Habituellement cest mon mari qui publie quelques-unes de nos aventures après les avoir écrites ensemble mais cette fois-ci et pour la première fois il nétait pas avec moi quand ça sest produit.
Nous avons un bungalow dans une résidence de loisirs et y passons tout lété.
Lui faisant des va-et-vient pour son travail, il me laisse seule assez souvent.
Nos voisins les plus proches avec qui nous entretenons des relations de bon voisinage sans plus ont un fils de 19 ans cette année.
Dylan.
Il vient de réussir brillamment sa première année de médecine.
Tête de premier de classe, boutonneux, très grand et dune maigreur presque maladive.
Ses seuls atouts sont ses yeux dun bleu intense donnant un regard perçant mettant mal à laise.
Je venais de prendre une longue douche, avant de sortir de la cabine jai cru entendre du bruit dans la salle de bain mais ny prêtais pas attention plus que ça.
Enveloppée dans ma serviette, n je sors de la salle de bain et me retrouve face à Dylan, rouge et bégayant quelque chose que je ne comprends pas immédiatement.
Je lui demande assez brutalement ce quil fiche ici et il me raconte quen rentrant de la plage il a trouvé chez lui vide, parents partis et ils nont pas laissé les clefs où ils les cachent habituellement. Il pensait quils me les avaient peut-être confiées.
Le tout en bafouillant et sans me regarder en face.
Ce gamin ne ma jamais plu mais il avait à ce moment quelque chose de touchant, il semblait désespéré en tenant sa serviette de bain roulée sur son estomac.
Je décidais de me radoucir pour lui dire que non, je ne les avais pas vus.
Il eut un geste du bras pour dire tant pis et la serviette en sécartant de son buste a dévoilé ce qui devait tant lembarrasser.
Son short de bain rouge, long et ample, était déformé par une érection monstrueuse.
Je suis restée un instant sans pouvoir détacher mon regard de la « chose »
Après mêtre secouée intérieurement je me suis exclamée:
— Ben mon cochon je te fais un drôle deffet on dirait !
Je suis pourtant plus cachée dans cette serviette que toute la journée en maillot !
Mais disant ça je comprenais en même temps quil avait dû me voir avant, sous la douche et depuis combien de temps ?
La cabine de douche ferme avec une porte en verre, la température presque froide de leau navait fait aucune buée et cétait une très longue douche plaisir.
Je métais un peu caressée, javais fait pipi en mamusant à diriger le jet comme un homme, cuisses écartées, cambrée en arrière le bassin en avant.
Tournais-je le dos à la porte ou au mur quand jai joué avec mon petit trou dun doigt savonneux ?
Tout se bousculait dans ma tête et du coup cest moi qui me suis sentie honteuse.
Je lui demandais depuis combien de temps il était là mais il continuait de soutenir quil venait darriver quand je suis sortie.
Et il ne débandait toujours pas !
Il y eut un long moment de flottement qui me parut une éternité.
Je ne savais plus que faire, que dire, quoi penser mais la situation devenait de plus en plus embarrassante.
Et mon regard retombait immanquablement sur ce short rouge de plus en plus troublée.
Il me semblait que ça avait encore augmenté, que le gland allait finir par sortir de la ceinture du maillot.
Sur le côté, sous la hanche, le rouge semblait plus foncé, comme mouillé.
Pensant avoir trouvé enfin une échappatoire, je lui dis que quelque chose avait coulé dans sa poche, crème solaire peut-être.
De rouge écrevisse, il vira au blanc, jai cru un moment quil allait sévanouir.
En observant cette réaction mon regard a capté le rouleau dessuie-tout sur le bord du plan de la cuisine prêt à tomber alors quil est normalement presque 1 mètre plus loin.
Jallais lui poser la question quand jai eu une espèce de flash et une fulgurante migraine sest emparée de mon cerveau.
Il mavait certainement matée sous la douche, éjaculé dans son maillot doù la tâche et avait sans doute tenté de réparer les dégâts avec lessuie-tout……..
Tout correspondait et paraissait évident !
« Tu mas matée sous la douche et tu tes masturbé en même temps »
Ai-je fini par articuler
« Depuis quand étais-tu là ? Je veux savoir »
Ai-je fini par presque crier.
Le ton que javais employé finit de le déstabiliser complètement et il a avoué être arrivé quand je me brossais les cheveux, nue devant le lavabo.
C’est-à-dire AVANT la douche.
Ça voulait dire quil ma vu faire pipi, me caresser les seins me doigter devant et derrière.
Sans savoir comment ni pourquoi, cette migraine a disparu aussi subitement quelle était apparue et ma honte sest envolée avec…
Jai eu soudain très chaud dans le bas-ventre et me suis sentie humide entre mes lèvres.
Jaime mexhiber et apprécie les conséquences qui souvent en découlent, ce vice en moi était en train de me ravager le ventre et lesprit.
Cette situation à lentrée de la salle de bain était en train de séterniser et il fallait trouver une sortie… par la porte restée ouverte mais en passant par la chambre de préférence !
Mon esprit fonctionnait à 100 à lheure :
Il ne me plaît pas, il a moins de la moitié de mon âge, ses parents sont des amis, mon mari nest pas là et je ne fais jamais rien sans lui (sauf avec des filles) il est trop jeune et trop naïf pour prendre linitiative……..
Je nai rien trouvé de plus original que de lui dire :
« Puisque tu es là, tu vas te rendre utile. Jai pris un coup de soleil dans le dos et comme François ne rentre pas avant 2 jours tu vas me dépanner ».
Ce faisant et sans attendre de réaction de sa part, jattrapais la bouteille de lait corporel sur létagère, je le bousculais pour lui passer devant et passais à la cuisine.
Il fut immédiatement à mes côtés et j’ai dénoué la serviette de ma poitrine pour la réajuster sur ma taille après lavoir bien ouverte pendant une poignée de secondes.
« On va se mettre là » lui dis-je dautorité et seins nus je mappuyais, la tête dans mes bras croisés sur le comptoir de la cuisine.
« Ne fais pas cette tête, tu me vois tous les jours en mono sur la plage… Et même plus quand je remonte mon maillot en string »
Je décidais dêtre directive et assez vache.
« Alors, tattends quoi ? Le déluge ? »
Il commença de verser du lait sur mon dos, le contact froid me fit frissonner et il commença à étaler maladroitement sur les omoplates.
Je décidais de réduire un peu mon ton autoritaire et lui demandais de commencer par la nuque et les épaules en se mettant derrière moi.
Ce quil fit immédiatement.
Entre ma position et notre différence de taille, je ne sentais que le haut de ses cuisses sur mes fesses.
Frustrée, jessayais de me rehausser un peu, de son côté il avait dû faire le même chemin en sens inverse car pour quelques millimètres que javais pu gagner jai immédiatement senti une colonne brûlante sur ma fesse et, malgré lépaisseur de la serviette-éponge.
Je lui demandais de verser le lait sur ses mains, de les frotter un peu avant.
Bon élève, il se mit à me malaxer doucement la nuque et les épaules en remettant abondamment du lait.
Jexprimais mon contentement par un soupir daise et imperceptiblement, par une légère reptation, faisait glisser son sexe dans mon sillon fessier.
Je commençais à être très excitée par la situation
Lui ne quittait pas ma nuque et le dessus de mes épaules, décidément il fallait tout lui dire !
Jai déplié mes bras pour les tendre devant moi et ainsi mieux libérer mon dos mais aussi rendre mes seins accessibles. Jen profitais pour pousser un peu plus mes fesses en arrière.
Dune voix la plus assurée possible, je lui demandais de passer le lait sur le dos et les cotes et pas seulement sur les épaules.
Ses mains, de nouveau enduites attaquèrent mon dos et les côtés. La deuxième fois quelles passèrent sur le bord de mes seins je lui exprimais mon désir de ne pas les oublier :
« Ils ne doivent pas se dessécher, il faut bien les nourrir !
"Mets-en une bonne couche ! "
Studieux, il mempoigna les deux seins avec une tonne de lait.
Je ronronnais de plaisir, sa bite entre les fesses et ses mains me malaxant les seins.
Jai dénoué ma serviette à la taille et décidais de passer là une étape supérieure.
Odieuse, de très mauvaise foi, et vexante je lui dis :
« Ce serait parfait et très agréable mais quest-ce que tu as dans la poche qui me fait mal comme ça ? »
Et je passais le bras derrière moi pour saisir le soi-disant objet de ce courroux en lui empoignant le sexe à pleine main !
Je me retournais sans le lâcher.
Me voici, face à lui, nue, la serviette à terre et lui tenant le sexe à travers son short !
Très hypocrite :
« Ah, cest toi ! Ce nest pas dans ta poche. Dis donc ça commence à faire longtemps que tes dans cet état, tu dois avoir mal. Tu ne vas pas pouvoir ressortir comme ça ! »
Et en disant cela ma main attaqua des va-et-vient puis glissa à lintérieur du maillot.
Il fermait les yeux et se laissait faire.
Je le masturbais lentement quand il me dit « ça va partir, Madame »
Je réfléchis rapidement : ça faisait une demi-heure tout au plus quil avait taché son maillot et déjà prêt à repartir sans pouvoir se retenir.
Jarrêtais immédiatement mon mouvement, bien décidée à profiter moi aussi de la situation !
Je me baissais en descendant le short et len débarrassais définitivement.
Jai commencé à donner quelques coups de langue tout du long et en mattardant sur le gland avant de lengloutir frénétiquement.
Je nai pas eu beaucoup de temps pour profiter de cette superbe verge.
Je lai senti se contracter, grossir encore et jai pris le jet brûlant me remplir la bouche, un autre sécraser sur mon visage. Je lai repris en main le temps de déglutir pour le finir complètement.
Une vraie fontaine, ça narrêtait pas !
Dans ma main, il navait pratiquement pas ramolli. Quand enfin la source parut se tarir je lai repris en bouche quelques secondes puis me suis relevée et le prenant par la queue, lai entraîné dans la chambre.
Il ne disait rien, lair un peu hébété et toujours avec cette érection persistante.
Cest beau la jeunesse !
« Tinquiète pas, on va bien arriver à te remettre en état de présentation » lui dis-je en le poussant sur le lit où il tomba sur le dos.
Je lenjambais et vins me caler à califourchon sur sa tête en lui disant :
« A toi maintenant de me faire plaisir »
Et pendant quil ne me léchait pas trop mal je me frottais et masturbais sur son visage.
Un peu lui, beaucoup moi, jai vite atteint un fabuleux orgasme.
Je me suis retournée me suis empalée sur sa bite et ai recommencé à me faire plaisir, lui restant assez passif.
Son visage luisait de ma mouille abondante. Sil avait été un autre je laurais embrassé et léché pour le nettoyer mais là pas très envie. Cest comme ça !
Sa passivité et la vue de son visage pas vraiment plaisant mont donné envie de changer de position.
Je me suis relevée et mise à quatre pattes.
Pas besoin de lui faire un dessin !
Il est venu immédiatement entre mes fesses mais pas si niais que ça, il cherchait mon petit trou…
« Non, tu es trop gros » lui dis-je en le guidant de la main vers la bonne direction.
Je me suis sentie envahie immédiatement et, ma main entre les cuisses, le majeur jouant avec mon clito je suis partie dans un nouvel orgasme dévastateur.
Il ma suivie en se déchaînant entre mes fesses.
Nous sommes tombés tous les deux sur le côté, épuisés.
Sans me retourner, je lui ai demandé si ça allait mieux.
« Je ne sais pas, mais cétait bien, merci » ma-t-il répondu.
« Cest pas la première fois que tu fais lamour ? »
« Si, jai jamais osé, je sais que je pars trop vite »
« Ça sarrangera » dis-je en me levant sans oublier de jeter un coup dil sur sa virilité.
Au repos, certes, mais pas vraiment endormie !
Présentable mais faudrait pas grand-chose pour la remettre en route !
Je suis allé donc mhabiller pudiquement avant de revenir dans la chambre pour lui demander de shabiller lui aussi et daller voir si ses parents nétaient pas revenus.
Pendant quil enfilait son maillot je lui ai expliqué que cétait une sorte daccident, quil était hors de question quon le voie sortir de chez moi dans létat où il était et que lon en restera là.
Après mavoir écouté religieusement, narquois il ma dit quil viendrait chaque fois quil aurait une érection pour se faire dépanner en riant.
Je lai mis dehors sans ménagement et ai appelé mon mari. Messagerie !
Jenrageais, javais trop envie de me faire pardonner mais ne pouvais pas lui dire ça en message !
Je vaquais à quelques travaux ménagers pour moccuper lesprit quand mon portable émet la sonnerie destinée à mon époux.
Je décroche fébrilement pour lentendre dire quil est sur la route et quil sera là dans une heure au plus.
Inutile de lui dire quoi que ce soit au téléphone, je peux bien attendre une heure !
A peine arrivé, je lui sers à boire, il devine ma fébrilité et je lui explique tout dans les moindres détails.
Après mavoir écoutée religieusement sans minterrompre, il me pose quelques questions et me félicite davoir saisi cette opportunité. Il me fait remarquer que suite à une expérience pas très réussie avec un jeune un peu plus vieux que lui, je ne voulais plus en entendre parler.
Il mencourage à le revoir, éventuellement lapprivoiser suffisamment pour envisager quelque chose à trois.
Par contre il me fait promettre de rectifier ma position sur la taille de son sexe et de lui faire bien comprendre que cest un atout et non pas un handicap.
Il est suffisamment complexé comme ça sans en rajouter.
Pour ça il insiste pour que je lui apprenne à bien me préparer en vue dune sodomie réussie.
Il me cite encore quelques expériences susceptibles de lui plaire comme la douche a deux et ses jeux deau… Et de douche dorée.
Tout compte fait, jai bien lintention de prendre ce rôle de monitrice très à cur.
Avant la fin de lété, il saura tout, tout sur le zizi, parole de Sylvie !