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Monsieur, et ses amis – Chapitre 1

Monsieur, et ses amis - Chapitre 1



Comme à l’accoutumée, elle se lève la première. Elle est matinale, et puis elle le doit, pour lui, son Maître.

Elle se douche pour retirer toutes traces, des aventures de la nuit, enfin celles, qu’elle peut faire disparaître. L’eau ruisselle sur sa peau douloureuse. Son dos, ses fesses, ses seins portent les stigmates, de leur dernière soirée. Monsieur avait convié des amis. Certains accompagnés, d’autres non. Elle s’était parée pour l’occasion, d’un magnifique collier de cuir, et de dentelles. D’un porte-jarretelles et de bas résille noirs. Et c’était tout. Il était fier d’elle, fier de la montrer, de l’exhiber. Elle restait à ses pieds, à genoux, les seins dressés, sa chatte, toujours impeccablement épilée, exposée aux yeux de tous.

Ils étaient autour d’une table pour le dîner. Elle et les autres soumises demeuraient aux pieds de leur Maître. Elles se regardaient entre elles parfois, attendant un ordre auquel elles s’empressaient d’obéir. Son maître la nourrissait en lui donnant de petits morceaux de nourriture avec les doigts. Il lui faisait lécher, baisant sa bouche, elle adorait, cela l’excitait, la faisait mouiller. Monsieur était excité aussi et il lui ordonna de le sucer. Il tourna ses jambes vers elle, sortit son sexe. Il bandait. Elle se glissa entre ses cuisses, avala sa queue, et le pompa comme une bonne salope, sa Salope. Elle s’appliquait, se régala et reçut en récompense son précieux nectar. La bouche souillée, elle était fière de lui appartenir.

Elle était sa soumise depuis longtemps maintenant, ces soirées-là elle y était habituée. Totalement dévouée et obéissante, elle faisait preuve d’une totale abnégation. Il lui ordonna d’aller lui chercher un paquet de cigarettes, le sien était vide. Elle se dirigea vers la chambre à quatre pattes, le cul dressé, ouvert, prêt à se faire baiser, sa laisse traînant au sol. Elle dandinait des fesses, devant leurs hôtes, c’est Monsieur qui le lui avait demandé. Ils la regardaient tous, leur bite bandant entre leurs cuisses. Ils voulaient la prendre, l’enculer là, en plein milieu du salon, la faire hurler à tour de rôle. Son maître savait ce qu’il faisait en la montrant ainsi. Il éprouvait une telle fierté, une excitation extrême. Elle revint vers lui, le paquet de clopes entre les dents.

Pour la remercier, il lui flatta les fesses. Elle se cambra de plaisir, sa chatte coulait. Il glissa un doigt sur sa raie, frôla son anus, elle sursauta, poussa un petit cri, elle se déhanchait devant lui, elle le désirait tant… Son doigt s’enfonça dans sa chatte, il le fit aller et venir. Tout le monde pouvait entendre ce petit bruit qu’il faisait en glissant dans sa mouille. Elle gémissait fort, exagérément peut-être, pour le spectacle, toujours dans le but d’exciter le plus possible ces messieurs. Cela marchait, ça se voyait sur leur visage, empourpré pour certains, en sueur pour d’autres. Des pantalons trop serrés, des queues bien à l’étroit. Certains s’étaient mis à l’aise, se branlant à table ou se faisant sucer.

Il pouvait être fier de sa soumise, une chienne parfaite ou presque, il l’avait si bien éduquée. Le repas était terminé. Il était temps de jouer un peu. Elles le savaient toutes. Pas une once de peur dans leur regard, elles le voulaient, attendaient ce moment. Elles savaient qu’elles allaient avoir mal, qu’elles seraient souillées, humiliées… Mais c’est ce qu’elles aimaient. Elles savaient le plaisir, que leur maître allait en retirer, le plaisir qu’elles allaient elles-mêmes ressentir. Elle pensait aussi à la récompense qui suivrait, quand Monsieur, satisfait, fière d’elle, lui ferait l’amour, la ferait jouir, l’honorerait… Quand ils se retrouveraient seuls, dans l’intimité. Il lui ordonna de se mettre debout. Elle se redressa, et se mit à côté de lui, attendant ses ordres.

Tous les hommes avaient leur regard posé sur elle, regardant ses seins, sa chatte, son cul, envisageant sans doute déjà, ce qu’ils aimeraient lui faire. Il la plaça entre les mains de son voisin de table. Elle devait ainsi faire le tour de la table. Certains, trop empressés, tiraient sur la laisse pour la faire venir à eux. Elle se faisait tripoter, fouiller de partout, pincer, fesser… Ils la malmenèrent de longues minutes, passant de l’un à l’autre. Elle ressemblait à une poupée de chiffon. Ils se mirent à plusieurs dessus, des doigts dans le cul, d’autres dans sa chatte, des dents qui croquaient ses tétons… Un n’en pouvant plus, la plaqua contre la table, la poitrine posée. Il se redressa derrière elle, lui écarta les cuisses.

Il lui claqua les fesses d’une force… Son membre dressé, raide comme un poteau. Il allait lui enfoncer entre les fesses, la sodomiser comme une bête. Son maître se leva, attrapa l’homme et le fit reculer. Il lui dit " stop ". Elle revint se mettre à quatre pattes à ses pieds, cherchant sa protection. Avec un sourire et beaucoup de courtoisie, il dit à ses hôtes qu’ils devaient patienter encore un peu… Ils conversaient entre eux, jouaient avec les différentes soumises. L’ambiance était chaude, conviviale, détendue… Le moment tant attendu était arrivé. Elle sentait un peu d’appréhension, elle savait qu’elle devait être parfaite, pour ne pas décevoir son maître, il devait être fier d’elle, en toutes circonstances.

Il se leva, et la tira par la laisse. Elle avançait à quatre pattes, vers le centre de la pièce. Il la fit se lever. Il ôta la laisse. Il attacha chacun de ses poignets, ainsi que ses chevilles au portique, qui trônait en plein milieu du salon. Bras en l’air, écartés, jambes écartées aussi… Totalement offerte, il lui était impossible d’opposer la moindre résistance. C’est son maître qui commença. Il voulait la mettre en condition. À tour de rôle, il prit la cravache, le fouet, et finit par le ceinturon. Les coups pleuvaient un peu partout sur son corps. Sa peau était rouge, zébrée. Elle devait avoir mal, mais elle ne disait rien, ne montrait rien. Au lieu de ça, son plaisir dégoulinait le long de ses cuisses. Il récupéra ce nectar sur ses doigts et le lécha.

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