Vendredi
Je suis réveillée à sept heures du matin par une bouche sur ma bouche et une autre sur ma vulve. Toutes mes lèvres sont occupées. Julie m’embrasse passionnément en me serrant très fort dans ses bras, je sens énormément d’amour dans cette étreinte. Joy s’occupe de ma vulve avec beaucoup de douceur. Néanmoins, le plaisir monte et je finis par jouir sous leurs caresses.
— Bon anniversaire mon amour.
— Bon anniversaire Lili.
— Merci les filles.
Julie me regarde avec une telle tendresse que je ne peux m’empêcher de pleurer. Je la prends dans mes bras pour la serrer très fort.
— Merci ma chérie, merci.
Elle éclate en sanglots, nous chialons toutes les deux comme des madeleines dans les bras l’une de l’autre, Joy s’éclipse pour nous laisser seules. Un long baiser nous unit.
— Tu m’aimes ?
— Je ne sais pas encore, tout ce que je peux te dire, c’est que tu occupes toutes mes pensées et que j’ai du mal à voir l’avenir sans toi, mais c’est tout.
— Ça me suffit amplement.
Elle se colle à moi, nous restons enlacées en silence un long moment. Ce n’est que l’odeur du pain grillé qui nous fait nous lever. Joy a préparé le petit-déjeuner, elle nous accueille avec un grand sourire.
— Allez, ça va refroidir.
Nous déjeunons tranquillement, la femme de l’hôtel nous regarde, assise sur son lit, elle aussi nue. Elle semble prendre beaucoup de plaisir à nous regarder. Après le petit-déjeuner, douche plus ou moins crapuleuse et séance de relaxation dirigée par Joy. Nous nous habillons et arrivons un peu avant neuf heures chez les filles. Elles nous attendent, nues comme d’habitude, mais sont surprises de voir Joy, je ne les avais pas prévenues. Elles se jettent sur moi pour me souhaiter mon anniversaire.
— Nous avons tout préparé pour une nouvelle séance, c’est prévu pour deux, qui veux en être ?
Julie regarde Joy.
— Non, pas pour moi, mais je crois que Joy est d’accord.
— Tout à fait, et comme Lili, intégralement à poil.
— OK, en tenue les filles.
Nous nous déshabillons rapidement. Claire s’occupe de moi et Anne de Joy, elle en profite pour faire mieux connaissance avec son sexe. En une grosse heure, nous sommes prêtes. Nous avons toutes les deux un jean peint sur le bas du corps, moi un tee-shirt blanc avec un grand décolleté en V entre les seins et Joy, en tee-shirt identique, mais grenat avec une inscription sur le dos. C’est hyper réaliste. Mais nos sexes sont assez facilement repérables, si on regarde bien, ce qui me plaît beaucoup. Nous sortons, Joy et moi juste habillées de peinture et de nos sacs à main, Claire et Anne en micro-jupes plissées et débardeurs bien échancrés. Elles filment toujours, elles restent à deux mètres derrière nous. Il n’y a pas un souffle de vent, mais leurs jupes remontent au milieu des fesses à chaque pas. Elles drainent pas mal de monde derrière elles. Julie a enfilé un microshort en tissu fin seconde peau sur sa peau nue qui lui rentre entre les fesses et dans le sexe, laissant dépasser quelques micro-poils. Elle l’a assorti à un tee-shirt super moulant en tissu extensible à même la peau qui moule et fait ressortir ses seins, elle ferait bandes un eunuque.
Nous déambulons dans les rues, je laisse de temps en temps Joy prendre de l’avance pour pouvoir admirer ses magnifiques fesses onduler devant mes yeux. Je regrette un peu que ce ne soit pas Julie. Je réalise tout de même qu’il est très facile de se rendre compte que c’est de la peinture et que ses fesses sont nues dessous. Le fait de savoir que je donne le même spectacle me fait couler encore plus. Joy aussi est dans le même état, je distingue clairement le haut de ses cuisses briller et perdre de la couleur. Nous faisons quelques poses photo avec Julie, juste pour immortaliser l’instant. Nous finissons par arriver dans un marché, il y a beaucoup de monde, nous sommes de temps en temps bousculées par des clients. A chaque contact, nous laissons un peu de peinture sur les vêtements de la personne qui nous touche, mais de ce fait, nous en perdons autant. Au bout d’une demi-heure dans le marché, je remarque que la fesse droite de Joy a perdu beaucoup de peinture, nous décidons d’aller dans un autre endroit moins bourré de monde. En sortant du marché, je remarque que la sueur fait un peu couler la peinture derrière le cou et sous les aisselles, j’imagine que ça va s’accentuer et devenir très sexy. Au bout d’un peu plus d’une heure, j’ai envie d’aller plus loin. Je recherche une rue où je puisse trouver un troquet avec des brumisateurs en fonction. J’en trouve un dans une rue proche de la Madeleine. Quand Anne réalise que je vais droit dessus, elle se précipite.
— Attention au brumisateur.
— Ne t’en fais pas, j’assure.
Je passe devant en ralentissant, la brume me couvre le corps, je suis parcourue d’un frisson, elle est vraiment très fraîche. Mais l’eau a dilué la peinture qui commence à couler sur mes seins, mon ventre, mon dos et mes fesses. Joy fait la même chose, mais passe encore plus lentement que moi. Les clients du bar, pas très nombreux n’en croient pas leurs yeux, ils nous suivent du regard quand nous nous éloignons. La rue est pratiquement déserte, mais l’excitation est à son comble, je ne peux me retenir et quand je vois qu’il n’y a personne devant moi, je porte ma main droite sur mon sexe. Joy, qui est à côté de moi, en fait autant. Mon majeur se pose sur mon clitoris complètement sorti de ses petites lèvres.
— Ensemble.
L’effet est immédiat, je jouis debout en marchant. Je suis prise de violents spasmes qui me font pencher en avant. Elle jouit à côté de moi, elle aussi secouée par de violents spasmes. Cela dure une minute, mais jamais je n’ai ressenti un tel sentiment de vulnérabilité en jouissant. Je regarde Joy, la peinture de ses seins a presque complètement disparu comme celle de son ventre et de ses fesses. Je me regarde, je suis comme elle. Nous nous regardons et décidons de continuer. Quelques minutes plus tard, nous croisons un couple qui parle une langue étrangère, je suppose que c’est de l’allemand. Joy se rapproche de moi.
— Tu sais ce qu’a dit le mec ?
— Non, je ne comprends pas l’allemand.
— Moi, je le parle couramment, il a dit, « Tu as vu ces filles, je ne savais pas qu’on pouvait se promener nu en France ».
— Ça se voit tant que ça ?
— Bien sûr, et je suis liquéfiée, j’ai envie de jouir encore, tu ne connaîtrais pas un coin tranquille, je ne sais pas si je pourrais continuer plus d’une minute sans me masturber.
— Juste un troquet, mais je ne pense pas qu’ils nous laisseront entrer, ils auront peur des conséquences possibles, et chez moi, c’est à tout juste cinq minutes.
— Eh bien, allons chez toi, je vais essayer de résister.
Je prends une rue assez étroite mais déserte, j’accélère le pas, moi aussi je suis au bord de l’orgasme et j’ai hâte d’arriver pour pouvoir libérer mon corps. Nous arrivons devant mon porche, entrons, mais une fois que tout le monde est entré, je me plaque contre le mur et commence à me masturber. Joy fait comme moi. Julie se précipite sur moi, s’agenouille et s’empare de mon sexe avec sa bouche. Anne en fait autant à Joy. Nous jouissons en quelques secondes. Je constate que la peinture a beaucoup coulé et que mon corps est pratiquement nu, comme celui de Joy. Plus qu’une solution, s’habiller, mais pas n’importe comment. Nous montons chez moi, je fonce dans ma garde-robe et en sort deux vestes assez courtes arrivant juste au milieu des fesses. J’en enfile une, Joy la seconde. Nous nous regardons dans la glace, les vestes arrivent juste à mi-fesses, c’est ce que je voulais, Joy a l’air très satisfaite. Nous ressortons pour nous rendre chez Julie. Nous décidons de nous arrêter à un troquet pour prendre une boisson fraîche. Nous sommes dans un angle de la terrasse, Julie est la seule à ne pas montrer son sexe.
— Dis donc Julie, tu ne te sens pas un peu à l’écart du groupe ?
— Pourquoi ?
— Tu nous prives de la vue de ton magnifique sexe alors que tu peux voir les nôtres.
— Et qu’y puis-je ?
— Juste enlever ton short.
— Tu divagues.
— Chérie, s’il te plaît.
Elle me regarde, porte les mains sur la ceinture de son short juste au moment où le serveur arrive. Elle se fige. Quand le serveur repart, elle semble avoir oublié ce qu’elle doit faire.
— Chérie, s’il te plaît.
Elle se soulève légèrement de sa chaise et fait glisser son short le long de ses jambes. Elle a à peine fini son geste que le serveur revient avec la commande. Elle a tout juste le temps de croiser les jambes, mais je pense que le serveur a vu la différence, il la fixe intensément. Quand il est reparti, elle ouvre ses cuisses comme nous et je peux admirer son ticket de métro coupé court. Joy, qui est à côté d’elle, pose sa main sur sa cuisse, elle remonte jusqu’au sexe. Je vois son majeur titiller son clitoris. Anne qui est à côté de Joy lui pose sa main sur le sexe, j’en fais autant à Anne, la main de Claire se pose sur mon sexe tandis que la main de Julie se porte sur le sexe de Claire. Nous nous masturbons les unes les autres. Une boule se forme dans mon ventre, le plaisir monte et je jouis en me raidissant, je sens qu’Anne jouit aussi sous les caresses de ma main. Nous jouissons toutes en moins d’une minute preuve de notre niveau d’excitation. Une fois que tout le monde a bu sa boisson, je me lève suivi de Julie qui réalise une fois debout qu’elle n’a plus son short. Elle se rassoit prestement et l’enfile. Je remarque une énorme tache sur l’entrecuisse du short. Elle est autant excitée que moi.
Une demi-heure plus tard, nous sommes chez elle, il n’est pas loin de midi. Marie doit bientôt arriver, Sylvie et Brigitte arrivent vers quatorze heures. Nous nous jetons Joy et moi sous la douche, vite suivis par Julie. Elle me lave avec amour, elle n’oublie pas un seul millimètre carré de mon corps. Anne, qui s’est déshabillée, s’occupe de Joy. Nous sommes un peu serrées à quatre dans la douche, mais personne ne se plaint. Quand nous sortons, Claire vient se rafraîchir elle aussi. Je vais préparer le repas avec Julie pendant que Joy, Claire et Anne se câlinent sur le divan. Il n’y a personne en face, ils doivent tous bosser. Coup de sonnette, c’est Marie. Je vais ouvrir quand je vois Joy se précipiter et ouvrir la porte. Marie ouvre de grands yeux devant cette superbe fille nue qu’elle ne connaît pas. Elle porte une robe moulante mi-cuisses fermée par cinq boutons et laissant voir le haut de ses seins et le haut de ses cuisses presque jusqu’au sexe. Joy la regarde, s’avance vers elle et l’immobilise sur le pas de la porte.
— Ne bouge pas.
Marie s’immobilise en la regardant intensément. Je ressens comme une énorme tension entre elles que je ne peux définir. Joy défait un bouton du bas, un bouton du haut, un bouton du bas puis un bouton du haut. Il ne reste plus qu’un bouton au niveau du nombril à défaire. Elle écarte un pan du haut de sa robe dévoilant un sein. Elle pose un baiser dessus, fait la même chose avec l’autre sein. Elle défait le dernier bouton et fait tomber la robe à terre. Marie ne bouge pas, elle est nue sur le pas de la porte, mais elle attend la suite, je la sens très excitée. Joy s’accroupit pour glisser ses mains sur ses fesses, l’attirer à elle et poser ses lèvres sur son clitoris. Marie réagit et lui plaque la tête contre son bas-ventre.
— Oh oui, oui, fais-moi jouir, fais-moi jouir.
Je vois la tête de Joy bouger, sa langue s’active sur son petit bouton. Le visage de Marie est illuminé, elle savoure l’instant intensément. Elle finit par se raidir en appuyant encore plus sur la tête de Joy.
— AAAAAHHHHH oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiii, je jouis, oui, oui.
Elle met un certain temps à revenir à elle, elle fait monter la tête de Joy jusqu’à sa bouche, mais Joy a un mouvement de recul.
— Jamais, je ne supporte pas.
— Comme tu veux, mais puis-je savoir qui m’a fait prendre un super pied ?
— Joy, pour te servir, surtout que je dois dire que j’adore ta petite chatte.
— Et moi, j’adore comment tu t’en occupes.
— Je pense qu’on est appelé à recommencer.
— Je l’espère.
— J’adore ton corps.
— Moi aussi j’adore la plastique de ton corps, mais j’aimerais bien y goûter.
— Suis-moi.
Joy prend la main de Marie et l’entraîne jusqu’au divan sur lequel elle s’allonge en écartant légèrement ses jambes.
— Je suis toute à toi.
Marie s’agenouille sur le bord du divan, glisse sa tête entre ses cuisses et pose ses lèvres sur son sexe. Elle devait être très excitée car elle jouit en quelques secondes. J’en profite pour mettre la table avec Julie, Anne a tout filmé, Claire a récupéré la robe de Marie. Quand elles se lèvent, nous passons toutes à table. L’ambiance est assez sexy, nous sommes toutes à attendre la suite des évènements, surtout que les filles n’ont pas encore goûté à Rex, Julie et moi-même attendant avec impatience Bismarck. Le repas se termine assez rapidement. Nous libérons la table et allons toutes prendre une douche pour nous préparer à la réception de Rex et Bismarck. Nous nous faisons toutes un lavement approfondi avec l’outil miracle de Julie. Une fois toutes nickel chrome, nous nous installons dans le salon pour boire un café. Marie et Joy sur le divan sont collées l’une à l’autre avec Anne et Claire à l’autre bout, moi assise dans un fauteuil avec Julie sur les genoux qui a glissé une main entre mes jambes. Elle m’embrasse avec passion. Je me laisse faire, j’aime son comportement avec moi. Je suis de mieux en mieux avec elle. Nous discutons tranquillement quand la sonnette retentit. Anne va ouvrir, c’est Sylvie. Elle entre en enlevant sa jupe et son corsage. Elle vient nous embrasser et s’assoir sur un pouf. Dix minutes plus tard, on sonne de nouveau. Ça ne peut être que Brigitte, tout le monde se lève pour aller l’accueillir avec ses chiens. J’ouvre la porte, elle est moulée du cou aux chevilles dans un juste-au-corps clair qui ne cache rien de ses formes encore superbes. Il se glisse entre ses fesses, moule son sexe en en séparant les lèvres, fait ressortir ses seins hauts, elle est littéralement à poil. A sa droite Rex qui me regarde en battant de la queue, à gauche, un superbe dogue allemand qui lui arrive à la ceinture.
— Tu aimes ?
— Quoi, ta tenue ?
— Et les chiens.
— Ta tenue est super, il va falloir que je trouve la même, et tes chiens sont très appétissants, j’espère qu’ils vont être à la fête aujourd’hui.
Elle s’avance et m’embrasse.
— Bon anniversaire ma chérie.
— Merci, entrez tous les trois.
Brigitte entre avec les chiens. Toutes les filles les regardent avec envie.
— Mesdemoiselles, pouvez-vous vous aligner devant le divan en écartant un peu les jambes, Rex et Bismarck vont vous ausculter.
Nous nous alignons toutes devant le divan les jambes légèrement ouvertes. Rex commence par la gauche, Bismarck par la droite. Ils posent leur truffe sur la vulve de « l’auscultée » puis donnent un grand coup de langue. Nous sursautons toutes à chaque fois que la langue passe entre nos lèvres et arrive sur nos clitoris. Quand Rex et Bismarck nous ont « examinés », Brigitte vient à son tour passer sa main sur chaque vulve exposée et y glissant un doigt et le léchant.
— Examen réussi les filles, Rex, Bismarck et moi-même sommes à votre entière disposition car, bien entendu, je pourrais toutes vous goûter, on est bien d’accord ?
Tout le monde est évidemment d’accord.
— Mais je crois que c’est l’anniversaire de Lili, alors à elle l’honneur, tu veux commencer avec qui ma chérie.
— Bismarck bien sûr, je ne l’ai pas encore testé.
…/…