, oui, aahh ça vient, je jouis, je jouis, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, aaaaaaaaaahhhhhhhhhh, oui, oui, ouiiiiiiiiiii.
Son corps s’est transformé en marbre, aucun muscle n’est au repos, c’est un bloc secoué de spasmes violents. Mon doigt tourne comme un fou sur son clitoris tant qu’elle exprime sa joie. Quand je sens son corps se détendre, je ralentis mes cercles jusqu’à arrêter quand elle m’enlace pour poser sa tête sur mon épaule.
— Merci, merci, j’ai pris un pied pas possible.
— On l’avait remarqué, au fait, comment t’appelles-tu ?
— Marilyn, ma mère était fan.
— Et maintenant ?
— Maintenant, je te déshabille et je te masturbe devant tout le monde.
— Non, tu nous déshabilles Julie et moi et tu nous branles en même temps devant tout le monde.
— Putain, vous êtes folles les filles, mais ça me plaît.
Elle me fait face, défait le bouton de la ceinture de ma jupe, descend le zip et la laisse tomber à terre. Elle se penche pour la ramasser et en profite pour embrasser mon pubis. Elle se tourne vers Julie et lui fait la même chose. Elle revient vers moi, m’enlève mon corsage en embrassant chaque sein et fait la même chose à Julie. Elle nous met à quelques centimètres l’une de l’autre, tournées vers le public et adossées à la vitrine. Elle se met entre nous, face au public et pose ses mains sur nos sexes. Il ne reste que deux couples et cinq hommes comme spectateurs. Elle plonge son majeur dans nos vagins, le ressort pour venir titiller nos clitoris. Tous les hommes ont sorti leurs bites, c’est un festival de mains qui s’agitent dessus. La femme sexy se masturbe à côté de son compagnon, elle a enlevé sa jupe et ouvert son corsage dévoilant un sexe glabre et bien rebondi et des seins hauts mais tombant un peu, trop gros pour moi, au moins du D. Mais je suis surprise en voyant la femme qui s’était masturbée devant moi s’approcher, toujours nue. Elle s’accroupit devant Marilyn, en ouvrant largement ses cuisses, lui agrippe les fesses et la plaque contre sa bouche. Je vois son sexe rose vif et luisant largement ouvert surmonté d’un clitoris énorme dépassant d’au moins un centimètre de ses lèvres.
— Oui, fais-moi jouir avec elles.
Le doigt de Marilyn m’excite de plus en plus, je regarde Julie, elle semble comme moi au bord de l’orgasme, elle me sourit.
— Ensemble mon amour, je viens, je viens, suis-moi mon amour, suis-moi, aaaaahhhhh, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
J’explose en même temps qu’elle.
— AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHH.
Je sens le doigt changer de rythme et accélérer, mais il ralentit soudain jusqu’à s’arrêter, Marilyn aussi jouit.
— AAAAAAAAAAHHHHHHHHHHH
Devant nous, deux ou trois mecs envoient la sauce, la femme sexy se jette sur son compagnon au moment ou il éjacule. Elle doit avoir soif de sperme, elle le pompe en lui agrippant les fesses. Julie vient vers moi, elle m’enlace.
— Tu vois mon amour, même quand c’est quelqu’un d’autre qui nous masturbe, on jouit ensemble, nous sommes des âmes surs.
— Tu pousses peut-être le bouchon un peu loin.
— Non, non, je t’assure.
— OK.
…/…